baswin — unintended moment.

Qu’est-ce qu’elle s’imagine Oz ? Qu’avec cette tenue, elle n’attirerait pas tout les abrutis de la boîte de nuit ? Elle s’humidifie les lèvres, et écrase la cigarette sous les talons de sa chaussure avant de re-rentrer dans la boîte de nuit avant de retrouver ses amies. Elle passe une main dans ses cheveux, récupére les boissons et retourne près de ses amies avant de danser, dans son carré VIP, comme si rien d’autre ne comptait. Elle danse au son de la musique, danse, les yeux fermés, les bras levés au dessus de la tête alors qu’elle hurle à tue-tête. Et puis elle s’arrête, voit un type qui vient se coller à elle, et Oz se retourne, en colle une au mec et elle n’a pas le temps de faire autre chose qu’elle est éloignée du carré vip. Elle soupire un peu et quand elle se retourne, elle le voit. Fronce les sourcils. Et elle le détaille de haut en bas « c’était quoi ça ? » demande t-elle alors qu’il l’attire vers ... son appartement ? Elle se sent gênée, Oswin. Elle monte les escaliers et entre dans l’appartement sans demander son reste. Elle se tourne pour faire face à Basil « Qu’est-ce que tu veux ? Je t’ai dit que je ne voulais plus te voir. Puis c’est toi qui prend et qui jette non ? » elle le regarde et voit ses mains qui tremblent avec le contrecoup. « merci... quand même. »

Basilton travaillait aujourd’hui et ce, même s’il n’est pas spécialement content de le faire. Au moins, cela lui permet de penser à autre chose et de s’occuper. Il a pourtant passé plusieurs minutes à écrire durant l’après-midi et faire du piano. C’est quelque chose qu’il aime, son petit jardin. Il a un piano chez lui mais il a toujours dit que cela servait de décoration. Hors de question pour lui de dire que c’était lui qui en faisait. Il ne le voulait pas. Il en avait pas honte mais il voulait pas parler de cela et puis il ne pouvait pas. Il serait sûrement ridicule. Il jette son portable sur son lit, lasse de lire ces messages. Il devrait arrêter d’y répondre d’ailleurs parce que ça ne servait à rien, n’est-ce pas ? Les choses sont pourtant claires entre lui et entre Oswin. Il ne sait pas pourquoi il s’embête. Elle a eu ce qu’elle voulait, elle a couché avec lui et puis elle est partie. Elle a été retrouvé son fiancé. En y pensant il se disait quel gâchis. Pourquoi se mettre dans un mariage, s’emprisonner. Ce n’était pas lui qui franchirait ce pas et puis il avait quarante ans maintenant, à quoi bon ?

Il quittait son appartement situer au-dessus de sa boîte de nuit donc il est propriétaire. Il descend finalement pour aller travailler. Il fait le tour pour voir si tout se passe bien. Il a enfilé son costume et n’hésites pas à remettre à sa place lorsqu’il le faut. Il est plutôt froid, et distant aussi mais il se fait respecter. Il remarque finalement plus loin quelqu’un qu’il connait. Putain. Qu’est-ce qu’elle fou là ? Elle n’est pas seule et cet homme semble le déranger. Elle lui en colle une et il s’approche pour la sortir de là. De quoi il se mêle ? Peu importe. Il la prend par le bras et l’emmène dans son appartement. « D’accord donc tu ne veux plus me voir mais tu viens dans ma boîte de nuit. A croire qu’il n’y a que celle-ci en ville. » Et là, elle va lui dire qu’elle ne savait pas peut-être ? Il y croit moyen et il se demande ce qu’elle veut ou cherche. Il hoche la tête quand elle le remercie finalement. « Mais au pire, je peux te faire redescendre en bas et tu retrouves ce type. Je pense pas que tu t’amusais avec mais bon. » Il est pas franchement sympathique mais peu importe. Il est comme ça, il ne se laisse pas attendrir. « Ou tu veux le lâcher lui aussi ? » Il lance finalement.

