Les pots de yaourts sont comme les masques à la banane, on a beau les mettre sur la peau, il faut toujours qu'on les mange....

   

Yung Sook Baek

Le bonheur peut venir à ta porte, tu dois juste le garder.

   
   

les informations en vrac

  Elle est allergique au concombre. › Elle cours tous les jours pour avoir la forme. › Elle lit un livre par semaine. › Elle va à un club de cuisine. › Elle aime la mode, elle s'achète pas mal de chose. Comme elle donne des vêtements à la Croix Rouge. › Elle est très cultivée. › Elle préfère parler aux morts plutôt qu'aux vivants. › Elle aime les animaux. › Elle parle le japonais, l'anglais, et le coréen. › Elle est d'une nature douce et gentille. › Elle apprécie faire ses enquêtes correctement du à son côté perfectionniste. › Elle se fait une journée série télé par semaine. › Elle n'aime pas lorsque les gens se moquent d'elle. › Elle est surdouée. › Elle a fini première de sa promotion.  › Elle est parfois gourmande. › Elle aime jardiner. › Elle vient d'une famille riche. › Elle apprécie apprendre des nouvelles choses. › Elle est parfois asociale. Mais il ne faut pas lui en vouloir, son travail passe avant tout le reste. › Elle aime bien faire les musées. › Elle trouve que parfois il faut être respectueux. › Elle est toujours ou presque de bonne humeur. › Sa famille a voulu la marier de force. › Elle a réussi à y échapper en étudiant un maximum.

   

les indiscrétions sur le joueur

   
   

Code:

<pris>Park So Ra›</pris> Yung Sook Baek

       

   

l'histoire de ma vie

Le chemin de toute une vie commence toujours par un petit pas.

    Je suis née il y a trente ans à Tokyo en pleine nuit. Ma mère japonaise à rencontrer mon père coréen durant leurs études à l’université. Je suis née dans une famille, mais enfant unique, je fus éduqué comme il se doit. Dès mon plus jeune âge, je fus poussé dans les études et stimulée par mes parents qui voulaient que je sois en haut de la liste.

Je me souviens du jour où j’ai su marcher, je faisais les pas entre ma mère et moi. Elle riait de tout son cœur. Elle a toujours su faire les choses comme il le fallait. Elle m’encourage, elle m’appelle, je suis contente, mais, je ne sais pas qu’elle recule encore et encore dans la pièce pour rallonger la longueur des pas. Je me rends compte que mes parents tiennent à toi. Ma mère travaille, elle est musicienne, elle le fait de la maison. Mon père lui a autorisé ce métier. Voyez-vous en Asie, la femme ne travaille pas à la maison, mais vu qu’il est parfois plus difficile pour les maris d’avoir plus d’argent qu’ils commencent lentement à changer d’avis bien que cela soit une fondation de notre histoire sociale.

Mon père lui est un homme d’affaire. Il a monté jeune sa société. Je ne sais pas trop de quoi il s’agit. Il m’a juste dit qu’il travaille avec la police. Je suis jeune, il ne veut pas que je fasse des cauchemars sans doute. En fait, mon père a lancé une entreprise qui nettoie les scènes de crimes. Il n’y en a pas beaucoup à Tokyo. Donc, il se dit qu’il peut en profiter pour se lancer. Lorsqu’il le fait, je viens tout juste de naître. Je me rends compte plus tard, que je ne verrais pas forcément mon père. Enfin, je vais aussi comprendre une chose : la médecine et aussi l’aspect de la scène de crime va être une passion dévorante !

Je grandis tranquillement, je vais à l’école. Très tôt, on me détecte un cerveau surdoué. Je fais alors la fierté de mes parents. Ils sont contents d’avoir une fille comme moi. Ils essaient d’avoir un autre enfant, mais cela ne fonctionne pas, ils décident d’arrêter et de faire déjà une bonne éducation à ma petite personne. Je vais à l’école primaire dans une école privée afin de lancer un peu plus mes capacités intellectuelles.

