contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.
vous voulez vivre à center bay ? sans trop payer ? cette colocation devrait vous ravir !
jouer de la musique est votre passion, venez rejoindre ce groupe de musique.
Sujet: (dylaxel) + let me tempt you (#) Mar 26 Fév - 17:58
Let me tempt you with the evils
Dylan & Axel
Tu ne sais pas vraiment pourquoi tu t’es rendu ici aujourd’hui en face de cette porte. Tu ne sais pas vraiment pourquoi, après toutes ses années, c’est aujourd’hui que tu décides de te pointer le bout du nez. Ce n’est quand même pas la première fois que tu t’attires des emmerdes et jamais tu ne t’étais rendu jusqu’ici. Jamais tu n’avais gravis ces marches qui te séparaient de ton objet de convoitise. Pourtant, t’étais bien là, planté devant la porte de Dylan qui supportait la totalité de ton poids. Tu étais un peu sonné pour tout dire. C’était probablement pour ça que tu étais ici; tu n’avais plus toute ta tête. Tu faisais n’importe quoi sans penser aux conséquences. Tu avais un vieux linge imbibé de sang bien appuyé contre ton front, juste au dessus de l'oeil gauche pour être bien précis. Tu n'avais pas vraiment pris le temps de bien observer la plaie en détails, mais à la quantité de sang qui s'en était écoulé, il n'étais pas difficile de deviner que tu aurais probablement besoin de point. Bref, tu cogna finalement sur cette porte pendant ce qui te paru une éternité. À une pareille heure, elle devait probablement dormir -chose qui ne te dérangerait nullement-, Voilà pourquoi elle mettait autant de temps à répondre. Toi, t’as plutôt crû qu’elle ne voulait simplement pas te répondre, ce qui pourrait être totalement comprenable. Tu as eu envie de lui gueuler de t'ouvrir la porte pendant une fraction de seconde, mais non, Dylan finit par ouvrir la porte avant que tu attires l'attention de tout le voisinage. Tu profita de l'instant de surprise pour entrer -de force- chez elle. Tu tituba jusqu'à la cuisine où tu t'écrasa contre une chaise. Tu avais carrément l'air d'un mec qui a un peu trop bu, mais non, tu étais juste sonné par ce vilain coup que tu avais reçu sur la tête.... bon, peut-être que tu avais un peu bu aussi. Disons que c'était peut-être un mélange des deux. Tu lèves difficilement la tête vers elle qui semble encore sous le choc de te voir ici chez elle, ce qui est tout-à-fait normal. Elle ne sait pas que tu vis dans la même ville qu'elle depuis des années. Si ça se trouve, elle ne savait même pas que tu étais sortie de taule. « Tu vas rester planté là ou tu vas m'aider ? » que tu lui balance sèchement comme si c'était normale que tu sois ici, comme s'il ne s'était pas écoulé dix ans depuis votre dernier face à face.
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Sujet: Re: (dylaxel) + let me tempt you (#) Mar 26 Fév - 18:37
Plongée dans le noir, allongée sur son lit, Dylan fixe le plafond incapable de trouver le sommeil depuis presque une heure. Elle tourne, se retourne, change de position, remet correctement son coussin, rien à faire, le sommeil à décider de faire grève ce soir. Elle aurait bien besoin d'un verre si elle n'était pas une ancienne alcoolique mais après sa presque rechute l'autre soir, elle s'est jurée de faire attention et de ne plus se faire tenter par ce poison. Elle arrive à reprendre petit à petit le contrôle de sa vie, du moins la partie qui concerne ses vieux démons, même si la dépression la guette sévèrement. Elle a carrément arrêter de bosser depuis quelques semaines. Elle avait d'abord réduit le nombre de ses cours et finalement elle a fermé le dojo, elle a besoin de repos, de temps pour elle et elle ne se sentait plus de donner des cours en ce moment. Elle ignore l'heure qu'il est quand, enfin, ses paupières commencent à se faire lourde. Elle doit somnoler depuis quelques minutes, à peine, quand on tambourine à sa porte. Elle ne relève pas tout de suite le bruit, pensant qu'il s'agit de son imagination ou d'un début de rêve après tout elle est entrain de s'endormir mais ça persiste et elle doit bien se rendre à l'évidence qu'il ne s'agit pas d'un rêve. Ses yeux se rouvre bien malgré elle tandis qu'elle sort de son lit, les yeux à moitié fermés, éblouie par la lumière qu'elle allume dans la pièce. Jambe nues, un simple débardeur et