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contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
mars 2024
11° - 22 ° // du soleil est à prévoir !
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.


le jardin d'eden est un café/pâtisserie qui commence à se faire un nom à island bay.
si vous voulez rejoindre l'équipe, les portes vous sont grandes ouvertes !

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 it's always easier to lie than to be honest (tess&nilo)

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MessageSujet: it's always easier to lie than to be honest (tess&nilo) (#)   it's always easier to lie than to be honest (tess&nilo) EmptyMar 20 Juin - 17:13

it's always easier to lie than to be honest
Riley & Tess & Nilo

Elle a eu une longue journée de cours et une longue semaine. Elle a eu exceptionnellement une conférence qui a duré l’entièreté de la matinée et la majorité de l’après-midi. Sa concentration l’a vidée de toute son énergie et elle se retrouve chez elle complètement lavée, incapable de savoir si elle sera capable de tenir sur ses deux pieds plus longtemps. Ces dernières journées se sont avérées être relativement difficiles, car ses symptômes n’ont cessé de se manifester quotidiennement. Elle n’en peut plus, et elle doit avouer commencer à avoir réellement peur. La fatigue et les nausées ont eu raison d’elle. Elle ne supporte pas le fait de ne plus avoir contrôle sur son propre corps, et elle a la fervente conviction que son angoisse joue un grand rôle sur ses états d’âme. Elle angoisse parce que sa meilleure amie a été admise à l’hôpital après une tentative de suicide qu’elle n’a jamais vue venir. Elle s’est sentie si horrible de ne pas avoir été près d’elle lorsque les choses sont devenues insupportables. Elle s’en veut de ne pas lui avoir porté l’attention dont elle avait besoin en remettant toujours à demain leurs rencontres, et ce, même si elles vivent qu’à quelques adresses de distance. Elle n’a pas été une meilleure amie digne, et c’est avec une sincère culpabilité qu’elle l’a revue dans un état de vulnérabilité extrême. C’a été insupportable de la voir ainsi et ses mots bienveillants n’ont pas suffi pour taire les remords qui règnent désormais en elle. Ses pensées ne font que converger vers ceux-ci, d’autant plus qu’elle a elle-même des doutes sur ce qui se passe réellement en elle. Et certes, je ne fais pas allusion à ce qui se passe au niveau sentimental, mais plutôt physique. Les symptômes commencent à être de plus en plus éloquents, d’autant que le retard de ses menstruations ne font qu’exacerber la peur qu’elle ressent vis-à-vis ce qui devient une évidence même. Elle n’ose pas acheter de test de grossesse, n’ose pas consulter et n’ose pas en parler. Riley craint trop du verdict qui tombera, même si elle est parfaitement consciente que tôt ou tard, elle devra se résoudre à consulter. L’espoir s’est estompé, lentement détruite par cette réalité qui devient de plus en plus indéniable. L’étudiante sent même qu’elle a gonflé un peu et ses seins sont plus sensibles qu’à la normale, d’autant plus que les nausées ne peuvent que confirmer la direction que prend son corps. Elle le sait, elle le sent. Elle ne sait pas quoi en faire.

Couchée dans son lit en train de lire un livre, bercée par de la musique classique qui remplit l’appartement d’une douce mélodie, elle cherche à taire ses inquiétudes. La porte d’entrée s’ouvre subitement, signe que Nilo vient tout juste d’arriver de sa journée de travail. “Coucou”, lui lance-t-elle sans dévier son regard de son bouquin. Son visage angélique se manifeste devant l’embrasure de sa porte de chambre et forcément, elle est incapable de ne pas détourner son regard pour rencontrer le sien. Il vient la voir pour l’embrasser doucement, question de la saluer convenablement. Petite fille rusée qu’elle est, elle attrape sa chemise et le fait tomber sur elle dans le lit tout en riant machiavéliquement. “Pris au piège!”, s’exclame-t-elle en rigolant avant de déposer ses lèvres sur les siennes à nouveau. Leur baiser devient de plus en plus langoureux et l’étudiante se risque à défaire sa chemise malgré sa fatigue plus que palpable. À son tour, il lui retire son chandail et désagrafe son soutien-gorge qui se retrouve à valser ailleurs dans la pièce. Ses jambes s’enroulent autour de son bassin tandis qu’il s’aventure dans son cou, suçant délicatement sa peau absente d’imperfection. Elle soupire sous l’effet du contact de ses lèvres contre elle. Quand il l’embrasse dans cette région, elle en devient toujours hystérique. Il se risque à explorer les alentours en déviant son chemin vers une région un peu plus basse. Alors qu'il s'attaque sauvagement sa poitrine qu’il embrasse sans vergogne, suçant impitoyablement ses tétons (ce qui l’excite normalement), elle gémit de douleur. Il arrête automatiquement ce qu’il est en train de faire, interrogent du regard une Riley dénuée d’explications. “Je… ma poitrine est sensible… Je crois que c’est parce que j’aurai mes règles très bientôt”, souffle-t-elle pour s’expliquer. Sauf qu’elle n’a jamais été sensible à ce point, pas même lorsque ses symptômes pré-menstruels lui donnaient l’air d’un vrai diable. Toutefois, elle ne peut possiblement pas lui dire la vérité. Elle n'est pas prête à ça, pas prête à devoir mettre une réponse finale sur ce grand questionnement.
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MessageSujet: Re: it's always easier to lie than to be honest (tess&nilo) (#)   it's always easier to lie than to be honest (tess&nilo) EmptyMar 20 Juin - 20:35

It's always easier to lie than to be honest
Nilo, Riley Harris & Theresa Halliwell

