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contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
mars 2024
11° - 22 ° // du soleil est à prévoir !
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.


le jardin d'eden est un café/pâtisserie qui commence à se faire un nom à island bay.
si vous voulez rejoindre l'équipe, les portes vous sont grandes ouvertes !

une fratrie de trois enfants attend d'être complétée.
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 Premier jour à IB, je dois marquer le coup !

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MessageSujet: Premier jour à IB, je dois marquer le coup ! (#)   Premier jour à IB, je dois marquer le coup ! EmptySam 22 Juil - 21:03

Premier jour à IB, je dois marquer le coup !

Maya Schepper


Bon, fallait bien que je me bouge pour visiter cette putain de ville. Après tout, j'allais pas rester dans ma luxueuse maison au bord de la plage que très peu de gens peuvent se permettre toute ma vie (ah que je suis dégueulassement riche). Fallait que je me trouve des gens avec qui m'amuser... et qui sauraient me supporter !

Ca me mettait vraiment la rage que mon père m'ait envoyé ici. Il devrait faire comme moi de temps en temps, profiter de la vie et se taper une bonne cuite, ça le décoincerait un peu. Et puis, il me comprendrait.

Alors que je marchai dans les rues d'Island Bay, mon nouveau chez moi, je dévisageai les passants, histoire de voir avec quelle genre de plèbe j'étais tombé. Et c'était pas joli.
Sérieusement, mon père aurait pu choisir un endroit moins pourri que ça pour m'y faire purger ma peine. On dirait tous des bobos wannabe, coincés du cul et prêt à tout pour se hisser en haut d'une échelle sociale pourrie. Enfin, je suppose que je juge trop.

Une fille passa près de moi. Ses goûts vestimentaires laissaient à désirer. Vraiment, j'insiste, une énorme faute de goût, avec ses collants couleur peau et sa jupe rose flashy. Je décidai de ne pas laisser passer ça, et lui lançai d'un air désinvolte :

« Eh, la Barbie cheap, oui, toi ! Tu t'es habillée sur Amazon ? Y'a qu'un proxénète qui validerait ta tenue, tu t'es vue ? »

Fier de moi, je ris d'un rire tonitruant en la regardant faire la moue, outrée, et se précipitée dans une direction aléatoire sans même avoir l'audace de me répondre.
Le soleil tapait haute dans le ciel dégagé.

C'était une belle journée, et j'espérais que personne ne vienne me la gâcher.

Je débouchai sur le marché d'Island Bay. Installé dans les rues de la ville, on pouvait y voir de nombreux étalages présentant toutes sortes de différents produits. Ce n'était pas trop mon truc, les marchés ; on ne sait jamais d'où les produits viennent vraiment. Si ça se trouvé, c'était un pauvre enfant chinois payé 2 cents de l'heure qui les avait fabriqués, avant que ce ne soit déporté dans des énormes camions aux normes hygiéniques douteuses pour enfin arriver ici.
Non merci, je préfère clairement mon luxe et mon confort. Mais je reconnu qu'il y avait beaucoup de choix.

Je me présentai devant un étalage, faisant mine de m'y intéresser. De nombreuses victuailles y étaient mises en valeur, et on pouvait lire sur de nombreuses pancartes « PRODUITS VEGANS » et toutes sortes slogans de propagande incitant le monde à rejoindre leur cause et à acheter leurs produits, pour, je cite « un monde meilleur et plus juste pour chaque être vivant ». Et comme si ce n'était pas assez, des tracts pour leur site web promouvant leur secte pro-vegan étaient déposés sur létalage à la disposition des passants. Dégoûtant de marginalité.
Le vendeur, qui avait un look déglingué de hippie défoncé constamment, était occupé à négocier avec une septuagénaire à la voix tremblante.
N'en manquant pas une, je m'esclaffai en étant sûr qu'ils m'entendent.

« Putain de produits de bobo ! »

A ma remarque, ils s'arrêtèrent tous deux en pleine conversation et tournèrent la tête vers moi, surpris.
Je ne leur laissai pas le temps de répondre.

