Merry Christmas (Galios #4)

tu dors beaucoup mieux, ces derniers. bien souvent blottis contre galaad, ou ce dernier dans tes bras. vos corps étroitement liés et vos souffles se synchronisant bien rapidement. tu dors mieux, et tu dors plus. sans doute une bonne chose. enfin, tu dors plus, quand vous ne passez pas la nuit à vous embrasser et vous aimer ... ce qui c'est encore passé la nuit dernière. alors quand tu sens galaad s'éloigner de toi, tu n'as pas totalement le courage de te réveiller, à peine tiré du sommeil. tu bouges un peu, te glissant contre son coussin, un petit soupir d'aise sur les lèvres. tu sens vaguement les doigts du brun glisser dans tes cheveux, avant de te rendormir complètement, l'oreiller de ton homme serrer dans tes bras, ton visage enfouis contre. tu n'as aucune idée du temps qui passe, quand tu sens vaguement les doigts glisser contre ta peau. les lèvres de galaad contre ton épaule et dans ton dos te tirent définitivement de ton sommeil. amour.. il est l’heure de se réveiller… tu viens étouffer un bâillement dans ta main, te frottant le visage, terminant par ouvrir les yeux, clignant plusieurs fois des paupières pour t'habituer à la luminosité. salut.. tu souffles d'une voix encore rauque de sommeil, un petit sourire sur les lèvres. galaad au-dessus de toi. t'aimerais avoir cette vision tous les matins. tu tends une main pour effleurer sa joue, un sourire un peu idiot sur les lèvres, alors que t'essayes tant bien que mal d'émerger. tu veux pas venir avec moi ? tu souffles, riant un peu, l'attirant à toi pour déposer un baiser sur le bout de son nez. tu glisses tes doigts dans sa nuque, puis dans ses cheveux que tu viens décoiffer. tu ris doucement, avant de t'étirer longuement. galaad à l'habitude de te comparer à un chat, quand tu t'étires de la sorte ... un nouveau bâillement s'échappe de tes lèvres et tu commences tant bien que mal à te réveiller, attirant galaad à toi pour glisser tes bras autour de lui et te blottir contre son corps.

noël. tu n'as jamais été très attaché aux fêtes familiales ou ce genre de choses. mais tu fais des efforts tous les ans. et, quand galaad vient te réveiller ce matin-là, tu savoures pleinement le moment. son corps délicieusement penché au-dessus du tien; tu pourrais l'observer pendant des heures et des heures sans jamais te lasser de cette vue ou de sa présence. tu viens glisser tes doigts dans ses cheveux et le lui proposes; de venir avec toi. non, sinon on va se mettre en retard sur la journée. une petite moue se dessine sur ton visage alors que tu viens t’étirer longuement, attirant galaad contre toi. il termine par céder et un sourire se dessine sur tes lèvres, tandis que tu passes tes bras autour de son torse pour qu'il reste contre toi. t'as carrément la flemme de bouger et tu ne serais pas contre un câlin matinal ... le café va refroidir… et tu as intérêt à te nourrir car la journée va être longue, mon cœur. tu soupires doucement de bien-être contre ses lèvres, fermant les yeux et savourant ce baiser. on s'en fou du café. tu pouffes en riant, le laissant tout de même se redresser et faisant de même. tu viens passer tes doigts contre ton visage, puis dans tes cheveux pour les éloigner de ton front. c’est notre journée. joyeux noël mon amour. un sourire se dessine sur tes lèvres. joyeux noël bébé. tu souffles en récupérant ta tasse de café, venant boire une petite gorgée. si tu veux, tu peux me réveiller comme ça tous les matins. tu ajoutes après quelques secondes, un rire sur les lèvres, tandis que tu viens attraper un croissant pour le plonger dans ton café; avant de venir croquer dedans à pleines dents. qu'est-ce que tu nous a prévu de beau pour cette journée ? tu demandes en penchant un peu la tête sur le côté, bien trop curieux. tu termines tranquillement de déjeuner, ne te privant pas pour observer galaad face à toi.

