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contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
mars 2024
11° - 22 ° // du soleil est à prévoir !
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.


le jardin d'eden est un café/pâtisserie qui commence à se faire un nom à island bay.
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 the bear, the beast and the beer... [Joel]

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MessageSujet: the bear, the beast and the beer... [Joel] (#)   the bear, the beast and the beer... [Joel] EmptyLun 1 Mai - 6:09


   

   
❝The bear, the beast
and the beer...❞
   Erin & Joel
Wellington, Club clandestin de combat de rue, 21h30...

- Mes dames et Messieurs pour la deuxième fois ce soir, vainqueur par K.O romyyyyyyyyy!

Les hurlements de la foule me parvinrent de manière assez lointaine, étant encore sonnée par le dernier coup de mon adversaire... J'avais un gout de fer dans la bouche, alors que crachant l'excès de vitae qui dégoutait d'entre mes lèvres, je titubais vers l'entrée de la cage qui servait de ring aux combats clandestins. Cela faisait deux semaines que j'étais rentrée à Island Bay, et je retrouvais déja mes vieilles habitudes! Avant mon départ pour le brésil, je participais plus ou moins régulièrement à ces combats qui mêlaient professionnels et amateurs, désespérés et accros aux sensations fortes... Pourquoi? Tout simplement parce qu'à l'époque entre ces grilles à tort ou à raison, je me sentais vivante, en total contrôle de ma personne, et seule décisionnaire de mon destin! J'avais "réglé" pas mal de problèmes durant mon séjour au brésil, aussi cette fois ci, ma participation n'était elle due qu'à une nostalgie aussi tordue que bizarre... Une forte envie de vomir me prit au moment meme ou ma tête décida sans crier garde, de se mettre à tourner tel un carrousel. Me rattrapant de justesse sur le grillage de la cage, je fus happée par deux combattants qui m'aidèrent à sortir de là. Peu lucide, je me présentais au bookmaker qui me remis mon gain le sourire aux lèvres, celui ci venant de ramasser un beau petit pactole. Il faut dire que beaucoup avaient pariés sur la victoire du colosse, un ancien catcher qui avait fini fauché et oublié de tous. Il aurait d'ailleurs pu m'avoir ce con, si je n'étais parvenue à le fatiguer et n'avais su profiter de la seule ouverture qu'il m'avait présenté. Je dois dire que si il avait été de trois ans plus jeune, il m'aurait assurément mise K.O voir pire....

- Romy je te raccompagne à ta voiture! Tu n'es pas en état de marcher!!

Posant mon regard trouble sur GI joe, je lui répondis par un simple hochement de tète, ne pouvant rien faire d'autre. Une fois dans ma Trion Nemesis, je bloquais les portes et m'allongeais un court instant pour me refaire un peu, du moins était ce mon projet...

1h plus tard...

"(chant)... Et quand ton cœur se fait trop lourd, penses à moi mon amour, penses à moi...". M'éveillant doucement, je sentis peu à peu une lancinante douleur circuler tel du poison au travers de mon corps. Puis vint cette sensation de légère asphyxie qui me poussa à me redresser, élan qui fut stopper par la vision de kelly légèrement penchée au dessus de moi, son regard doux et réprobateur posé sur ma personne. Avalant avec difficulté ma salive, je me noyais dans les yeux de celle qui aurait dû porter à cette heure mon nom. (Ton doux et autoritaire) " Ne bouges pas, tu as au moins une cote cassée. (effleurant ma personne de son regard) Je pensais que tu en avais fini avec ces bêtises!?" Je ne dis mot, toute mon attention étant fixé sur ses yeux, sa bouche, sa peau, son être... Je sentais à peine la douleur tant je n'étais centré que sur elle. Chaque fois qu'elle m'apparaissait, je n'avais qu'une envie la toucher... Et pourtant ce simple geste m'effrayait au plus haut point, ayant peur de briser le charme, de porter mes doigts sur le vide et que plus jamais elle ne me revienne. Un son légèrement strident s'échappa d'entre mes lèvres, tandis que ma tète se mit à tourner légèrement et que ma vision se brouilla quelque peu. (Se penchant un peu plus au dessus de moi, ses yeux caressant mes lèvres, voix chaude résonnant dans l'habitacle) "Je crois bien que tu as besoin d'un peu d'air mon cœur..." Ses lèvres n'étant plus qu'à quelques centimètres des miennes... "Laisses moi t'aider..." Expirant avec difficulté, je clos mes paupières en attente de ce baiser que j'attendais depuis maintenant un an. Je pouvais sentir son souffle sur ma peau, presque avoir le gout de ses lèvres lorsque...

