Don't love this place • Edwy

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ronron & wywy

Depuis plusieurs jours je ne mets pas les pieds au boulot car, j'ai envie de changement, d'un grand changement dans ma vie alors je me consacre principalement à ma bd. Alors que je suis debout depuis plusieurs heures, la musique sur mes oreilles, celle qui te donne tout simplement envie de bouger mais surtout que tu peux chanter à tu-tête sans qu'on te dise quoi que ce soit. Enfin je suis seul à l'appartement alors je peux le faire sans me faire engueuler. Encore en boxer dans la cuisine a danser comme un con, mais surtout à chanter les musiques qui sont sur mon téléphone, téléphone que je tiens en main. Je continue a me préparer mon déjeuner. Tartine de nutella, café, jus d'orange puis aussi un fruit comme toujours. Je m'assois à table alors que je m'apprête à déjeuner je vois ma petite sœur me faire des grands signes à travers le jardin. Elle est passer part là pour me faire signe de sa présence. Je lui fais un coucou de la main et croque dans ma tartine jusqu'à se que je réalise qu'elle est vraiment là. Je retire mon casque et me presse d'aller lui ouvrir, en boxer... « Qu'est-ce que tu fais là Becky ? » je lui demande la bouche pleine en la laissant entré, elle soupire puis m'explique qu'elle voulait me voir puis, elle se fout de moi a voir mon boxer rouge à poids blanc. Je hausse des épaules et marche fièrement pour aller me rasseoir à ma place. Je prends une grande partie de mon déjeuner en sa présence jusqu'à se que je reçois un coup de fil d'une personne que je ne connais pas, enfin, si de vue l'un de t'es collègue qui m'appelle avec ton téléphone. « Quoi ? Tu plaisante ? Ok j'arrive ! » je me lève rapidement après avoir raccrocher. « Puce faut que j'y aille Aaron est passer a travers un plafond ! Je te dépose au boulot. » je laisse tout en plan pour aller m'habiller rapidement, un jean un tee-shirt et un sweat voilà se qui me vient sous la main. Elle avait tout débarrasser je l'embrasse pour la remercier. Elle est géniale cette frangine. Une fois dans la voiture, je m'arrête devant son boulot et la laisse aller travailler et moi je me dirige rapidement vers l'hôpital. Alors que j'arrive dans le hall, je croise ton collègue, je le salue et inversement. Il me dit le numéro de ta chambre en me donnant ton téléphone. Je le mets dans ma poche, le remercie et je file rapidement à ta chambre. Je frappe trois grand coup. - Entrez ! je passe la tête par la porte « Pas besoin de crier, tu sais sa résonne assez ! » je dis avec amusement, puis je passe la porte en la fermant derrière moi. - Salut poulet ! Tu ne m'en voudras pas si je ne viens pas te prendre dans mes bras j'espère. je viens a coter de ton lit en croisant mes bras sur mon torse. « Et j'fais comment moi maintenant hein ? Si j'ai plus de câlin et un ronron clouer a fond d'un lit d'hôpital. » je dis en soupirant doucement, puis je fais le tour pour aller tiré la chaise non loin et la rapprocher de toi tout en te parler. « Tu sais que t'es fous toi quand même ? Passer le plancher, t'as pas senti, vue ou je ne sais trop quoi que c'était dangereux ? Et s'il aurait eu un truc de pointu ou je ne sais quoi en dessous tu l'aurais dans l'bide. T'es fous ! » je dis en plissant doucement des yeux, ouais je me remets à parler, pour rien dire je pense mais au moins c'est signe que, que tout se qui c'est passer est passer pour moi. Je m'assois sur le fauteuil et te regarde toujours. « J'espère que tu vas pas t'enfuir aujourd'hui sinon j'te botte les fesses et comme il faut ! »

