it's a date... professionnal date // olivia #2

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it's a date... professionnal date
crédit/ tumblr ✶ olivia

Depuis que je travaille pour Olivia, je consacre la plupart de mon temps aux préparatifs de son mariage. Tout le reste est devenu superflu, si bien que l'agence ne me confie pas de nouveaux clients. En acceptant les conditions du contrat, j'ai en quelques sortes accepté d'être totalement dévouée à elle, et à personne d'autre. Entre nous, ce n'est pas si désagréable, bien au contraire. C'est même plutôt une bonne surprise. Je ne pensais pas que cette relation professionnelle serait aussi... naturelle. Avec Olivia, le feeling a été immédiat. Peut être parce qu'elle a directement été honnête avec moi sur son mariage, et sur cette histoire d'arrangement familial. Elle m'a fait confiance, et ses confidences m'ont fait sentir comme une sorte de privilégiée. Mais mariage arrangé ou non, mon travail reste le même : je dois tout faire pour que la cérémonie soit parfaite, du début jusqu'à la fin. Un mariage se prépare pendant des mois, pour que le bouquet final soit à la hauteur des espérances de chacun. Et pour le coup, j'ai encore moins le droit à l'erreur. Olivia n'est pas n'importe qui, et c'est justement là tout le challenge. Mais je suis plutôt confiante. J'ai déjà repéré quelques lieux à lui proposer, et je pense même qu'il y a en un qui devrait facilement sortir du lot. C'est justement là que j'ai décidé d'emmener la jeune femme aujourd'hui. Un soir, une nuit et une journée sur place pour lui faire découvrir le domaine dans ses moindres recoins. Situé à Queenstown, au sud de l'île, cette propriété est installée directement sur les rives du lac Wakatipu avec une vue imprenable sur les montagnes. L'endroit rêvé pour célébrer le plus beau jour de sa vie. Avec ça, n'importe qui aurait envie de lui mettre la bague au doigt - ce n'est d’ailleurs pas bien difficile d'imaginer cette possibilité, Olivia a tout pour elle. Je lui ai donné rendez-vous à l'agence, et nous prenons rapidement le chemin de l'aéroport. Pas de chauffeur privé pour l'occasion, un simple taxi reste tout aussi efficace. « On avait bien dit selon mes termes. » Je hausse un peu les épaules en riant, consciente qu'elle ne doit pas prendre l'avion comme une personne lambda très souvent. J'espère juste qu'il n'y aura pas de conséquences directes pour elle à ce petit voyage improvisé. « Je sais... si l'idée était de t'impressionner, je commence plutôt mal. » Je ris de nouveau, plus de moi-même qu'autre chose. J'ose espérer qu'une fois arrivées à destination, le prestige du lieu réussira à relever le niveau. « Mais fais-moi confiance. » Nous avons une heure et demi de trajet avant de nous rendre près du lac, et en attendant, elle ne peut que se laisser guider. « Tu es toute à moi, je te rappelle. » Je lui adresse un petit sourire en coin, reprenant volontairement les mots qu'elle a employé dans son message. Il ne faut pas me dire ce genre de choses deux fois.