La journée avait été harassante. Après quatre heures non-stop de cours auprès de mes cinquième année, j’avais dû manger en dix minutes top chrono avant de courir vers la salle de réunion où nous nous étions tous regroupés, membres enseignants de doctorants toutes disciplines confondues, c’est-à-dire histoire et archéologie, lettres modernes, sciences humaines, sociologie et j’en oubliais bien d’autres. Ah oui, bah photographie, bien sûr. J’avais manqué de m’endormir tellement la discussion avait été passionnante, alors que je fus interrogé par le président de l’université afin que je transmette mes observations quant au nouveau système de notation que nous avions tous mis en place et qui pourrait concerner uniformément toutes les disciplines. Ce fut un long travail de recherche et de remise en question, choses qui n’étaient pas évidentes lorsque nous n’avions pas un vrai diplôme de vrai docteur. Mais j’avais fait du mieux que possible et m’étais creusé la tête pour arriver à un résultat visiblement plus que satisfaisant. Si j’avais truqué mes diplômes à ma sortie de prison, il n’en demeurait par moins que par chance je parvenais vraiment à sembler posséder ce diplôme que je n’avais pourtant pas, n’étant en réalité qu’un Master. C’était déjà pas mal, oui, mais pas suffisant. Cinq ans d’études, ça n’était pas assez pour enseigner, et encore moins au niveau où j’exerçais. C’est ça qui me faisait toujours drôle lorsque je devais donner cours aux sixième, septième et huitième année : j’étais moins diplômé qu’eux, et pourtant, sans qu’ils ne sachent le pot-aux-roses, je recevais leur reconnaissance et leur admiration. Choses qui étaient, honnêtement, assez grisantes. La réunion prit fin quelques minutes avant que je ne fasse cours à nouveau à quatorze heures, pour quatre nouvelles heures de cours. Les deux dernières furent les plus assommantes. J’avais une classe de Travaux Dirigés de troisième année qui devait présenter leurs travaux quant à la préparation de l’exposition les concernant. Les premières années avaient dû le faire quelques semaines auparavant, et j’avais eu l’immense « chance » de rencontrer la famille Harris, et notamment le père que je connaissais fort bien puisqu’il avait été l’un des principaux instigateurs de ma mise en prison lorsque j’avais vingt-deux ans. Heureusement pour moi, il ne m’avait pas reconnu. Il fallait dire qu’il en avait vu défiler du monde en seize ans, et même si mon visage lui était cependant familier, il ne m’avait pas associé à son travail. Serait-ce une question de temps ? Je l’ignorais. Une chose était certaine en tout cas : j’allais me tenir à l’avenir très loin de cet homme, et prier jour et nuit pour que Riley ne décide jamais, un beau jour, de me les présenter sous l’angle nouveau que représentait notre couple et non notre relation de professeur à élève. Car non seulement Monsieur Harris me haïrait pour avoir « perverti » sa fille, pour m’être mis en couple avec elle malgré nos dix-huit ans d’écart – ce qui faisait que je pouvais donc à mon tour être son père – et pour reconnaître enfin mon visage qui lui reviendrait un jour indubitablement en tête.
Je m’étais rendu compte que j’avais failli ne pas prêter la moindre attention à l’exposition à tour de rôle de mes étudiants, mais ayant les capacités intellectuelles de faire plusieurs choses en même temps – ce dont doutait une Riley bien moqueuse – je les remerciai à tour de rôle, donnai mes impressions et mes observations, et leur confiai à chacun de nouveaux conseils pour parfaire leur travail qui serait décisif pour eux. En effet, cette classe de troisième année offrait un diplôme professionnalisant, puisque le cursus était partagé en trois diplômes : celui de Licence professionnelle, de Master professionnel puis de Doctorat qui, lui, donnait la perspective de pouvoir faire de la recherche et d’enseigner.
Lorsque l’heure vint enfin de sonner, je lâchai un long soupir et rangeai mes affaires. Je débranchai le rétroprojecteur, l’éteignis ainsi que mon ordinateur portable que je rangeai dans mon sac à bandoulière, pour qu’enfin mon trieur avec toutes mes notes papier puissent rejoindre leur place à leur tour dans le sac. Je fermai la classe derrière moi, saluai mes derniers élèves et pris tranquillement la route de l’appartement de Riley. Avant cela, je fis une pause bureau de tabac, et me prit deux paquets de Marlboro classics. Puis je fis un détour pour me diriger vers mon appartement dans lequel je n’avais plus le droit de pénétrer à cause de mes impayés, et frappai à la porte de mon « aimable » propriétaire à qui je donnai l’argent pour continuer de garder le lieu avant qu’il ne me foute soit définitivement à la porte, soit qu’il me permette enfin d’y revenir puisque j’avais payé une somme pour le moins importante malgré l’insalubrité de l’endroit. Ce type était un vrai arnaqueur malhonnête, mais je n’avais pas d’autre choix pour le moment. Je prenais chaque jour le journal quotidien pour chercher un nouveau logement, mais rien n’entrait dans mes frais à moins que je n’arrête définitivement tous mes abus de drogue, alcool et cigarette. Et depuis que je vivais chez Riley, je parvenais à rembourser peu à peu mes dettes puisque je ne pouvais plus consommer. Je m’offrais juste des clopes, ne pouvant décemment pas freiner sur ce sujet. Pour les autres, je craignais que ça ne soit qu’une question de temps, tant ils me manquaient… Mais d’un autre côté, prendre du recul me permettait de commencer une certaine auto-thérapie. Serait-elle suffisante, tout n’était qu’une question de temps pour le savoir. Lorsque tout fut en règle et mes quelques dollars gagnés remis à cet escroc, je pris la route de l’appartement de Riley que je rejoins trente minutes plus tard. Je frappai comme toujours poliment à la porte fermée à clé, l’ouvris avec le double et pénétrai dans l’appartement dans lequel chantonnais un air de Vivaldi. Ne voyant pas Riley dans le salon, je pris la direction de la chambre et lui offrais un « Coucou » fatigué mais teinté de bonne humeur. Mon regard croisa le sien et je lui offris un beau sourire, avant de poser mon sac dans le coin de la porte et de me diriger vers elle afin de déposer un baiser sur ses lèvres. Toutefois et sans que je ne m’y attende, elle m’agrippa par la chemise et m’attira de toutes ses forces contre elle en lâchant un cri de victoire. J’éclatai franchement de rire et lui répondis :

« Non mais ça ne va pas toi ! » Lui dis-je avant qu’elle ne m’embrasse à nouveau.

Et plus notre baiser dura, plus il gagna en intensité. D’un simple salut quoiqu’amoureux, je sentis peu à peu mon souffle s’accélérer au rythme de mon cœur, et lui offris un baiser de plus en plus enflammé. Je sentis tout à coup ses petits doigts experts défaire ma chemise, tournure que j’adorais dans ce type d’évènement. Mes lèvres quittèrent les siennes et je l’embrassai à la commissure des lèvres, puis descendis le long de son cou. Puis je me redressai en l’attirant vers moi, et détachai un instant mes lèvres des siennes pour lui retirer son haut et retrouver ses lèvres tout en défaisant son soutien-gorge. Puis je la rallongeai sur le lit, moi au-dessus, et ses jambes s’enroulèrent autour de mon bassin tandis que je m’afférai à embrasser ses seins que j’aimais tant. Ma langue jouait autour de ses tétons que je mordillais avec un plaisir… non partagé ?

« Ça va ? Je t’ai fait mal ? » Lui demandai-je, embarrassé.

Riley me répondit que sa période rouge était certainement imminente, période durant laquelle son caractère déjà bien trempé se faisait d’autant plus ressentir.

« Ah, Mister Hyde ne va pas tarder à arriver, donc... » Lui dis-je pour la taquiner avant de l’embrasser à nouveau.

« Bon, et bien je vais faire très attention alors. » Lui dis-je en laissant mes doigts descendre la petite fermeture éclair de sa braguette de pantalon.

Tout à coup cependant, nous entendîmes frapper à la porte d’entrée. Nous redressant, je lui demandai :

« Tiens… Tu attendais quelqu’un ? »
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MessageSujet: Re: it's always easier to lie than to be honest (tess&nilo) (#)   it's always easier to lie than to be honest (tess&nilo) EmptyMer 28 Juin - 23:03



