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contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
avril 2024
12° - 19° // le vent est de retour à ib..
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.


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 We have ... Or we have not ? ⠇Rory

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MessageSujet: We have ... Or we have not ? ⠇Rory (#)   We have ... Or we have not ? ⠇Rory EmptyMar 4 Déc - 19:13

We have ... Or we have not ?
@Rory Kerrigan and Maxine Millstone

Je suis en train de sortir de cet état de sommeil, pour revenir doucement à la réalité et cette nouvelle journée qui commence. Je peux ressentir immédiatement le mal de tête qui m’habite, bien que la douleur reste supportable. Je ne prend pas la peine d’ouvrir les yeux, je n’ai pas envie de me réveiller, de me retrouver face à ma réalité, face à ce que ma vie est devenue, je veux simplement me rendormir, retourner au pays des rêves, comme on le dit si bien. Je ne peux m’empêcher d’apporter ma main à mon visage, massant de mes doigts mes tempes, avant de venir les passer dans mes cheveux. « Hum .. » C’est un son qui ressemble plus à un grognement qu’autre chose, mon mécontentement de sortir de mon sommeil, celui dans lequel je veux retourner. Je me refuse d’ouvrir les yeux, je me contente de relever la couette sous laquelle je me trouve, pour la remonter jusqu’à mes épaules et en sentir la chaleur. Ce n’est pas la première fois depuis le décès d’Axel, que mon cerveau me donne cette impression d’une présence à côté de moi dans le lit, comme s’il était ici avec moi. Ce n’est pas la première fois aussi que j’ai ce ressenti de la chaleur de son corps contre le mien, ces moments que j’ai tellement su apprécier de son vivant, durant nos dix ans de couple. Une hallucination qui habituellement ne dure que quelques secondes, le temps de me ramener à la réalité et de me rappeler qu’il n’est plus des nôtres, qu’il ne peut pas se trouver à côté de moi. Sauf qu’aujourd’hui, cette impression perdure, elle ne s’arrête pas et vient me laisser sur un petit nuage, croire que c’est réel, qu’il est de nouveau avec moi. Ces quelques secondes de rêves ne durent pas, malheureusement, ça ne peut pas être lui à côté de moi et j’en ai conscience, c’est pour cette raison que je laisse mes yeux s’ouvrir et supporter difficilement la lumière du jour qui reflète la pièce. Cette pièce que je ne connais pas, je ne suis pas dans ma chambre, ce n’est pas celle où je me réveille tous les matins.  « Je .. » Dis-je dans une première prise de parole, pour un seul petit mot, laissant ma tête basculer sur le côté, cherchant à comprendre l’origine de cette chaleur contre mon corps, de la présence d’une personne à mes côtés, parce que c’est bel et bien le cas. J’ai pu m’attendre à tout, mais pas à ça, je me retrouve dans un endroit inconnu, en présence féminine. L’effet est immédiat et tout un tas de question me passe par la tête. Qu’est-ce que je fais ici ? ou encoreQu’est-ce qu’il s’est passé ? Je n’ai aucun souvenir de la veille, mais la femme à côté de moi ne m’est pas inconnue, j’ai déjà eu l’occasion de la voir par le passé, il n’y a pas si longtemps que ça, d’ailleurs. « Rory ? » Je suis complètement perdue et ça doit se voir sur mon visage, j’en viens à m’imaginer tout un tas de scénario dans ma tête, alors que je laisse ma main se poser sur mon ventre l’idée que j’en avais, puisque c’est le contact avec le bras de Rory sur moi, que mes doigts trouvent immédiatement.
©️ nightgaunt
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MessageSujet: Re: We have ... Or we have not ? ⠇Rory (#)   We have ... Or we have not ? ⠇Rory EmptyMar 18 Déc - 17:10

