EVEY LEWIS - loaded gun

Evey Lewis

petite citation pour faire joli

les informations en vrac

Evey est née et a grandi à Auckland (d'origines Puertoricaines), dans la maison voisine de celle de la famille Wade. Enfant unique et ayant depuis toute jeune désiré des frères et des soeurs, c'est tout naturellement qu'elle trouva ses liens de substitutions chez la famille voisine. Les Wade font, à ses yeux, autant partie de sa famille que ses parents  ›› Evey est une petite fille active qui aime aller à l'école mais doit souvent être rappelée à l'ordre lorsqu'elle rêvasse ou parle de trop. Elle aime la nature, grimper aux arbres et lire des histoires. Elle joue tout autant à la poupée qu'aux petits dinosaures. Elle déteste qu'on lui attache ou coupe les cheveux ›› Son animal préféré était la baleine et cela n'a d'ailleurs pas changé aujourd'hui. Evey est fascinée par les mondes sous-marins et les immenses créatures y habitant ›› C'est à l'adolescence et plus exactement à l'âge de 14 ans que Evey comprend qu'elle préfère les filles. Elle ne veut pas en faire un secret et en parle de suite à sa famille et ses proches. Elle perdra quelques amis dans le procédé mais ne regrettera jamais avoir su, assez tôt, assumer qui elle était vraiment ›› Son adolescence se déroulera plus ou moins normalement, avec des hauts et des bas, des flirts et des peines de coeur; à la différence près qu'elle reste pour certains la "latina gay" de l'école ...  ›› Ado, Evey est une adepte de glisse (surf, roller-quad et longboard) ›› Dire qu'Evey savait qu'elle deviendrait flic depuis toute petite est un peu exagéré. Certes, elle aimait à jouer au policier et au voleur mais tout autant à la barbie, au vétérinaire et aux indiens ›› Son choix de métier deviendra une évidence (après hésitation) suite à une violente agression ›› Evey est alors âgée de 18 ans. A l'époque, elle possède un admirateur secret mais ne prend pas la chose au sérieux et s'en amuse plus qu'autre chose, persuadée qu'un ami lui fait une blague. Seulement la blague tourne au cauchemar. Un jour, en fin de soirée, Evey est agressée sur le chemin du retour. Attaquée, violentée par un inconnu dont elle n'a pas pu voir le visage correctement. Il l'a entraînée dans une sombre ruelle et a physiquement atteint à sa pudeur. Si un SDF n'avait pas été présent ce jour là pour mettre fin à l'altercation, Dieu seul sait ce qu'il serait advenu de la vie d'Evey dont elle voyait déjà la fin ›› Evey ira se faire soigner le soir même à l'hôpital mais, sous le choc, n'ira jamais porter plainte. Une décision qu'elle regrette amèrement ›› Si ses parents ont bien évidemment été au courant, il n'en est pas de même pour le reste du monde. Evey s'est cachée des jours durant, n'adressant plus la parole à qui que ce soit ou prétextant diverses excuses afin de ne pas sortir ›› La jeune fille camouflera ensuite ses coups par le maquillage, et à l'heure actuelle ne peut compter sur les doigts que d'une seule main, les proches ayant finalement été au courant de ce qui lui est arrivé ›› Véritablement atteinte par l'agression, Evey prend la lourde décision de quitter la ville. C'est ainsi qu'elle arrive à Island Bay, petite bourgade en paix où elle tentera de se construire une vie loin du souvenir douloureux et de la peur y étant associée ›› Pour ce faire, Evey commence par prendre des cours d'auto-défense. Elle passera ensuite au kick-boxing et au Krav Maga, au fil des années. C'est en reconstruisant sa force mentale que son désir ardent d'intégrer les forces de l'ordre prend enfin vie ›› Elle entre ainsi en école de police particulièrement motivée ›› Apres un passage à la criminelle, cela fait maintenant trois ans qu'elle bosse pour la threat management unit. Une nouvelle brigade de la police faisant réponse à une nouvelle société. Persuadée que ce qui lui est arrivé était lié à son pseudo "admirateur secret", son désir d'intégrer la nouvelle équipe fut sans pareil. ›› Ses collègues ignorent la raison de son engagement dans la brigade ›› Evey profite de son statut pour également enquêter sur l'homme l'ayant agressée; persuadée qu'il répond au profil d'un agresseur compulsif. Elle croit dur comme fer qu'il a recommencé avec d'autre(s) ›› Sinon de manière plus générale, Evey se déplace le plus souvent en moto (rapide et sportive) ou dans sa BMW de bon modèle, également taillée pour la vitesse ›› Elle est de nature battante, enjouée, caractérielle et sanguine mais aimante et présente ›› Elle peut également se montrer indécise, bornée, insolente et jalouse ›› Elle adore les cheeseburger, ne boit son café que noir de noir, est droguée au coca-light, m&m's et twizzlers ≈ En gros, Evey est passionnée. Autant dans sa vie personnelle, ses amours que dans son boulot ...