une culotte sur le dos, elle attrape son gilet pour s'enrouler dedans histoire de se couvrir. Sa main attrape la poignée de la porte d'entrée et Dylan se fige instantanément. Ça a beau faire presque dix ans qu'elle ne l'a pas vu, elle le reconnaîtrait entre milles. Un tourbillon de sentiments contradictoires s'empare d'elle tandis qu'elle le fixe sans un mot mais elle n'a pas le temps de dire ou de faire quoique se soit qu'il s'engouffre à l'intérieur de chez elle. Elle ne sait pas comment réagir, elle n'arrive pas vraiment à réaliser qu'Axel vient de pénétrer dans son appartement. C'est sa voix qui la ramène à la réalité tandis qu'elle relève la tête pour planter son regard dans le sien. Elle voit qu'il saigne, il est dans un sale état mais elle croise les bras en s'avançant vers lui. Hors de question de laisser paraître quoique se soit. "Qu'est ce que tu fais là? Tu devrais pas plutôt être à l'hôpital ?" ou en prison? Mais ça elle se garde bien de le rajouter même si ça la démange. Elle lui parle sans sourciller, gardant son sang froid. Elle se doute que si il ne s'est pas rendu à l'hôpital c'est certainement parce qu'il ne peut pas prendre ce risque. "Dans quoi tu t'es encore fourré? Toujours le même hein.." murmure t-elle. Elle lâche un petit rire sarcastique tandis qu'elle lui tourne le dos pour attraper une serviette propre. Elle hésite quelques secondes à s'approcher de lui, non pas qu'il l'effraie, plus maintenant mais il a toujours eu ce pouvoir sur elle et elle a eu énormément de mal à s'en détacher. Ils s’engueuleront plus tard, pour le moment elle ne peut pas le laisser se vider de son sang sur sa chaise de salon. Elle vient s’agenouiller devant lui et tend le bras pour soulever le linge qu'il tient sur sa plait histoire de voir à quoi ça ressemble. "Tu t'es pas loupé, faut recoudre"
(dylaxel) + let me tempt you
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Tu ne sais pas vraiment pourquoi tu t’es rendu ici aujourd’hui en face de cette porte. Tu ne sais pas vraiment pourquoi, après toutes ses années, c’est aujourd’hui que tu décides de te pointer le bout du nez. Ce n’est quand même pas la première fois que tu t’attires des emmerdes et jamais tu ne t’étais rendu jusqu’ici. Jamais tu n’avais gravis ces marches qui te séparaient de ton objet de convoitise. Pourtant, t’étais bien là, planté devant la porte de Dylan qui supportait la totalité de ton poids. Tu étais un peu sonné pour tout dire. C’était probablement pour ça que tu étais ici; tu n’avais plus toute ta tête. Tu faisais n’importe quoi sans penser aux conséquences. Tu avais un vieux linge imbibé de sang bien appuyé contre ton front, juste au dessus de l'oeil gauche pour être bien précis. Tu n'avais pas vraiment pris le temps de bien observer la plaie en détails, mais à la quantité de sang qui s'en était écoulé, il n'étais pas difficile de deviner que tu aurais probablement besoin de point. Bref, tu cogna finalement sur cette porte pendant ce qui te paru une éternité. À une pareille heure, elle devait probablement dormir -chose qui ne te dérangerait nullement-, Voilà pourquoi elle mettait autant de temps à répondre. Toi, t’as plutôt crû qu’elle ne voulait simplement pas te répondre, ce qui pourrait être totalement comprenable. Tu as eu envie de lui gueuler de t'ouvrir la porte pendant une fraction de seconde, mais non, Dylan finit par ouvrir la porte avant que tu attires l'attention de tout le voisinage. Tu profita de l'instant de surprise pour entrer -de force- chez elle. Tu tituba jusqu'à la cuisine où tu t'écrasa contre une chaise. Tu avais carrément l'air d'un mec qui a un peu trop bu, mais non, tu étais juste sonné par ce vilain coup que tu avais reçu sur la tête.... bon, peut-être que tu avais un peu bu aussi. Disons que c'était peut-être un mélange des deux. Tu lèves difficilement la tête vers elle qui semble encore sous le choc de te voir ici chez elle, ce qui est tout-à-fait normal. Elle ne sait pas que tu vis dans la même ville qu'elle depuis des années. Si ça se trouve, elle ne savait même pas que tu étais sortie de taule. « Tu vas rester planté là ou tu vas m'aider ? » que tu lui balance sèchement comme si c'était normale que tu sois ici, comme s'il ne s'était pas écoulé dix ans depuis votre dernier face à face.
