then finally i rested in your bed. (nc18 - dylios#2)

dyl est d'humeur plus légère. il entend hélios rigoler. son coeur se gonfle. il avait oublié à quel point ce son était magique dans ses oreilles. il se dit que peut-être il n'a pas tout raté. il le regarde avec une certaine tendresse. j'aime bien quand tu ris. qu'il avoue en passant une main dans ses cheveux . il baisse le regard gêné. il n'avait pas l'habitude de dire tout haut ce qu'il pensait. de faire un compliment. parler d'hier soir aidait à détendre l'atmosphère. c'était amusant de voir qu'hélios ne se souvenait de rien. si dyl n'avait pas été aussi gentil, il lui aurait surement fait croire tout et n'importe quoi. j'ai réussi au moins ? à moitié. j'ai plutôt été coopérant. un sourire amusé se blottit sur ses lèvres. il faut dire que l'avoir au dessus de lui n'avait pas forcément été en sa faveur. c'est que le jeune homme savait décidément comment arriver à ses fins. au moins dyl avait réussi à résister à la tentation. bien que cela n'avait pas été facile. hélios s'était montré particulièrement persistant. mm. comme si ça te dérangeait quand je cri ton prénom. il tousse plusieurs fois. surpris. malgré les années il ne s'était jamais habitué au mot capable de sortir de la bouche de son ex. quoi qu'il fasse son coté vierge effarouchée faisait toujours surface.  il reprend son souffle. sa voix était rauque. bordel. hum.. il attend quelque seconde. il cache son visage avec ses mains, embarrassé. comme toujours. il les fait tomber le long de son corps. il n'avait plus dix huit ans. il devait se reprendre.on a fait un truc ? cette nuit. non mais j'aurai bien voulu il met sa main sur sa bouche. surpris par ses propres propos. il n'avait pas eu l'intention que cela sorte de ses lèvres.il se racle la gorge. il espère qu'il a parlé suffisamment bas pour qu'hélios n'entend rien.enfin je veux dire...non je n'aurai jamais osé profiter de ton corps lorsque tu es dans un état second. il plonge son regard dans le sien. il tente de se rattraper comme il peu. il prend un bout de la couverture, se recouvrant avec. soudainement mal à l'aise. l'idiot qu'il était.

l'ambiance est beaucoup moins tendue que la dernière fois. elle est à la rigolade. et tu ris, même si t'as l'impression que ton crâne va exploser. tu peux bien faire un effort, si ça te permet de passer un moment agréable avec dyl. loin des disputes. j'aime bien quand tu ris. tu souris, venant te coucher prêt de dyl, accoudé pour pouvoir l'observer. t'as essayé de le déshabiller. parait-il. tu lui fais confiance, tu sais qu'il n'est pas du genre à mentir, à te faire tourner en bourrique. et, surtout, tu sais que c'est totalement ton genre de faire ça, essayer de le déshabiller, alors que t'es complètement bourré. à moitié. j'ai plutôt été coopérant. tu lèves les yeux au ciel. tu doutes que ça l'est dérangé, au fond, que t'essayes de le déshabiller. tu le connais assez bien. enfin, tu espères le connaître assez bien. et tu éclates de rire quand il toussotes et devient totalement rouge, alors que tu sous-entends qu'il aime t'entendre crier. bon sang que j'aime tes réactions de vierge effarouchée. tu murmures en venant caresser son torse du bout des doigts. caresse aérienne. tu fronces légèrement les sourcils. t'as essayé de le dessapé hier soir, sans doute pour une bonne raison. vous ave couchés ensembles ? t'en sais trop rien. non mais j'aurai bien voulu. tu restes immobiles quelques secondes, te mordant la lèvre inférieure. enfin je veux dire...non je n'aurai jamais osé profiter de ton corps lorsque tu es dans un état second. tu fronces les sourcils alors qu'il tire la couverture. nooon. tu souffles en riant, lui prenant la couette des mains pour la faire atterrir sur le sol, au pied du lit. tu penses faire quoi là ? tu murmures en posant une main sur son torse pour l'empêcher de se redresser. tu restes silencieux un moment, observant le mouvement de tes doigts sur son torse. on en as tous les deux envies, dyl. tu murmures, caressant sa joue du bout des doigts. tu viens passer une de tes mains dans ses cheveux, éloignant une mèche de son front. tu cherches son regard, un signe, n'importe quoi.