It's always easier to lie than to be honest
Les deux cousines & Nilo

Une claque, je me suis prise une bonne claque. Jamais je n'aurais cru que ce jour arriverait. Il m'a déjà menacé de le faire plusieurs fois à coup de 'ça te remettrait les idées en place' ou encore de 'ça t'apprendrait le respect'. Mais jamais il n'était passé à l'acte, il avait toujours fini par se calmer, mais pas cette fois. Tout ça pourquoi ? À cause d'une pauvre soirée, j'étais allée chez mon amie Clélia et j'ai fini par y passer la nuit. Alors oui, j'avais fait le mur (oui parce que bien sûr monsieur m'avait privé de sortie quand je lui avais dit vouloir arrêter mes études pour devenir comédienne), alors oui, je n'avais prévenue mais est-ce que ça méritait vraiment d'en venir à des extrémités pareilles ? Quand j'étais à la maison, ce matin là, il m'attendait. Il a commencé à hurler, à me demander ce que j'avais fait pour passer la nuit dehors. Je ne disais rien jusqu'à qu'il sous-entende que la 'petite catin que je suis', je cite, ait allé passer la nuit auprès d'un garçon si ce n'est plusieurs. Outrée et profondément blessée qu'il puisse penser ça de moi, je l'ai insulté de tous les noms, c'est là qu'il m'a frappé. Ce n'était qu'une claque, certes, mais il a réussie à me faire tomber par terre. Rien de bien étonnant quand on sait que mon père est un grand sportif, militaire de surcroit : il a une force du diable. Il semblait lui même choqué de ce qu'il avait fait, j'ai profité de son inertie pour partir de la maison en courant. J'ai bien essayé d'aller chez Julian mais il n'était pas chez lui alors je suis allée voir un de mes nombreux nouveaux amis. Et il m'a filé de quoi me défoncer. Ce n'est pas dans mon habitude de fumer, non, bien au contraire, mais là, j'avais juste envie de tout oublier. Alors je me suis posée dans un coin tranquil avec lui et nous avons discuté de tout et de rien toute la journée. Il m'a demandé d'où me venait la marque sur mon visage, je n'ai pas répondue. Il a fini par recevoir un appel important et il est parti. Je me suis retrouvé seule, désespérément seule. Pendant quelques secondes, l'idée d'appeler ma soeur m'a traversé l'esprit jusqu'à ce que je me rappelle que nous ne sommes pas en si bon terme que ça en ce moment. Alors, je me suis dit que je pourrais appeler ma cousine mais j'ai fini par me raviser. Je vais faire même mieux que ça, je vais aller chez elle. Je passe tout le temps à l'improviste, ça ne devrait pas trop l'étonner. Alors, je me mets en chemin. Complètement défoncée, je me perds deux fois avant d'enfin arriver devant la porte de son appartement. Je toque plusieurs fois. "Riley c'est moi ouvres !" Au final, je décide de ne pas attendre qu'elle daigne lever ses fesses, je prends mes aises et ouvres la porte comme si j'étais chez moi. Quand j'entre, j'aperçois un homme que je connais pas. "Inconnu au bataillon tiens." Je souris de toutes mes dents. "Vous devez être le prof sexy, non ?" Je le pointe du doigt. "Bonjour !" Je ris dans ma barbe, sans raison aucune. "Désolée de vous interrompre, quoi que vous faisiez mais... J'ai vraiment eu une journée pourrie." C'est le cas de le dire.
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MessageSujet: Re: it's always easier to lie than to be honest (tess&nilo) (#)   it's always easier to lie than to be honest (tess&nilo) EmptyVen 30 Juin - 20:56

it's always easier to lie than to be honest
Riley & Tess & Nilo

Ce moment qui se veut à la fois tendre et coquin voit sa dynamique être légèrement transformée lorsque la jeune femme gémit de douleur sous les attaques sensuelles de son amoureux. Normalement, elle aurait pris un plaisir fou à sentir sa langue parcourir sa poitrine et ses lèvres la  caresser avec une virulence à tout casser. Mais à ce moment-là, cette région est tellement sensible qu’elle ne lui laisse pas la chance d’en ressentir quelconque plaisir. Elle prétend être bientôt victime de la gronde de mère nature, alors qu’elle sait très bien que ses menstruations ne viendront pas. Certes, l’étudiante n’en a pas eu la confirmation. Il n’en demeure pas moins qu’elle a la certitude d’être enceinte. Incapable de lui faire part de sa crainte, elle opte pour un mensonge qui semble passer crème. “Attention à ce que tu dis, parce que Mister Hyde va te faire vivre l’enfer sinon!”, lui lance-t-elle en rigolant avant de retrouver ses lèvres. L’intensité semble reprendre les rênes du moment et tout doucement, Nilo s’attaque à la braguette de son pantalon qu’il défait avec une lenteur torturante. Malgré le chaos qui règne dans son esprit, elle demeure toujours aussi assujettie à l’attraction qu’il exerce sur elle. Elle se laisse faire, contemplant avec excitation son regard de braise jusqu’à ce qu’elle entend des coups sur la porte d’entrée. Riley lève les yeux vers Nilo, toute aussi intriguée que lui. “Non, je n’attends personne”, lui dit-elle avant d’entendre d’autres coups. Alors qu’elle se lève, rattache sa braguette et remet son t-shirt sans son soutien-gorge, elle entend la voix de Tess qui retentit  à travers la porte. Sans même prévenir, sa cousine pénètre le logement au moment où l’étudiant rejoint l’entrée suivie par son enseignant. À peine pose-t-elle ses grands yeux bleus sur celle qu’elle aime comme la soeur qu’elle n’a jamais eue, elle constate immédiatement que celle-ci est sous l’influence de drogue. Vient-elle de ruiner sa partie de jambes en l’air avec son amoureux pour devoir s’occuper de sa cousine qui déconne? D’une certaine façon, Riley est à plaindre pour ce comportement dépravé récemment adopté par Tess. Elle devait bien se douter qu’en l’amenant dans différente soirée, l’incitant à boire et à fumer des joints avec elle ne la ferait certainement pas tourner en une étudiante modèle, bien au contraire! “Ouais… Nilo voici Tess, Tess, Nilo”, dit-elle en les pointant chacun leur tour pour faire les présentations officielles. “Non non ça va. On était euhmm.. Enfin, rien. Non ça va. Qu’est-ce qui s’est passé?”, lui demande-t-elle en prenant sa main pour la guider jusqu’au salon. Alors qu’elle attend qu'elle s'installe confortablement dans son salon, l’étudiante s’éclipse à la cuisine, l’oreille toujours tendue pour sa cousine, et remplit sa bouilloire d’eau chaude pour servir du thé. D’un signe de doigt, elle demande à Nilo de venir la rejoindre et elle lui chuchotte: “Je crois qu’on ne choisit jamais nos moments.” Elle retient ses ricanements puis se retourne pour poursuivre sa besogne, question d’apporter un petit remontant à sa cousine qui lui semble bien désemparé. “Quelque chose avec ton père?”, lui demande-t-elle en apportant un plateau garni de tasses, d’une théière et de sucre. “Ou avec Julian…”, souffle-t-elle en arquant le sourcil, sa cousine se doutant que son meilleur ami en pince pour elle. “Ça t’embête si Nilo se joint à nous ou…?”, lui demande-t-elle avant qu’elle n’entame son récit, ne voulant pas laisser son petit-ami s’enfermer dans sa chambre.
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MessageSujet: Re: it's always easier to lie than to be honest (tess&nilo) (#)   it's always easier to lie than to be honest (tess&nilo) EmptySam 1 Juil - 23:27

It's always easier to lie than to be honest
Nilo, Riley Harris & Theresa Halliwell

Pourquoi fallait-il que ça tombe dans un moment pareil… ? Riley et moi commencions à peine par être plongés en pleine intimité, et il fallait que quelqu’un frappe à la porte. Intrigué, je demandais à Riley si elle avait oublié un rendez-vous, mais il s’avérait qu’elle non plus ne voyait pas de qui il pouvait bien s’agir. Nous nous rhabillâmes rapidement avant que ma dulcinée ne quitte le canapé pour aller ouvrir la porte. Une jeune femme noire plutôt très jolie apparut, et semblait être dans un état assez… approximatif. Etat que je connaissais plus que très bien pour le vivre moi-même la majorité du temps. Il ne me fallut qu’un coup d’œil pour voir qu’elle était totalement pétée, et deux coups d’œil pour voir qu’il ne s’agissait pas d’alcool mais de drogue. Les yeux défoncés, elle me toisa de son regard noisette et jugea que je lui étais inconnu, ce qui était bel et bien le cas. Je ne pus m’empêcher de sourire lorsqu’elle me demanda de lui confirmer que j’étais bien le prof « sexy », et répondis à Riley :

« Alors c’est comme cela que tu me présentes à tes amies ? » Lui demandais-je, sincèrement flatté.

Ma petite blonde confirma la chose et me présenta à cette certaine Tess. Je la saluai d’un beau sourire et d’un hochement de la tête, avant de me mordre la lèvre pour m’empêcher de rire lorsque Riley essaya de justifier brièvement ce que nous étions en train de faire, avant d’aviser très justement de se taire sur ce point et de demander à Tess ce qui lui arrivait, celle-ci prétextant qu’elle avait eu une journée pourrie. Vu ce qu’elle semblait s’être mis, à moins qu’elle ne tienne pas la drogue comme la plupart des gens, elle lui avait répondu que la raison d’un tel comportement justifiait une journée merdique. Les mains dans les poches, je décidai de les laisser seules, avant que ma Riley ne me fasse un signe de l’index pour m’inviter à la rejoindre dans la cuisine. Elle me murmura à juste titre que l’on ne décidait jamais nos bons moments pour coucher ensemble, ce à quoi je répondis en baissant brièvement les yeux et en haussant les sourcils dans un léger rire discret.