TOC TOC TOC

Ouvrant les yeux, je me retrouvais de nouveau seule et en asphyxie avancée. Me redressant brusquement non sans réveiller une douleur quasi inhumaine dans mon corps, je repris ma respiration toussant sous l'effort demandé. Toquant de nouveau à ma fenêtre GI joe m"exhorta à lui ouvrir. C'est alors que je pris conscience du ramdam à l’extérieur et des bruits de sirènes... "(Débloquant les portes) Tu vas devoir conduire, je ne suis pas en état... ( me glissant avec difficulté sur le siège passager) Et tu as intérêt à faire gaffer avec elle... (lui montrant la voiture) Sinon je te botte le cul jusqu'à Moscou!" Bouclant ma ceinture, je lui jetais un dernier regard avant que le véhicule ne s'ébranle...  

   
© Pando
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MessageSujet: Re: the bear, the beast and the beer... [Joel] (#)   the bear, the beast and the beer... [Joel] EmptyLun 1 Mai - 13:01

The bear, the beast and the beer...

Après moins d’une semaine sur l’île mes vieux démons avaient déjà refait surface. A Toronto, les combats illégaux c’était monnaie courante, l’arrière-cour de chaque bar digne de ce nom se transformait en une arène de gladiateurs plus déchirés les uns que les autres. Certaines venaient juste pour regarder. Voir des gringalets remontés par l’alcool, tituber les poings levés jusqu’à se manger une droite en plein dans les chicots par un vrai combattant, ça vaut son pesant d’or. Certains étaient justement pour parier sur leur poulain, et d’autres étaient là pour se battre. Moi.

A mon retour de la guerre, c’est la seule chose qui m’avait aidé à ne pas perdre la boule. J’étais rentré vivant, entier, alors que pas mal de mes collègues s’étaient fait liquider. Cette culpabilité, personne ne peut l'imaginer sans l’avoir vécue. Une putain d’injustice, pourquoi eux et pas moi ? Qui j’étais moi pour avoir cette chance ? Personne. Alors trois fois par semaine j’allais combattre, j’allais encaisser les coups, ressentir la douleur, infime comparée à celle qu’ils ont dû ressentir. J’en demandais toujours plus, provocant, narguant mon adversaire pour qu’il se donne à fond. J’encaissais jusqu’à ma limite, puis je lâchais la bête. Je relâchais toute ma colère, ma rage, c’était jamais beau à voir. Les acclamations cessaient à chacun de mes passages. Après plusieurs plaintes deux des clubs ne m’acceptaient plus.

Ma femme me croyait dans un club de free fight tout ce qu’il y a de plus légal. Si j’avais su putain, j’aurais passé chaque minute avec elle, chaque seconde à contempler son visage. Ma mâchoire se crispe, je ferme les yeux et balaye ce souvenir.

Les cris de la foule me sortent de ma torpeur. Dans la cage Romy, un ptit brin de femme qui ne paye pas de mine mais qui envoie comme un putain de bucheron. Sur ce coup-ci le gars l’avait pas épargné, un ancien catcheur je crois. Elle l’a eu à l’usure et le bougre n’avait rien vu venir. La gueule en sang elle s’avance tant bien que mal vers la sortie, je la récupère avec un autre gars pour l’amener récupérer ses gains. « C’est bon je m’en occupe ». Je traine Romy jusqu’à sa voiture et l’installe sur la banquette arrière. Une Trion Nemesis, je souris à la vision de cette voiture très tape à l’œil, m’attendant à voir débarquer Batman secourir Wonderwoman à l’arrière de sa Batmobile. Ca n’a jamais été ma came ces bagnoles, je me démerde pas mal mais moi mon truc ce sont les motos. Et plus particulierement ma Triumph Bonneville custom. Les sensations sont incomparables. On se sent tellement plus vivant, et en même temps si près de la mort…

Je laisse la belle à ses songes et repars près de la cage, mon tour approche. Les combattants s’affrontent, je suis le prochain. « Les flics! Tirez-vous ! » Le club se vide en un brouhaha assourdissant de cris, de tables renversées et de corps s’entrechoquant. Je regagne la voiture de Romy tant bien que mal, martelant la fenêtre pour la sortir de ses rêves. « Eh la belle au bois dormant bouge ! » Elle m’ouvre et semble rapidement prendre conscience des choses. Elle se glisse sur siège passager m’intimant de conduire à sa place au vu de son état. Génial…  « Et tu as intérêt à faire gaffer avec elle...  Sinon je te botte le cul jusqu'à Moscou! » Je lui souris relevant le sourcil tout en faisant mes réglages. « Ne dis rien que tu pourrais regretter petite ». Mettant ma prétention de côté je me concentre, ça doit bien faire six ans que je n’ai pas touché une bagnole. Parait que c’est comme le vélo… C’est parti…

