Erin... Si la vie est un tango pour certains, la mienne est une tornade force 10...

   

Erin Branco

petite citation pour faire joli

   
   

les informations en vrac

   1m70, yeux couleur noisette, bouche pulpeuse, forme généreuse, j'arbore un teint halé› Métisse italiano - brésilienne j'ai un fort caractère, cela ne pouvait être autrement   › je suis née un 17 janvier 1983 à Los Angeles › je suis la cadette de la famille, ayant un frère antonio de un an mon ainé › Mon père est directeur de chaine de restaurants de luxe, et accessoirement fait partie d'un réseau de trafique de drogue (familiale) › Je découvris ce coté plus sombre de la famille à mes 17 ans › j'eus une adolescence sans heurts ou presque, bonne élève, fille parfaite, discrète › J'ai depuis l'enfance un problème vis à vis de l'attachement à autrui › J'ai fait économie à l'université de L'UCLA ou je passais 4 années durant lesquelles je découvris un peu plus sur moi dont mon gout pour la gente féminine› 22 ans je rentre chez moi diplôme en poche et travail deux ans pour mon père, jonglant entre New York, Miami, Paris et Los Angeles pour veiller sur la bonne gestion des divers restaurants familiaux › Durant ces deux ans, j'esquivais la présentation du petit ami qui n'existait que dans l'imaginaire de ma mère, mon père étant pour que je reste à jamais sa petite fille sage et chaste. Menant une double vie entre ce que mes parents s'imaginaient de moi et ce que j'étais réellement à savoir délurée, fêtarde, légèrement alcoolique sur les bords et très loin d’être chaste. je finis par mettre un terme à tout cela, lorsque mon père chercha à me faire participer aux affaires plus illégales de la famille › Je décide pour fuir le carcan familiale d'entrer dans l'United States Marine Corps, ou j'incorporais le I Marine Expeditionary Force, au sein de la 11th Marine Expeditionary Unit durant 4 ans › Nous étions basés essentiellement dans la zone d'opérations comprend l'ouest de l'océan Pacifique et l'océan Indien (en incluant le golfe Persique). › Fin de mon premier contrat au bout de 4 ans, je décide de ne pas rempiler et rentre chez moi me sentant plus forte et mure pour prendre les rennes de ma vie en mains › Je tombe amoureuse pour la première fois au détour d'une boite de nuit, de la Dj kelly, qui partagera ma vie durant 4 années › Les quatre années qui suivirent ne furent pas de tout repos, il fallut avouer à ma mère qui était réellement sa petite princesse brisant ainsi ses illusions. Quand à mon père, si ma sexualité et ma vraie personnalité le surprirent sans pour autant le choquer; Il fut beaucoup moins clément quand à mon projet d'abandonner l'affaire familiale pour monter ma boite de protection rapprochée et offrir à kelly un bar clubbing avec l'argent qu'il m'avait donné pour m'offrir un luxueux appartement › Disputes, silences, éloignements, retrouvailles, telles furent les diverses étapes qui marquèrent ma vie, jusqu’à ce que tout rentre dans l'ordre et qu'un mariage soit mis en route  › Kelly souhaite une vie loin de L.A à Wellington près de sa famille et je cède sans rien lui dire... six mois avant notre mariage, je signais pour une très belle villa à 200m de la mer dans le quartier de South bay à island bay...  Cadeau de mariage de mon père, je rachetais un local que je transformais en clubbing pour ma future femme afin qu'elle ne finisse pas femme au foyer, ce qui l'aurait rendu folle et moi avec... › Juillet 2015  ---> L'avant veille de notre mariage, mon monde s'écroula par un simple coup de fil. L'enterrement, les cris, les pleures, le vide, le silence, la dépression, la révolte, le renoncement, l'attente de la mort, l'hospitalisation et de nouveau le vide; Pendant six mois je ne fus même pas l'ombre de moi même, jusqu'au jour ou je me réveillais vidé mais stable. › Je repris une hygiène de vie normale, le chemin du travail, mais le tout sans saveur... puis vint le moment ou tout à L.A m’insupportais des bruits, aux odeurs, à la foule toujours plus nombreuse. Je me décidais à partir pour island bay sous les conseils de mon père qui craignait que je ne fasse une rechute. Un mois avant que je ne déménage, mon père s'occupa de tout, se chargeant de me trouver un local à Wellington pour y implanter ma boite de protection rapprochée, ainsi que trois gardes du corps pour débuter. Il se chargea de la pub, et joua de ses relations pour me dégoter trois contrats sur lesquels il place mes trois employés. Je n'avais qu'à faire mes bagages et "m'envoler" ce que je fis au grand dam de me frère. › Voila deux semaines que je suis à island bay, j’essaie de renaitre à la vie petit à petit, reprendre gout aux choses simples. Un nouvel air, un nouveau défi, et qui sait peut être un nouveau départ...