« Je ne te le fais pas dire. A croire que notre vie sexuelle doit être maudite. » Lui murmurais-je à mon tour.

Elle apporta le thé qu’elle venait de préparer sur un plateau, et se dirigea vers le salon où elle posa les tasses et le sucre ainsi que la théière. Elle demanda à la jeune femme qui devait avoir sensiblement son âge, plus ou moins car je n’étais pas très doué pour donner un âge aux gens – non je préfère préciser que ça n’est pas par ce genre d’erreur que je suis sorti avec Riley, ni par erreur tout court – s’il s’agissait d’un problème avec son père, ou bien avec un certain Julian. Je m’apprêtai à m’éloigner lorsque Riley lui demanda si je pouvais rester. Mais avant que son amie ne réponde, je préférai leur dire :

« Non ne vous inquiétez pas, faites comme si je n’étais pas là. Je vais dans la chambre, j’ai des cours à terminer et d’autres à peaufiner. Prenez votre thé et discutez tranquillement, les filles. » Répondis-je dans un clin d’œil complice envers ma blonde.

Je retournai dans ma chambre et refermai la porte derrière moi. Lâchant un soupir, ma foi plutôt dégoûté de ne pas avoir pu aller au bout de l’acte avec Riley alors que j’en mourrai d’envie, je me résolus à attraper mon sac à bandoulière, sortir mon ordinateur portable que je posai sur le lit, ainsi que mon trieur. J’ouvris ce dernier et consultai mes notes indiquant les derniers points de mes PowerPoints à retoucher pour les cours des troisième année afin que ceux-ci soient définitivement terminés, et constatai avec joie que c’était-là la dernière chose à faire avant de terminer par corriger mes derniers clichés que je n’avais pas eu le temps de finir. Sachant qu’il me restait plus de deux semaines pour ce faire, je constatai avec joie que j’étais très large, moi qui ne procrastinais jamais. Je commençai alors mes travaux, ce qui me prit une bonne heure et demi, puis corrigeai les fautes d’orthographes, car projeter des diapositives bourrées de fautes… et bien très peu pour moi. Cela faisait tout sauf sérieux, et je détestais cela. La musique reliée de mon MP3 à mes oreilles diffusait du Green Day, et peu à peu je sentis mes paupières se fermer. Cela tombait bien, il ne me restait à présent plus que trois photographies faites par un de mes Masters à commenter, et je serai définitivement prêt pour tous les cours à venir dans un futur plus ou moins proche. J’éteignis mon ordinateur, rangeai ma paperasse dans mon trieur et dégageai tout ça de mon lit avant d’éteindre mon MP3 et de m’allonger sur la couette si moelleuse. Peu à peu je sentis le sommeil m’emporter, doucement bercé par les voix lointaines et incompréhensibles des filles qui n’avaient pas besoin de moi pour se confier l’une à l’autre. Au contraire même.
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MessageSujet: Re: it's always easier to lie than to be honest (tess&nilo) (#)   it's always easier to lie than to be honest (tess&nilo) EmptyDim 16 Juil - 19:07



It's always easier to lie than to be honest
Les deux cousines & Nilo

"Alors c’est comme cela que tu me présentes à tes amies ?" J'ai l'étrange sensation de n'être qu'à moitié là, c'est comme si je flottais au dessus de moi-même et que j'étais spectatrice et non actrice dans cette scène. ''Ouais… Nilo voici Tess, Tess, Nilo.'' Je me force à hocher la tête mais ça me demande un effort sur-humain. "Atends... Lui c'est Nilo ou Tess ?" Et j'éclate de rire. "Ça va je rigole !" Je suis peut-être dans un état peu fameux mais pas à ce point, j'avais seulement envie de taquiner un peu ma cousine. C'était drôle, non ? ''Non non ça va. On était euhmm.. Enfin, rien. Non ça va. Qu’est-ce qui s’est passé ?'' Je hausse un sourcil hilare alors qu'elle me guide jusqu'au salon où je m'affale littéralement sur le fauteuil. "Encore désolée de vous déranger en plein 'euhmm enfin rien' mais..." Je souris de toutes mes dents, fière de ma réplique. Si elle croit que je ne sais pas exactement ce qu'ils étaient en train de faire ou que tout du moins je ne le devine pas, elle se met le doigt dans l'oeil. Je ne suis pas si bête, juste un brin défoncée. Mais qu'un brin alors. Je prends alors conscience que ma phrase n'était pas fini mais je n'arrive néanmoins pas à me rappeler ce que je viens de dire... Dur, dur de trouver alors comment la terminer. Je lève les bras en l'air en signe de reddition alors que Riley se dirige vers la cuisine accompagnée de Nilo. Tant pis pour la phrase ! J'attends ce qui me parait une éternité, seule dans ce salon. "Vous êtes lonnnnnnngs. Me dites pas que vous faites des cochonneries dans la cuisine !" Ouais, je suis vraiment à l'ouest, ça on peut le dire, je ne sais même plus ce que je dis. Ils reviennent enfin, Riley, une théière à la main. Elle croit que je vais boire du thé ? Moi ? ''Quelque chose avec ton père ?'' Je n'ai pas la force d'acquiescer avant qu'elle n'enchaîne. ''Ou avec Julian…'' La voilà qui arque un sourcil et moi je suis plus rien. "Julian, pourquoi Julian ? C'est Julian, il ne peut rien se passer avec Julian." Ça me semble tellement logique que je dois afficher une mine complètement déconfite. Il faut dire, à ma décharge, que Julian et moi ne nous disputons jamais. ''Ça t’embête si Nilo se joint à nous ou…?'' Pourquoi ça me dérangerait, je le connais pas et il a plus de trente ballets, je doute qu'il fasse quelque chose de mes histoires alors bon... J'allais ainsi péniblement articuler un non quand il me coupe. "Non ne vous inquiétez pas, faites comme si je n’étais pas là. Je vais dans la chambre, j’ai des cours à terminer et d’autres à peaufiner. Prenez votre thé et discutez tranquillement, les filles." Et sans une remarque de plus, il s'exécute. "Il a ses affaires ici ?" Malgré mon état, j'arrive néanmoins à relever ce détail que je trouve assez étrange sur le coup. Mais ce n'est néanmoins pas le sujet principal. Alors j'essaie de me concentrer un minium pour pouvoir m'expliquer. "Tu vois la marque rouge là ?" Je montre ma joue de façon exagérée, la tapotant si rapidement et si convulsivement que j'en viens presque à me faire mal. "Bah c'est mon père..." De quoi être élu le père de l'année ! Je devrais sans doute être prise dans mon histoire mais une fois de plus, un détail me choque. Je ne sais pas trop comment l'expliquer, c'est dans doute dû aux drogues mais je trouve le teint de ma cousine étrange, pas comme d'habitude. "Tu luis..." Je m'approche tellement d'elle que je menace de frapper son front contre le mien. Encore une fois, c'est l'effet de la drogue qui m'empêche d'évaluer les distances correctement. "T'es malade ?" Elle avait l'air malade, tout du moins pour mes yeux de défoncée.
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MessageSujet: Re: it's always easier to lie than to be honest (tess&nilo) (#)   it's always easier to lie than to be honest (tess&nilo) EmptyLun 17 Juil - 22:11

