Peyton Matthews ▲ Je peux pas vivre sans téléphone ! C’est comme vivre sans cerveau ou sans chaussures !

Peyton Matthews

Le cœur d'une femme est un océan de secrets.

les informations en vrac

la partie anecdotes ○ J’adore la photographie c’est pour ça que j’ai choisi d’en faire mon métier ~ La danse fait aussi partie d’une de mes grandes passions ~ Je fais assez régulièrement du sport pour garder la forme ~ Je suis allergique au kiwi et aux poils de chat, de toute façon je ne supporte pas les animaux ~ J’aime beaucoup le café et en bois plusieurs fois dans la journée ~ Comme la plupart des filles, j’adore tout ce qui est mode, maquillage, prendre soin de moi. Enfin maintenant je peux le faire beaucoup moins étant donné que je suis mère, ma fille passe avant tout ~ J’aime regarder des films d’amour en mangeant des sucreries, des pop-corn ou de la glace tout simplement ~ Ma vie en Australie, je n'en parle pas. C'est comme si j'avais tout simplement tiré un trait dessus ~ Avec l'âge, je suis devenue assez maniaque. A passer derrière les autres pour ranger les affaires ~ Je reste très rarement sans rien faire, j'ai toujours besoin d'être en mouvement ~ Je ne connais pas mon père, et je ne voudrais pas qu'il arrive la même chose à ma fille ~ Je suis très protectrice avec sa fille, probablement parce que déjà ma mère l'étais avec moi et comme elle ne connait pas encore son père, j'essaie peut-être bien de remplir ce rôle également.

les indiscrétions sur le joueur

 

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<pris>○ ashley benson</pris> peyton matthews

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l'histoire de ma vie

Le cœur d'une femme est un océan de secrets.

En effet, je suis née dans un petit bar de rue un jour d’été, le premier février de l'année mille neuf cent quatre vingt onze. Les raisons ? Ma mère était une prostituée, pas par choix, mais elle en était obligée pour payer le loyer, elle se retrouvait dans le bar qu’elle fréquentait souvent pour se trouver des clients potentiels et c’est prématurément qu’elle accoucha. Oui, elle exerçait encore étant enceinte, pas par choix mais parce qu'elle en était bien obligée pour vivre. Comme quoi, elle était vraiment dans la misère. Je ne connais pas mon père. Un Américain. C’est tout ce que je sais. Au fait, ma mère est Australienne. A l’école primaire, je me faisais chambrer sur le fait que je n'ai pas de père. Je me faisais jeter du sable de bac à sable dans les yeux ou encore on m’enfermait dans les toilettes. Est-ce que j'avais choisi de ne pas avoir de père ? C’est comme ça que nous sommes moi et ma mère retrouvées à Island Bay. Pour oublier toutes ses innombrables tortures que je subissais à longueur de journée et finalement, déménager fut la solution. J'avais de bonnes notes, des amis, etc.. Nous avons même réussi à nous enrichir un peu car ma mère avait trouvé un autre travail, un travail de jour et sont arrivés plus ou moins à s’en sortir.

Même s'il me manquait une autorité masculine, avec ma mère j'étais très heureuse. J'ai été pompom girl pendant mes années lycée, ma mère était très fière de moi. Je garde en moi mon passé, ce n'est pas quelque chose que je vais raconter à tout le monde, juste mes amis les plus proches sont au courant. J'ai fait la connaissance d'une fille avec qui je ne m'entendais pas du tout au début, j'avais même été amené à me battre avec cette fille, mais finalement tout ça se transforma en une belle amitié forte et fusionnelle avec le temps. C'est justement grâce à cette fille que j'ai fait la connaissance de celui qui est devenu mon petit ami assez rapidement. Nous avons donc commencé à entamer une relation. Tout changea le jour où il m'avait demandé en mariage. Nous trouvant encore trop jeune, j'avais refusé sa demande même si pourtant je l'aimais... Nous avons donc pris nos distances par la suite, quelque chose était cassé entre nous. Je n'avais même pas eu le temps de lui annoncer ma grossesse qu'un matin, j'avais trouvé un mot me disant simplement qu'il était parti.

Depuis qu'il est parti, je n'en ai plus aucune nouvelle. Pourtant je l'ai revu à Island Bay récemment. Et il ne sait toujours pas qu'il est père d'une petite fille de cinq ans maintenant. Même si ça me perturbe assez (forcément) je préfère me concentrer sur ma carrière de photographe moi qui adore la photo depuis très longtemps et m'occuper bien évidemment de ma petite princesse.