J'ai un corps musclé sans pour autant que cela ne soit disgracieux › Je porte très souvent des bottes à talon, aime le vin et la bière, regarder des films d'actions et la vitesse › Je participais d'ailleurs à des courses illégales à L.A › Si avant la mort de kelly j'étais une femme sensuelle, fêtarde, à l'écoute, joueuse, pétillante et pleine d'en train; Aujourd'hui je suis plutôt froide, distante, je ne m'étale guère en blabla et vais droit au but› Le sourire n'est pas mon fort et je me jette à corps perdu dans le travail. Je ne me montre sociable que dans le cadre du travail et ne m'étale que peu sur ma vie privée › Meurtrie je mords avant qu'on ne le fasse, alors gardez vous bien de sortir les crocs


   

les indiscrétions sur le joueur

   
   

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<pris>Gal Gadot ›</pris> Erin Branco

       

   

l'histoire de ma vie

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Il était une fois... Nous avons tant de fois entendu ces quelques mots promesses d'une grande aventure, dont le final s'achèverait sur un "et ils vécurent heureux". Mais la réalité de ce monde étouffe les rêves, assèche l'imaginaire et ne laisse qu'un désert de peur, de larmes dont le vent du nom de désespoir, fouette votre corps contusionné à n'en faire qu'un amas de chair à vif et vous une simple coquille vide... Charmant, n'est ce pas?!

Erin Alesxandra Branco, c'est ainsi que me nommèrent mes parents Alexandro et Mya Branco. Je vins au monde un 17 janvier 1983 au Cedars-Sinai Medical Center, l'un hôpitaux les plus huppés de Los Angeles et ce tout simplement parce que j'étais née dans une de ces familles opulentes et influentes de Californie. Mais bon, ne pratiquons pas la langue de bois entre nous... Mon père n'était pas qu'un simple directeur de chaine de restaurants de luxe, l'argent ne poussait pas sur les arbres et mon père en bon anti écologiste ne semait pas de petites pièces espérant qu'elles croissent et que la récolte soit bonne. Non... il était plus du genre bon gros capitaliste ambitieux et trempait quelque peu dans le monde poudré de L.A, je n'ai pas besoin de vous faire un dessin! Chose d'ailleurs que je découvris de manière inopportune le soir de mes quinze ans alors que j'avais mon premier baiser avec richard Dirk, à l'arrière du restaurant ou se déroulait ma fête d'anniversaire. Autant dire que les semaines qui suivirent ne furent guère joyeuses mon père me punissant plus de l'avoir mis à nu que de m’être éclipsée pour fricoter. Quand à Richard, "bizarrement" il ne m'adressa plus la parole pendant le reste de l'année et se fit très discret au sein de l'établissement avant de disparaitre l'année suivant pour la cote Est.

Adolescence sans heurts ou presque, bonne élève, fille parfaite, discrète, j'évoluais dans ce monde de faste dont les paillettes ne semblaient guère parvenir à faire briller mes yeux vides. Vides oui et pourquoi alors que j'avais tout? Car j'avais depuis petite ce "petit problème" comme aimait à le nommer ma mère... Je ne m'attachais à personne! Les seuls personnes qui pouvaient sans un doute dire que je les aimais étaient mes parents et mon frère Antonio. Comment? Car leurs opinions avaient une importance pour moi, car je ne pouvais rester longtemps sans prendre de leurs nouvelles, car ils étaient les seuls à avoir entendu de mes lèvres "je t'aime"... Les gens avaient cette faculté assez effrayante à dire ce mot si facilement, alors que pour moi il m'arrachait presque la gueule. Enfin bref... Fin du lycée direction l'UCLA ou je choisis la branche économique pour faire plaisir à papa... Plus vaste, plus bruyant, plus plurale, aux couleurs et saveurs diverses et aux inégalités sociétales plus marquées, l'université de Los Angeles était l'endroit rêvé ou la gentille Erin branco pouvait disparaitre pour laisser place à Alesxandra (deuxieme prénom)!