WE HAVE ... OR WE HAVE NOT ?
MAXINE & RORY
Je ne peux pas vraiment me souvenir de la dernière fois que j’ai partagé mon lit avec quelqu’un d’autre que ma propre fille. Ça remonte à quelques années, je crois, bien et encore là… c’est assez flou parce que depuis sa naissance je me suis vraiment abstenu de faire entrer des hommes ou des femmes inconnues dans ma maison de peur qu’ils puissent être au final mal intentionnés non seulement envers moi, mais envers ma fille. Je me suis mis à penser en vrai parent comme vous pouvez bien le voir. La sécurité ainsi que la stabilité de ma fille passent avant tout le reste. Très franchement, je me sens comme si j’ai non seulement passé l’âge pour les aventures d’un soir, mais aussi que ce ne m’apporte plus vraiment grand-chose. J’ai eu cette partie de ma vie très sauvage où je vivais du sexe et de la drogue… que je tente maintenant de complètement oublier pour plusieurs raisons très évidentes. Pas le meilleur moment de ma vie, pas le plus glorieux non plus je dois dire. J’étais non seulement pathétique comme fille, mais aussi une vraie épave. Je crois bien l’avoir été pendant tellement longtemps que je ne savais pas quoi faire d’autres. Heureusement, le destin a quand même fini par tourner en ma faveur en me donnant un petit ange pour m’apporter la lumière et le bonheur. La vie est cruelle, mais parfois on doit endurer le pire pour pouvoir être enfin réellement heureux. C’est comme ça que je vois un peu les choses maintenant.

Ma vie a été un enfer pendant très longtemps, mais aujourd’hui, je me débrouille mieux que jamais. Ma fille va bien, je ne suis plus coincé avec la Meute et je suis maintenant propriétaire d’une salle de boxe. Ce n’est pas énorme, mais faut quand même dire que contrairement à ma situation d’il y a quelque mois, c’est franchement mieux! Je suis beaucoup plus stable à de nombreux points de vue et je ne manque pas du tout de revenir en pleine nuit avec des bleus, des fractures ou autres blessures du genre. J’en avais assez de devoir trouver des excuses. Même si elle n’a que 6 ans, ma fille n’est pas complètement stupide pour autant. Le nombre de fois où elle me demanda le soir avant d’aller au lit si je retournais voir les messieurs ou les dames qui me faisaient mal me brise encore le cœur. Je suis heureuse que ça n’arrive plus même si je me remets encore d’une fracture aux côtes douloureuses. J’ai encore quelques marques au visage, mais heureusement elles sont presque complètement fanées maintenant.

Mais bon, même si je ne suis théoriquement plus une personne qui partage son lit, certaines habitudes restent. Celle d’être la grande cuillère, surtout quand ma partenaire de lit se trouvait être une femme comme c’est le cas en ce moment. C’est étrange de se réveiller avec quelques dans mes bras. Presque agréable d’une certaine manière parce que ça m’apporte un sentiment de normalité que je n’ai jamais vécu. Il faut dire aussi que c’est plaisant de se réveiller dans un lit chaud au contraire de l'habituel lit complètement froid… Alors que j’étais toujours à moitié endormi, j’agissais par instinct en sentant le corps qui bougeait. J’attirai la femme contre moi afin de garder sa présence dans le lit. À un moment, je crus bien entendre mon nom ce qui me poussa à ouvrir les yeux paresseusement pour réaliser que je n’avais pas rêvé et qu’il y avait vraiment une femme non seulement dans mon lit, mais aussi dans mes bras. Une femme que je connaissais parce que je me souvenais parfaitement maintenant de l’avoir ramené chez moi après l’avoir trouvé trop ivre pour rentrer seule la nuit précédente. Comme elle s’était un peu écroulée avant que je puisse lui demander son adresse, je l’avais ramené chez moi ne voulant pas la laisser seule n’importe où. Je sais comment ça peut être effrayant se réveiller dans un endroit qu’on ne connait pas sans souvenir de comment on y est arrivé. Je lui offre mon meilleur sourire alors que je suis encore à moitié dans les vapes. « Hey Max. Il y a un verre d’eau avec des aspirines sur la commode. » Je la libère de mon emprise alors que je roule sur le dos avec l’espoir de me rendormir. « Aussi, on n’a rien fait t’en fais pas. » Puis, je ferme les yeux à nouveau.