dyl avait toujours évolué dans un environnement strict. une famille catholique. il n'avait pas vraiment le droit de côtoyer des gens. de se faire des amis. mais quand il avait rencontré hélios tout avait changé. il l'avait d'abord déphasé. il avait appris à l'apprécié. il avait un peu découvert le monde à travers ses yeux. il ne pourrait surement jamais le remercier pour cela. et même aujourd'hui il continuait d'apprendre.  bon sang que j'aime tes réactions de vierge effarouchée. pas lui. bien au contraire. à vingt six ans il réagissait encore comme un enfant. il avait honte. il trouvait cela légèrement dégradant. et c'est là que dyl creuse sa propre tombe. il admet qu'il en veut plus.  il ne fait pas exprès. il ne contrôle plus les mots qui sortent de sa bouche. grognement de son subconscient. son ex avait tout aussi surpris que lui. surtout après la dernière fois. lorsque dyl s'était mis à pleurer. il s'en voulait encore pour ce moment de faiblesse. il est soudain conscient de son environnement, alors il se cache. la couette comme seule rampart. hélios s'était rapproché.  tu penses faire quoi là ?  il balance la couette dans un coin de la couette. dyl savait bien quelle ne l'aurait pas protéger. surtout face au petit démon qui se tenait devant lui. il sentait la main d'hélios sur son torse. il frissonne au contact de sa peau contre la sienne. il contracte ses abdominaux, tentant de se relever. mais il n'y arrive pas. je je... il veut se justifier mais aucun mot sort de sa bouche. ces traites. on en as tous les deux envies, dyl.  il lui murmure des mots doux. des mots qui le font chavirer. il trouvait cela étrangement attirant. le jeune josovan s’humecte les lèvres. il mentirait s'il disait qu'il n'avait pas envie. il avait pas baiser depuis leur rupture. mais c'était bien plus que cela. il voulait le sentir à travers lui. il lui manquait. il était faible. hélios. il chuchote. il sent sa main sur sa joue. il ferme quelques secondes les yeux. puis les ouvre. il tente de rapprocher son corps du sien. t'es tellement beau. dans un murmure à peine audible. il tire le corps du jeune andersson prêt du sien. il le supplie du regard.

tu aimes cette ambiance. calme. détendue. juste, vous deux. comme vous le faisiez autrefois. rester lit toute la journée, à parler, rire, discuter, s'aimer. et elles te manquent, ses journées passées à l'aimer encore et encore, à l'embrasser, le chérir, le garder contre toi. tu fermes les yeux un moment, essayant de ne pas littéralement sauter sur dyl quand il avoue avoir, lui aussi, envie de plus. et il essayer de se cacher sous la couette. tu interceptes cette dernière, l'empêchant de se dissimuler, de se redresser même, ta main sur son ventre. tu sens ses muscles se contracter quand il tente de se relever, et tu appuies sur tes doigts pour qu'il ne puisse pas le faire. il semble totalement perdu face à la situation. elle est simple pourtant. vous en avez tous les deux envies, l'un autant que l'autre. hélios. t'es tellement beau. tu souris doucement, tu viens coller ton corps contre le sien, ton bras en travers de son torse. tu caresses sa joue, tu te penches et tu viens l'embrasser avec douceur, savourant ce baiser plus qu'un autre. tu fermes les yeux, tes doigts toujours contre sa joue, ton corps pressé contre le sien.ta main libre qui glisse dans ses cheveux. tu te détaches de ses lèvres, tu plonges ton visage dans son cou, embrassant, léchant, mordillant sa peau que tu sais plus sensible à cet endroit. tu t'empêches de laisser des marques, tu te contentes de le taquiner. t'es magnifique dyl. tu chuchotes contre sa peau, te redressant un peu pour revenir l'embrasser. gouttant la saveur de ses lèvres, la menthe du dentifrice. ta main quitte sa joue, glisse le long de son torse, de ses côtes, pour venir prendre place sur sa hanche, le maintenant contre le matelas d'un geste sûr. tu préfères dans quel sens ? tu souffles contre sa peau, mordillant sa lèvre inférieure pour l'occasion.