tu arrives à faire craquer galaad, qui termine contre toi. tu souris comme un con, tu n'aimes que trop le sentir contre toi, d'une quelconque manière que ce soit. tes doigts voguent dans son dos et tu viens l'embrasser avec douceur, lui proposant une tout autre activité que, simplement se lever et bouger. t'aimerais bien passer la journée au lit, avec lui, mais ... il ne semble pas pour cette option. alors tu termines par te redresser tant bien que mal, baillant à plusieurs reprises, t'étirant longuement. moi je ne m’en fou pas. pour une fois que c’est moi qui le fait. tu ris doucement en t'installant sur le lit, t'asseyant en tailleur. tu attrapes ta tasse de café pour boire une gorgée, souriant un peu bêtement quand gal tends la main. j'ai pleins d’idées de comment te réveiller de manière différentes. tu ris doucement face a son regard plus qu'évocateur. j'ai hâte de voir ça alors ... tu souffles en riant un peu. tu attrapes ensuite un croissant pour croquer dedans, te penchant un peu sur le plateau pour éviter d'en foutre partout. tu aimes cette tendresse, ce quotidien qui semble enfin se reconstruire après tant de temps. tu te mords l'intérieur de la joue. tu verras, il faudrait que l’on soit partie dans une heure au maximum pour profiter calmement de l’endroit. je peux choisir ce que tu vas porter ? tu te mords l'intérieur de la joue et attrapes le plateau pour pouvoir laisser galaad libre de ses mouvements. fais toi plaisir. tu lâches en riant doucement, tes doigts glissant dans tes cheveux. j'vais me dépêcher de prendre une douche avant de m'habiller. tu ajoutes après quelques secondes. tu termines de manger ton croissant et tu bois une nouvelle gorgée de café. ton regard qui observe le brun. t'es beau. tu souffles simplement, un sourire sur les lèvres.

galaad. ton galaad. contre toi. souriant. riant. c'est bien trop beau pour être vrai. t'es bien. tu te sens bien, contre lui, avec lui, comme si rien d'autre que vous n'existait réellement. certes, c'est noël et, visiblement, vous n'allez pas passer votre journée au lit, mais ça te va très bien. tu fermes les yeux quelques secondes, savourant tout simplement ce moment, consentant finalement à te redresser pour déjeuner. tu vas plutôt ressentir… tu te mords délicatement la lèvre inférieure, pouffant de rire en voyant galaad face à toi. j'ai hâte. tu souffles en croquant dans ton croissant. galaad se propose pour choisir tes vêtements et tu hoches la tête, n'y voyant pas d’inconvénient, sachant très bien que tu risques de terminer dans un pantalon moulant et un haut similaire. tu te mords l’intérieur de la joue en buvant une gorgée de café, une fois la viennoiserie terminée. bien. humhum. tu écartes le plateau et le pose avec délicatesse sur le lit, te levant enfin, tes doigts grattant ta joue. pas aussi beau que toi. tu ris doucement quand il vient te pousser vers la salle de bain. dépêche. j’ai pas envie que l’on soit en retard, je veux que cette journée soit parfaite… un nouveau rire quand sa main claque tes fesses. c'est dommage, moi qui voulais te proposer une douche à deux ... tu souffles en te dirigeant vers la salle de bain, ayant attrapé tes vêtements au passage et volé un baiser à galaad. tu te dépêches de te laver, séchant rapidement tes cheveux une fois propre. tu t'habilles et un sourire se dessine sur tes lèvres quand tu remarques le jean choisi par galaad. un de tes plus serré. évidemment. tu termines de t'habiller et rejoins galaad à la cuisine. tu tournes sur toi-même quand il t'observe. alors ? j'suis magnifique ? tu pouffes de rire en venant l'embrasser doucement. alors ? ou est-ce qu'on s'en va ? tu souffles en t'éloignant un peu pour récupérer ta paire de lunettes de soleil sur le comptoir de la cuisine, la glissant dans tes cheveux. tu laisses galaad mener la danse pour la journée. après tout, tu n'as aucune idée de la ou il veut t'emmener.