Pourquoi tout est si compliqué ? Pourquoi ne peut-elle pas être comme toutes ces femmes infidèles qui font ça parce que leurs maris ne les comblent pas et qu’elle s’envoie en l’air une fois par semaine pour un 5a7 avec des types du bureau ou des types rencontrés de façon random dans un bar ? Pourquoi. Non, il fallait que tout soit plus compliqué. Qu’elle couche avec Basil, qu’il prenne place dans son esprit et que des que Rupert pose ses mains contre son corps, elle imagine que c’est Basil. Basil et ses caresses tentatrices, la sensation du souffle de Basil contre son échine et elle qui se cambre sous ses doigts. Oswin aimerait le détester. Mais tout la ramène à lui. Elle se prend même à rêver de lui, parfois. C’est brûlant et elle se réveille, est obligée de boire un grand verre d’eau pour se changer les idées. Et voilà qu’elle est dans son appartement. La, ou ils ont couchés ensemble la première fois, alors qu’elle venait de s’engueuler avec Rupert. Alors qu’il venait de lui prendre la tête. Et quand elle regarde autour d’elle, elle a un frisson qui la parcourt quand elle revoit le plan de travail de la cuisine, la ou il l’a embrassé, la ou elle s’est laissé aller et où, pour la première fois depuis longtemps, elle a ressenti ce que c’était d’être désirée. Elle ne peut pas dire aimer parce que ce n’est pas ça. C’est pas de l’amour. C’est autre chose. Du désir, du plaisir «  J’allais pas dire non quand on m’a proposé de sortir. J’allais pas dire Non désolée j’ai couché avec le patron, oui allez y ranger moi dans la case des femmes infidèles. » prononce t-elle en évitant de le regarder un peu trop, parce qu’elle sait qu’elle aurait plus à y perdre qu’à gagner. «  Non je ne m’amusais pas. Mais au lieu de me faire monter t’aurais pu le faire dégager non ? » Parce que ça aurait été plus simple et il n’importunerais sûrement pas d’autres femmes. Elle passe une main dans ses cheveux et s’humidifie les lèvres en sentant son cœur qui se serre face à ses mots. « on a jamais dit qu’on s’enverrait en l’air plus d’une fois. » annonce t-elle en soufflant un peu. Elle fait les 100 pas, prend les devant en ouvrant la fenêtre parce qu’elle a la désagréable sensation d’étouffer avant de se tourner vers lui « Tu... » Elle serre les dents avant de le regarder, son regard qui se pose sur chaque partie du corps de Basil « T’es dans ma tête. Tout le temps. Quand il me touche, quand il m’embrasse... j’aimerais que ce soit toi. C’est pas normal. Ça devrait se passer autrement. Ça devrait pas... tu devrais pas être aussi présent dans mon esprit Basil... »