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Deux jours complets loin d’Island Bay et mes obligations quotidiennes, ce n’est clairement pas le genre de propositions que j’ai envie de refuser. Encore moins lorsque c’est Siam qui la fait, avec la promesse de les passer avec elle. Même si ce mariage ressemble de plus en plus à une farce - je commence sérieusement à me demander comment me sortir de cette histoire sans accrocs -, je dois avouer que tout ce temps passé avec la jeune organisatrice est loin d’être désagréable. Et oui, peut-être même que c’est une des raisons pour lesquelles je préfère plonger la tête dans le sable, et continuer ces préparatifs qui s’avèreront probablement inutiles dans quelques mois. Mais peu importe, personne n’a besoin de le savoir. Et surtout pas Loïs, qui a voulu poser son véto lorsque je lui ai expliqué que je partais deux jours, sans savoir ni où, ni comment, ni avec qui, ou presque. Siam étant restée très secrète à propos de ce petit séjour, il est normal que la personne responsable de ma sécurité s’inquiète lorsque je décide d’accepter - c’est littéralement son job - mais la finalité, c’est qu’elle n’a rien à dire, et que c’est encore moi qui signe son chèque à la fin du mois.
Siam aussi est dans ce cas, mais il faut croire que je lui passe plus facilement plus de choses, même quand elle me fait monter dans un taxi sans vitres teintées, ou qu’elle me prend un billet sur un vol commercial, en classe économique. « On avait bien dit selon mes termes. » Je lui réponds d’un hochement subtil de la tête, sourire au coin des lèvres. C’est vrai, je lui avais donné la possibilité d’organiser un de nos rendez-vous dans ‘son’ univers, à l’occasion. J’avais aussi émis l’idée de m’impressionner, et j’avoue que pour le moment, je suis surtout impressionnée par son manque d’efforts par rapport au confort auquel je suis habituée. Mais peu importe, ma casquette et mes lunettes noires ont l’air de suffire pour le moment. J’espère juste que je ne vais pas regretter d’avoir laissé Loïs à la maison…
« Je sais... si l'idée était de t'impressionner, je commence plutôt mal. Mais fais-moi confiance. » Je ris avec elle, même s’il est probable que mon inquiétude transparaisse dans les petits regards que j’envoie autour de nous. « Je te fais confiance, j’espère que tu ne vas pas me le faire regretter. » A vrai dire, je suis aussi inquiète que profondément curieuse. Ayant passé toute ma vie à l’écart du monde, c’est presque une première pour moi, de pouvoir ainsi me ‘fondre dans la masse’. Il n’y a qu’une seule autre personne avec qui j’ai pu jouer à ce petit jeu, quelques fois… « Tu es toute à moi, je te rappelle. » Sa façon de le dire m’amuse, ainsi que le fait qu’elle se soit souvenue de ces termes, exactement. « C’est vrai, pendant deux jours complets. Je ne sais pas si tu te rends compte de la chance que tu as. » J’arque un sourcil dans sa direction, ne cachant même pas le soupçon de flirt glissé dans cette dernière phrase. Le pire, c’est que je n’exagère même pas vraiment ; libérer deux jours complets, à moins d’une semaine, a été un défi de taille pour mon assistante qui en a perdu quelques cheveux. Mais elle a géré d’une main de maître ; c’est bien pour ça que je ne travaille qu’avec les meilleures. « Bon alors, tu me racontes ? C’est quoi le plan ? On est où, et qu’est-ce qu’on fait ? » Je regarde le paysage autour de nous, un peu différent de ce que j’ai l’habitude de voir à Wellington. « Ah, et j’espère qu’il y a un jacuzzi, parce que j’ai prévu mon maillot de bain. » J’observe sa réaction du coin de l’œil. Evidemment, je ne le prendrais pas mal s’il n’y a pas de jacuzzi. Mais les températures actuelles sont idéales pour piquer une tête, et ça fait trop longtemps que je n’en ai pas eu l’occasion, à mon goût.

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crédit/ tumblr ✶ olivia

Je m'embarque dans un challenge de taille : impressionner Olivia Peters. Il faut surement être un peu cinglée pour penser ne serait-ce qu'une infime seconde que la mission sera facile. Et pourtant, je ne me démonte pas. Je ne cherche même pas à tenter de faire des efforts pour respecter les codes de sa vie habituelle, parce que je veux que les choses viennent de moi. Et s'il y a bien une chose qui fait de moi la personne que je suis : c'est mon authenticité. Cette escapade est la mienne. Mon idée, mes responsabilités - même si j'espère secrètement qu'il n'y aura pas d'accrocs à signaler. La jeune femme semble tout de même sur la réserve et les petits regards qu'elle jette aux alentours le confirment largement. Il ne faut pas avoir inventé l'eau chaude pour comprendre qu'Olivia est justement en train de sortir de sa zone de confort. Mais ce n'est pas une si mauvaise chose, n'est-ce-pas ? « C’est vrai, pendant deux jours complets. Je ne sais pas si tu te rends compte de la chance que tu as. » Si je m'en rends compte ? Peut être un peu. Mais là, tout de suite, j'ai plus l'impression de partir à l'aventure avec une amie de longue date qu'avec une simple cliente, célèbre en plus. « Quel privilège ! » Un large sourire vient se dessiner sur mes lèvres alors que je ne peux m'empêcher de la regarder avec des yeux émerveillés, feignant d'être la personne la plus chanceuse de l'Univers. « Bon alors, tu me racontes ? C’est quoi le plan ? On est où, et qu’est-ce qu’on fait ? » C'est agréable d'avoir la sensation d'avoir le pouvoir, en quelques sortes. Et je compte bien en profiter pour me jouer un peu d'elle jusqu'à ce qu'on atteigne vraiment notre destination. « Ah, et j’espère qu’il y a un jacuzzi, parce que j’ai prévu mon maillot de bain. » Il y aurait eu de quoi faire sur place, sans grande surprise, mais c'est aussi bien si elle a déjà son maillot. Je reste de marbre, adoptant volontairement un visage tristement neutre pour ne rien dévoiler. « En plus d'être curieuse, Madame est exigeante. » Je lui adresse un petit sourire en coin avant d'ajouter, le plus naturellement du monde. « Je sais que tu as toujours l'habitude de tout avoir tout de suite, mais pour le coup, il va falloir te montrer patiente. » A croire que je suis en train de tester ses limites. C'est pas vraiment ça, mais la situation est amusante. « Je suis plutôt difficile en affaires. » Et je suppose que ce n'est pas pour rien si elle m'a choisi pour travailler pour elle, à la base. La suite du vol continue sur la même lancée, accentuant encore un peu plus la complicité qui s'est naturellement immiscée entre nous. Après l'atterrissage, nous empruntons un autre taxi pour arriver finalement devant le fameux domaine. Situé au bord du lac Wakatipu et offrant une vue imprenable sur les montagnes, cet hôtel haut de gamme se trouve à seulement quelques kilomètres de la ville et de l'aéroport. « Bienvenue au Matakauri Lodge ! » Je lève les bras au ciel en mode 'Tadam', non sans observer du coin de l'oeil la réaction de la jeune femme. Pour le coup, nous sommes rapidement accueillies comme des princesses pour venir récupérer nos bagages - et je pense qu'Olivia se sent déjà beaucoup mieux. « C'est un domaine très réputé dans le coin, surtout pour ses nombreux mariages. Il fallait impérativement que je te le montre, c'était pas possible autrement. » Qu'on se le dise, ce n'est pas n'importe quel mariage qui peut avoir lieu dans les environs. Et étrangement, j'imagine vraiment bien Olivia se marier ici. Mais elle n'a encore rien vu. Le personnel de l'hôtel nous guide jusqu'à la suite la plus luxueuse de l'hôtel, et je suis déjà toute excitée à l'idée de pouvoir envahir les lieux. « Pas déçue ? » J'espère vraiment que ma surprise fait son effet.