Ma tentative pour me rendormir est de très courte durée malheureusement. La porte s’ouvre à peine quelque minute plus tard, mais comme je suis un peu en train de me rendormir, je ne l’entends pas. Je réalise que ma fille est dans la chambre que quand elle parle finalement. « Maman, pourquoi il y a une jolie dame dans ton lit ? » J’ouvre soudainement les yeux en mode « oh merde » quand j’entends la question. Je jette un regard à ma fille qui est au coin du lit et qui nous regarde à tour de rôle sans doute en entendant que je lui réponde pour qu’elle puisse par la suite me poster encore plus de questions. Ça risque d’être une matinée intéressante.
electric bird.
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MessageSujet: Re: We have ... Or we have not ? ⠇Rory (#)   We have ... Or we have not ? ⠇Rory EmptyMar 25 Déc - 15:45

We have ... Or we have not ?
@Rory Kerrigan and Maxine Millstone

Les réveils se suivent et ont tendance à se ressembler de près, depuis quelques trop longues semaines, alors que je m’approche, d’ici quelques jours à cette date qui va venir marquer mes un an de mariage avec Axel. Un an que je vais fêter seule, pendant que ce matin, je suis en train de vivre une situation assez inédite qui me plonge dans une immense incompréhension. Comme beaucoup de matin, c’est cette sensation de chaleur à côté de moi, d’une présence contre moi qui me tire de mon sommeil. En règle général, ouvrir les yeux me fait revenir à la réalité, réaliser que mon mari n’est pas présent à mes côtés, réaliser qu’une fois encore ce n’était qu’un rêve. Ce matin, je ne me retrouve pas dans mon appartement, tout autour de moi est différent, je n’ai pas de mal a comprendre que je ne me trouve pas dans mon lit. Cette douce sensation venue me tirer de mon sommeil est bien réelle aujourd’hui, mais ce n’est pas Axel qui se trouve à mes côtés, c’est une femme. Raison de beaucoup de mes questions, dans une réponse qui tient en grande partie dans cet horrible mal de tête que je ressens. Je suis en train de souffrir d’une gueule de bois, à n’en pas douter, ce n’est pas la première, encore moins la dernière. Tout est confus dans ma tête et même si j’ai juste eu l’envie de poser ma main sur mon ventre, trouver le contact avec la couette, c’est sur le bras de Rory que mes doigts sont venus se poser. Suis-je encore en train de mélanger avec mon passé ? C’est une possibilité, comme l’envie de croire, au fond de moi que c’est Axel, en ayant conscience que la réalité est toute autre. Je laisse mes doigts se prendre au jeu, caresser la peau de se bras m’entourant, pour un regard en direction de cette inconnue, qui n’en ai pas vraiment une. De l’eau et de l’aspirine, c’est une proposition que je ne peux refuser, que j’accueil dans le plus grand des plaisirs. Seulement, avant toute chose, j’ai besoin d’en savoir plus, de me rafraichir la mémoire, comprendre ce que je fais dans ce lit et surtout … Surtout me retirer un doute de la tête. C’est la raison pour laquelle je me laisse attraper la couette de ma main, profitant du mouvement de Rory, pour être libre de son emprise, de sa douce emprise, que je n’ai connu depuis trop longtemps. J’ai seulement le temps de glisser mon regard sous la couette, de laisser mes iris trouver le contact avec mon corps, pas le temps de réaliser que je porte encore quelques uns de mes vêtements, la blonde à côté de moi apporte la réponse que je suis en train de chercher. « Oh non ... » Je suis prise de court, je suis surprise et prise sur le fait, même si je cherche à masquer cette émotion, elle réside dans mes propos et mon timbre de voix. « Enfin oui, je sais … Merci. » Ce n’est pas le moment pour moi de m’enfoncer encore un peu plus, puis le tambour résidant dans ma tête ne me le permet pas. Exit le contact de ma main sur la couette, place à la seconde étape, celle d’apporter un traitement à mon état d’après soirée. Je profite d’un état de somnolence de Rory, mon idée est claire, espérer qu’elle se rendorme et quitter cet appartement sur la pointe des pieds. Rien n’a eu lieu, la mort nous a séparé et je reste toujours fidèle à mon mari, je suis la femme d’un seul homme et jamais plus je ne connaitrais quelqu’un d’autre, encore bien moins une femme. Je suis quelqu’un d’ouverte, je pense, mais jamais je ne me suis prise à imaginer, me demander ou croire que quelque chose puisse se passer avec une femme. Rien n’a eu lieu, mais je ressens cette honte, celle du lendemain, qui me donne envie de partir avant qu’elle ne soit réveillée, qu’elle ne me retrouve pas ici quand ses yeux s’ouvriront à nouveau. C’est l’envie que je ressens et que je veux mettre en place après ma prise d’aspirine, mais dont je ne peux aller au bout, pas le temps de venir prendre le haut que j’avais sur moi la veille, pour couvrir mon corps, masquer ce soutien gorge que j’ai sur moi. La porte s’est ouverte, laissant mon coeur s’enflammer, me laissant croire à un mari rentrant chez lui ou encore à une femme venue rejoindre sa compagne. Ma surprise est de taille, ma réaction immédiate, si je suis assise dans le lit, mes doigts serrant la couette, que je tiens contre moi, essayant de couvrir mon corps au mieux. « Ma ... » Ce mot est pour moi une torture, il me rappel ma petite fille, celle qui avait encore la vie devant elle, mais qui n’aura pas eu le temps de la vivre. Dieu qu’elle me manque. « Maman ? » Que suis-je censé dire ? Que suis-je censé faire ? Josie est déjà venue se joindre à nous, mais il s’agissait de son papa et de sa maman, d’un couple s’aimant depuis de nombreuses années. Aujourd’hui je suis une inconnue, que cette petite voit dans le lit de sa mère, même si son compliment est parvenu à mes oreilles.  « Tu as une fille ? » Cette question elle est destinée à Rory, que je suis en train de regarder. « Je ... » Voici mon regard sur l’intérieur de mon poignet, mes iris sur ma montre que je porte depuis de trop nombreuses années de cette façon. « Je suis une amie de ta maman. » Suis-je convaincante sur le lien m’unissant à la maman de cette fille ? « Hum … Je devrais y aller. » Ces propos ils sont pour Rory, me laissant sur de moi dans ce choix, bien moins dans mes actes, puisque je ne bouge pas. Tout est trop confus, cette situation est un mélange de ce qu’est ma vie aujourd’hui, de celle de la blonde à mes côtés et de celle qui a été la mienne pendant quelques années, des années de bonheurs. Je suis perdu en même temps que je sais ce que je veux, laissant ma main de libre se glisser dans mes cheveux, permettant à mes doigts de les amener vers l’arrière, gardant soin de couvrir mon corps de cette couette.
©️ nightgaunt
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MessageSujet: Re: We have ... Or we have not ? ⠇Rory (#)   We have ... Or we have not ? ⠇Rory EmptyJeu 10 Jan - 20:30