Il ne sait pas faire avec les gens Basilton, hormis avec sa sœur évidement. Elle est l’exception parmi tout ce monde parce que avec elle il n’a pas besoin de jouer un jeu ou de faire semblant. Avec elle, il pouvait être lui-même. Elle le connait par cœur forcément parce que c’est sa petite sœur. Ils ont tout vécus tous les deux. Pourtant avec les autres, il est un homme différent, il se montre froid et indifférent. Il ne veut pas briser sa coquille ni même parler de ses souffrances ou les montrer. Il ne peut s’empêcher de sauver la jeune femme de l’emprise de ce mec. Il ne devrait pas, il pourrait la laisser se débrouiller après tout. Surtout après ses messages. Il n’a pas envie pourtant d’avoir des histoires dans sa boîte alors il l’emmène jusqu’à son appartement. Il lève les yeux au ciel aux mots de la jeune femme, elle l’agace oui. Elle l’agace autant qu’il la désire et ses sentiments se partagent. « Tu étais pas obligée de venir ou t’aurai pu aller ailleurs. » Il lance en soupirant même s’il ne va pas refuser sa venue parce qu’il ne peut le supporter. Il pousse un énième soupir alors qu’elle ne semble même pas contente. Il l’a sorti de là et elle l’as remercié mais visiblement, ce n’était pas ainsi qu’il aurait dû agir. « Tu sais quoi, la prochaine fois tu te débrouilleras. » Il finit par lui dire avant de se prendre un verre dans le placard et se servir d’un whisky. « Pour une fois, tu as raison. » Ils ne se sont rien promis tous les deux et Basil est pas du genre à promettre quelque chose à qui que ce soit. Il boit une gorgée alors qu’il la regarde prendre son aise chez lui. Pour quelqu’un qui ne voulait pas être là, il se demande pourquoi elle reste. Il se tourne finalement, se rapproche d’elle. Il reste de marbre, ou il tente de l’être parce que ce n’est pas le genre de trucs qu’il entends tous les jours. Basil, ça a souvent été des mots difficiles, du genre qu’il déçoit et autres conneries comme ça. « Non t’as raison, je devrais pas, parce que tu vas te marier il me semble non ? » Il croise les bras sur sa poitrine, parce qu’il a pas envie qu’elle l’atteigne. Il n’a pas envie de se faire avoir par ses lèvres qui le tentent ni son regard. « Tu ne devrais pas le retrouver d’ailleurs ? Puisque toute façon on est plus censé se voir ni se parler. » Il n’a pas oublié, il est rancunier aussi. Il continue pourtant de penser qu’elle fait une erreur.

Pourquoi est-ce qu'il est toujours là ? Dans un coin de sa tête ? À s'immiscer dans son esprit quand ce n'est pas le moment ? parfois, Oz se plait a penser que ce n'est pas Rupert qui va rentrer mais Basil et elle se déteste de penser ça depuis qu'il a posé ses mains sur elle. Elle s'en veut. Rupert qui a été là depuis beaucoup plus de temps, Rupert qui ne comprend pourtant pas pourquoi elle est si triste, pourquoi le coeur n'y est plus. Rupert qu'elle hait quand il ose poser ses mains sur elle, pour avoir ce qu'il désir et elle aimerait reculer, elle aimerait s'éloigner quand il a envie d'elle, quand il l'embrasse mais elle sait que ça ne peut pas se passer comme ça. C'est plus compliqué qu'il n'y paraît. Et puis elle est là, dans son appartement. Là où elle ne pensait pas remettre ne serait-ce qu'un pied un jour. Et pourtant. Elle a le coeur qui bat trop vite, trop fort. Et l'esprit embrumé de souvenirs plus ou moins brûlants. « Je n'allais pas faire la difficile. J'avais besoin de sortir. » Pour m'aérer la tête, pour ne pas penser à toi, pour ne pas imaginer que t'es là, tout le temps dans ma tête. Très bien, elle se débrouillera, elle siffle entre ses dents pour montrer sa désapprobation et elle passe une main dans ses cheveux avant de secouer négativement la tête. Bien évidemment qu'elle a raison. A quoi pense t-il ? Qu'elle invente des choses ? Non, ils ne se sont jamais rien promis. Ils ne se sont pas promis la lune et encore moins une histoire qui se résume à des cinq à sept un jour sur deux. Ou quand Rupert n'est pas dans le coin (ce qui est beaucoup trop souvent au goût de la blonde). Quand il se rapproche d'elle, après qu'elle se soit confiée, elle ferme les yeux à l'entente de ses mots. « Je le pensais pas. » Elle a pas envie d'arrêter de lui parler et encore moins de ne plus le voir. Elle sait que ça finirait par la mener à sa perte dans un sens ou dans l'autre. « Et oui, je vais me marier... » Sa bague de fiançailles qu'elle a laissé sur le lavabo de la salle de bain montre qu'elle n'en a pas vraiment envie. Elle s'humidifie les lèvres et se rapproche un peu plus de lui, sa main qui se pose sur l'un de ses bras croisés. Elle se sent électrisée « Je peux rien te promettre... Je peux pas... Je peux pas te promettre des choses dont je ne suis pas sûre. » Elle souffle un peu et se rapproche de lui, son corps qui bute contre celui de Basil alors qu'elle se met sur la pointe des pieds pour laisser son souffle court courir sur les lèvres du brun « Mais j'peux te promettre un truc, que je peux l'oublier. Le temps d'un instant, ou deux. Ou trois, dans tes bras. » Elle reste pendue à quelques centimètres de ses lèvres avant de fermer les yeux « T'as juste à m'embrasser... »