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Je ne sais rien de ce qui m’attend durant ces deux jours en terre inconnue. Et quelque part, ça donne un côté excitant à toute cette aventure, que je n’avais pas envisagé jusqu’à maintenant. Alors oui, je sais que tout ça est en préparation de mon mariage, et qu’aux yeux de Siam, c’est ‘pour le travail’ que nous sommes là. Mais je préfère ne pas trop y penser pour l’instant, au risque de voir ma bonne humeur déchanter. Déjà que la blonde prend un malin plaisir à jouer avec mes nerfs. « En plus d'être curieuse, Madame est exigeante. » Exigeante, moi ? Si peu. « Je sais que tu as toujours l'habitude de tout avoir tout de suite, mais pour le coup, il va falloir te montrer patiente. » J’observe son sourire suffisant sans un mot, prenant sur moi pour ne pas trahir mon agacement latent. Ça ne me ressemble pas vraiment de ronger mon frein, comme ça. Mais admettre qu’elle a raison serait encore plus douloureux, même si nous savons toutes les deux que c’est bel et bien le cas. Oui, j’ai l’habitude que tout me soit servi sur un plateau, et je n’aime pas les surprises. Mais c’est ce pour quoi j’ai signé en lui laissant carte blanche pour ce rendez-vous, en plus de toute l’organisation du mariage. « Je suis plutôt difficile en affaires. » « Ça a intérêt à valoir le coup. » finis-je par affirmer, d’une moue un peu boudeuse. Je n’ai aucun doute que ça vaudra le coup ; Siam a toujours été irréprochable jusqu’à maintenant. Mais je continue d’aller à la pêches aux informations, quitte à employer des méthodes de manipulations enfantines, se soldant toutes par un échec cuisant. Elle est, effectivement, dure en affaires. Et je n’ai pas vu le temps passer que nous atterrissons déjà.
L’ambiance est différente à Queenstown, je me sens déjà plus détendue en sortant de l’avion. Cette impression se confirme alors que nous embarquons dans un autre taxi qui nous fait longer un immense lac, et mes questions laissent place à un long silence, pendant lequel je m’imprègne de ces nouveaux paysages. Ce dernier trajet n’est pas très long, et nous découvrons finalement un grand complexe perché au bord de l’eau. C’est… okay, ça valait bien le coup. « Bienvenue au Matakauri Lodge ! » Je la regarde à peine, bien trop occupée à apprécier la vue sur le lac. Ça me rappellerait presque ma résidence de vacances dans les fjords norvégiens. Je remonte même mes lunettes de soleil sur mes cheveux, pour en prendre plein la vue, dans tous les sens du terme. « C'est un domaine très réputé dans le coin, surtout pour ses nombreux mariages. Il fallait impérativement que je te le montre, c'était pas possible autrement. » « Je comprends pourquoi. » Je finis par lui lancer un sourire complice, tout en suivant la jeune femme qui nous guide jusqu’à l’intérieur d’une suite luxueuse, à l’intérieur de laquelle nous attend un panier de fruits frais, entre autres. J’y pioche un litchi bien rouge, pendant que Siam me demande si je ne suis pas déçue. Et on ne peut pas dire que je le sois, en effet. « C’est pas mal… » Je me rapproche de la grande baie vitrée nous offrant une vue panoramique sur le lac. A l’extérieur, j’aperçois également la terrasse privative, avec piscine et jacuzzi. Ma question de tout à l’heure a bien dû la faire marrer, tiens. Et… C’est pas mal, ouais. « Si je continue à faire semblant d’être sceptique, tu vas continuer à vouloir m’impressionner ? » Je me retourne vers elle, tout en affichant un air amusé. Il faut dire que la voir se démener pour moi me plaît bien plus que je voudrais l’admettre. Enfin… se démener, mais pas trop quand même ; n’oublions pas qu’elle est enceinte. « Sinon, ton programme inclut l’option massage aussi ? Je crois qu’on a toutes les deux besoin de se détendre. » Qu’elle l’ait prévu ou non, je ne vais pas lui laisser le choix. De toute façon, cet hôtel est plus proche de mon monde que du sien - oserais-je dire que je suis rassurée ? -, et c’est encore moi qui paie la facture à la fin. Pas vrai ?