it's always easier to lie than to be honest
Riley & Tess & Nilo

Ce n’est peut-être pas dans ces circonstances qu’elle aurait voulu que son petit-ami et sa cousine se rencontrent. Bien que la drogue ne lui soit pas inconnue, Nilo est bien loin d’être soumis à ce genre de petit comportement de gamin dont fait preuve une Tess un peu trop stoned lorsqu'il se laisse aller dans les bras de substances illicites. Néanmoins, la belle blonde n’en fait pas tout un plat, se chargeant plutôt d’accueillir sa cousine et d’utiliser sa gentillesse naturelle à bon escient. Enfin, gentillesse. Disons qu’elle est particulièrement aimante et bienveillante vis-à-vis ses proches et ses quelques rares amis. Pour ce qui est des autres, et bien on peut dire qu’elle en a honnêtement rien à foutre. Sans même lui demander si elle a envie de thé, elle s’éclipse dans la cuisine et tire profit de ce moment pour passer un petit commentaire à Nilo, ce qui est suivi par une plainte déplacée de Tess qui rigole dans le salon. L’étudiante roule les yeux et, lèvres pincées, souffle dans un murmure : “C’est ce qu’on serait en train de faire si elle ne s'était pas manifestée à la porte!” Elle dépose un baiser rapide sur les lèvres de son amoureux et regagne le salon avec un plateau pour servir du thé à sa cousine ainsi qu’à elle. Vu la moue perplexe de Tess, elle réalise bien vite que le thé n’était peut-être pas sa meilleure idée. En temps normal, elle lui aurait offert un joint, mais sa possible grossesse lui fait bien trop peur pour se permettre de risquer d’empirer ses symptômes. Il ne manquerait plus que Nilo ait la puce à l’oreille pour que les choses prennent des proportions incontrôlables. Prête à entendre son histoire qui lui semble être rocambolesque, elle lui demande qui est l’objet de ses soucis. “Je ne sais pas, c’est peut-être parce que tu as réalisé qu’il a trop un petit rikiki!”, lui dit-elle en éclatant de rire et en accompagnant ses paroles de son index qu’elle plie et déplie avant de dépose sur le nez de sa cousine. Même sobre, Riley peut également en dire des conneries. Elle lui demande ensuite si Nilo peut se joindre à eux. Toutefois, son enseignant ne semble pas tout à fait charmé à l’idée d’être impliqué dans une conversation de filles et opte pour sa chambre qu’il regagne sans hésitation. “Il a un souci avec son propriétaire. Une longue histoire. Alors il dort ici… Mais il ne faut pas que tu en parles à mes parents” Y a-t-il quelque chose qu’elle pourrait dire à ses parents, de toute façon? Sa cousine est bien consciente que tout ce que les deux jeunes femmes échangent doit demeurer confidentiel, car elles savent que leurs parents deviendraient complètement hystériques s’ils apprenaient toutes les conneries qu’elles ont fait et font encore.

Maintenant prête à s’expliquer, elle met l’accent sur la rougeur de sa joue que Riley épie avec des yeux choqués. Comment son oncle a-t-il osé faire mal à sa propre fille? La jeune photographe a elle-même des parents strictes, mais ils n’oseraient jamais lever ne serait-ce qu'un petit doigt sur leur perle. Instinctivement, la belle étire son bras pour caresser la joue irritée de sa soeur de coeur, non sans conserver cet air contrarié sur son visage livide. “Mais comment a-t-il osé?”, souffle-t-elle d’une voix triste. Elle s’apprête à prendre Tess dans ses bras et lui demander des explications, mais celle-ci met un frein à leur conversation en s’inquiétant soudainement de l’état de santé de Riley. Cette dernière soupire et se met à jouer nerveusement avec ses doigts, hésitant si Tess deviendrait la seconde personne à être au courant de sa grossesse. Enfin, ne sautons pas immédiatement sur les conclusions. La blondinette n’est qu’au stade de l’hypothèse, craignant trop que sa crainte soit confirmée par un test qu’elle ne cesse de repousser. “Non, ça ne va pas. Enfin, parlons de toi avant et je te dirais peut-être après. Mais n’insiste pas s’il te plaît, je… Parlons de  toi!”, lui dit-elle en teintant sa voix d’un enthousiasme forcé lorsqu’elle prononce ses derniers mots. Elle n’a pas envie d’en parler maintenant, encore moins lorsque Nilo se trouve dans la pièce d’à côté. Peut-être en discuteront-elles dans le contexte de confessions d’oreiller, mais pour le moment, aussi bien tenir ça mort. “Il s’est passé quoi avec ton père?”, lui demande-t-elle précipitamment, fermant violemment la porte sur le sujet dont elle ne veut pas toucher pour le moment.
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MessageSujet: Re: it's always easier to lie than to be honest (tess&nilo) (#)   it's always easier to lie than to be honest (tess&nilo) EmptyMer 19 Juil - 15:13



It's always easier to lie than to be honest
Les deux cousines & Nilo

''Je ne sais pas, c’est peut-être parce que tu as réalisé qu’il a trop un petit rikiki !'' Elle joue de son index et moi j'éclate de rire sans pouvoir m'en empêcher. Si elle savait combien elle a tord... Julian et moi, ce n'était censé être que l'histoire d'une fois, pour essayer. Mais vu les arguments qu'il avait en sa faveur, on a continué, c'est pour dire... "Crois moi, c'est loin d'être le problème. Il est... parfait dans ce domaine..." Je m'approche d'elle pour lui chuchoter à l'oreille, sur le ton de la confidence. "XXL pour les capotes." Et me revoilà entrain de glousser comme une andouille alors que je m'éloigne. C'est la dernière fois que je fume, ça me fait dire bien trop de bêtises... Bêtises qui ne regarde certainement pas ma cousine. Si Julian m'entendait maintenant, il serait sûrement en train de rougir comme une tomate. ''Il a un souci avec son propriétaire. Une longue histoire. Alors il dort ici… Mais il ne faut pas que tu en parles à mes parents.'' J'écarquille les yeux, surprise au possible. "Ouais il vit ici quoi." Il ne faut pas me prendre une andouille, s'il passe ses journées ici et qu'il y dort, c'est qu'il y vit point final. "M'enfin si t'arrives à le supporter, c'est le principal ! Je dirais rien t'inquiète." Je lui offre un grand sourire qui se veut sincère. J'admire ma cousine, j'aurais bien du mal à supporter d'être coller à quelqu'un h24, aussi sexy qu'il puisse être. ''Mais comment a-t-il osé ?'' Elle prend une mine toute triste d'un coup alors que sa vient se poser sur ma joue rougie. "C'est mon père, faut que ça file droit. C'est pas grand chose." Je fais la fière mais je ne berne personne, ça ne va pas, ça ne va pas du tout. La preuve en est, je me suis sentie obligée de fumer pour aller bien, ce qui, en plus d'être totalement stupide, reflète le désarroi dans lequel je me trouve en ce moment.  ''Non, ça ne va pas. Enfin, parlons de toi avant et je te dirais peut-être après. Mais n’insiste pas s’il te plaît, je… Parlons de  toi !'' Je fronce les sourcils : 'ça ne va pas'. Et elle s'attend à ce que je laisse tomber si facilement ? Elle est sérieuse ? Malgré mon état qui fait que je plane littéralement, j'en reste néanmoins un minium consciente et le fait qu'elle confirme ce que je croyais être une sorte d'hallucination dû aux substances que j'ai prise ne me rassure pas du tout. Visiblement quelque chose et ça doit être au niveau médicale si c'est visible. Plus je la regarde et plus je remarque enfin son teint livide, presque translucide. Enfin pas vrai mais je me comprends. "Mais..." Je ne veux pas parler de moi, moi je me suis pris une baffe, ce n'est rien de grave mais elle... Seulement voilà, nous nous sommes promis une chose avec Riley, jamais nous nous ferons à dire ou à faire quoique ce soit. On doit respecter les choix l'une de l'autre. Ce qui fait que je ne peux pas insister, ce qui m'embête grandement. Mais bon, je respecte ma promesse, je lui dois bien ça. "OK mais jure-moi que tu m'en parleras plus tard d'accord ?" Ouais je ne rigole plus du tout là, mon visage reflète le sérieux qui s'est soudain emparé de moi. ''Il s’est passé quoi avec ton père ?'' Je soupire sans savoir vraiment quoi dire. Je ne saurais même plus me rappeler comme a démarré la dispute, c'était un truc idiot comme d'habitude. Truc idiot qui a déclenché une montagne de reproche, de cris et puis ça. "Il n'est pas content de mon comportement. Rien de nouveau sous le soleil." Oh ça non, ça commence même à dater sérieusement. "Mais bon, je veux plus trop y penser..." Ressasser tout ça ne sert à rien, ça a tendance en plus de ça à me rendre bizarre, toute maussade et je n'aime pas ça, parce que ça ne me ressemble pas.
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MessageSujet: Re: it's always easier to lie than to be honest (tess&nilo) (#)   it's always easier to lie than to be honest (tess&nilo) EmptyVen 11 Aoû - 21:21

