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contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
avril 2024
12° - 19° // le vent est de retour à ib..
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.


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 toi, toi ma belle andalouse (lisandro)

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MessageSujet: toi, toi ma belle andalouse (lisandro) (#)   toi, toi ma belle andalouse (lisandro) EmptyDim 30 Déc - 0:22





Magnifique temps. Suffisamment beau pour t’permettre d’explorer l’monde à pied. Quelle idée, t’as eu, en faisant cela. Ta caisse est détruite, morte. Chez l’garagiste. T’as les moyens, tu peux t’en passer, mais pas trop. Lisandro bosse, à peu près, dans l’même lieu qu’toi. T’auras qu’à lui demander d’te déposer au boulot tous les jours, même si cela signifie s’lever plus tôt et rentrer plus tard, probablement. Fais chier, t’as envie d’hurler sur tous les toits qu’le monde est une enflure. Incapable d’te retenir, tu viens d’frapper une poubelle, poubelle d’un inconnu qui t’regarde avec des yeux ronds. Énervé, tu lui fais un doigt d’honneur et il hausse davantage les sourcils. Quel abruti, c’mec. Tu souffles, finalement tu t’approches d’la poubelle, tombée à cause d’ton coup d’pied mal placé. Tu la remets en place, tu murmures : « pardon Francis. » et il lève la main, signe d’pardon. Lui, il n’s’appelle pas Francis. Tu inventes pour rire, c’est tout. Alors tu t’barres, plus vite qu’précédemment. La colère, c’est l’mal. Tu n’sais toi-même pas pourquoi tu t’mets autant en colère pour une bagnole. Ça se répare, relax Côme. Tu pianotes sur ton téléphone un message à l’adresse d’ton pote, pour savoir si tu peux passer chez lui, l’prévenant qu’tu serais là dans quinze minutes, avec des bières. Il t’répond qu’c’est d’accord. Tu files dans la première supérette qu’tu croises pour acheter un pack de bières. Une fois cela fait, tu te dépêches d’arriver chez lui, ne profitant nullement du soleil, ce bon temps qui est censé t’faire produire des endorphines. Ça n’marche pas, chez toi, visiblement. Tant pis, tu feras avec l’absence de ces hormones.

Quinze minutes plus tard, comme prévu, tu arrives devant la porte de Lisandro. Ton pote, que t’as rencontré quand t’étais encore un gosse, sept ans en arrière, quelque chose comme cela, quand tu partais en vacances à Island Bay, avec tes parents. Tu toques, violemment. Pas l’temps. La Play chauffe, l’pack de bières s’impatiente de n’pas être encore bu. Finalement, t’attends même pas une seconde d’plus que t’enclenches la poignée, constatant qu’la porte était ouverte. Tu hausses ta voix pour t’faire entendre : « yo, c’est un voleur venu d’l’espace. Avec pour seule arme un pack de bières. » Tu t’dépêches d’courir jusqu’au salon où tu trouves ton pote et la Play, allumée. C’est alors que, dans un élan d’joie, tu t’exclames : « ma femme, déjà prête quand j’arrive ! » Seul point positif d’la journée : cette console qu’tu aimes tant, qui ne t’appartient pas vraiment, mais qui te tient à cœur tout de même. Tu te hâtes de t’écrouler sur le canapé, à côté d’Lisandro. Tu déposes le pack de bières sur la petite table, l’ouvrant et sortant deux bières, dont une que tu donnes à ton pote. « Frère, tu peux prendre l’truc qui ouvre les bières ? J’sais plus à quoi ça ressemble et flemme d’me déplacer. J’ai marché, sérieux. » T’as osé faire la route à pieds, quoi. Ce n’est pas rien. « Faut qu’te raconte c’qui m’est arrivé… c’est pas beau, sérieux. Ça craint ! et tu ris. J’fais chauffé ma manette pendant qu’tu ouvres les bières, ça t’va ? » t’as potentiellement déjà la manette dans tes mains. Tu t’souviens qu’à cause d’l’alcool, t’as gravé un “C” dessus. T’es un peu con, parfois, mais t’y peux rien. Heureusement qu’ton diplôme d’État de doctorat en pharmacie te sauve le QI.


