Ulysse - Trois maux sur terre : La Mer, le Feu et la Femme

Ulysse Walter

petite citation pour faire joli

les informations en vrac

+ J’ai de la chance d’être né dans une famille aisée. J’ai grandis au milieu de l’argent, cela n’a pourtant pas fait de moi une pince ou un  grand entrepreneur.
+Ma vie de famille est compliquée. Une mère morte, un frère que j’ai longtemps détesté, une petite amie qui m’a plaqué, une enfant et une femme sur qui je peux compter actuellement et qui me fait perdre pied.
+ Depuis mes cinq ans je porte une cicatrice au poignet, souvenir d’une cascade mal contrôlée.
+Je commence ma journée par réveiller ma fille qui à bien souvent tendance à oublier son réveil.
+ Je n'aime pas le chocolat ni les bonbons : j'en ai trop mangé étant petit.
+ Je suis déjà sorti avec deux maîtresses de ma fille, mais pour ma défense, c'était dans une période de ma vie assez troublée.
+ Je suis un fan de sport, et particulièrement de football. Dans ma famille c'est un peu une religion. J'ai des origines française du côté de ma mère et chez mes grands-parents, le football, c'est sacré !
+ Je suis un vrai cordon bleu. Du moins j'ai appris à le devenir. A la mort de ma mère, je n'avais plus personne pour faire des bons repas à ma fille. J'ai dû m'y mettre. Je tiens à ce qu'elle ai une alimentation variée. C'est réussi, dès que je le peux, je fais à manger.
+ Je n'aime pas l'alcool et l'alcool ne m'aime pas. Vous allez me dire : mais quand tu étais ado tu as fait comment ? J'ai fais comme tout ceux qui ne boivent pas ! Il existe tellement d'autres boissons délicieuses et bien meilleures pour la santé. Mais d'après la psy avec laquelle j'ai eu une relation familiale, cela vient forcément d'un traumastisme d'enfant .... je cherche, je cherche. Bon j'exagère, à une époque j'ai fais comme tout le monde : j'ai bu. Mais plus maintenant.
+ J'aime faire du sport pour me détendre. Musculation, vélo, course tout y passe. J'entraîne ma fille dedans, histoire qu'elle bouge.
+ J'ai toujours voulu me lancer dans une association. Après avoir longtemps cherché, j'ai décidé de me lancer et de donner à l'UNICEF. A sa mort, ma mère a légué une belle somme d'argent. Je ne savais que faire de tout cela, alors c'était naturel pour moi de donner. Je vous l'ai dit, riche oui, égoïste non.
+ Je suis un sérivore. Quand ma fille me plante le soir, j'ai toujours quelque chose à regarder, sinon  je vais passer ma soirée à l'attendre, à l'appeler dix fois et à dormir uniquement quand elle sera rentrée. Regarder les séries me change les idées.
+Je suis un artiste dans l'âme. Certes, je n'y connais rien en peinture. Mais j'adore sortir dans les musées, flâner chez les antiquaires à la recherche d'un trésor perdu.
+ Je porte des lunettes, mais en réalité je n'aime pas les mettre, je les garde chez moi.
+ Je tombe rarement malade : je ne suis jamais allé à l'hôpital, je ne me suis jamais rien cassé (à part le poignet). Depuis mes 6 ans, je n'ai jamais eu un bobo. Oui, je ne suis pas un casse-cou.
+ Petit j'avais un chien : il est mort. Après j'ai eu un chat : il s'est sauvé. J'ai essayé le poisson rouge ...il a dû se noyer un truc dans le genre ... je ne comprends pas comment il est mort en deux jours ... deux jours !!! Rassurez-vous, je m'occupe très bien de ma fille.
+ Je suis très protecteur, notamment envers ma fille. Vous n'imaginez pas à quel point je l'aime. Elle est ma vie et jamais je ne laisserai quelqu'un s'approcher trop près d'elle. Des petits amis ? Je surveille !
+ Je déteste rarement les gens, j'essaie de les comprendre. En revanche, elle, je ne suis pas prêt d'accepter ce qu'elle a fait. Je la desteste profondément, j'ai même eu des envies de meurtre quand elle nous a quitté. Evidemment, j'étais jeune. 20 ans après je ne veux plus la tuer, mais je ne veux pas non plus la recroiser dans la rue. De toute manière, elle doit être loin à l'étranger maintenant.
+ J'adore voyager. Dans mon enfance j'ai vu du pays comme on dit. Rome, New York, Tokyo, Paris, Bordeaux, Edimbourg sont les principales destinations qui m'ont marquées.
+ Je ne rate pas une seule information. Les infos tournent en boucle à mon travail, il faut dire, en tant que journaliste, je me dois d'être au top.

les indiscrétions sur le joueur

Code:

<pris>henry cavill ›</pris> ulysse walter

   

l'histoire de ma vie

Un homme n'est jamais si grand que lorsqu'il est à genoux pour aider un enfant.

☼ Mettre au monde, c'est prolonger l'œuvre de l'amour et le sublimer.

