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contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
avril 2024
12° - 19° // le vent est de retour à ib..
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.


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 I think there's a flaw in our code - Antonio & Kathryn -

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MessageSujet: I think there's a flaw in our code - Antonio & Kathryn - (#)   I think there's a flaw in our code - Antonio & Kathryn -  EmptyDim 10 Sep - 1:37



I think there's a flaw in our code
Antonio & Kathryn

Ils étaient là, enlacés sur ce matelas moelleux. Ils étaient là, nus sous ses draps soyeux qui leur collaient à la peau. Ils étaient si bien ainsi. Ils étaient là, apaisés et détendus après ce qu’ils venaient de faire. La pièce se déchargeaient lentement de cette atmosphère électrique entre eux, témoin de ce qu’ils venaient de faire. Encore une fois, ils s’étaient donné rendez-vous dans cette chambre plutôt sympathique. Encore une fois, ils s’étaient envoyé en l’air dedans. Encore une fois, ils étaient montés au septième ciel, oubliant mari et problème par la même occasion. Suite à leur jouissance, le silence s’était abattu dans la pièce. Ils étaient là, haletant, cherchant à reprendre leur respiration. Leur attirance était passionnelle. Un désir violent s’empare d’eux. Lui, voulait fuir sa vie et ses problèmes derrière tout ça. Elle, voulait fuir ses problèmes de couple. Ils voulaient fuir et ils fuyaient cela ensemble, dans les bras de l’un et de l’autre à recours de caresses et de baisers. Il n’y avait pas d’amour entre eux, ce n’était pas de l’amour, c’était autre chose. Un désir, une attirance, un feu brûlant, un besoin urgent de fuir tout cela. Tout cela était risquée surtout pour elle, pour eux. S’ils se faisaient choper, elle perdrait sans doute son boulot, Antonio aurait sans doute un joli cocard de la part de son mari. Enfin, ce n’était pas sa faute si elle venait le voir lui pour la combler mais à son mari.

 Caressant doucement et distraitement la cuisse de son avocate, Antonio regardait fixement le plafond qui avait une petite fissure au dessus de lui. Il réfléchissait à tout cela. Antonio avait fait bien pire, il se fichait bien de coucher avec une femme mariée, ce n’était pas du tout le problème. Il avait peur qu’elle se fasse chopée et qu’elle perde son travail. Elle était très bonne dans son métier et elle se fichait bien qu’il soit innocent ou coupable. Elle se fichait bien de savoir s’il avait tué quelqu’un ou pas, tout ce qu’elle voulait de lui, c’était son argent et qu’il l’emmène au septième ciel lorsqu’ils se voyaient en secret. Ah, Kathryn était tenace. Belle et tenace. Il admirait cela chez une femme. Elle était intelligente et ne cherchait pas à ce qu’il fasse une rédemption. Il ne voulait pas se faire pardonner de toute façon. Il avait fait ce qu’il avait fait parce qu’Antonio le devait pour devenir le parrain. Pour avoir le pouvoir, pour ne pas se faire prendre, il était prêt à tout. Doucement, sa main calleuse qui faisait des petits cercles sur sa cuisse remontait doucement, lentement, déclinant même des cercles pour remonter vers le bassin de celle-ci. Deux amants cherchant à fuir leur vie, leur problème. Oubliant dans leurs étreintes passionnés, les problèmes et leur vie. Ils ne s’aimaient pas et ne s’aimeraient jamais, cependant, ils ne se détestaient pas. Ils étaient sincères l’un envers l’autre. Ce n’était pas sérieux, et cela n’irait jamais loin. Cette chambre n’était qu’un refuge, ils se débarrassaient de leurs images, de leur belle facette qu’ils montraient à tout le monde pour éviter que leur véritable visage se montre au grand jour. Elle connaissait son vrai visage, elle a avait vu son torse criblé de cicatrice et de tatouage, preuve de son passé tumultueux. Cependant, il n’était pas sûr de connaître véritablement le siens.

Se tournant vers elle, il vint baiser son épaule frêle avant de la regarder avec un petit sourire taquin, sa main continuant de caresser sa hanche.

-Ton mari est vraiment nul, tu sais, déclara-t-il avec un petit sourire. Comment il ne peut pas être satisfait avec une telle femme comme toi au lit ? Ajouta-t-il tandis que sa main insistait un peu plus sur le bassin de Kathryn.

Il était sérieux, comment ce mari ne la regardait même pas. Elle était aussi chaude que la braise. Elle n’avait pas peur de ce qu’il était. Elle n’avait pas froid aux yeux et il adorait cela.