Basilton en a marre d’être là mais de débattre également avec la jeune femme sur ce sujet. Très bien, elle était là et qu’est-ce qu’il pouvait faire de plus. Ils n’allaient pas se mettre à débattre tous les deux pendant des heures et de toute façon, elle ne voulait ni le voir ni lui parler. Il se demandait même pourquoi elle était encore présente ici. « Bien alors tu pourrais aller retrouver tes amies dans ce cas. » Ou son fiancé. Il ne dit rien pour autant. Il n’est pas jaloux mais il ne comprend pas ce qu’elle fait avec alors qu’il a bien vu qu’elle était malheureuse à ses côtés. Elle le savait également alors pourquoi se marier. Il ne comprenait pas trop ce que les gens avaient avec cette obsession pour le mariage. Il ne voulait pas de cela de son côté et est-ce que cela empêcherait une personne d’être heureuse si elle ne le faisait pas ? Il ne le pense pas. Il finit par lever les yeux au ciel en l’entendant. Elle ne le pensait pas ? Il ne savait plus vraiment sur quel pied danser avec elle. Il ne savait que penser ni même comment agir. Elle allait se marier, et cela suffisait. Il n’était pas son jouet, ni là quand elle en avait envie. « Alors ce n’est pas ici que tu devrais être, tu ne crois pas ? » Il lui dit alors qu’il garde les bras croisés sur sa taille, comme une défense. Comme une arme pour ne pas céder. Pour ne pas la laisser entrer dans sa vie et essayer de se faire une place dans son cœur. Il n’avait pas envie qu’elle aussi lui fasse mal, lui brise le cœur. Parce que de toute façon, il serait encore le second choix. Il serait celui qu’on laisserait de côté comme s’il ne valait rien. C’est ce que son père n’as pas cessé de lui répéter durant des années. « Je ne veux pas de promesses, encore moins celles qu’on ne peut tenir. » Il le sait au fond de lui qu’elle ne tiendrait pas ses promesses, elle retournerait vers lui. Elle le laisserait toujours seul dans son lit qui redeviendrait froid après son départ. Il la voit pourtant s’approcher, proche, trop proche de lui et il pousse un grognement. Il est partagé maintenant. Entre deux idées, deux choix qui s’offrent à lui. Il est partagé entre ses désirs et la raison. Entre ce qu’il doit faire ou non. « Bordel. » Il jure alors avant de venir l’embrasser. Faible. Il chasse cette voix de sa tête alors qu’il la soulève pour la poser sur le plan de travail tout en l’embrassant. Il s’arrête à bout de souffle. « Il y a pas de retour en arrière après.. » Un avertissement oui, parce qu’elle ne pourrait pas revenir en arrière. Elle ne pourrait pas lui dire que c’était une erreur. Encore.

