Where there is a flame, someone's bound to get burned. • Pepper

Pepper Rhydwyn

life is cool, but suck at times.

les informations en vrac

la partie anecdotes ○ Mon père est gallois bien que sa mère soit irlandaise. Ma mère est néo-zélandaise bien que papi a un prénom plus suédois mais si on remonte aux arrières grands-parents on en a pour deux cent ans. • Papa et maman se sont rencontrés lors d'un mariage à Cardiff. maman était proche de la mariée et papa était témoin du marié. Ils se sont aimé et maman a décidé de tout quitter à Wadestown pour venir vivre à Cardiff avec mon père. Pour une promotion de ce dernier, ils ont fini par allé vivre à Dublin deux ans avant ma naissance. • La famille de mon père est assez fortunée et conservatrice. Assez désagréable aussi puisqu'ils n'ont jamais vraiment apprécié ma mère. En retour, je ne les ai jamais aimé des tonnes même si enfant, nous étions contraintes d'aller dans leur demeure à Cardiff pour Noël et même après le divorce c'était le seul moment où on voyait hélas notre père, Heather et moi. J'ai arrêté de faire ces allers-retours pendant la période de fête à l'âge de seize ans par choix que j'ai imposé, au grand désespoir surjoué des Rhydwyn. • Je suis née un trois février. • Je suis la fille cadette de mes deux parents, j'ai une soeur ainée, Heather, avec qui l'entente est parfois bonne comme mauvaise. • Mon père, je l'ai toujours vu d'un mauvais oeil. Homme d'affaire et propre sur lui, il n'était que rarement présent pour nous, ses filles. Heather le prenait pour un bien plutôt que pour un mal comme moi. Je me refusais aux punitions données par ce dit père de famille et je me prenais des raclées assez souvent. • Quand mes parents ont décidés de divorcer, ma mère a obtenue notre garde et c'est pas pour m'en déplaire. On a quitté Dublin pour une petite ville non-loin de Wellington où grand-mère avait élevée maman à Wadestown. • Maman a rencontrée un monsieur à Wellington quelques mois avant mes onze ans. Monsieur Sawyers, homme veuf et avec deux enfants. Maman l'a aimé presque au premier coup d'oeil et cela me faisait plaisir de la voir ainsi, de plus, le monsieur semblait bien m'apprécier puisqu'il donnait à ma mère des bonbons pour moi. Bon, il achetait peut-être ma sympathie mais ce fut chose faite. • Heather et moi avions quittée la maison de grand-mère à Wadestown pour aller vivre avec les Sawyers à Island Bay bien rapidement. Cela fait seize ans que l'on vit comme une famille recomposée et je n'y ai jamais vu un souci, du moment qu'il n'était pas mon père resté en Irlande. • Depuis la primaire, je suis une enfant obèse mais j'ai finit par accepter de voir un nutritionniste à l'âge de seize ans. Je n'ai jamais été victime de moqueries, ayant un visage naturellement beau pour compenser. • Les études ça n'a jamais été pour moi, va savoir pourquoi je préférais dormir en cours, me mettre du vernis à ongle ou juste gribouiller quelques esquisses. Même si je dessine bien, d'après maman très bien, je détestait l'art plastique à l'école. • Je ne suis pas une fille cérébrale, mais faites attention, je ne suis pas complètement idiote. Bon ok, j'ai besoin d'une calculatrice pour compter les multiplications mais je suis pas idiote et me laisse difficilement embobinée par les autres. • J'adore les animaux, j'en ai pas pour le moment mais depuis gamine j'adore les petites bêtes. On pourrait penser que je suis du genre à flipper pour une souris, un rat ou une araignée ; mais pas du tout. Au contraire, je cherche à les faire sortir au lieu de les écraser. • Je fais de la boxe française depuis mes dix-sept ans, j'adore le sport de combat déjà à la télévision, au cinéma et tout mais là, en faire vraiment, ça me libère de tout. • J'ai pas continué mes études après le lycée, j'ai fais des petits boulots ici et là et quand j'eus assez d'argent, en plus de mes économies de l'argent versé par papa lors de mes anniversaires, je suis partie faire un BTS Esthétique à Paris, à l'école Elysees Marbeuf. J'ai fait mes stages chez Lancôme, pardon je cite des enseignes. Quand j'ai eu mon diplôme, j'ai continué de travailler là-bas. • Je parle le français mais encore très gauchement avec un accent irlandais que j'abandonne difficilement. • J'avais vingt-deux ans quand je suis allée à Paris puis je suis revenue en Décembre 2016. • En France, j'ai été en couple pendant un an et demi avec une parisienne, Léa. Nous étions assez libre dans notre relation et pourtant on allait pas voir ailleurs, on draguait des autres gens mais jamais plus. On s'est quitté quand j'ai voulu partir pour Wellington, on se parle à distance encore maintenant. • J'ai trouvé un emploi à Prime TV comme artiste maquilleur. Moi qui rêvait depuis toujours de briller sous les projecteurs, briller et être le centre de toutes intentions. Je vis mon rêve tapis dans l'ombre, mais je le vois, c'est déjà ça. • Mon idole c'est Marilyn Monroe et ça le restera à jamais avec peut-être Kim Kardashian, ne rigolez pas.

