avery - fire up the night

les informations en vrac

Avery a une peur inavouée de silence et du noir. Bien trop bavarde, toujours trop bruyante, ses éclats de rire peuvent en agacer plus d'un. Lorsqu'elle est seule chez elle, son enceinte est toujours en train de cracher de la musique et lorsque la nuit vient, la petite lumière tamisée de sa lampe de chevet ne s'éteint jamais. — Débordante d'une énergie fulgurante qu'elle s'efforce de canaliser durant la journée, elle se défoule en pratiquant le crossfit. Activité coûteuse, mais indispensable à son équilibre quotidien. — Si l'art la touche particulièrement, Avery n'a jamais réellement pu s'exprimer au travers de la peinture, du dessin, de la danse, de la mode ou même encore du cinéma. Pourtant, elle a su trouver dans la photographie des paysages et des corps une passion indescriptible. Sa manière à elle de transmettre toutes les choses qui ne peuvent pas être véhiculées par la parole. Personne ne connaît cette partie secrète de qui elle est, personne ne pourrait imaginer que l'objet le plus cher à ses yeux est son appareil photo. Elle a un compte Instagram anonyme où elle poste son art et qui rencontre son petit succès. — Avery n'est jamais tombée amoureuse. D'ailleurs, elle a souvent l'impression d'être anormale, incapable de ressentir les émotions comme tout le monde. Elle sait aimer des corps, apprécier des personnalités et se perdre dans les draps d'inconnus, mais elle fuit toute forme d'attache. Pourtant toujours entourée, il y a un sentiment de solitude permanent au creux de son cœur qui la terrorise parfois au milieu de la nuit. — Adepte de sensations fortes et de décisions douteuses, elle est la première à proposer des plans un peu bancals à ses amis. Toujours partante pour relever un défi, toujours la première à foncer tête baissée sans réfléchir. Son corps est souvent recouvert d'égratignures en tout genre, mais elle a réussi à éviter de réelles blessures graves. — Fidèle en amitié, peut-être parfois un peu trop jalouse, avec elle, c'est à la vie à la mort. Il n'est pas très compliqué d'obtenir son affection en réalité, pourtant, elle ne s'ouvre pas vraiment aux autres. Faire partie de son cercle d'amis proches, c'est comme partager son sang et elle ferait tout pour sa famille. — Si elle aime souvent prétendre que son manque de stabilité professionnelle ne l'inquiète pas, elle cache au fond une crainte de ne jamais réussir à trouver sa voie. Les études n'ont jamais été pour elle et rester assise derrière un bureau lui paraît l'équivalent d'une prison, pourtant les choses seraient certainement plus simples ainsi. Elle vit bien, mais les fins de mois sont parfois difficiles et le petit studio qui lui sert de logement lui donne souvent le sentiment d'étouffer. Pour l'instant, elle chérit trop sa liberté pour succomber au confort. — Avery aime séduire, se sent exister dans l'étincelle d'intérêt qui s'allume dans les yeux de celles et ceux qu'elle aborde. Elle se délecte du désir des autres et trouve un certain plaisir dans le jeu de la séduction, plaisir qui vire à la fuite dès que l'attention de la personne en face se transforme en quelque chose de plus intense et de plus profond. — Elle est allergique aux poils de chats, à son plus grand malheur. Cela ne l'empêche jamais d'aller caresser les petites boules à quatre pattes adorables et d'en ressortir avec des yeux suintants et une gorge serrée. — Avery est végétarienne depuis une dizaine d'années. Très sensible à la cause animale, extrêmement concernée par l'écologie, il lui est impossible de s'imaginer un jour remanger de la viande ou du poisson. Elle ne fait jamais la morale aux autres à ce sujet, ne s'exprime sur ses positions que si on lui pose la question. Très tolérante, elle est rarement dans le jugement d'autrui, même sur les valeurs qui l'animent au quotidien. — Fille de la capitale, amoureuse de l'effervescence de la grande ville, elle regrette parfois sa vie à Wellington. Elle n'a jamais vraiment avoué à personne la raison de son départ, mais elle avait besoin de s'éloigner de cette famille qu'elle adore, mais qui l'étouffait. Elle avait besoin de se découvrir face à elle-même, ni trop loin, ni trop proche de ses habitudes du passé. - Véritable phobique de feu, l'angoisse la tétanise lorsqu'elle est trop proche des flammes. Il y a une cicatrice blanchie par le temps qui recouvre sa main droite et qui ressemble à de la chair brûlée qui n'a jamais pu se reconstruire. Si on la questionne à ce sujet, Avery répond pourtant inlassablement qu'il s'agit pourtant d'une chute de vélo..

évolution du personnage

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