@lisandro salviati
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MessageSujet: Re: toi, toi ma belle andalouse (lisandro) (#)   toi, toi ma belle andalouse (lisandro) EmptyLun 31 Déc - 0:00





Il veut te parler, c'est urgent. Toi, que te dis-tu, en lisant son SMS ? Eh bien, que c'est sacrément urgent, et surtout qu'il débarque chez toi d'ici quinze minutes avec un pack de bières. Tu files prendre une douche, parce que, de toute façon, t'as que ça à faire. En cinq minutes, c'est terminé —les cinq autres minutes qui suivent, tu allumes la Playstation, et fais tourner ton lave-vaisselle. Un peu de propreté, tout de même, là-dedans ! Tu te dépêches d'ouvrir en grand les fenêtres, et tu t'assoies sur ton canapé confortable. Allez, quinze minutes, ça s'écoule vite ! te dis-tu. T'entends alors la porte d'entrée s'ouvrir (tiens, il est là lui ? remarques-tu), et il hausse la voix pour que tu l'entendes —c'est un voleur venu de l'espace avec pour seule arme un pack de bières. Toi, comme un con, ça te fait rire. « Yo le voleur, l'appart à côté, y'a un couple de riches, et ils sont en vacances dans les Caraïbes, alors profites en ! ». Tu vois un petit gars se dépêcher de courir jusqu'au salon, où tu te trouves, avec la Playstation d'allumée. Évidemment, il n'en manque pas une pour dire que c'est sa femme, et qu'elle est déjà prête quand il arrive —il s'écroule à côté de toi sur le canapé, dépose le pack de bières sur la petite table, en sors deux, dont une qu'il te donne, et te demande si tu ne pourrais pas prendre le “truc qui ouvre les bières” parce qu'il sait plus à quoi ça ressemble et qu'il a la flemme de se déplacer. Il a marché, en plus. Woah. T'es chez lui, ou il est chez toi ? Mais ça te fait rire. Tu poses ta bière sur la table, et te lèves. « Au fait, mec, j't'aime aussi, mais je ne suis pas encore prête, j'suis pas toute nue. Je vais te chercher le décapsuleur, et après j'me déshabille, c'est juré, chéri ! » me moquais-je. Avant de t'en aller vers la cuisine ouverte, tu récupères les deux bières pour les ouvrir là-bas, et pendant que tu t'en charges, il te dit qu'il doit à tout prix te raconter un truc qui lui est arrivé —c'est pas beau, apparemment. Et ça craint. Il finit par te dire que pendant que tu décapsules les bières, il fait chauffer sa manette —sûrement va t'il lancer Fortnite. Alors, tu reviens vers lui, poses vos deux bières, et regardes la manette. « C'est sur elle que t'as gravé le “C” ? », tu fronces des sourcils. Ah bah ouais, c'est bien celle-ci. « T'étais vraiment atteint ce jour-là. Bon, j't'écoute. On se fait une partie de Fortnite aussi ? Histoire que les manettes se refroidissent pas. Dis-tu d'un air moqueur en débutant une partie. Alors ? Qu'est-ce qui t'es arrivé, mon gars ? » le questionnes-tu.


@côme lesage
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MessageSujet: Re: toi, toi ma belle andalouse (lisandro) (#)   toi, toi ma belle andalouse (lisandro) EmptyLun 31 Déc - 18:09