it's always easier to lie than to be honest
Riley & Tess & Nilo

Sa cousine est très certainement sous l'effet de substances. Elle se montre plus espiègle et ouverte qu'à l'habitude, ce qui ne faille pas d'amuser la blondinette. Celle-ci lui révèle la raison de la présence de Nilo et se sent rassurée que sa cousine lui dise qu'elle ne fera pas le porte panier. Riley serait dans de beaux draps si ses parents venaient à apprendre qu'elle héberge son enseignant. Ceux-ci sauteraient rapidement à la conclusion qu'il est un pervers qui ne cherche qu'à abuser leur petite perle. "Merci", lui répond-elle. Elle tente ensuite d'avoir plus de détails quant à l'incident avec son père, lui promettant de remettre à plus tard ses propres confidences. Évidemment, elle n'est pas surprise d'entendre que son oncle n'a pas approuvé le comportement inhabituel de sa fille, et l'étudiante est également à blâmer pour la mauvaise influence qu'elle a sur Tess. Toutefois, elle n'osera pas l'avouer, craignant que la vérité parvienne aux oreilles sensibles de ses parents. Riley a elle-même changé au courant des derniers mois, laissant tomber sa douceur pour adopter les traits d'un démon avide de plaisir.

Après lui avoir offert de rester dormir chez elle, question qu'elle n'ait pas à faire face à la gronde de son paternel, Tess informe la blonde qu'elle saute sous la douche et se préparera à dormir une fois sortie. Riley lui offre de s'installer dans son lit et lui dit qu'elle viendra la rejoindre pour poursuivre leur discussion la tête reposée. Peut-être pourra-t-elle aussi pousser dans les confidences et lui révéler ses craintes qui la hante depuis les deux dernières semaines. Lorsque Tess disparait dans la salle de bain, l'étudiante quitte le salon désormais plongé dans la noirceur nocturne et rejoint son amoureux dans la chambre d'invité. Elle toque doucement avant de pénétrer la chambre, mais n'a comme réponse que le silence. Elle sourit lorsqu'elle constate que Nilo s'est endormi. L'étudiante ferme la porte derrière elle et s'avance vers le lit en retirant son chandail, exposant sa poitrine couverte d'un soutien-gorge en dentelle noire. Son intention n'est pas d'abuser de lui - Riley n'est pas une perverse en manque de sexe -, mais veut plutôt passer quelques instants perdue dans ses bras. Une fois près du lit, Riley l'observe un moment et se laisse bercer par le bruit de sa respiration. Calme et constante, comme les vagues de la mer qui s'écrasent sur la berge. Doucement, elle passe ses jambes de chaque côté de Nilo et s'assoit sur son bassin. "On a une petite quinzaine de minutes", lui souffle-t-elle en caressant sa joue. Elle ricane légèrement et se penche pour capturer ses lèvres. Ses mains caressent son torse tandis que son corps se meuve contre le sien. L'envie est présente, mais elle ne veut pas céder à ses pulsions, même si ses hormones sont plutôt contrôlantes ces derniers temps. C'est comme si tout ce à quoi elle pense, c'est à lui et ces moments intimes qu'ils ont passés ensemble. Elle ne comprend pas ses pensées inusitées et incessantes ni cette curieuse montée de libido. Elle la combat, certes, mais espère secrètement perdre le combat.
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MessageSujet: Re: it's always easier to lie than to be honest (tess&nilo) (#)   it's always easier to lie than to be honest (tess&nilo) EmptyVen 11 Aoû - 22:00

It's always easier to lie than to be honest
Nilo, Riley Harris & Theresa Halliwell

Je dormais paisiblement, du sommeil du juste. Mes rêves étaient totalement absurdes, comme par exemple un repas que j’entretenais avec mes parents – un père totalement sobre, ce qui serait bien la première fois de sa vie – Riley et… un gamin avec un drapeau italien peint sur le front. Là, je lui demande :

« Tu es italien ? »

Et lui de me répondre :

« Ma ! Et à quoi tou lé vois ? »

Non mais c’est pas con, ça, franchement ? Mon rêve s’arrêta là et embraya sur un nouveau dont je ne me souvenais plus, puis un autre où j’étais un Spider Man dénué de pouvoirs. Je flottais dans les airs, souvent une Riley en détresse, jusqu’à n’avoir plus de toile pour nous balancer. Etait-ce parce que j’avais vu le dernier film avec Tobey Maguire que j’avais été influencé par celui-ci, ou bien était-ce une forme d’allégorie de la perte de mon autonomie et de mes capacités ? Après tout, j’avais bien perdu mon appartement et tout l’accès à ces consommations qui me manquaient tant. Et voir la cousine de Riley là, dans un état improbable, me rappelait toutes ces fois où je m‘étais également mis minable avec l’alcool et la drogue consommée sous différentes manières. La voir ainsi me donnait l’envie d’en reprendre, même si je voyais les effets désastreux que cela pouvait avoir sur elle. Bien sûr, elle n'avait pas mon expérience en la matière, et au point où j’en étais il me faudrait sans le moindre doute plus qu’un dixième de ce qu’elle prit pour être dans le même état. J’étais rodé, depuis le temps. Un léger poids sur mon bassin me tira hors du sommeil, et je m’éveillai lentement, m’étirant avant de mener ma main droite devant ma bouche pour étouffer un bâillement. J’ouvris les yeux, et soudain je la vis. Je ne pus m’empêcher d’émettre un léger sifflement, lorsque mon regard se posa sur son soutien-gorge en dentelle. Bon sang ce que je pouvais aimer la dentelle, moi… Elle avait le pouvoir d’embellir la femme. Surtout sur celle-ci. Un sourire taquin sur les lèvres, je haussai un sourcil en caressant ses cuisses lorsqu’elle me dit que nous avions un quart d’heure en caressant ma joue.

« Mmh, on peut en faire des choses en quinze minutes, ma chérie. » Lui répondis-je d’un sourire espiègle.

Et c’est avec passion que je répondis à son baiser, laissant mes mains remonter de ses cuisses le long de ses côtes, puis de sa poitrine et enfin de ses joues, avant de se perdre dans ses longs cheveux blonds. Et lorsque nos lèvres se séparèrent, je lâchais un murmure de désapprobation, et tournai la tête vers le réveil.

« Onze minutes. Soit on s’en tient à des baisers, soit on le fait façon Speedy Gonzales. Mais au vu de ce petit tee-shirt retiré et jeté là-bas, j’en déduis que tu en as autant envie que moi, je me trompe ? Parce que moi, je meurs d’envie de toi. » Lui dis-je en me redressant, collant mon torse à sa poitrine pour capturer à nouveau ses lèvres et les embrasser avec fougue.