WE HAVE ... OR WE HAVE NOT ?
MAXINE & RORY
Et bien merde alors, il faut bien une première fois à tout comme on le dit si bien… par contre j’aurais bien aimé éviter que ma fille me trouve dans le lit avec une femme ou toute personne qu’elle ne connait pas. Quand je dis ça, je pense plutôt aux dix mille questions qui roulent présentement dans sa tête plus qu’à lui expliquer le pourquoi il y a une inconnue avec qui je ne sors pas et ne suit pas romantiquement impliquer dans mon lit. Je sais que ma fille n’est pas complètement stupide et franchement, souvent je suis très fière de dire qu’elle comprend très bien la plus part des choses pour adultes… Mais je veux quand même qu’elle garde cet esprit d’enfant encore un petit moment et ne devienne pas trop réaliste face au monde. C’est la pire chose qui peut arriver. Disons que je veux qu’elle croie au père noël encore un moment. Et puis quel enfant veut voir sa mère ou son père dans le lit avec un inconnu quelconque ? Je suis encore plus heureuse d’être devenu une adulte responsable et une bonne mère pour éviter de laisser quoi que ce soit arriver avec Maxine. C’est une très belle femme, on ne va quand même pas dire le contraire, mais je ne crois pas qu’elle soit prête ou balance dans le sens du sexe féminin. De plus, je ne suis pas du genre à pousser une personne à faire ce qu’elle ne veut pas surtout quand il s’agit de coucher avec moi. J’ai l’expérience pour être à leur place… sans doute beaucoup trop même et ce n’est jamais agréable comme sentiment.