Quelle connerie. Pourquoi est-ce qu'elle n'a pas pris la poudre d'escampette ? Pourquoi est-ce qu'elle ne s'est pas barré, alors qu'il en était encore temps ? Elle sait que si elle craque une nouvelle fois, elle sera foutue et il n'y aura plus de retour en arrière. Déjà qu'il est présent dans sa tête, dans son esprit bien trop souvent, qu'est-ce que ce sera après ? Elle ne veut pas les rejoindre, elle ne veut pas y aller, y retourner. Elle veut rester là, contre lui. Sentir sa peau contre celle du brun, elle veut sentir les lèvres du brun contre ses lèvres. Elle veut tant de choses qui sont intolérables mais qui lui font tellement de bien qu'elle ne peut cesser d'y penser. Elle soupire et le regarde « Non, je ne devrais pas être ici et pourtant... j'y suis et je ne compte pas partir. » Parce qu'elle s'en voudrait. Parce qu'elle voudrait faire demi-tour au moment même où elle aurait pousser la porte. Elle le regarde encore, les yeux qui se perdent dans le regard du brun « Alors je ne te ferais pas de promesses. » parce qu'elle ne pourra pas les tenir. Parce qu'elle a plus à perdre qu'à gagner dans cette histoire et pourtant, elle serait prête à tout foutre en l'air s'il le lui demandait, ce soir du moins. Elle déglutit quand elle l'entend grogner et elle cesse de respirer, jusqu'à ce qu'il dépose ses lèvres contre celle de la blonde. Elle prolonge le baiser, se colle à lui avec instinct, ses jambes qui entoure la taille du brun, elle continue de l'embrasser, encore et toujours alors que les mains déboutonnent la chemise après avoir retiré la veste. Elle murmure au creux de son oreille « Je ne reviendrais pas en arrière. » et elle caresse doucement son bas ventre pour finir par déboutonner son pantalon et elle attrape la main de Basil pour la coller sur sa poitrine, lentement. Alors qu'elle effleure chaque partie de son visage de ses lèvres, les doigts qui se font baladeur. « J'ai plus envie de revenir en arrière. » Parce qu'il lui fait ressentir des tonnes et des tonnes de choses et que c'est insupportable, mais elle ne reviendrait en arrière pour rien au monde.

Il la repousse Basilton, il ne sait faire que ça. Il repousse les gens de son entourage, probablement pour éviter de souffrir. Il a déjà souffert par le passé et il n’a pas envie que cela recommence. Il fait la même chose avec Oswin parce qu’il sait que c’est ce qui arrivera. Il ne s’attache jamais aux femmes et elle ne dérogera pas à la règle. Elle est fiancée de toute manière alors qu’est-ce qu’il pourrait attendre venant d’elle ? Rien. Il pousse donc un soupir quand elle lui dit qu’elle ne compte pas partir. Elle a donc décider de lui en faire baver malgré elle ? Il en a l’impression. Il voudrait qu’elle parte et en même temps qu’elle reste. Ses pensées s’emmêlent alors qu’il refuse qu’elle lui fasse des promesses. Il se dit que c’est du vent et qu’elle ne les tiendrait pas. Qu’est-ce qu’elle a à lui offrir ? Rien, si ce n’est son corps quelques fois. Est-ce suffisant ? Pour l’instant oui, jusqu’au moment où il l’enverra réellement balader. Il n’est pas vraiment du genre à partager.

Il ne dit plus rien, las de discuter ou de se disputer. Elle le tente et il ne sait se retenir lorsque ses lèvres sont une tentation et qu’elle l’incite à l’embrasser. Une erreur ? Il sait que ça le sera mais il n’en à que faire pour ce soir. Il la soulève pour la déposer sur le plan de travail alors que ses baisers se font plus passionnés. Il l’avertit parce que le choix lui appartient. Son cœur à lui est libre, froid. Le sien ne l’est pas et il se refuse d’être le mec accusé de briser un mariage, même si c’est ce qu’il fait dans le fond. Il gémit quand elle le caresse et parce qu’elle va le rendre fou. « Ne le fais pas non.. » Parce que ça aussi ça va le rendre dingue et qu’il n’est pas certain de contenir ses mots si elle le repousse encore. Il l’embrasse une nouvelle fois alors qu’il caresse sa poitrine par-dessus le tissu de son haut. Il lui retire, laissant apparaître ses courbes cachées dans son sous vêtement. Il pose ses mains sur ses cuisses, remontant sous sa jupe qu’il finit par lui retirer. « Je préfère que tu partages mes draps. » Il la soulève pour l’emporter dans sa chambre. Il sait pourtant qu’elle les partage avec son fiancé et il ne veut pas imaginer ce qu’ils font. Parce que pour l’instant, elle est sienne.