« Vous en avez pas marre de laver le cerveau des gens avec ces conneries ? Mettez moi plutôt en valeur, là, ça vaudra le coup. »

Le vendeur, à présent énervé, commença à m'engueuler en criant des mots incompréhensibles et en faisant bouger ses dreadlocks dans tous les sens. C'était une scène parfaite que je venais de créer là, à mourir de rire.
Dans son méli-mélo de langage yaourt, je crus comprendre :

« VOUS N'AVEZ PAS HONTE DE DIRE DE TELLES CHOSES ?! »

Ce à quoi je répondis, d'un air désinvolte :

« Je ne sais pas je suis beau ! »

Et je ponctuai ma phrase par un duckface parfaitement réalisé. Le pauvre ne comprenait pas que je me foutais royalement de sa gueule.
La scène avait attiré le regard de nombreux passants, outrés par le scandale qui se déroulait sous leurs yeux.



Isalia (c) 16
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MessageSujet: Re: Premier jour à IB, je dois marquer le coup ! (#)   Premier jour à IB, je dois marquer le coup ! EmptyJeu 27 Juil - 18:31

X
Remington &Maya
La blonde n’était pas quelqu’un de violent, elle savait se battre et pouvait gagner haut la main grâce à ses nombreux cours de boxe ou de combats complets, mais elle évitait généralement d’avoir recours à la violence. Selon elle, la violence ne servait à rien, la situation ne s’arrangeait pas et finissait souvent par empirer. Elle songea à cela en quittant le salon de tatouage, voyant deux hommes se battre juste en face, alors qu’elle s’apprêtait à intervenir, le commerçant d’à côté s’interposa calmant les deux hommes avec fermeté. Il salua Maya de la main en l’apercevant, Maya qui lui demanda s’il avait besoin d’aide.

Face à son refus, elle insista légèrement avant de hausser les épaules puis de continuer son chemin. S’il estimait qu’il n’avait pas besoin d’elle, elle n’allait pas s’imposer comme une conne surtout qu’elle avait autre chose de prévu aujourd’hui. Elle devait aller faire le plein au marché, elle avait remarqué ce matin que son frigo était presque vide et si elle ne voulait pas mourir de faim, elle ferait mieux d’aller faire des courses aux marchés. Elle avait saisi son sac de course recyclé en partant ce matin et marchait tranquillement sous le soleil. Lunette de soleil sur le nez, elle profitait du climat, s’arrêtant pour saluer les sdf du quartier qu’elle connaissait adressant un petit mot à chacun d’eux. Le marché était assez éloigné du salon de tatouage, mais Maya aimait marcher. Elle aimait l’effort physique en général et elle avait du mal avec les personnes capables de rester des heures avachies sur leurs canapés. Elle ne courait pas partout en permanence, elle se posait aussi devant la télé tous les matins pour regarder les dessins animés, mais avant de se mettre devant la télé, elle avait fait du sport avant.


Arrivée au marché, elle ne perdit pas de temps entre les différents stands, elle était une habituée du marché et savait où trouver les produits qu’elle cherchait sans perdre du temps inutilement et connaissait les bons producteurs, ceux vendant des bons produits. Elle se dirigeait vers son stand vegan favoris lorsqu’elle entendit des éclats de voix. Curieuse, elle s’approcha pour voir les deux hommes qui hurlaient à travers tout le marché ayant provoqué un petit attroupement autour d’eux.


Bizarrement, elle ne fut absolument pas étonnée de découvrir le visage du jeune homme qui avait commencé la dispute, il s’agissait d’un de ses clients qui ne se prenait pas pour de la merde. Un gamin de riche qui ne connaissait pas le mot non. Pourri par papa qui devait sûrement l’entretenir, ce qui permettait au jeune homme de juger les autres, de passer son temps à s’occuper de lui. Parce que oui, selon les dires du jeune homme sont activités préférées était de s’occuper de sa beauté ou se regarder dans un miroir.


Maya ne savait pas vraiment s’il était sérieux ou s’il disait cela pour provoquer. Elle ne savait pas non plus s’il s’agissait d’un manque de confiance en lui, un moyen de se faire remarquer par son père. Le jeune homme la laissait vraiment perplexe. Elle décida d’avancer vers le vendeur en le voyant perdre son calme, lui adressant un doux sourire pour lui faire retrouver  son calme. Elle se tourna ensuite vers son client avant de prendre la parole.


Vous n’avez décidément pas changé, laisse tomber Xavier, le mec m’a raconté pendant des heures à quelle point il était beau. Je ne sais pas s’il est sérieux, s’il essaye d’attirer l’attention de son géniteur, s’il manque de confiance en lui. Je pense qu’il s’agit d’un masque qu’il porte, enfin vous allez sûrement nier et partir sur vos grands chevaux, mais je pense que je vise juste. Votre tatouage va bien ? Il sublime toujours autant votre beauté ?






B-Ever
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