Quand t’entres tel un voleur indiscret, l’propriétaire des lieux s’écrit qu’il y a un couple d’riches partis en vacances dans les Caraïbes et qu’leur appartement est totalement libre, sans surveillance. Tu ris, pourquoi pas, après tout, terminer ta vie voleur. « J’prends note, merci frère ! » Une fois assis sur ton – son – canapé, la manette quasiment, presque dans tes petites mains, les bouteilles d’bières sorties, tu demandes à ton pote d’sortir “l’truc qui ouvre les bières”. Un décapsuleur, soit. Lisandro, fidèle à lui-même, t’fait une blague, reprenant ta phrase précédente concernant la Playstation, ta femme. Tu exploses d’rire en l’entendant conjuguer tous ses adjectifs au féminin. Il t’jure d’se déshabiller une fois l’décapsuleur entre tes mains. Marchant dans ses pas, tu t’exclames en prenant une voix plus grave, caricature du bûcheron bientôt : « Ouais femme, t’vas souffrir c’soir, c’promis aussi. » Malgré tout, tu n’peux t’empêcher d’rire, d’rire, d’rire. Sans t’arrêter. T’attends quand même ta bière, manette en main, yeux déviant sur ton joli “C”, signifiant “Côme”. Dans l’game, on t’nomme CAL. Côme Arthur Lesage. On l’prononce SALE. Sinon c’pas drôle. Pendant qu’ton frère file à la cuisine préparer les bières, les décapsuler plutôt, tu lui avoues qu’tu dois lui raconter un truc, qu’ça craint tellement. Du sérieux, il s’attend à cent pour cent à ça. L’premier truc qu’tu fais pendant qu’il s’occupe, c’est d’lancer ton jeu vidéo favoris du moment. Fortnite. Cette daube à laquelle vous jouez constamment. T’as plus l’temps, faut qu’tu fasses des TOP 1. Trop important, ça va t’rapporter la gloire, limite. En vérité, ça n’change en rien quelque chose à ta vie. T’es l’même, mais avec un jeu vidéo sur lequel tu peux t’acharner sans pitié. Lisandro arrive, enfin, et t’rejoint sur l’canapé, manette en main à son tour, bières déposées sur la petite table. Il te demande si c’est sur la manette qu’tu tiens dans tes mains qu’t’as gravé l’C. Tu ris. « Ouais, putain, j’l’ai marqué. » Sacrée histoire. Il rajoute que t’étais vraiment “atteint” c’jour là. Tu ne peux qu’acquiescer. T’étais fou. L’alcool avait détruit ton cerveau. Ton pote te propose d’faire une partie de Fortnite en attendant, pendant qu’tu raconteras ton histoire merdique. T’acceptes. La partie débute, il t’demande alors c’que tu devais lui dire. « Mec, j’devais t’raconter qu’un truc au début, tu vois. Maintenant, j’dois t’dire deux trucs. tu ajoutes : deux histoires qui m’sont arrivées pour d’vrai. » Comme si cela pouvait paraître étrange qu’il t’arrive quelque chose “pour de vrai”. T’es encore un gosse, pour lui, certainement. Pourtant, c’est sûrement l’un des seuls gars qu’tu connais qui croit suffisamment en toi pour t’laisser rentrer chez lui sans frapper. De toute manière, pas mal de tes copains sont toujours, et pour l’éternité, en France. Des parisiens. Certains des marseillais, aussi étonnant qu’cela puisse paraître. T’étais du genre à aimer la chaleur de PACA, c’est pour ça. « Merde, j’sais plus quand ça m’est arrivé. J’crois, c’était hier. Ouais. Un truc comme ça. » Pendant qu’tu te souviens de la date de l’événement, vous avez le temps d’exploser vos adversaires, avec l’objectif d’gagner. « Frère, j’te jure, la vie d’ma mère, j’ai pas fait exprès. Genre, j’étais sobre en plus. » Étonnant. Pourtant, tu n’en viens toujours pas aux faits. C’est alors qu’après un cri poussé, rageux, à cause d’un ennemi qui s’est enfui, échappant à ta balle, tu décides d’balancer franchement : « j’ai bousillé ma caisse. Elle est en réparation. J’fais comment pour aller bosser, moi ? Bah c’est aussi pour ça qu’j’suis là. J’voulais savoir si tu pouvais m’emmener le matin et venir m’chercher le soir ? On bosse pas si loin qu’ça. La pharmacie est près d’l’hôpital du quartier des affaires. » Première histoire : racontée. Il était temps. Ça ne te tue pas d'ajouter les derniers mots suivants : « s’il te plaît, mec. » “I need you”, comme ils disent les anglo saxons. Puis, enfin, tu esquisses un sourire, fier d’toi. Alors qu’c’est franchement pas nécessaire. « Du coup j’suis venu à pieds ici. Quinze minutes, il m’a fallu. L’temps qu’tu daignes répondre, qu’je reçois ta réponse, que j’achète l’pack d’bières. J’avais la haine, encore, d’avoir plus d’voiture. Donc j’ai frappé une poubelle. Et elle est tombée. tu ris. L’proprio d’la poubelle, il m’a regardé tout le long avec des gros yeux. J’lui ai dit “Pardon Francis” après avoir ramassé sa poubelle. Trop bizarre les gens d’ton quartier. En plus j’sais pas s’il s’appelle Francis. » Tu arrives à attraper ta bière et à boire une gorgée, à la reposer sur la table, tes doigts jouant sans s’arrêter sur la manette. « Il a une tête de Francis. Crâne dégarni, gros yeux, sourcils relevés, petit bide, vieux débardeur qui pue la sueur, petit short gris dégueulasse, longues chaussettes et claquettes. Un vrai Francis, j’t’assure. » Tout ça pour dire qu’t’as besoin d’lui pour t’amener au boulot.