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ronron & wywy

J'aurais pu entrer dans la chambre complètement paniquer, car oui je déteste cette endroit depuis la mort de ma mère, mais là c'est totalement différent, c'est toi, toi qui est allonger sur ce lit et quoi ? J'ai pas envie que tout part en vrille parce que, et bien a cause de ma peur et de mon dégout pour cette endroit. C'est alors que je prends l'option de l'humour pour ne pas montré que je ne veux pas être ici mais je le suis pour toi. C'est pour ça que je plaisante en te disant de ne pas hurler surtout que je ne suis pas sourd. Alors que tu m'expliques que tu ne peux pas me prendre dans mes bras, je soupire doucement et je m'assois à t'es coter en commençant ma remontrance verbale, comme j'ai l'habitude de faire quand quelque chose ne me plaît pas et je ne vais pas me gêner avec toi, surtout pas et pas maintenant. Même avec se qui c'est passer. - Pour le fait d'être cloué dans ce lit va te plaindre aux médecins et à mes collègues qui ont refusé que je rentre chez moi. Je viens de regarder en haussant des sourcils. « Et je trouve ça totalement normal ! T'es fou dans ta tête toi ! Tu crois que tu vas sortir comme ça, comme si de rien n'était, comme ça tu t'étais fais une simple petite coupure du pouce ? Non mais, pff, je suis totalement d'accord avec eux, puis si tu mets un pied dehors, le cul a l'air je te le botte bien comme il faut pour que tu reviennes dans ce lit ! » je viens alors coller mon dos contre le dossier en te disant tout en croisant mes bras sur mon torse. Je plisse aussi doucement des yeux en te regardant, ouais j'en suis totalement capable et je ne ferais pas semblant bien au contraire, je te ramènerais par la peau des fesses pour que tu reste ici. Puis c'est alors que je te dis que tu aurais du faire plus attention surtout que tu aurais pu te faire encore bien plus mal que ça. J'ai l'impression d'être Nina à ce moment, elle qui prévoit toujours le pire et je le fais sûrement à sa place. - J'avais fait attention, je le vais toujours, mais là ça n'a pas suffi, sûrement que les flammes ont rongé le plafond entre le temps où j'ai vérifié et celui où j'ai commencé à avancer. Je plisse doucement des lèvres, ouais je ne comprendrais toujours pas cette histoire de flamme, de feu que l'on peut prévoir mais aussi qu'on pense savoir ou il peut aller ou non. Je fronce doucement des sourcils puis je fais une petite moue. « Ouais bah la prochaine fois tu fais encore plus attention ! J'veux pas te r'trouver carboniser moi ! » Je secoue doucement la tête de gauche à droite en te regardant. - Mais Edwy je vais m'ennuyer ici ! À la limite je ne rentre pas chez moi, mais je viens squatter chez toi et Nina. Comme ça vous m'avez à l'œil et je pourrais jouer aux jeux-vidéos avec toi. Et la je me redresse. « Tchut ! Plus un mot la dessus, tu ne viens même pas à la maison pour jouer, tu en serais même pas capable. Tu arrives même pas a te redresser tout seul. Alors c'est niette ! » Je secoue doucement la tête en me relevant doucement en te voyant galéré a essayer de te réinstaller dans ton lit. Je passe doucement une main sous ton épaule puis je t'aide a te remettre droit, en venant remonter un peut plus ta couette pour que tu n'es pas froid. Je rapproche plus la siège en te regardant. - Je suis désolé, tu as dû avoir un peu peur en recevant l'appel de mes collègues. Avant de m'asseoir j'écoute t'es paroles et laisse un petit soupire m'échapper. Je viens alors reposer mon regard sur toi. « Un peu peur ? » je soupire doucement. « Laisse moi rire oui... » je secoue doucement ma tête de gauche à droite. « J'ai eu la peur de ma vie oui ! J'suis partie en jogging tellement que j'ai eu peur et que, bah, je pensais que tu étais réellement en piteuse état. Ne me refais plus jamais ça ok ? » je dis avec plus de sérieux. Ouais ça se voyait que j'étais partie en catastrophe, encore en jogging, les cheveux en vrac et les lunettes encore sur le nez, tu sais que je les mets seulement pour dessiner. Alors je te laisse imaginer a quel point je suis partie en catastrophe. « Plus sérieusement, tu reste combien de temps ici ? » je dis en passant ma main dans mes cheveux. « Et tu veux que je m'occupe de t'es deux boules de poile ? » je te dis en te regardant doucement, plus sérieusement.