Et vu la ferveur avec laquelle elle me rendait mon baiser, je ne pus m’empêcher de rire et de lui dire :

« Tu es en feu ma parole, tu es enceinte ou quoi ? »

Bien sûr, je n’étais pas sérieux. Quoique… Je n’en sais rien en fait. Je ne m’étais pas vraiment posé la question, et ne me la posais pas vraiment. Je prenais les jours tels qu’ils venaient, et mon attention était égoïstement tournée vers mon besoin de contrôle de mes pulsions sanguinaires pour mes bras, et consommatrices pour le reste. Mais si on se posait deux minutes et que l’on s’interrogeait… Avais-je envie d’être père ? Surtout un parent au même titre qu’elle et avec elle ? Et bien la question qu’à trente-huit ans, oui, je le désirais. Et si Riley était bien plus jeune que moi, et que sa famille me haïrait comme il se doit pour ce que j’aurai fait, du moment que elle et notre enfant étaient heureux, alors oui, c’était là tout ce que je désirais.
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MessageSujet: Re: it's always easier to lie than to be honest (tess&nilo) (#)   it's always easier to lie than to be honest (tess&nilo) EmptyVen 11 Aoû - 22:30

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Riley & Tess & Nilo

L'étudiante perd le contrôle de son propre corps. Depuis les derniers jours, c'est comme si Aphrodite s'était emparé de sa personne, la transformant en une bête féroce avide de plaisir. Elle caresse son torse, attend patiemment que son prince charment émerge de son sommeil. Ses deux billes bleues se découvrent et percent difficilement l'obscurité. Contente de constater qu'il est à présent réveillé, elle ne peut s'empêcher de lui sourire de toutes ses dents. Le temps n'étant pas de leur côté, elle l'informe qu'ils n'ont qu'une quinzaine de minutes d'intimité à leur disposition. "Peut-être plus, peut-être moins", lui souffle-t-elle en lui lancant un regard complice. Un sourire se trace sur les lèvres de la belle et elle se penche pour capturer sa bouche. L'eau de la douche se met à couler et sa cousine lance de la musique dans la salle de bain pour accompagner son moment. Riley relève légèrement la tête pour constater qu'ils ont désormais la paix. Leurs lèvres se retrouvent et leurs langues se mettent à danser ensemble. Les mains de Nilo qui la parcourent la font frissonner et elle ne peut s'empêcher de s'envoler dans une fougue endiablée. "Je voudrais être sage et m'en tenir qu'à des baisers, mais tu sais très bien que je vais bien vite céder." Riley rigole légèrement et passe ses mains sous le chandail de Nilo avant de le lui retirer. Elle caresse sa joue et leur étreinte reprend avec la même passion.

Passion qui prend la dérape sans qu'elle ne s'y attende. Le commentaire que lui passe son petit-ami une fois qu'ils se séparent pour reprendre leur souffle la prend de cours. Elle rit nerveusement. "T'es idiot. On a juste été dérangé au moment où j'avais juste vraiment envie de toi....", lui ment-elle. Certes, ce n'est pas entièrement un mensonge. Elle n'a pas la certitude d'être enceinte, quoique ses doutes soient suffisamment prononcés pour ne pas être ignorés. Elle pourrait très certainement lui confier ses craintes, mais elle préfère se taire et jouer à l'autruche. La jeune photographe enfouit ainsi sa tête dans le sable et reprend possession de sa bouche tout en descendant ses mains pour défaire sa ceinture ainsi que les boutons de son jeans. "Dix minutes."

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MessageSujet: Re: it's always easier to lie than to be honest (tess&nilo) (#)   it's always easier to lie than to be honest (tess&nilo) EmptyVen 11 Aoû - 23:14

It's always easier to lie than to be honest
Nilo, Riley Harris & Theresa Halliwell

« Peut-être plus, peut-être moins. » Me dit-elle ?

D’un sourire enjôleur, je lui répondis un simple :

« Ça ne nous laisse pas beaucoup de possibilités, alors. »

Mon index glissa le long de ses lèvres pulpeuses, avant qu’elle ne se penche pour m’embrasser à corps perdu. Nous entendîmes au loin l’eau de la douche se mettre à couler, ainsi qu’une musique que je ne reconnus pas, étant trop loin pour pouvoir la reconnaître pour autant. Despacito, peut-être ?

« Mmmh, un rythme endiablé pour deux corps qui veulent danser une valse sensuelle et… sexuelle, moi ça me va. » Lui dis-je en riant, avant de glisser à nouveau ma main dans ses cheveux si longs pour l’embrasser à cœur et à corps perdus.

Nos langues se rencontrèrent dans une danse effrénée, et mes mains quittèrent son visage pour parcourir son corps. Je commençais par son dos si fin avant de glisser sur sa poitrine que je massai très doucement, tentant de me contenir pour ne pas être plus sauvage, car je savais qu’elle aimait aussi ces variations dans mes gestes, lorsque je passais de l’amant doux et aimant à la bête folle. Puis mes mains glissèrent le long de ses hanches puis empoignèrent ses fesses plus virulemment, avant qu’elle ne me dise qu’elle aimerait s’en tenir à cela, mais qu’elle doutait d’y parvenir. Je riais légèrement avec elle, et lui répondis :

« Ecoute, tu sais tout comme moi qu’après une bonne cuite et après avoir consommé on va à deux à l’heure, alors je pense que nous avons un peu plus d’un quart d’heure devant nous avant qu’elle ne vienne ne nous déranger à nouveau. Et puis je meurs d’envie de toi, ne me fais pas attendre, par pitié ! » Lui dis-je en empruntant une mimique suppliante.

Pour toute réponse, Riley passa ses mains sous mon pull fin et me le retira avant de caresser à nouveau ma joue et m’embrasser avec passion. Mais cette passion-même avec laquelle elle m’embrassa m’empêcha de rester sérieux un bref instant où je lui fis remarquer avec bonheur qu’elle était en feu, lui demandant par là même si elle était enceinte. Bien entendu, je ne connaissais à ce moment-là pas la vérité, et ne remarquai pas que son rire était plus crispé qu’à la normale, me fournissant une explication qui était plus que probable.

« Ah oui ? Tu as envie de moi ? Prouve-le… » Lui dis-je dans un sourire mutin, tel un diablotin.

Pour toute réponse, Riley défit ma ceinture avant de s’attaquer aux boutons de mon jean, tandis que je me redressai pour défaire d’une main experte son soutien-gorge. Dix-minutes, me dit-elle ? Je ne pus m’empêcher de rire à sa remarque, et passai mon bras derrière son dos et mon autre main sous sa cuisse pour la retourner et l’allonger sur le matelas en lui disant :

« Arrête avec ton décompte, sale môme ! »

A nouveau, je l’embrassai avec passion, défaisant son pantalon que je fis glisser le long de ses jambes fuselées. Tout à coup, nous entendîmes la voix de Tess qui demandait où se trouvait le shampoing pour femme, avant de s’exclamer d’une voix triomphante qu’elle venait de le trouver.

« Je vais la tuer si elle nous interrompt encore une fois, tu permets ? » Dis-je à ma dulcinée.

« Au fait, tu as bien fermé la porte à clé derrière toi ? Parce que ça serait gênant qu’elle me voit en train de te faire… certaines choses. » Lui dis-je en haussant un sourcil d’un air coquin en longeant ses jambes pour arriver à ses chevilles et attraper son pantalon pour le faire glisser le long de celles-ci avant de l’envoyer à terre.

« Hum. Joli petit string. Je ne le connaissais pas, celui-là. » Observais-je d’un œil expert.

« Tu permets ? » Lui dis-je en remontant tel un félin pour saisir sa petite culotte et la lui retirer avec une lenteur aphrodisiaque.