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Il faut bien l'avouer, en l'amenant ici, c'est un peu comme si j'abattais ma plus grande carte. Il n'y a pas vraiment de doute possible : ce domaine représente le lieu idéal pour accueillir son mariage. Pour être honnête, en Nouvelle-Zélande, il sera difficile de trouver mieux. Autant par rapport à la beauté des paysages que par rapport aux prestations proposées directement par l'établissement. En réalité, si le domaine ne lui plait pas, je ne sais pas vraiment ce que je pourrais lui proposer d'autre. Mais je suis confiante. Comment ne pas l'être quand l'hôtel met à notre disposition sa suite la plus luxueuse ? Forcément, ça aide un peu. Eux aussi savent qu'ils jouent gros sur ce coup-là. « C’est pas mal… » Juste "pas mal" ? J'arque un sourcil, légèrement dubitative. « Si je continue à faire semblant d’être sceptique, tu vas continuer à vouloir m’impressionner ? » Ok, elle est clairement en train de jouer de moi. Un sourire se dessine finalement sur mes lèvres alors que je me rapproche d'elle, profitant à mon tour de la vue sur le lac. « Ne profite pas trop de la situation quand même. » Je tourne légèrement la tête dans sa direction. « Tu risques de finir par y prendre vraiment goût, ce serait dommage. » Ajoutais-je en haussant naturellement les épaules. A mon tour de profiter un peu de la situation, histoire qu'elle ne soit pas la seule à s'amuser. A croire que ce petit jeu est devenu comme une évidence entre nous. Et je dois bien avouer que ça me plait - peut être un peu plus que de raison. « Sinon, ton programme inclut l’option massage aussi ? Je crois qu’on a toutes les deux besoin de se détendre. » Est-ce qu'elle est en train de se sentir comme un poisson dans l'eau ? J'en ai bien l'impression. Et en même temps, c'était un peu - beaucoup - le but recherché. « On est justement là pour tester et profiter de tous les services de l'hôtel. » Deux jours de détente absolue, le rêve. C'est dans ce genre de moments que je me rends compte à quel point j'ai de la chance de faire mon métier. Bon, je vous rassure tout de suite, ce n'est pas tous les jours que j'ai le privilège de passer un séjour dans un hôtel de cette envergure, tout ça, pour le travail. Le tra-quoi ? Ouais non, étrangement, je n'ai pas vraiment l'impression de travailler, là, tout de suite. Je sens même que cette parenthèse avec la jeune femme sera à dix mille lieux de ressembler à un quelconque rendez-vous professionnel... « Si tu veux, on peut faire un rapide tour des lieux et après on avise sur le programme ? » On a encore un peu de temps avant que ce soit l'heure de diner. J'en profite en même temps pour ouvrir la baie vitrée, et découvrir plus en profondeur la terrasse privative. « Heureusement que tu as prévu ton maillot de bain. » Je me moque ouvertement d'elle, laissant un rire amusé s'échapper d'entre mes lèvres. « Quoique... un bain de minuit, ça aurait été possible aussi. » Je ris de plus belle. « Ça va, il n'y a pas de paparazzis ici. » Par rapport à la sécurité au sein de l'hôtel, il n'y a aucun risque. Et avec l'intimidé que nous offre cette terrasse non plus. « C'est quand même magnifique. » Ouais... parce que si elle, elle trouve ça "pas mal", de mon côté, je suis clairement subjuguée par la beauté des lieux. « Il y a un spa et une salle de sport au sous-sol aussi. » Hammam, sauna, cabines de massage, piscine intérieure... la totale. « Je crois même qu'il y a une salle de cinéma. » Je retourne à l'intérieur de la chambre pour récupérer le catalogue qui trônait sur la table, avant de lui tendre, un large sourire aux lèvres. « Tu veux commencer par quoi ? » Je lui laisse carte blanche, ou presque.

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