@lisandro salviati
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MessageSujet: Re: toi, toi ma belle andalouse (lisandro) (#)   toi, toi ma belle andalouse (lisandro) EmptyMer 2 Jan - 14:13





Tandis que le jeune voleur prenait note des précieuses informations que tu venais actuellement de lui offrir à propos de ce couple riche parti aux Caraïbes, vous enchaîniez avec une blague quelque peu stupide et puérile, mais qui vous fit rire. S'exclamant que sa femme était déjà prête (et faisant particulièrement référence à la Playstation que tu avais allumé), tu eus l'envie de lui faire une boutade, et par conséquent, de t'amuser vers ce chemin en lui avouant que tu ne t'étais pas encore déshabillé, tout en conjuguant tes mots au féminin —quoi de mieux que cela ? Il entra dans ton jeu, à son tour, et alla même jusqu'à imiter une voix de bûcheron, fort grave, pour te répondre que ce soir, tu vas souffrir, c'était promis. Tu éclatas de rire, comme lui. « Je tiens quand même à mes petites fesses ! », et tu avais raison. Tu y tenais, alors souffrir... eh bien, ce n'était pas ton délire, autant y aller en douceur, tu ne croyais pas ? Vous repreniez ensuite les cours de vos vies, notamment en tentant de décapsuler deux bières afin d'écouter attentivement l'histoire que souhaitait te raconter ton jeune ami, Côme. Lorsque tu reviens auprès de lui en déposant les canettes de bières, tu lui demandes si c'était bien cette manette, qu'il tenait en main, sur laquelle il avait gravé un “C” —il affirma que c'était bien celle-ci en riant. Tu lui proposais ensuite de te raconter tout en faisant une partie de Fortnite, votre jeu du moment. Il te confia qu'il ne devait, à la base, te dire qu'une seule chose, mais que maintenant, il avait deux histoires à te parler ; et elles étaient vraies. Tu ne t'en formalisas pas plus que cela, et l'écoutas. La première anecdote, il ne savait vraisemblablement plus quand ça s'était passé, sûrement hier disait-il ; mais il enchaînait. Il était sobre, il te le jurait. « Quoi ? T'as buté quelqu'un ? Et tu viens ici pour faire de moi ton complice ? Je ne veux pas aller en taule ! » te moquais-tu. En fin de compte, Côme n'avait tué personne. Au contraire, il avait plutôt explosé sa voiture puisqu'apparemment, elle était en réparation —mais comment faisait-il maintenant pour aller travailler ? La question lui paraissait importante, et tu sus d'avance ce qui allait te tomber dessus. Il s'était donc demandé si tu ne pouvais pas l'emmener le matin, et venir le chercher le soir. Après tout, vos lieux de travail n'étaient pas si éloignés que cela l'un de l'autre. Il n'avait pas tort, aussi, tu souris à cette espèce de petit frère incapable de prendre soin de quoique ce soit qui serait matériel. « Tu peux compter sur moi, gamin. Ta voiture est explosée comment ? Enfin, qu'est-ce qu'il s'est passé pour que tu la bousilles à ce point ? » à savoir que tu le questionnais à ce propos, mais la mécanique et toi, ça faisait clairement deux. Il te raconta la deuxième anecdote —il était venu à pieds ici (quel courage !), et avait donc marché pendant quinze minutes (le temps que tu lui répondes, qu'il reçoive ta réponse, et qu'il achète le pack de bières). Haineux d'avoir bousillé sa bagnole, il avait frappé un bon coup dans une poubelle, la faisant en toute logique tomber. Eh bien, oui, c'était malheureux, mais c'était comme ça. Alors le propriétaire de la poubelle l'avait regardé avec de gros yeux, et il lui avait dit “Pardon Francis” après avoir ramassé sa poubelle (bon gars). Tu ne pus t'empêcher d'éclater de rire lorsqu'il t'avoua qu'il ne savait même pas si ce gars s'appelait Francis. Tu bus une gorgée, tout en tuant quelques adversaires sur le jeu —il te disait qu'il avait une tête de Francis, avec un crâne dégarni, des gros yeux, des sourcils relevés, un petit ventre (petit bide plus précisément), un vieux débardeur qui puait la sueur, et un petit short dégueulasse, des longues chaussettes et des claquettes —un vrai Francis, en effet ! Tu fronças les sourcils alors, et lui demandas : « Pas plus grand que trois pommes, ce mec, c'est bien ça ? Tu pensais savoir qui il était. Ouais, je pense que tu as shooté la poubelle de Gregory Mortmain. Un gars sympa, je trouve, mais il porte toujours des débardeurs et des shorts. Un peu space le gars, tu vois le genre ? Sauf qu'il fait des crêpes formidables, et sa femme est vraiment adorable ! Elle picole comme un trou, par contre. Je n'avais jamais vu une pareille descente chez une vieille. Oui, parce qu'elle a douze ans de plus que lui, déjà qu'il est pas jeune, le Mortmain ! » éclatais-tu de rire. Mystère résolu : ce n'était pas Francis, mais Gregory. A quelques lettres près, comme on pouvait le dire !


@côme lesage
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