Puis je remontai entre ses jambes et, d’un dernier coup d’œil complice, laissa ma langue glisser sur sa féminité pour lui procurer le plus de plaisir possible. Cousine ou pas, elle n’allait pas nous gâcher un moment de plaisir entre ma chérie et moi.
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MessageSujet: Re: it's always easier to lie than to be honest (tess&nilo) (#)   it's always easier to lie than to be honest (tess&nilo) EmptySam 12 Aoû - 0:03

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MessageSujet: Re: it's always easier to lie than to be honest (tess&nilo) (#)   it's always easier to lie than to be honest (tess&nilo) EmptySam 19 Aoû - 20:29

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Je n’en avais rien à foutre du temps qui passait, rien à faire de la présence de sa cousine, qui, en même temps, était excitante. Pas sa cousine hein, quoique très jolie, mais juste le fait de savoir qu’à tout moment on pourrait nous surprendre. Je crois que c’est là le fantasme numéro un de tous les hommes, et je ne dérogeai pas à la règle, mais intérieurement cela me faisait bien marrer. Et puis quitte à se taquiner l’un l’autre, Riley n’oublia pas pour la centième fois au minimum depuis que nous nous connaissions de me rappeler mon âge avancé comparé au sien.

« Hey, tu sais ce qu’il te dit mon âge ? » Lui demandais-je, un sourire plus qu’amusé sur les lèvres.

Je n’étais vraiment pas du genre à me vexer pour cela, au contraire même. Ses petites piques avaient toujours le don de me faire rire, tout comme les miennes la faisaient rire en retour sur le même sujet.

« Je ne suis pas pressé à cause de mon âge, c’est juste que je ne veux pas que tu me fasses un esclandre à cause de l’heure du biberon qui approche. » Lui répondis-je en lui tirant la langue, tel le gamin que j’étais encore au plus profond de moi-même.

Je lui demandais si elle avait bien fermé la porte de la chambre, histoire que nous soyons tranquille, ce qu’elle me confirma avant de me rappeler pour la énième fois que le temps pressé. Je levai les yeux au ciel tandis que je lui retirai son pantalon ainsi que son string qui finirent leur chute sur le sol impeccablement lavé de l’appartement (puisque c’était moi qui l’avais nettoyé). Très vite, je m’afférai à provoquer le plus de plaisir possible à ma partenaire à l’aide de ma langue sur sa partie intime, retenant un sourire lorsque je la sentais se contracter au maximum sous les assauts de celle-ci en prenant bien garde à ne pas gémir trop forte pour ne pas alerter Tess. Son « Putain, Nilo » était des plus exquis, et j’eus presque envie de prendre encore plus mon temps pour la faire jouir. Oui, sauf que là je venais d’entendre la porte de la cabine de la douche s’ouvrir. Un dernier coup de langue fini de la faire monter au septième ciel et je me détachai aussitôt d’elle pour attraper ses affaires et les lui tendre, tout en refermant ma braguette, préférant lui procurer une tonne de plaisir plutôt que d’en recevoir. Ce qui n’est pas peu dire ! Nous entendîmes Tess sortir de la salle de bain, et je lançai un clin d’œil à Riley en lui disant :

« Tu vois ? Pile dans les temps. C’est ça qui se passe quand on a à faire à un professionnel. » Plaisantais-je.

Vérifiant tous deux que nous étions bien apprêtés et pas trop décoiffés, je passai une main dans mes cheveux châtains clairs et me dirigeai vers la porte dont j’ouvris la serrure sans bruit pour ne pas que Tess ne comprenne ce qu’il s’était passé en entendant que la serrure avait été verrouillée. Je revins m’assoir à côté de Riley, sur le bord du lit, et embrassai son cou tendrement en lui murmurant dans le creux de l’oreille :

« Ça, je peux le faire sans que ça ne prête à confusion. »

Tess vint frapper à notre porte et Riley lui permit d’entrer dans ma chambre parfaitement rangée. Seule chose que j’avais oubliée : remettre mon ordinateur et mes cours sur le lit et non plus par terre. Lorsqu’elle me demanda pourquoi ils étaient là, sans doute un peu suspicieuse, je lui répondis tout naturellement :

« Je dormais donc je les ai posés là pour ne pas les faire tomber. Bon, et bien bonne soirée pyjama les filles. » Leur dis-je en déposant un petit baiser amoureux sur les lèvres de ma chère et tendre.

Pour moi, ça serait soirée The Walking Dead.
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MessageSujet: Re: it's always easier to lie than to be honest (tess&nilo) (#)   it's always easier to lie than to be honest (tess&nilo) EmptyVen 25 Aoû - 22:51

it's always easier to lie than to be honest
Riley & Tess & Nilo

Ses mains se perdent dans les cheveux blonds de son amoureux qui s'attarde avec minutie à lui procurer un maximum de plaisir. Riley tente de demeurer silencieuse, ne voulant pas que ses gémissements parviennent jusqu'aux oreilles de sa cousine. Elle n'a pas du tout envie de la soumettre à un tel embarras. Toutefois, il lui est difficile de ne pas réagir vocalement aux sensations qu'il lui procure. Lorsqu'elle atteint enfin le paroxysme, l'étudiante serre les draps entre ses doigts. Elle se redresse au moment où la porte de la salle de bain s'ouvre. Rapidement, elle enfile ses vêtements et se retrouve assise sur le lit avec Nilo qui redécouvre son cou. Tess semble se lancer à sa recherche et l'étudiante donne un dernier baiser à Nilo avant de s'éclipser de sa chambre pour regagner la sienne avec sa cousine. Elle ne fait absolument pas mention de ce qu'ils étaient en train de faire. Qu'elle ne sache pas semble être une bien meilleure idée. Riley disparait rapidement pour aller sous la douche après avoir dit à sa cousine de s'installer comme chez elle. Elle émerge des jets chauds propre et reposée. Elle enfile une confortable nuisette de nuit et rejoint Tess sous les douillettes couvertures du lit. "On se lance un film?", lui propose-t-elle sur un ton enthousiaste. "J'ai du popcorn", renchérit-elle pour la convaincre. Ayant réussi à la faire céder, l'étudiante lui lance le Netflix pour qu'elle choisisse le film pendant qu'elle s'occupe de lancer la cuisson du popcorn. Elle regagne la chambre avec un grand bol plein à craquer et s'emmitoufle sous les couvertures. Sa tête appuyée sur l'épaule de Tess, elle écoute silencieusement le film. Toutefois, ses pensées ne sont pas entièrement tournées vers ce dernier. Elle ne saurait même pas dire ce qu'il s'y passe précisément, car ses pensées sont davantage orientées vers ses inquiétudes nombreuses. Elle repense encore et encore à cette peur d'être enceinte qui lui ronge les entrailles impunément. Elle n'en peut plus de ne pas savoir, mais redoute énormément ce que le test lui révélera. Ayant besoin de conseils, elle hésite à lui en parler. Après maintes et maintes réflexions, elle met le film sur pause et lève la tête vers elle, le regard piteux. "Tess, il faut que je te parle d'un truc", enchaine-t-elle immédiatement dans un chuchotement. Il ne faudrait pas que Nilo intercepte leur conversation. "Je pense que... que je suis enceinte. Je n'ai pas encore passé de test, rien... On dirait que j'ai trop peur du résultat." Elle pousse un long soupir, soulagée d'en avoir enfin parlé. Certes, elle s'est confiée à sa meilleure amie. Mais ce n'est toutefois pas pareil d'en parler à quelqu'un qui est dans sa vie depuis les seize dernières années. "Ça fait environ une semaine que je suis en retard. Je sais que c'est pas normal, que j'aurais dû déjà avoir passé un test, mais je n'ose pas." Ses yeux se posent sur ses doigts qui s'entremêlent entre eux, chose qu'ils font instinctivement chaque fois qu'elle est angoissée. Et le pire dans tout cela, c'est qu'elle devra tôt ou tard en parler avec Nilo...
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