les indiscrétions sur le joueur

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<pris>sarah shahi ›</pris> evey lewis

   

l'histoire de ma vie

petite citation pour faire joli

Ton nez coincé sur l'écran, tu suis avec attention, et par dessus son épaule, les fichiers qu'est en train de faire défiler Billie. Stop ! Là ! Ton index s'écrase sur l'écran et ton sourire s'élargit, la mine victorieuse. Ton bras s'enroule autour de ton amie désormais collègue que tu secoues avec engouement. T'es géniale ! C'est exactement ce dont nous avions besoin !! Tu te redresses en dégainant ton portable duquel tu appelles ton supérieur direct afin de lui annoncer la nouvelle et l'état d'avancement de l'affaire. La conversation est courte et formelle mais effective. Je me charge de la prévenir, monsieur. Quelques minutes à peine et tu raccroches. Ton regard se pose alors sur Billie avec intérêt. Cette dernière est à nouveau plongée dans ses codes et ses recherches. Toi tu hésites. A la remercier une nouvelle fois. Pas pour cette affaire mais pour la tienne ... Tu as l'impression de ne pas le faire assez souvent, de ne pas lui dire à quel point elle était d'une aide précieuse et d'une présence réconfortante. Tu n'avais jamais vraiment de mal à l'exprimer en général mais pas lorsqu'il s'agissait de ça.  Billie avait non seulement su faire ses preuves mais elle était même un excellent atout. Tu savais que tu ne pouvais faire confiance à personne d'autre dans le domaine. Elle pouvait et voulait t'aider ... Oui, clairement, elle pouvait t'aider à enquêter, te sortir de cette mélasse dans laquelle tu semblais te noyer seule. Tu lui en avais pourtant déjà parlé, te faire assister. La bombe avait été lâchée et tu avais tout avoué : ton agression, la raison de ton départ et ton enquête parallèle dont personne n'était au courant. Parce que tu lui en avait demandé beaucoup ces derniers temps et que tu avais fini par "devoir" lui expliquer. Expliquer, un peu, et puis avec de plus en plus de détails. Avouer, ça avait été aussi revivre ce que tu avais passé tant de temps à refouler. Et ce n'était pas aisé ... loin de là ! Alors, il a dit quoi ? Billie se retourne soudainement vers toi et te sort de tes pensées. Tu te racles la gorge et repousses à plus tard ton sentimentalisme. Tu souris, simplement. Il envoie la demande de mandat à l'instant et moi je me charge d'aller prévenir Riva Lerson. Un petit signe de la main et déjà, Evey s'engouffre dans l'ascenseur.