C’est à ce moment-là que j’ai commencé le piano, le surf et la lecture. Ma mère m’emmenait à une bibliothèque privée pour enfants. Je fais la rencontre de personnes assez gentilles. Je découvre la lecture pour mon plus grand plaisir. Je demande à y aller le plus souvent possible à ma mère pour qu’on y aille après l’école. Elle accepte, elle sait que cela me fait du bien d’y aller. Elle préfère me voit comme ça. Je ne suis pas une enfant capricieuse, je ne le suis pas à l’âge adulte. Je préfère ne pas quémander non plus. Je suis comme ça, c’est tout, je vois les choses sous un angle différents : débrouilles toi pour avoir ce que tu veux, mais ne quémande pas du tout.

Le collège est une partie de ma vie, je continue dans cette école privée afin de poursuivre mes études. Je fais la rencontre encore une fois de personnes étrangères. Ce qui m’a fait apprendre l’anglais en autre, mais le français par exemple aussi. Je fais aussi la découverte de la cuisine, j’aime bien apprendre cette chose. J’apprécie avant toute chose faire des bons petits plats. Je me dis que cela va être une bonne chose pour moi.
   

   

l'histoire de ma vie

Il y a toujours une fin heureuse aux contes pour enfants.

    Cet été-là, ma mère partait pour une tournée mondiale. Je ne pouvais pas rester seule à la maison. Je me retrouve alors avec mon père. Il ne peut pas forcément m’aider, mais je pense qu’il va sans doute s’occuper de moi durant cet été. Je vais faire la rencontre des scènes de crimes. Mon père a alors un problème d’effectifs, il lui faut alors du personnels. Je vais sur la scène de crime avec lui.

« Papa, il s’est passé quoi ici ? » Mon père sort le matériel pour que l’on nettoie tout ça. Je l’écoute me dire : « Il s’agit d’une dame qui a tué son mari. » On ne doit pas prendre les indices, mais bon, il me montre comment faire, il m’explique un tas de choses.

C’est à ce moment-là que j’apprends qu’il aurait dû travailler dans la police pour prendre les indices mais qu’ils n’ont pas voulu le prendre par manque de places. J’apprends durant cet été à visualiser les scènes. A comprendre comment une telle chose peut se passer. Il y a toujours des petits détails que l’on peut trouver si on analyse tout comme il le faut.

Le lycée vient rapidement, j’ai pour la première fois des cours de sciences plus adaptés. Je commence les cours sur le corps humain. J’ai comme la sensation que cela va devenir une autre de mes passions. Le professeur avait le don de me captiver. Je plongeais dans les livres une fois que je rentrais à la maison. Mon père me poussait aussi à chercher des informations dedans. J’eus mon diplôme en avance. Cela fut une grande joie pour moi, mais arrivée à l’université, cela ne fut pas forcément facile pour moi.

Le fait d’être jeune par rapport aux autres ne m’a pas vraiment aidée. Mais bon, je me dis que tout peut s’arranger. Je reste optimiste. Je commence médecine, je me dis que je peux être docteur et soigner les gens. Sauf qu’avec les vivants cela ne passe pas vraiment… Je passe la plus clair de mon temps à la morgue… Je leurs parle, je regarde ce qui leurs aient arrivés. Seulement, personne ne veut faire ce métier. J’en parle à mon père, il me sourit, il est content de m’avoir transmis un tel virus. Ma mère quant à elle n’est pas très contente, mais bon, elle se dit que cela sera un métier parfait pour moi.

Je change alors de spécialité l’année d’après pour pouvoir réussir dans ce métier. J’ai aussi mon diplôme en avance. Cela ne me donne pas vraiment une bonne posture vu la jalousie des gens. Mais bon, je me dis que je vais faire avec. Puis alors que je cherchais une morgue pour travailler, celle d’une petite ville ne Nouvelle-Zélande m’appelle. Je suis curieuse, je dis oui, j’aurais même le poste de médecin légiste en chef ! Que du bonheur.