Yellow is evil... So don't drink your piss... { Billy 100%

Billy KitKat

Have a break, have a Kit Kat

les informations en vrac

la partie anecdotes ○

(/) Caractère
(*) Habitudes
(+) Coups de coeur
(-) Coups de gueule

(/)Anciennement sociable, nouvellement méfiant et distant; (/)Très extravertis et coloré comme personne; (/)Aimable et serviable; (/)La patience n'existe pas, il agit peu importe les conséquences; (/)Un agitateur dans l'âme qui aime avoir l'attention; (/)Mauvaise confiance en lui-même; (*)Doit siroter un café au petit matin; (*)Adore avoir des chaussettes dépareillés; (*)Ne peut s'empêcher de regarder un film ou une vidéo sur internet pour manger; (*)Portes en permanence ses écouteurs pour entendre de la musique; (*)Vérifie qu'il à verrouiller sa porte, au moins huit fois, avant de se questionner si il a effectivement verrouiller sa porte; (*)Trie sa nourriture et la préfère diviser que mélanger; (+)Adore les plantes; (-)Déteste chanter; (+)Cuisine les meilleures gaufres à vie; (-)Folle envie d'exterminer tout ce qui se résume à un insecte; (+)Connais toutes les références des films de Star Wars; (-)Ne s'entend pas avec les enfants en général; (+)Boire de l'alcool, c'est la vie; (-)Horreur des gens qui mange la bouche ouverte; (+)Adore être en présence de technologie; (-)Les fumeurs qui partage la fumée de leur cigarette; (+)La gastronomie, c'est une passion; (-)Déteste les bruits assourdissants

les indiscrétions sur le joueur

 

Code:

<pris>○ Felix Kjellberg</pris> billy kitkat

l'histoire de ma vie

petite citation pour faire joli

Soyons bref, je suis né comme tout le monde d'un petit couple de parents qui avaient enfin la chance d'avoir des enfants,  je suis né d'une famille qui voulaient et appréciaient leur enfants et j'ai eu une enfance ma parole des plus simple en compagnie de mon frère. Nous étions deux et partagions le nids familial, sans complication, sans histoire de mère décédé ou de père alcoolique. On était simplement une petite famille bien sympathique de Seattle, avec des parents qui nous ont donnés une éducation au meilleur de leur capacités parentale. J'ai pas grand souvenir de ma jeunesse avant mes cinq ans, mais comme tout les bébés de ce monde, j'ai fais dans mes couches, j'ai bavé et j'ai fort probablement empêcher tout le monde de dormir certaine nuits. Mise à part ses précisions, mes parents avaient tout deux d'excellents emplois au fédéral, travaillant directement pour notre cher gouvernement Américain et appréciais leur petite fortune pour nous offrir tout ce qu'on désirait. J'ai donc eu une éducation décente, d'excellents résultats scolaire, peu d'amis... À savoir aucun amis à vrai dire et fort probablement les notes dans la moyenne comme un petit garçon bien normal.

Mon frère à été pour moi ce que votre meilleur ami aura été pour vous, la seule personne qui me comprenais, qui m'écoutais et qui franchement n'avais pas sacrément beaucoup de préjugés sur moi. C'était un lien fusionnel entre nous et on à passer franchement une bonne partis de notre adolescence à se supporter et s'encourager mutuellement. La fraternité c'était encore plus sacrer que de ne pas partager sa carte bancaire. Finalement, c'est après les hautes-études, en chemin vers l'université que les choses se sont disons le... gâtées. Mon frère aimait son confort à Seattle, mais j'étais plus ambitieux que lui. Ma passion vers la technologie voulait m'emporter plus haut et plus loin vers le M.I.T, ou Stanfort pourquoi pas! J'avais les moyennes pour y être admis et j'avais clairement envie de changer le mal du pays pour les autres états!

Seattle University n'étant pas réputé pour leur programmations dans ses champs de compétences, j'ai donc en quelques sortes abandonnés mon frères aux griffes protectrices de mes parents, pour me diriger vers le M.I.T. Le Massachusetts était tellement différent de Seattle, que je me redécouvrais entièrement! Premier appartement à 21 ans, découverte de l'alcool, du boulot et surtout des filles! Parce que oui, malheureusement, à 21 ans, tenter d'avoir une petite amie, lorsqu'on passe tout son temps avec son frère, c'est pas forcément la meilleure relation possible. J'ai donc commencer à fréquenter une fille près de chez-moi, une serveuse à vrai dire et je dois dire que c'était l'amour fou. Tellement fou, que à peine une semaine après que je l'ai rencontrer je l'ai marié. Oui oui... Marié à 21 ans, avec une fille que j'ai connu depuis moins d'une semaine.

Bon je suis pas suicidaire quand même, je ne l'ai pas dit à ma famille et durant les vacances, je retirais mon alliance... Parce que rien que l'idée de ma mère qui allait me tabasser à grand coup de rouleau à pâtes et des injures de mon pères me faisais quand même quelques sueurs froides dans le dos. Au fils des années, elle est venue emménager chez-moi et j'ai graduer du M.I.T. comme programmeur senior en technologie. Pénétrer tout ordinateur ou pirater n'importe quoi était devenu aussi simple que d'étendre du beurre sur une tranche de pain.

C'est d'ailleurs pas pour rien que j'ai rapidement eu un emploie facile pour une petite boîte comme agent senior en direction de tout leur serveurs, leur ordinateurs et tout ce qui touchait la sécurité des informations confidentielle. Quelqu'un voulait pirater, il devrait se frotter à l'épine que j'étais! Sauf que malheureusement... J'ai pas sût garder mon sérieux dans mon travail... Il m'a fallut de quelques secondes pour observer un fichier mal ranger dans leur serveurs et trouver de belles informations complètement frauduleuses. La boîte pour laquelle je travaillais n'étais en fait qu'une couverture pour des types qui nageais dans beaucoup plus profond que de quelques échanges bancaire ou les chiffres de la bourse... Ils trafiquaient des informations de sécurité nationale à travers des réseaux internationales avec d'autres pays.

Vendre des informations de ce genre était passible de crime et trahison contre son propre gouvernement. Malheureusement il s'est sût que j'avais accéder ses dossiers et un choix très simple s'est étaler devant moi. Me taire, ne plus jamais toucher quoi que ce soit et partir loin, seul ou avoir ma famille d'impliquer et de plonger avec eux dans ce qui était des crimes pouvant aller jusqu'à l'emprisonnement à vie. J'ai donc prit quelques heures pour arriver chez-moi, signer les documents officiels de divorce, fait ma valise et prit le premier avion qui m'était possible. Et c'est ainsi mes chers amis que j'ai poser mes fesses bien au chaud en Nouvelle-Zélande...  Reste plus qu'à me découvrir quel genre de vie je veux bien mener, puisque pour l'instant, un des cerveaux du M.I.T. peut vous servir du café chaud dans un restaurant du coin, plutôt que d'avoir sa propre villa, travailler dans les grandes firmes et mener à bien sa vie.