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MessageSujet: Re: I think there's a flaw in our code - Antonio & Kathryn - (#)   I think there's a flaw in our code - Antonio & Kathryn -  EmptySam 16 Sep - 19:00

Rules do not matter
Antonio & Kathryn

Chambre 496. Théâtre de tous les interdits et des passions les plus intenses. Voilà déjà quelques semaines que dans ce lieu l'avocate et celui qu'elle défendait brisaient toutes les convenances et les conventions. Depuis le jour de leur première poignée de mains, à l'instant où leurs peaux se sont frôlées et où leurs regards se sont croisés, Kathryn a su qu'elle contreviendrait à l'une des premières règles d'éthiques de sa profession; celle voulant que toute relation intime soit interdite entre un avocat et son client. C'était écrit dans le ciel, comme noir sur blanc. Elle aurait dû recommander Antonio à un autre avocat, à un autre cabinet. Dès le départ. Cela lui aurait évité de lutter à cœur et à corps perdus contre les avances du bel italien et contre ses propres pulsions. Elle aurait dû deviner son jeu de séduction et mettre le holà avant qu'un point de non-retour ne soit franchi. "Je ne peux pas…" lui avait-elle dit à la manière d'un avertissement après qu'un baiser volé eut tout changé de leur lien initial et avant qu'il ne réponde à son tour un "Oui tu peux" aussi insolent qu'indécent, l'invitant à renouveler ce baiser avec plus d'élan. Plus possible de reculer. Comment résister quand c'était couru d'avance ? Le cœur à ses raisons que la raison elle-même ne connait point, dit-on… Il avait besoin d'asseoir sa testostérone et sa virilité; elle avait besoin de se sentir désirée et de se détendre. Ils étaient ainsi faits l'un pour l'autre. Était-ce ce que l'on pouvait appeler le parfait timing ?

Le rituel était à peu près chaque fois le même. Elle arrivait la première, il la rejoignait ensuite. Ils finissaient par quitter l'hôtel, pas toujours dans le même ordre, quelques heures plus tard, rassasiés l'un de l'autre et satisfaits. À ce jour, jamais Kathryn ne s'était autorisée à passer la nuit avec Antonio. Cela aurait éveillé bien trop de soupçons, tant du côté de l'avocate que de son client. Tous deux amateurs d'alcool fort, un verre ou deux précédait toujours de longs et langoureux préliminaires qu'ils prolongeaient encore et encore jusqu'à chacun d'eux ne puisse plus se contenir de posséder l'autre. Dieu que cela contrastait avec la façon dont les choses se déroulaient avec son mari. C'était souvent brutal et son propre plaisir ne semblait plus compter. C'est beaucoup pour cette raison qu'elle retardait l'heure à laquelle ekke rentrait à la maison. Le moins elle se trouvait en sa présence, le mieux elle se portait. Avec ou sans musique d'ambiance, leurs rendez-vous clandestins donnaient toujours lieu à des ébats d'une intensité jusque-là inconnue pour Kathryn, du moins depuis son second mariage. En fait, elle ne se souvenait pas s'être donnée à un homme avec autant d'ardeurs et de passion, tout comme elle ne rappelait pas la dernière fois où un homme l'avait fait sentir désirable. La chambre 496 était ainsi devenue leur salle de jeux, leur exutoire contre la monotonie d'une vie conjugale frustrante et insatisfaisante pour l'une et une vie truffée de problèmes immoraux pour l'autre. Chacun d'eux vivait avec de bien lourds fardeaux à porter. Chacun avait besoin de s'évader, ne serait-ce que pour quelques heures, loin de leurs existences tumultueuses. Leurs petits rendez-vous étaient devenus non pas leur drogue, mais leur thérapie respective. Plus simplement dit, chacun procurait un peu de bien à l'autre. Il n'y avait effectivement pas d'amour au sens propre. Bien sûr, il y avait un respect mutuel et de l'affection, mais il s'agissait surtout d'une attirance hautement physique. Jamais des caresses et des contacts physiques ne lui avait fait ressentir pareilles décharges.

Ce soir n'avait pas été différent des autres en intensité. Reprenant tout doucement son souffle et sa température corporelle, la quinquagénaire s'était lovée contre son amant. La tête sur son torse, elle s'amusait à passer les doigts ses tatouages et ses cicatrices. Antonio lui avait expliqué l'histoire de chacune d'elles, sans scrupule. Elle l'avait écouté, sans jugement ni autre forme de procès. À dire vrai, elle avait non pas l'impression de coucher avec un criminel, mais avec une force de la nature. Si l'idée de se retrouver avec un futur parrain de la mafia pouvait effrayer certaines femmes, Kathryn, elle, se sentait étrangement en sécurité, à l'abri de tout. Avec lui, elle se fichait éperdument de tout ce qui pouvait arriver ; ce qui importait, c'était l'ivresse qu'il lui faisait vivre.


"Mon mari est un salaud" répondit-elle en traçant, de ses doigts, un chemin sur son torse. Esquissant un sourire coquin, elle le regarda dans les yeux. "Il n'en a que pour son argent et c'est bien là la seule chose que nous avons en commun lui et moi... Son argent !"

La main aventureuse et insistante d'Antonio sur son bassin lui décrocha un frisson accompagné d'un long soupir. "Vois le bon côté des choses… S'il était satisfait, ce sont dans ses bras à lui que je serais, pas dans les tiens."

Elle se redressa un peu et vint déposer ses lèvres ici et là le long de son torse.


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