tu aurais bien aimé que galaad te rejoigne sous la douche. pourvoir la partager à deux, profiter de son corps contre le tien. nu. mais, non. alors tu capitules, te dépêchant sous le jet d'eau, terminant par t'habiller avec les vêtements soigneusement choisit par galaad. et tu sais très bien pourquoi il a choisi ce pantalon. parce qu'il te dit tout le temps qu'il adore ton cul dedans. un rire t'échappe alors que tu termines de t'habiller, rejoignant le brun au salon, souriant face à sa réaction. ses quelques secondes de battement. un sourire se dessine sur le coin de tes lèvres. tu adores quand tu lui fais cet effet. tu es splendide. tu souris en venant l'embrasser doucement. ce pantalon te va vraiment à la perfection. tu lèves les yeux au ciel en riant. je sais. tu me le dis toujours. tu pouffes en te détachant à regret de lui pour récupérer tes lunettes de soleil et glisser ton portable dans la poche de ton pantalon. tu te mords l'intérieur de la joue. tu laisses ensuite galaad t'entraîner dans les rues d'island bay. ta main dans la sienne, ne la quittant pas. ton sourire s'élargit quand vous arrivez dans ce parc. tu te mords l'intérieur de la joue en resserrant ton emprise sur sa main. beaucoup trop de souvenirs qui s'imposent à toi. énormément. cette journée ou tu as mis des heures à te préparer pour être certain de trouver la bonne tenue. cette après-midi passée avec lui, ce soirée ponctuée d'un des plus beau baisers de ta vie. clairement. tu t'en souviens encore comme si c'était hier. et pourtant, c'était il y a six ans. ça te rappelle quelque chose ? tu ris doucement en répondant à son baiser. non je vois pas. tu minaudes en l'attirant un peu plus proche que toi. hormis la journée la plus stressante de ma vie. tu murmures contre ses lèvres. cette après-midi parfaite. cette séance de cinéma ou j'me suis retenu de te sauter dessus dans le noir. tu ajoutes en lui volant un nouveau baiser. puis la plage ou on a marché pour regarder le coucher du soleil. et la ou on s'est embrassé pour la première fois. tu conclus finalement en souriant comme un idiot, tes mains posées dans son dos. ça fait déjà six ans. tu murmures, presque nostalgique, te mordant l'intérieur de la joue et souriant un peu plus encore. comme si c'était réellement possible. bordel, tes sentiments n'ont toujours pas bougés en six années et tu as l'impression d'être redevenu cet ado pas très sûr de lui.