J’enclenche la première, au même moment les gyrophares font leur apparition dans la ruelle, j’accélère, la bête est puissante, les pneus fument dans un crissement assourdissant. La voiture traverse la ruelle chassant du cul comme une prostituée, je vois Romy serrer la mâchoire et s’agripper à la portière. On prend près de 100 km/h en trois secondes, un frisson me parcourt l’échine, première fois en voiture. Je sers le volant un peu plus fort et passe les vitesses, les flics déboulent derrière nous, tout pimpon de sortie, je zigzag entre les voitures, prend à droite, à gauche ils nous collent toujours. « Hmm… » Un rire nerveux sort de mon corps, entrainant une vague inquiétude chez Romy que j’aperçois me fixer du coin de l’œil. Je pousse la voiture, testant ses limites, il y en a là-dessous. Je zigzague entre les voitures, les klaxons fusent. La distance nous séparant des flics s’agrandit, je continue de pousser serrant plus fort le volant que je sens vibrer, au moindre relâchement c’est le tonneau assuré. La brèche, le feu passe au rouge au moment où je le franchis, un coup de frein à main et nous voilà passer de la file de gauche à la droite direct dans une ruelle étroite. J’entends crissement de pneus et coups de klaxon, ils sont bloqués. Je ne relâche pas l’attention, je me faufile et passe de ruelle en ruelle baissant la vitesse progressivement jusqu’à trouver un coin tranquille. Je coupe le moteur. Les sirènes se font de plus en plus discrètes jusqu’à totalement disparaitre. Je me tourne vers Romy. « Le voyage a été agréable princesse ? ».





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MessageSujet: Re: the bear, the beast and the beer... [Joel] (#)   the bear, the beast and the beer... [Joel] EmptyMar 9 Mai - 4:05


 

