Angus - A fond la forme

Angus Larkins

On se reposera quand on sera mort

les informations en vrac

la partie anecdotes ○
¤ Son prénom lui vient de la passion de ses parents pour le guitariste emblématique du groupe australien le plus connu au monde: AC/DC. Toujours mieux, selon lui, qu'avoir le prénom de l'autre frangin Young, Malcolm
¤ Angus est australien, il est né tout au nord de la grande île de l'Océanie, dans la ville de Darwin, plus petite capitale d'état de l'Australie. Il y a passé toute son enfance ainsi que son adolescence avant de prendre son indépendance à la fin du lycée et par la même occasion son envol, direction la Nouvelle-Zélande voisine.
¤ Il n'a pas quitté la maison familiale suite à des tensions avec ses parents. Son envie d'indépendance découle surtout de son envie d'aventure, de challenge, de mise en danger. Le blond veut constamment se prouver qu'il est capable de surmonter n'importe quel obstacle, n'importe quelle difficulté.
¤ En arrivant à Island Bay il a d'abord exercé le métier de serveur pendant deux années dans un restaurant avant de basculer dans le monde de la nuit où il est devenu barman. C'est principalement de cette expérience là qu'il tire son côté fêtard.
¤ Après quelques années derrière le comptoir, il a changé de voie pour se consacrer à ce qui le fait vivre aujourd'hui: le sport. Membre assidu d'une salle de sport locale, on lui a offert l'opportunité d'y travailler. Avoir accès à la salle sans payer d'abonnement en échange de quelques conseils donnés à des novices, pourquoi refuser? Il n'a pas perdu sa fâcheuse tendance à beaucoup sortir pour autant.
¤ Un des plus important complexe du jeune homme est celui de ne pas avoir fait d'études. Nombreuses sont les fois où, en rencontrant de nouvelles personnes, on lui demande ce qu'il a fait comme études. Dans ces cas là, soit il ment, soit il dit avec une assurance feinte qu'il n'en a pas fait. Malgré le fait que ce soit un choix de sa part, il a conscience qu'il passe parfois pour un imbécile.
¤ Paradoxalement, Angus parait très sûr de lui, presque hautain. Il s'est construit cette carapace pour se protéger des regards et des critiques. Homo homini lupus est. "L'homme est un loup pour l'homme" parait-il. Il n'y a pas mieux placé que ton semblable pour te faire du mal alors autant éviter de passer pour le plus faible des deux.
¤ L'argent qu'il gagne, il le dépense dans les tatouages, quand ça n'est pas dans son loyer ou la nourriture nécessaire à son régime alimentaire. Il adore cette forme d'art là, façonnée par le sacrifice et la douleur, quoi qu'on en dise. Son but n'est pas de finir complètement recouvert; encore cinq ou six pièces et il s'arrêtera. Ou peut-être sept. Voire huit. Enfin bon, voilà quoi.
¤ Angus est également passionné par le sport. Il n'y a pas une seule semaine dans l'année où il ne va pas courir ou passer du temps à la salle. Il estime à six heures la durée hebdomadaire, en plus du boulot, passée à prendre soin de lui. Autant dire que ça occupe une grande partie de son temps libre. Son rêve secret est de boucler un triathlon un jour, mais pour ça, il faudrait commencer par monter sur un vélo.
¤ L'appartement du garçon est un peu minimaliste. Pas le genre de minimalisme à figurer dans un magazine de décoration. Non, plutôt le minimalisme qui pousse à se demander si quelqu'un habite vraiment ici. Passant le plus clair de son temps à l'extérieur, le jeune homme ne s'encombre pas d'éléments de décoration superflus ou de bien matériels dont il n'a pas l'utilité. Son appartement est assez... dépouillé?

les indiscrétions sur le joueur

 

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<pris>○ mikkel jensen</pris> angus larkins