les indiscrétions sur le joueur

 

Code:

<pris>○ kate upton</pris> pepper rhydwyn

l'histoire de ma vie

Padam, padam, padam
C'est un air qui me montre du doigt

Ce qui va suivre peut être considéré comme un petit pour certaine personne je préfère prévenir

Je m'extirpe du lit, encore bien amochée de la soirée d'hier. Je garde en mémoire les souvenirs malgré que l'alcool m'a pas mal mise dans le brouillard vers la fin. Je traîne mes pieds nus vers la terrassasse de l'appartement, habillée dans un débardeur blanc, un slip cotonné bio de la même couleur pure, ainsi qu'un simple tissu voilée transparent, blanc, dessiné et coupé comme un kimono court. Je rabats ma tignasse blonde en un chignon rapide alors que je m'aventure dans le salon ouvert, teinté d'un parquet sombre tandis que les murs en étaient d'une couleur bien plus lumineuse. La porte vitrée a été tirée, ouverte, je soulève mon pied, puis l'autre pour quitter le parquet et toucher du carrelage en imitation pierres dallées. Je viens m'accouder sur le rebord de la terrasse assez volumineuse, de quoi mettre une table de bois en son centre et deux chaise adéquates. Je regarde l'horizon, la Tour Eiffel s'offre à moi comme une stipteaseuse dans un bar. La métaphore est pas superbe dite ainsi mais j'ai pas trouvé mieux. Puis merde, c'est mon esprit quoi ! Malgré le mois de Décembre, c'est un jour pourant assez doux qui s'offre sur Paris. En parlant de danseuse exotique, de charmes, une douce voix se glisse au creux de mon cou avant de venir y déposer des lèvres moites. « Bonjour petit oisillon. » Des bras menus viennent entourer mes hanches, venant se glisser sur mon intimité encore couverte. J'esquisse un sourire, venant frotter mon postérieur sur l'intimité de ma compagne de jeu. Léa. Une femme divine, une française et allemande, mais née en dehors de Paris. Une danseuse au Lido. Sa chevelure vient tomber petit à petit sur mon épaule dénudée, chaque sensation me fait tressaillir au plus profond de moi et mon intimité réagit en petits éclairs. « Tu vas me manquer, Darling. » Son darling dit à la française pourrait faire dresser la flûte de n’importe qui.  Je me mordille la lèvre méchamment, me contenant de la plaquer sur la table de bois et lui montrer à quel point je vais lui manquer et qu’elle va me manquer. Léa fait glisser sa main entre mes cuisses et vient appuyer de son pouce sur mon bouton qui me fait contracter. Je pousse un gémissement et elle semble s'en amuser. Elle s'amuse à faire de légers cercles sur le même bouton avant de s'éloigner de mon dos. Je me retourne, me tenant à la rambarde, mes jambes deviennent molles. La sorcière. Elle esquisse un sourire amusée et s'en va par la porte d'entrée. Elle me laisse seule alors que je vais partir sous peu de temps. Je vais dire adieu au charme à la française pour retrouver ma famille sous le soleil néo-zélandais. Les Sawyers, cette famille par alliance mais que je considère comme mienne depuis seize ans maintenant. Ma mère, ma grand-mère ainsi que ma soeur Heather, que j'aime bien que je pourrais parfois étrangler ma soeur ainée. Je soupire et entre dans le salon pour attraper un paquet de cigarettes. Je glisse un mégot entre mes lèvres, retire le paquet en ne gardant qu'une clope en bouche. J'allume à l'aide d'une allumettes et j'inspire la toxicité qui me fait du bien surtout avec ma petite gueule de bois. Je m'affale sur une des chaises de la terrasse, posant mes pieds sur la table. Je fume, je regarde l'horizon. J'essaie de penser à des choses qui ne me font as envie pour passer le fait que j'ai envie de faire des choses interdites dans une église. Difficilement. Impossible. Je soupire, penchant ma tête en arrière, extirpant une fumée épaisse de ma bouche. Elle va me manquer, ça, oui, ma fille du Lido.