 
❝The bear, the beast
and the beer...❞
  Erin & Joel
"(Débloquant les portes) Tu vas devoir conduire, je ne suis pas en état... ( me glissant avec difficulté sur le siège passager) Et tu as intérêt à faire gaffer avec elle... (lui montrant la voiture) Sinon je te botte le cul jusqu'à Moscou!" Je n'avais pas pour habitude de laisser mes proches conduire, alors allons voir un inconnu, mais là la situation ne se prêtaient guère aux manières, aussi bouclant ma ceinture, je jetais un regard mon "chauffeur" qui répondit à mon avertissement par un sourire moqueur... « Ne dis rien que tu pourrais regretter petite ». Ma petite??? Il était sérieux! Venant d'une personne qui se faisait appeler G.I Joe, y'avait de quoi gentiment glousser! M’apprêtant à lui dire de virer ses miches de ma voiture, je sentis celle ci s'ébranler, les pneus levant une fumée blanchâtre dans un crissement, avant que le bolide ne passe en trombe devant les premières voitures de flics... *Putin, ce sont des UHP de sport! ça coute un bras!!* J'étais pour faire de temps en temps quelques drift, mais là je venais d'investir dans des pneus qui limite me faisaient regretter d'avoir une Trion! Première ligne droite et premiers obstacles, je sentais le brun pas très à l'aise avec mon bébé, ce qui me fit supposer qu'il n'avait jamais conduit ce genre de bolide, ou qu'il était du genre moto et donc que c'était la grande rentré des classes pour lui... *Putin, faites que ça soit la première hypothèse!!* Instinctivement, je serrais la poignet de porte et jetais un regard sur le compteur de vitesse. Cent kilomètres/heure et je flippais déjà, ça promettait pour la suite... Je pouvais sentir l'électricité gravité autour de GI joe, mon regard glissant de sa mâchoire qui se serrait, à ses muscles qui se tendaient, et ses mains qui se resserraient avec plus de force sur mon volant. Dans un film d'action, c'est à ce moment là qu'on entendrait une musique entrainante du style épique, et que la passagère lancerait un truc du genre "Je ne te l'ai jamais dit avant, mais je t'aime Gi, je t'aime!" Sauf que l'on n'était pas dans un film d'action et que je ne comptais pas mourir ce soir, ou tout du moins pas à cause du manque d'expérience d'un ours mal léché!. « Hmm… » oh putin ça y est, il prenait son pied! je ne connaissais que trop bien cette sensation grisante de liberté, cette adrénaline qui vous monte des orteils aux pointes de cheveux, de cette sensation de puissance. Sa jugulaire gonflant sous l’affut de sang, je n’avais pas besoin de me pencher en avant pour apercevoir ses pupilles, que je savais d'avance dilatées. Le regarder ne me menait à rien, juste à paniquer un peu plus. Alors je reportais mon attention sur la route, voyais les voitures s'écarter, entendais les concerts de klaxons, et ces gyrophares qui ne cessaient de nous suivre tels un cortège de jeunes mariés. Le moteur rugit sous l'effort demandé, la voiture tremblant prise entre l'asphalte et la pression de l'air. Je serrais un peu plus fortement la poignet, lorsque je vis le trafique se faire plus dense et l'espace de manœuvre se réduire. Mais comme sous hypnose, le brun se glissa entre les véhicules, frôlant les carrosseries sans jamais les toucher, se jouant de ses poursuivant, faisant fi des insultes qui s'élevaient de toutes parts. Au loin, le feu se mit à clignoter signe d'un passage imminent au rouge et au vu de la fébrilité de mon compagnon de route, je savais qu'il ne freinerait pas. Il allait tenter de passer en force quitte à ce que ça casse, quitte à ce qu'on y passe... J'aurai pu protester, nous envoyer dans le décor en mettant ma main sur le volant, mais je ne fis rien... Brusquement, je me sentis submergée par une grande sérénité et tout ralentit autour de moi... Je n'entendais plus les gyrophares, les klaxons ou le moteur, je ne percevais que les battements de mon cœur et ma respiration lente et profonde... Lentement mes yeux se portèrent sur le rétroviseur pour y apercevoir kelly qui secouait sa tête exprimant sa désapprobation. Mon regard résigné se posa alors dans le sien révolté avant que le lien ne soit rompu par un clignement de paupière et la brusque projection de mon corps sur la gauche dû à un brusque coup de frein à main. Le bruit derrière nous annonça la fin de la course poursuite et c'est posant mon regard dans le rétroviseur que je confirmais mon intuition, constatant par le même la disparition de kelly. Ne perdant pas pour autant son rythme, le brun nous fit passer de ruelle en ruelle, jusqu'à ce qu'il ne réduise progressivement la vitesse, pour couper le moteur une fois dans un coin tranquille... « Le voyage a été agréable princesse ? » Je lui en foutrait bien du princesse, mais j'avais trop mal et j'étais épuisée... "Très! (ton moqueur) Il manquait un peu de douceur, mais... (le regardant de haut en bas) Ça n'a pas l'air d’être ta première qualité!" Me redressant légèrement sourire aux lèvres, je ne pus retenir un gémissement de douleur, mon corps me rappelant à l'ordre quant à mes priorités... Je n'avais aucunement l'envie de me rendre à l’hôpital, avec tout ce ramdam et les caméras de surveillance ça serait comme mettre une pancarte lumineuse et dire aux flics "wooohouuu, je suis là!" Humm, il ne me restais plus que l'option centre médicale de quartier, mais je savais d'avance qu'ils poseraient aussi pas mal de questions ou... "Écoutes... (posant mon regard dans le sien) je sais bien que tu me dois rien! Mais je crois que cet enfouaré m'a pété une cote... (grimaçant) Et bien qu'on ait échappé à la police, il te faut tout de même récupérer ton véhicule... (me tenant la cote, cherchant une position moins douloureuse) Dans cet état, je suis incapable de conduire, mais je connais un véto qui ne regarde pas trop à la clientèle, et qui est aussi l'ami des hommes aux gros billets vert! (regard doux) Donc si tu acceptes de me véhiculer, je te rémunèrerai, j'ai toujours du liquide sur moi... (me penchant ouvrant la boite à gant) Et j'ai l'argent du combat si tu veux, je te le donne aussi..." Me redressant rapidement, un desert Eagle en main, je posais un regard vif dans celui fauve du brun, dans lequel je devinais les intentions de riposte... "N'y pense même pas!  Je t'ai vu combattre et je ne crois pas me tromper en disant que tu es de la police ou militaire, mais je ne suis pas novice non plus et à l'instant même ou tu m'auras désarmé,  je t'aurai déjà tiré dessus (pointant l'arme sur sa cuisse droite) l'artère fémorale, ça ne pardonne jamais! (regard déterminé) Vu ton gabarit je dirai deux à trois minutes pour te vider complètement de ton sang... (ton calme) Écoutes, tu me déposes et tu peux meme te tirer avec la Trion. Tout ce que je veux, c'est un bon shoot de morphine et une bouteille de cognac!" C'était à lui de décider, mais j’espérais qu'il opte pour la solution qui ne verrait pas ma Trion se couvrir d'un rouge carmin et l'habitacle s'emplir d'une vilaine odeur de fer. 


 
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