Il est minuit quinze quand Elizabeth Walter, accompagnée de George Walter, pousse pour faire sortir son premier enfant : moi. Ulysse Peter Walter en hommage à mon grand-père paternel. 3kl500 de bonheur. Une joie infinie pour des parents qui avaient mis du temps à avoir un enfant.
Je vous passe tous les détails de mon enfance. J’ai vécu dans le sud de la Nouvelle-Zélande pendant près de 10 ans. Puis, nous avons déménagé dans à Island Bay quand mon père à enfin obtenu le poste de ses rêves. Ma mère est architecte, mon père businessman. Vous le devinez, je n’ai jamais manqué de rien dans ma vie, mes parents ayant l’argent nécessaire. J’ai beaucoup voyagé durant mon enfance : Amérique du Sud, Europe, Australie, j’ai vu du pays ! C’est d’ailleurs pendant un voyage en Europe que mes parents ont eu cette riche idée de faire un deuxième enfant. STOP. Hé ho ! C’est moi le fils unique, hors de question d’avoir un autre enfant pour prendre ma place. Malheureusement, quand on a six ans, on ne choisit pas encore ce genre de choses. James est arrivé. James … quel nom à la con, tellement basic … Ulysse ça claque, James franchement ….mes parents auraient pu trouver mieux, mais cela signifiait que quelque part, je restais l’être essentiel de cette famille, non ? Bref, à six ans je détestais mon frère.
Pourtant, j’ai grandis avec lui et je dois avouer qu’il n’était pas si pénible que je le pensais, en grandissant, nous arrivions même à trouver des points communs.
Adolescents, nous n’étions pas facile, mon frère et moi. Moi j’étais du genre volage, assez indiscipliné à l’école. James lui c’était l’inverse. Bon élève voulant suivre les traces de papa et travailler dans la finance. Moi je préférais les filles et les bars. Aujourd’hui, c’est une période que je regrette lourdement, très lourdement ….

☼ La difficulté de la paternité contemporaine tient notamment au fait qu'il faut improviser.

16 ans, l’âge bête. Et puis il y a elle, Sarah. Sarah, une belle italienne (enfin il paraît) que toute l’université s’arrache. Sarah, la belle brune aux yeux verts. Sarah, ma nana, belle rime hein ? Sarah a été ma petite amie pendant 1 ans. Les choses ont été assez vite entre nous en réalité. Elle venait d’arriver à Island bay en Septembre, en octobre nous sortions ensemble. Mon premier amour. Je pensais que tout aller bien se passer, sans vraiment me faire d’illusion, je savais bien qu’un jour au l’autre nous serions plus ensemble, je ne comptais pas passer ma vie avec elle.  Seulement voilà, neuf mois après, un évènement nous rapprochait, un évènement qui nous a lié pour la vie, qu’on le veuille ou non. « It’s a girl » m’a crié la sage-femme. « Congratulation ». STOP. Congratulation de rien du tout, j’ai jamais demandé un bébé moi, pas à 17 ans. Je vous passe les engueulades de mes parents, les moqueries de mes amis ….je devenais père à 16 ans. Si seulement l’alcool était en jeu, même pas ! Le problème ne s’est pas arrêté là. 6 mois après la naissance de ma fille, Sarah a décidé de partir vivre à l’autre bout de l’Amérique. Partir, s’enfuir lâchement, abandonnant un bébé de six mois, me refilant ma fille comme si ce n’était pas la sienne, se désistant de toutes responsabilités parentales. Elle est partie avec comme adieu, une simple lettre s’excusant et précisant que « c’était la seule chose à faire ». J’ai crié, hurlé : ma vie était fichue.

☼  La joie est en tout, il suffit de savoir l’extraire.

Juin 2016, Island Bay. Comme tous les dimanches, c’est repas de famille. Repas de famille qui réunit mon père, mon frère, et ma fille. Ma mère est décédée il y a deux ans dans un accident d’autobus. Comme tous les dimanches, on profite de ce que la vie nous donne encore. Mon père et moi on parle d’actualité. Mes parents avaient toujours eu à cœur de me soutenir dans mes projets, même avec un enfant à élever. A vrai dire, ils m’ont donné un bon coup de pouce dans l’éducation de ma fille. Parlons-en de cette fille. 20 ans déjà. Nous sommes très proches et je remercie finalement Sarah d’être partie. Si nous étions restés tous les trois, je n’aurais pas eu la même relation avec elle. Qu’est-ce que j’aime cet enfant. Je donnerai tout pour ma fille. J’entends mon frère lui parler de garçon. Je n’aime pas entendre ça, surtout que ma fille est belle, trop belle à mon goût ! Je sais qu’elle a simplement hérité de la beauté de son père, mais qu’un garçon essaie de s’approcher d’elle, et je n’hésiterai pas à sortir les griffes. C’est un dimanche de juin, où le soleil brille sur Island Bay …. Il ne manque qu'un élèment à ce portrait de famille : une femme. Celle qui me fait sourire bêtement en ce moment, ou bien le retour d'une ancienne petite amie, débarquée de nulle part pour demander à voir sa fille ? L'avenir nous le dira ...

bravo, tu es validé(e)

› qu'est-ce qu'il est beau quand même henry j'ai rigolé à plusieurs moments en lisant tes informations et ton histoire la mort du poisson est pas mal ! il y a juste un petit détail qu'il faudrait changer, tu parles de londres dans ta dernière partie, j'ai supposé que c'était un petit oubli et comme ce n'est pas catastrophique, je te valide avant le changement de ce détail

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