un noël qui pourrait s'annoncer comme les autres. mais ... t'en sais trop rien. tu préfères profiter que te poser trop de questions. profiter de galaad qui vient te réveiller avec un café et des viennoiseries. tu le laisses choisir tes vêtements. évidemment, que tu le laisses faire, tu trouves ça bien trop adorable de sa part. il ne te faut que quelques minutes pour te doucher et t'habiller. tu n'es même pas étonné de voir quel pantalon il a choisi. un rire sur tes lèvres quand tu le rejoins au salon, ses mains s'attardant contre toi. parce que c’est la vérité amour. tu lèves les yeux au ciel en riant, attrapant tes lunettes de soleil avant de laisser galaad t'emmener dans les rues de la ville. vous marchez quelques minutes, mains dans la mains. et tu ne reconnais trop bien l'endroit ou vous vous trouvez. tu aimes revenir ici, galaad aussi, sans doute. parce que le lieu de votre premier rendez-vous, pas loin d'être le lieu de votre premier baiser. et ça fait déjà six ans. six années qui sont passées bien trop rapidement, quand tu y penses réellement. mais ça te plaît, de savoir que galaad est toujours à tes côtés, que ce n'est pas près de se terminer, pour le moment. tu l'espères, en tout cas, que ça ne va pas se terminer. galaad te demande si ça te rappelle quelque chose. tu retiens un léger rire en minaudant un peu, ne tardant pas à décrire cette journée que tu n'oublieras sans doute jamais. et moi, c’est le jour où j’ai su que ce moment allait inévitablement arriver. tu fronces légèrement les sourcils. t'es pas totalement certain de ce qu'il s'passe. et t'es incapable d'avoir une réaction digne de ce nom quand tu vois galaad s'éloigner à peine pour poser un genou au sol. ok. ne pas paniquer. quand j’ai posé mon regard sur toi pour la première fois, j’ai su que tu serais l’unique à faire battre mon cœur. et le temps l’a confirmé. le temps loin de toi m’a juste démontré une chose : je ne veux plus que ça se reproduise… alors, veux-tu être mien pour le restant de nos jours ? ton cœur bat la chamade. il est vraiment en train de le faire. il est vraiment en train de te demander en mariage. merde. t'y as toujours pensé, à ça. ça a toujours fait partie de ton esprit, mas après tout ce qu'il vous ait arrivés ... t'y croyais plus vraiment. tu te pinces légèrement les lèvres, ton regard plongé dans celui de galaad. oui. tu souffles, avant de te baisser pour venir écraser tes lèvres contre les siennes, tes doigts dans sa nuque. évidemment que oui, putain. tu murmures doucement. j't'aime tellement. tellement fort. tu chuchotes dans ton étreinte. t'es pas certain de réussir à le lâcher pour le moment. t'as juste envie de l'embrasser. encore et encore, jusqu'à en perdre ton souffle.

tu ne t'attendais pas à ça. clairement pas. tu pensais passer un noël comme les autres, en compagnie de galaad, à profiter. juste, vous deux. personne d'autre. votre monde, votre bulle, votre univers. tu aurais aimer pouvoir le garder contre toi, au lit. profiter de son corps, l'aimer encore et encore sans jamais t'en lassé. mais il a décidé autrement. tu t'habilles et le suis jusqu'à ce petit parc qui représente tellement pour vous deux. et, clairement, tu ne t'attendais pas à ça. tu ne t'attendais pas à le voir s'éloigner un peu de toi et te demander en mariage. tu ne t'attendais plus à vivre cette situation, pas de suite en tout cas. pas depuis votre semi-rupture, pas depuis que tout est plus compliqué entre vous. tu pensais que le temps allait passer, que vous alliez réapprendre à vous connaître, mais ... putain, il est juste parfait, galaad. c'est tout. rien d'autre. et tu sais déjà. tu connais déjà, la réponse. rien d'autre. juste un mot soufflé. oui. évidemment que tu veux l'épouser. galaad, c'est l'homme de ta vie, t'as failli te foutre en l'air pour lui et ça prouve bien à quel point tu l'as dans la peau. tu viens l'embrasser avec passion, soupirant contre ses lèvres, riant quand tu sens son étreinte sur toi et quand il se redresse. tu viens attraper les petits cheveux dans sa nuque et tu ne le lâche pas. vos corps étroitement liés, tandis que tu te retrouves contre un arbre, bloqué par le brun. tu l'observes glisser la bague simple, mais magnifique, à ton doigt. joyeux noël mon amour. tu souris contre ses lèvres. tu ne peux pas arrêter de sourire. à moi. tu ris un peu. ses doigts contre tes fesses. tu peux pas t'en passer, hm ? tu pouffes doucement à lui, venant l'embrasser avec tendresse. tu viens caresser sa joue tendrement, tes doigts glissant contre sa peau. tu veux bien lâcher mes fesses, que j'te passe aussi la bague au doigt ? tu demandes en te pinçant les lèvres. c'est si beau. si parfait. et tu te fiches ben de ce qu'il peut se passer autour de vous. que le monde s'effondre ou non. tu attrapes la seconde bague dans l'écrin, puis la main de galaad. tu glisses l'anneau autour de son doigt, avant de venir embrasser doucement le dos de sa main. je t'aime. tu murmures. tellement fort. tu ajoutes en venant encadrer son visage de tes mains. tu viens l'embrasser une nouvelle fois. tendrement.