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ronron & wywy

- D'accord je ne bougerais pas d'ici, c'est promis. Je viens alors hocher la tête de haut en bas, quand tu me dis ça. Je sais très bien que ça ne te fais pas du tout plaisir que je te gronde comme ça, mais bordel, je n'aurais jamais penser revenir ici mais surtout pour toi, te voir dans cette état là quoi ! Surtout que je sais très bien que ton métier et a risque et que... et bien qu'un jour ça serait arriver. Qu'on m'appelle pour ça quoi. C'est aussi pour ça que je te dis qu'il faut que tu fasse plus attention. - Je sais Edwy. Oui je vais faire plus attention, mais le risque zéro n'existe pas... je soupire doucement quand tu me dis ça. « Je sais bien Aaron que le risque zéro n'existe pas dans ton métier, mais... j'ai jamais conçu ton métier par peur de te retrouver là tu vois ? » Je dis en croisant doucement des bras en soupirant a nouveau, ouais je n'aime pas ce métier pour ça, mais c'est un beau métier malgré tout. Mais savoir qu'un de mes proches le fait... non. Mais je sais, je sais très bien que tu remarques mon inquiétude sur mon visage, je sais aussi que ce n'était pas ton intention... Mais c'est au moment ou tu fais de l'humour et que tu essayes de me montré que tu es fort et que tu peux sortir que je viens a nouveau t'engueuler en venant t'aider a te relever, je sais que tu souffres, alors je fais de mon mieux pour ne pas te faire encore plus mal. Je me rassois sur mon fauteuil. - Ce n'était pas mon intention Edwy. Je me sens mal d'avoir effrayé tout le monde comme ça. Promis je ferais tout pour éviter que ça se reproduise un jour. Je hausse doucement des épaules, surement, mais je sais qu'un jour ou l'autre j'aurais encore ce stupide appel qui me dis que tu es encore dans un stupide hôpital a cause d'un stupide feu a la con. Ouais, je le sais mais c'est aussi pour ça que je ne réponds pas a se que tu viens de me dire. L'état vestimentaire que j'ai explique aussi la peur que j'ai eu. - Je reste jusqu'à demain si tout va bien, si pendant la nuit ils trouvent que j'ai un comportement bizarre ils peuvent rallonger mon séjour, mais ça m'étonnerait que ça arrive. Je hoche doucement la tête. « Et bien si tu sors demain, tu viens à la maison, sinon c'est moi qui vient squatter chez toi que tu le veuille ou non que je m'occupe de toi. De toute façon je ne te laisse pas le choix, je viendrais chez toi ! Voilà, comme ça, c'est dit un point c'est tout. » C'est en parlant de venir chez toi que je penses à tes loulous et que je te demande si tu veux que je passe. - Oh oui ce serait formidable si tu pouvais aller leur donner à manger ! je hoche doucement la tête en souriant. - Mais tu es sûr que ça ne te dérange pas ? je te fais une drôle de tête, un peut pour me foutre de toi. « Banane ! Si je te le propose c'est que ça ne me dérange pas d'aller leur donner à manger et de les sortirs un coup aussi ! Parce que les pauvres s'ils sont toujours en fermé, ils vont sentir le vieux fénèque, comme toi ! » je te tire la langue en te regardant.

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ronron & wywy

Une fois t'avoir dit que je pouvais laisser Nina toute seule pour quelques jours, car ça ne lui ferais pas de mal du tout, mais aussi que je pouvais m'occuper de t'es animaux, ça ne me dérangeait pas. Quelques petites mots d'humour, celui que je sens plus le fénêque que toi je ne peux pas m'empêcher de rigole car oui c'était drôle mais aussi c'était la vérité, surtout qu'en ce moment, je n'avais pas trop envie de bouger surtout pour aller au boulot, vue que je me remets bien trop en question. Mais bon c'était comme ça. Quand je viens regarder l'heure sur ma montre, je me redresse doucement en venant remettre mon tee-shirt correctement. Je m'approche de toi en remettant mes lunettes sur le nez doucement. « Je vais passer a la caserne récupéré t'es affaires que je mettrais chez toi. Et t'inquiète pas, j'ai toujours le double de chez toi regarde. » je passe ma main dans ma poche de jogging et sort mes clef ou les tiennes sont accrochés avec. « Entre nous deux, c'est toi le blond, pas moi. » je te dis en souriant, mais surtout avec ironie. Ouais, j'aime t'embêter avec ça, même si je sais que tu vas me dire « je ne suis pas blond mais châtain clair. » je rigole a nouveau puis je viens vers toi. « Aller repose toi vieille andouille ! A si, tien. T'es collègue mon donner ça au passage. » je viens sortir de ma poche ton téléphone portable qu'ils n'ont pas voulu te le donner quand tu étais dans ta chambre. Je te laisse le prendre puis, au lieu de te faire une accolade je viens ébouriffé t'es cheveux en riant doucement. « Je repasse demain, vieille folle ! » je te fais un clin d'oeil en sortant de la chambre. Puis de l'hôpital. Je me dirige en premier vers la caserne, t'es collègues me connaisse a force, ils acceptent même que je puisse aller chercher t'es affaires dans ton cassier. Te connaissant trop bien je connais ton code de cadenas. Je les prends toutes puis je retourne dans ma voiture pour aller me diriger vers chez toi. Quand j'ouvre, je suis accueillit par t'es deux animaux, qui me font la fête. Bien sûr je prends soin de faire sortir Boo puis en rentrant je leur donne a manger. Je n'avais pas regarder mon téléphone depuis que je suis partie, c'est là que je le prends pour prévenir Nina que je ne rentre pas ce soir et que je vois ton message « je m'ennuie » je rigole, et je te fais poiroté. Je reste toute la soirée chez toi, un peut de calme ne me fait pas de mal, mais surtout, je peux dessiner tranquillement chez toi. Je ne sais pas je suis plus inspiré chez toi que chez moi...

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