Enfin bref, la dernière chose que je veux est de traumatiser ma fille… comme de traumatiser Maxine. Nous nous sommes rencontrées quelques fois par le passé, mais je ne lui ai jamais dit que j’avais un enfant. Disons que nous n’avons pas franchement prit le temps de réellement parlé de trucs personnels avec l’autre non plus. En général, il faut dire que je ne parle pas de ma fille à tout le monde. Ce n’est pas parce que j’en ai honte ou quoi que ce soit du genre. Loin de là. J’ai juste appris que certaine personne peuvent être mal attentionné et malheureusement il y a beaucoup de ce genre dans ma vie de tous les jours… Beaucoup plus que j’aime me l’avouer. Je déteste l’idée d’impliquer une mauvaise influence dans l’environnement de ma fille, même si je sais qu’au fond je ne peux quand même pas tout contrôler autour d’elle. Je ne veux surtout pas être le genre de parent qui surprotège leur enfant les laissant démuni quand vient le temps pour eux de faire face seul au monde extérieur. Je suis certaine que la plupart ne le font pas avec de mauvaises intentions derrières, mais au final, l’enfant risque juste d’être trop fragile ou de ne tout simplement pas bien comprendre que le monde est froid et cruel quand on ne sait pas comment s’éloigner des mauvaises choses. J’ai une bonne expérience quand il s’agit de tomber la tête première dans tout ce qui est mauvais. J’ai passé une grande partie de ma vie à patauger dedans. Je ne veux surtout pas le même genre de vie pour mon propre enfant. Je m’en suis d’ailleurs sorti pour qu’elle puisse bien vivre. Je crois que jusqu’à maintenant, je peux dire que mon enfant est plus heureuse que je ne le fus jamais durant ma propre enfance. Je peux vous dire que ça, j’en suis très fière!

« Tu as une fille ? »   Je grimace les yeux toujours fermés alors que j’entends la question de Maxine. Après un court moment de silence, j’ouvre finalement les yeux et tire l’oreiller derrière moi afin de me redresse un peu dans le lit. J’offre à ma fille un sourire doux alors que je la regarde observer la femme coucher dans le lit avec moi. Ses grands yeux verts brillent d’une curiosité dont seul les enfants sont possibles. Ça me fait sourire un peu plus. « Oui, Dinah, ma chérie, je te présente Maxine. Maxine, voici mon adorable petite fille chérie, Dinah. » Dès que j’ai fini de la présenté, ma fille se met à sourire ce qui est franchement comique comme il lui manque une dent en avant qu’elle a perdu deux jours plutôt. Elle finit par me regarder de nouveau attendant sans doute que je luis explique qui elle est au juste. J’ouvre la bouche pour lui expliquer, mais Maxine me prend de vitesse sur ce coup.  « Je ... Je suis une amie de ta maman.  » Je hoche alors la tête. « C’est une amie. » Avec l’agilité du vraie pro de la grimpe de lit, Dinah monte rapidement au pied du lit pour s’asseoir en face de nous. « Comme Alison est mon amie ? Ou comme Mme Mara est l’amie de Mme Kate ?» Je ne peux m’empêcher de me mettre à rire sachant très bien où elle veut en venir. « Comme Alison ma chérie. » J’offre un sourire d’excuse à Maxine qui semble un peu flipper en ce moment. Je ne voulais pas la mettre mal à l’aise en l’amener chez moi. Dinah rampa vers moi pour venir se glisser dans mes bras alors que Maxine parlait finalement à nouveau.

 « Hum … Je devrais y aller. »   Pas besoin d’être un grand détective pour voir qu’il y avait quelques choses avec elle. Je me penchai alors vers ma fille et lui murmura à l’oreille d’aller s’habiller pour que je puisse lui faire des pancake à la banane comme petit déjeuner. Elle laissa échapper un petit cri de joie avant de sauter du lit pour quitter la pièce. « Je suis désolé, je ne voulais pas te rendre mal à l’aise en t’amenant chez moi. Tu t’es évanoui avec que je puisse te faire dire ton adresse… et comme mon canapé est une horreur…  enfin bref. Je suis désolé vraiment. Je vais aller faire le petit déjeuner, prends le temps qu’il te faut. Après, si tu veux rester mangé avec nous, tu es la bienvenue et si tu veux partir ça ira aussi. La salle de bain est en face si besoin. » Je lui offre un sourire amical alors que je glisse du lit en t-shirt et boxer. Je ramasse mon peignoir et je sors de la pièce pour lui donner de l’espace ainsi que rejoindre Dinah qui est déjà prête pour le petit déjeuner.
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MessageSujet: Re: We have ... Or we have not ? ⠇Rory (#)   We have ... Or we have not ? ⠇Rory Empty

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