contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.
depuis un an il essaye de la séduire, mais en vain ! Quand finira-t-elle par craquer et le laisser entrer dans sa vie ?
J'avais commencé très tôt ce matin, il était 5 heures du matin quand j'avais franchi les portes de l'hôpital et j'étais quand même très frais à cet heure là du matin. J'avais fais la visite de post-op de service pédiatrique, la plupart des enfants étaient encore tout endormis. Puis j'avais été un peu aux urgences, où j'avais soigné des "petits bobos" puis ensuite un des titulaire m'avait pris avec lui pour une opération importante et assez longue...c'était le pied total !! J'adorais être au bloc. Après plusieurs heures au bloc, j'étais partie manger, j'avais eu le droit à une longue pause, une pause qui m'avait fait beaucoup de bien.
La journée avait alors continué, nous avions eu une période assez active, puis le calme était revenu, comme à chaque fois. Puis après une longue journée, l'heure était venu pour moi, de quitter l'hôpital. J'avais donc été prendre une douche, dans le vestiaire des résidents, car je n'avais pas envie de rentrer tout de suite chez moi, donc si je voulais sortir, j'avais bien besoin de prendre une douche.
Une fois propre, je sors de l'hôpital et c'est au volant de ma moto que je me rends dans un bar, non loin de l'hôpital. Il y a beaucoup de monde, c'est très bruyant !! Mais je ne suis pas du tout gêné par le bruit. Je me rends au comptoir et je passe ma commande. Après une tel journée, ce n'était pas mal d'aller faire une petite pause au bar.
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Sujet: Re: (REIRA&ORION) après une longue journée (#) Mar 9 Fév - 17:50
— Gambette enfin libérée de sa prison, le genou retrouve sa liberté sans cette pointe de douleur qui reste toujours quand elle marche. Alors Reira, elle ne marche pas beaucoup, se contente des promenades avec son chien histoire de prendre l’air. De toute façon, ce n’est pas comme si elle avait énormément d’obligations, bulle mensongère qui s’est éclatée en tombant dans ce studio de danse. La danse. Il faut qu’elle résilie ses contrats avec les patrons de bar qui l’employaient gracieusement pour quelques prestations. Point dans la poitrine, myocarde défaillant, il est déjà tard mais encore tôt pour aller se perdre au comptoir d’un bar. La russe ne compte pas y rester, comme si ce n’était qu’une simple balade, mais sans Blacky. Après avoir fait plusieurs bars dans laquelle elle avait l’habitude de se produire, elle remarque qu’il n’en reste plus qu’un. Peut-être qu’elle y prendra un verre pour trinquer aux échos du passé. Arrivée sur les lieux, les bons-vivants sont déjà réunis prêts à en découdre pour cette nouvelle soirée sous le signe de la détente, ou de la cuite pour certains. Reira ne se perd pas au comptoir, ni même sur la piste de danse à qui elle n’offre même pas un regard. Ancienne danseuse au cœur vicié, fuite de son rêve qu’elle évite soigneusement. Quelques mots au patron, pour s’excuser en personne, brune qui n’a prévenu que d’un rapide coup de téléphone. Des paroles réconfortantes, presque des condoléances, et le dernier. Le chapitre est désormais clos, sa silhouette redescend les escaliers qui menaient au bureau du patron, sans demander son reste. Prête à filer vers la sortie, son regard s’arrête sur un visage connu. Hésitante, elle finit par s’approcher du comptoir pour s’installer près de l’homme à la silhouette familière. Ses prunelles perses se posent sur ses traits et tout s’illumine. « Docteur O’Donnel ? » Il n’est pas vraiment docteur, ce n’est qu’un résident mais il va sûrement le devenir alors autant lui offrir le titre dès maintenant. Il a été très présent pendant sa convalescence, tuant l’ennui dans cette chambre vide dès que les visiteurs partaient. Une oreille attentive, un ami trouvé dans un lieu auquel elle n’aurait jamais pensé. « Tu as déjà fini ta garde ou tu aides encore un patient à noyer ses démons ? » Ricanement qui secoue la poitrine, tutoiement de mis vu les confidences échangées, reflet de passés complexes.
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(REIRA&ORION) après une longue journée
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Sujet: (REIRA&ORION) après une longue journée (
— Gambette enfin libérée de sa prison, le genou retrouve sa liberté sans cette pointe de douleur qui reste toujours quand elle marche. Alors Reira, elle ne marche pas beaucoup, se contente des promenades avec son chien histoire de prendre l’air. De toute façon, ce n’est pas comme si elle avait énormément d’obligations, bulle mensongère qui s’est éclatée en tombant dans ce studio de danse. La danse. Il faut qu’elle résilie ses contrats avec les patrons de bar qui l’employaient gracieusement pour quelques prestations. Point dans la poitrine, myocarde défaillant, il est déjà tard mais encore tôt pour aller se perdre au comptoir d’un bar. La russe ne compte pas y rester, comme si ce n’était qu’une simple balade, mais sans Blacky. Après avoir fait plusieurs bars dans laquelle elle avait l’habitude de se produire, elle remarque qu’il n’en reste plus qu’un. Peut-être qu’elle y prendra un verre pour trinquer aux échos du passé. Arrivée sur les lieux, les bons-vivants sont déjà réunis prêts à en découdre pour cette nouvelle soirée sous le signe de la détente, ou de la cuite pour certains. Reira ne se perd pas au comptoir, ni même sur la piste de danse à qui elle n’offre même pas un regard. Ancienne danseuse au cœur vicié, fuite de son rêve qu’elle évite soigneusement. Quelques mots au patron, pour s’excuser en personne, brune qui n’a prévenu que d’un rapide coup de téléphone. Des paroles réconfortantes, presque des condoléances, et le dernier. Le chapitre est désormais clos, sa silhouette redescend les escaliers qui menaient au bureau du patron, sans demander son reste. Prête à filer vers la sortie, son regard s’arrête sur un visage connu. Hésitante, elle finit par s’approcher du comptoir pour s’installer près de l’homme à la silhouette familière. Ses prunelles perses se posent sur ses traits et tout s’illumine. « Docteur O’Donnel ? » Il n’est pas vraiment docteur, ce n’est qu’un résident mais il va sûrement le devenir alors autant lui offrir le titre dès maintenant. Il a été très présent pendant sa convalescence, tuant l’ennui dans cette chambre vide dès que les visiteurs partaient. Une oreille attentive, un ami trouvé dans un lieu auquel elle n’aurait jamais pensé. « Tu as déjà fini ta garde ou tu aides encore un patient à noyer ses démons ? » Ricanement qui secoue la poitrine, tutoiement de mis vu les confidences échangées, reflet de passés complexes.