pour une fois il décide de se laisser aller. de ne pas réfléchir. de se concentrer sur l’instant présent. de mettre ses problèmes de coté. il ferme les yeux, savourant sa peau contre la sienne. ses lèvres tremblent. le jeune andersson l'embrasse avec douceur et délicatesse. dyl devient avide. il veut jouer avec sa langue. s'engouffrer à l'intérieur.  hélios sait ce qu'il fait. ses lèvres trouvant facilement le chemin de son coup. faible qu'il est sous son emprise. il émet un petit gémissement lorsque ce dernier touche une zone sensible. mon dieu. sa bouche. sa respiration régulière, son souffle chaud, les palpitations de son cœur, ses yeux... surtout ses yeux. il lui faisait chavirer. il le troublait, l'envoutait, l'émerveillait. il avait l'impression de pouvoir se perdre dans les profondeurs de son regard, de pouvoir s'y noyer sans opposer de résistance. hélios aurait bien pu faire ce qu'il voulait de lui à cet instant présent. il était littéralement hypnotiser par l'intensité de son regard. t'es magnifique dyl. ses joues s'empourprèrent une nouvelle fois. il le regardait faire, sans rien dire. il souhaitait plus beaucoup plus. il voulait juste le sentir contre lui. tu préfères dans quel sens ? il peut sentir son souffle contre sa peau. il joue avec sa lèvre. ce salop. il le prend par les sentiments. dyl est déjà frêle. quémandeur. lui aussi il voulait lui donner du plaisir. au-dessus. qu'il murmure le souffle saccadé. il le pousse avec douceur sur le lit. un petit sourire s'étale sur ses lèvres. il l'embrasse. tout doucement. il s'assoie au-dessus de lui. frottant légèrement son entre jambe contre lui.son baiser devient plus pressant. plus agressif.  il descent petit à petit ses lèvres. déposant des baisers le long de sa machoire. dans son cou. avant de descendre sur son torse. il ne le quitte pas des yeux. ses joues toujours aussi rouge.  il commence à aventurer ses mains dans le bas de son corps. il reprend un peu sa respiration.  il mordille légèrement ses tétons. les léchant. enroulant sa langue autour de ses derniers. je t'aime qu'il chuchote.

tu l'embrasses, encore et toujours. tu as besoin de le sentir contre toi. sa peau contre la tienne, ses lèvres contre les tiennes, tes doigts sur sa joue. tu as mal à la gorge de ne pas respirer, tu t'en fiches, tu pourrais mourir en embrassant dyl. tes lèvres glissent dans son cou. tu le connais, tu le connais par cœur. tu sais comment le faire vibrer, comme lui tirer de délicieux gémissements comme celui qui vient de franchir ses lèvres. tu reviens contre ces dernières, buvant les gémissements de dyl à la source, alors que tu lui laisses le choix de dominer votre ébat ou non. au-dessus. un gémissement s'échappe de tes lèvres, alors que tu bascules avec joie sur le lit, entrainant dyl au-dessus de ton corps. tes mains glissent dans ses cheveux, sa nuque, ses épaules, son dos alors qu'il t'embrasse. et tu agrippes ses fesses, gémissant contre ses lèvres, accentuant ses mouvements quand il commence à se frotter contre toi. ta respiration se bloque dans ta gorge. tu le laisses quitter ses lèvres, alors qu'il s'aventure le long de ta mâchoire, dans ton cou, embrassant encore et encore ta peau chaude. tu fermes les yeux, brisant le contact visuel entre vous, pour mieux profiter du contact de ses lèvres. elles glissent sur le haut de ton torse, s'attardent sur un téton. tu te cambres, tes doigts trouvent ses cheveux alors que ses mains trouvent tes hanches. je t'aime. tu rouvres les yeux, cherchant un point d'ancrage alors que sa langue contre ta peau te rend totalement fou. ton corps vibre à ses mouvements, après deux longues semaines sans lui. tu tentes de retrouver ta respiration. moi aussi je t'aime. tu souffles en un gémissement. boxer. tu murmures, essayant de tirer sur le sien pour le lui retirer. t'as désespérément besoin de sentir ta peau contre la sienne. putain ... tu cherches ses lèvres pour un baiser désordonné. t'as pas de patiente aujourd'hui, tu veux tout, tout de suite. tu trouves sa main avec la tienne. tu plonges ton regard dans le sien alors que tu glisses ses doigts entre tes lèvres pour le provoquer, suçotant lentement sa peau, ta langue glissant contre sa peau. tu laisses un léger sourire, provocateur, se dessiner sur le coin de tes lèvres. j'ai trop envie de toi dyl. tu murmures contre sa paume. tu tiens toujours sa main, tu embrasses chacun de ses doigts, guettant sa réaction.