Plongée dans le noir, allongée sur son lit, Dylan fixe le plafond incapable de trouver le sommeil depuis presque une heure. Elle tourne, se retourne, change de position, remet correctement son coussin, rien à faire, le sommeil à décider de faire grève ce soir. Elle aurait bien besoin d'un verre si elle n'était pas une ancienne alcoolique mais après sa presque rechute l'autre soir, elle s'est jurée de faire attention et de ne plus se faire tenter par ce poison. Elle arrive à reprendre petit à petit le contrôle de sa vie, du moins la partie qui concerne ses vieux démons, même si la dépression la guette sévèrement. Elle a carrément arrêter de bosser depuis quelques semaines. Elle avait d'abord réduit le nombre de ses cours et finalement elle a fermé le dojo, elle a besoin de repos, de temps pour elle et elle ne se sentait plus de donner des cours en ce moment. Elle ignore l'heure qu'il est quand, enfin, ses paupières commencent à se faire lourde. Elle doit somnoler depuis quelques minutes, à peine, quand on tambourine à sa porte. Elle ne relève pas tout de suite le bruit, pensant qu'il s'agit de son imagination ou d'un début de rêve après tout elle est entrain de s'endormir mais ça persiste et elle doit bien se rendre à l'évidence qu'il ne s'agit pas d'un rêve. Ses yeux se rouvre bien malgré elle tandis qu'elle sort de son lit, les yeux à moitié fermés, éblouie par la lumière qu'elle allume dans la pièce. Jambe nues, un simple débardeur et une culotte sur le dos, elle attrape son gilet pour s'enrouler dedans histoire de se couvrir. Sa main attrape la poignée de la porte d'entrée et Dylan se fige instantanément. Ça a beau faire presque dix ans qu'elle ne l'a pas vu, elle le reconnaîtrait entre milles. Un tourbillon de sentiments contradictoires s'empare d'elle tandis qu'elle le fixe sans un mot mais elle n'a pas le temps de dire ou de faire quoique se soit qu'il s'engouffre à l'intérieur de chez elle. Elle ne sait pas comment réagir, elle n'arrive pas vraiment à réaliser qu'Axel vient de pénétrer dans son appartement. C'est sa voix qui la ramène à la réalité tandis qu'elle relève la tête pour planter son regard dans le sien. Elle voit qu'il saigne, il est dans un sale état mais elle croise les bras en s'avançant vers lui. Hors de question de laisser paraître quoique se soit. "Qu'est ce que tu fais là? Tu devrais pas plutôt être à l'hôpital ?" ou en prison? Mais ça elle se garde bien de le rajouter même si ça la démange. Elle lui parle sans sourciller, gardant son sang froid. Elle se doute que si il ne s'est pas rendu à l'hôpital c'est certainement parce qu'il ne peut pas prendre ce risque. "Dans quoi tu t'es encore fourré? Toujours le même hein.." murmure t-elle. Elle lâche un petit rire sarcastique tandis qu'elle lui tourne le dos pour attraper une serviette propre. Elle hésite quelques secondes à s'approcher de lui, non pas qu'il l'effraie, plus maintenant mais il a toujours eu ce pouvoir sur elle et elle a eu énormément de mal à s'en détacher. Ils s’engueuleront plus tard, pour le moment elle ne peut pas le laisser se vider de son sang sur sa chaise de salon. Elle vient s’agenouiller devant lui et tend le bras pour soulever le linge qu'il tient sur sa plait histoire de voir à quoi ça ressemble. "Tu t'es pas loupé, faut recoudre"