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l'histoire de ma vie

On se reposera quand on sera mort

Darwin. La ville australienne. Pas ce bon vieux Charles, bien que l’un soit lié à l’autre. C’est dans cette ville - l’une des plus au nord de la plus grande ile d’Océanie - qu’Angus a brisé le long silence nocturne du Royal Darwin Hospital courant janvier, en 1991. Oui, nocturne. Comme toute bonne chose, le blond s’est fait attendre. Vingt-deux heures quarante-sept plus précisément. Probablement un premier signe que le garçon allait plus tard devenir un oiseau de nuit. Pas totalement incohérent pour quelqu’un qui tire son prénom du guitariste du groupe de hard-rock le plus adulé du pays et mondialement connu. Rares sont les rockeurs à se lever à cinq heures du matin, à manger une pomme et avaler une tasse de roibos avant d’aller courir quinze bornes pour commencer la journée du bon pied, pas vrai ? Mais de rockeur, Angus n’avait que le prénom. Il n’a jamais joué de guitare électrique, n’a jamais porté de t-shirt à l’effigie d’AC/DC, de Metallica ou des Ramones et n’a jamais consommé plus de cocaïne que de fruits et légumes. En fait, Angus était plutôt tout l’inverse. Le genre d’inverse à se lever tôt pour aller courir, vous vous souvenez ? Histoire de commencer la journée du bon pied. Le gauche, toujours. Son truc, c’était le sport. Assez naturellement. Sans avoir été particulièrement poussé par l’un de ses parents. Natation, rugby à XIII, cricket, aviron, rugby à XV, le jeune homme s’est essayé à tout un tas de choses durant son enfance et son adolescence. Son but n’était jamais d’exceller individuellement, de se faire remarquer. Faire briller l’équipe, gagner des compétitions, il était là son réel plaisir. C’est aussi là qu’il a développé son gout prononcé pour le challenge. C’est là qu’Angus Larkins est devenu un compétiteur. Mais les sports collectifs ne lui convenaient pas tant que ça. La compétition ainsi institutionnalisée n’avait que peu de valeur à ses yeux. Ses challenges étaient plutôt dans son quotidien. Séduire cette Paige qui semblait intouchable, aller au lycée en courant, rejoindre Mandorah depuis Cullen Bay à la nage pour le simple plaisir de se dépasser. Cette facette est probablement la seule digne d’intérêt dans l’adolescence du jeune homme. Pas que son histoire soit insipide. Non, disons plutôt qu’il a eu une enfance et une adolescence tout ce qu’il y a de plus basique et plus classique. Rien de spécial à signaler. Pas de méfaits, d’histoire de drogues, de Dom Juan, d’échec scolaire ou de divorce parentale. Bon ok, son histoire est peut-être un peu fade.

Mais ça, c’était avant. Avant qu’il décide de quitter l’Australie pour la Nouvelle-Zélande voisine. Pourquoi ? Pour se lancer un énième défi voyons ! Là bas, il ne connaissait personne. Il connaissait à peine les principales villes de cette paire d’îles. Il a fini par atterrir à Island Bay, à quelques encablures du centre de Wellington, ville trop grande à son gout. D’abord serveur, métier qui lui a permis de gagner ses premiers salaires et d’avoir son propre appartement après quelques mois de coloc’, il a ensuite embrassé sa destinée d’oiseau de nuit en devenant barman. Une vie incroyable que celle de noctambule. Il en a croisé du monde. Il s’en est fait des amis. Quelques conquêtes aussi. Des embrouilles également. Un incontournable du métier. Aujourd’hui, Angus est coach sportif. Malgré son taf de nuit, Angus n’a jamais cessé d’entretenir sa condition physique. Il fréquentait une salle de sport pas loin de chez lui, jusqu’au jour où le gérant, client de l’établissement où Angus bossait, le reconnaisse et lui propose d’être plus qu’un simple client. Une aubaine. En travaillant, le blond peut préparer son plus grand challenge à ce jour : boucler un triathlon. Il y a pire comme situation professionnelle, non ?