Tu viens de frapper et présentes ton badge en direction de l'oeilleton de la porte d'entrée. Ouvrez Riva. C'est le lieutenant Lewis. La clé tourne dans la serrure et te voilà très vite en face à face avec Miss Lerson. Tu es souriante, d'excellente composition. J'ai de bonnes nouvelles concernant l'affaire. L'intérêt de Riva se lit sur son visage. Elle t'invite à prendre place au salon et tu passes une bonne demi heure à lui faire rapport de l'avancement de l'affaire. Si tout se déroulait correctement, dans quelques jours, tout pourrait être bouclé. Satisfaite et plutôt en bonne compagnie, tu acceptes de rester pour boire un verre que t'offre la jeune femme. Tu ôtes ta veste coupée blaser et te laisses porter par ce doux moment d'échange dont tu sais les limites assez floues. Vos regards partagés te sembles, de temps à autre, dépasser le simple cadre de la coopération et de la politesse. Mais peut-être te trompes-tu. Tu as cette fâcheuse tendance à avoir un très mauvais gaydar. A tel point que ce détail amuse tes proches depuis longtemps. Enfin bref. Les minutes continuent de s'égrainer avant que Riva ne finisse par te demander : Pourquoi êtes-vous vraiment là ? Silence. Elle reprend, sourire en coin : Je veux dire, ... vous n'étiez techniquement pas tenue de m'informer de quoi que ce soit à ce point de l'enquête. Pas vrai ? Tu te sens comme prise en flagrant délit de crush. Riva a raison. Un peu mal à l'aise, tu finis par toi même sourire à ton interlocutrice. Un sourire qui en dit surement plus long que les mots qui pourraient sortir de ta bouche en cette seconde. Et alors que Riva se rapproche lentement de toi sur le sofa, ton portable se met à vibrer. Tu sursautes légèrement, comme tout droit sortie d'un étrange rêve, certes agréable, mais quelque peu ambigu. Tu attrapes le téléphone. La belle blonde stoppe son avancée. Ton regard parcourt avec intérêt le sms que tu viens de recevoir. Tu te redresses alors soudainement et attrapes ta veste. Je suis désolée Riva, je dois y aller. La jeune femme un peu surprise te raccompagne à l'entrée. Interloquée, elle interroge : Tout va bien ? J'espère que ce n'est rien de grave ... Déjà dans l'encadrement de la porte, tu te retournes vers la blonde, te voulant cette fois plus rassurante : Non, ne vous inquiétez pas, tout va bien, mais je dois juste ... Je dois m'en aller. Je vous appelle bientôt.


Aucune urgence effectivement. Il avait simplement suffit d'un message de Maddy pour te ramener à la réalité et te faire tout plaquer. Parce que lorsqu'il s'agissait de Maddy, plus grand chose ne comptait, ni même les innombrables flirts que tu pouvais enchainer. Tu en faisais surement de trop et lisais entre les lignes des déclarations non existantes, mais tu ne pouvais pas t'en empêcher. Pas depuis que Maddy était aussi ... impliquée, demandeuse de ta présence et aussi attentionnée.  Alors oui, ce soir, tu avais quitté une jeune femme intéressée pour la simple envie d'avoir Maddy au bout du fil quelques minutes. Quelques minutes que tu passes à l'écouter dans ta voiture. Tu avais voulu lui re-sonner au plus vite et sans attendre Elle n'a pas le moral, tu la fais rire et ce dernier t'enflamme le coeur. Vous pouviez toujours compter l'une sur l'autre pour ce genre d'échange. Ils étaient tous intenses et plein d'attention, même les plus rapides. Et ce soir, l'entendre te donne envie de la voir. Tu lui proposes de passer. Elle refuse, le timing n'est pas bon. Tu insistes car tu sens qu'elle en a autant besoin que toi mais la réponse ne change pas; à ton plus grand regret. Tu la verrais surement demain. Demain, qui te semblait pourtant si lointain. Surtout ce soir ... Merci d'avoir rappelé. J't'adore Evey, tu le sais ça ?  Tu l'entends rire à l'autre bout et tout au fond de toi, tu ne rêves que de lui hurler que tu l'aimes. Un cri sourd et retenu qui te ronge peu à peu. Je sais honey, ça fait des années que je te répète que je suis un être exceptionnel ... Tu plaisantes. L'humour comme arme de préservation. Vous vous dites au revoir et tu laisses finalement ta tête venir s'écraser contre ton volant, dépitée.


Lorsqu'enfin ta moto se stationne face à ton immeuble. Tu fronces en posant ton regard au dehors. Dans la pénombre, tu te demandes d'abord si tu vois bien avant de déceler de manière affirmative la brunette. Assise sur les quelques marches menant au hall d'entrée, Parker te regarde verrouiller le véhicule sans bouger. Tu t'approches, silencieuse dans un premier temps. Tu t'arrêtes face aux marches. Debout. Tu inspires un grand coup comme pour te préparer à la suite de cette nuit dont tu savais déjà qu'elle ne se terminerait pas de si tôt. Qu'est ce que tu fais là Parker ? La jeune femme incline légèrement la tête et soulève un pack de six bières mexicaines qu'elle expose à ta vue quelques secondes avant de le redéposer. Face à ta mine toujours  intriguée, Parker se sent obligée de s'expliquer : Quoi ?! J'arrive pas à fermer l'oeil, je m'ennuie et je n'ai absolument personne d'autre à emmerder à cette heure ci. Je pensais qu'une bière ne serait pas de trop après ton service mais ... visiblement tu fais des heures sup' Tu lèves les yeux au ciel et hausses les épaules tout en venant prendre place à côté d'elle sur les marches. Ca n'te regardes pas. lâches-tu sans vraiment lui accorder un regard. Voyant qu'elle ne t'avait pas attendue pour trinquer, tu attrapes à ton tour une bouteille et avales ta première gorgée. Votre conversation sur ce seuil ne sera pas des plus chaleureuses. Vous aviez l'habitude d'échanges plutôt brouillons, trop francs et maladroits. Ce soir, vous en arrivez - une nouvelle fois - à vous engueuler et vous faire disputer par une voisine mécontente; voisine que Parker ne se privera pas d'insulter de tous les noms. D'ailleurs, c'est ça qui finira par te faire rire. Parce que Parker c'était ça ... Cette femme qui ta fascinait tout autant que te rendait folle. Et ce, dans tous les sens du terme. Jamais tu n'aurais pu imaginer un seul instant partager une histoire de couple avec elle. Pas sans avoir envie quotidiennement de lui arracher les yeux ou de l'étrangler. Mais Parker, c'était aussi la femme qui te faisait le plus d'effet. Elle était celle au charme auquel tu ne pouvais résister. Si tu évitais d'ailleurs de trop souvent la regarder dans les yeux, c'était pour ne pas lui sauter dessus dès que l'envie t'en prenait. Ce soir n'échappait pas à la règle. Vous étiez restée là, dehors, un bon moment. A boire et rire tout autant que vous énerver. Lorsqu'enfin vous vous levez pour - en toute logique - vous quitter, tu retiens la porte d'entrée de ton immeuble ouverte, une fois l'ayant passée. Parker toujours en bas, attends le feu vert qui ne tarde pas à arriver. Plantant cette fois tes pupilles sans hésitation dans les siennes, tu l'interpelles, comme une évidence. "Tu viens ?" Parker sourit et finit par te rejoindre. Tu aurais mille et une raisons de ne pas l'inviter à monter. Votre histoire, votre passé, votre présent même ... L'état de Parker, ton coeur en otage ... Tout était écrit pour que tu ne t'approches plus d'elle. Que tu arrêtes. Que tu cesses de rentrer dans la danse. Et pourtant. Tu craquais presque à chaque fois. Parker, c'était ta drogue. Celle qui avait tout en elle pour te détruire, t'apporter plus de mal que de bien mais pour laquelle tu aurais pu presque tout faire dans l'espoir de sentir sa peau contre la sienne et ses baisers sur ton corps. L'extase et le frisson avait un prix, c'est tout ... Et ce soir, tu étais prête à payer de ta personne.

bravo, tu es validé(e)

› tu sais que tu es parfaite ?
j'ai tellement hâte de rejouer avec toi ! on va former le meilleur binôme du commissariat pleins de cœurs sur toi et bienvenue chez toi

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