2001 à 2005 ---> Les quatre années qui suivirent c'est à dire de mes 18 à mes 22 ans, ne me pressant guère de quitter ce monde que j'avais fait miens, je goutais, dévorais, profitais de cette liberté qu'était mienne. J'en découvris un peu plus sur moi à mesure que je "m'ouvrais" aux autres, et également mes gouts et non ceux influencés par mes parents... D'ailleurs l'une des choses que j'appris sur moi était que j'aimais les femmes à mon grand étonnement! A savoir que dans la famille, je ne connaissais personne qui avait cette inclinaison et que cela n'était meme pas une hypothétique possibilité... Hummm vous n'avez pas encore compris? Branco, papa trafiquant, aurais je du préciser italienne???!! Haaa vous me suivez maintenant?! Cela n'existait meme pas dans leur imaginaire. Bref... J'eus plusieurs aventures aussi bien avec des femmes que des hommes car il fallait bien être sur au cas ou j'avais encore une chance de rentrer dans le rang. Puis la réalité me rattrapa sous la forme d'un diplôme, et mon père m'aidant à vider ma chambre d'étudiante. Adieu liberté, du moins dans un premier temps...

2005 à 2007 ---> J'aidais mon père pendant les deux années qui suivirent à gérer ses affaires, voyageant de New York, à Miami, Paris et Los Angeles pour veiller sur la bonne gestion des divers restaurants familiaux. Prétextant une vie professionnelle trop prenante, j'esquivais la présentation du petit ami qui n'existait que dans l'imaginaire de ma mère, mon père étant pour que je reste à jamais sa petite fille sage et chaste. Menant une double vie entre ce que mes parents s'imaginaient de moi et ce que j'étais réellement à savoir délurée, fêtarde, légèrement alcoolique sur les bords et très loin d’être chaste. Ce ne fus que le jour ou mon père voulu me faire entrer dans le bizness underground de la famille, que je me décidais à clairement faire connaitre mon point de vu sur le sujet, en entrant à l'armée...  On ne va pas s'étaler sur la crise de nerf de papa et mon petit chantage de tout révéler à ma mère, au cas ou il m’empercherait à 24 ans de faire ce que je désirais de ma vie!

2007 à 2011 ---> Je passais les épreuves du Boot Camp de l'United States Marine Corps et finis au vu de mes résultats dans le I Marine Expeditionary Force au sein de la 11th Marine Expeditionary Unit. Nous étions basés essentiellement dans la zone d'opérations comprend l'ouest de l'océan Pacifique et l'océan Indien (en incluant le golfe Persique). Fers de lance du Corps des Marines et les premiers à intervenir pour des missions ponctuelles telles que les évacuations de civils ou des raids sur des objectifs particuliers, nous pouvions également servir d'avant garde en prévision d'un déploiement de grande envergure. Unité entrainée de manière à pouvoir tenir 15 jours d'opérations en autonomie complète avant l'arrivée de renforts. Ce furent quatre années de ma vie ou je finis d'éclore... Nous seulement je m'étais totalement affranchie des attentes paternel, mais j'étais devenue en plus une femme sure d'elle. C'est donc avec un certain crève coeur que je ne rempilais pas pour quatre années supplémentaires et quittais mon unité pour rentrer à la maison...

Mon frère fut le premier à m’accueillir... lui aussi avait bien changé mais notre complicité elle, était restée intacte. Pleures de ma mère et promesse que je ne réintègrerai pas les forces armées et je pus respirer un peu mon retour inespéré m'octroyant de larges passes droits! Profitant du leste, je sortais, m'amusais et ...   chutais au détour d'une boite de nuit.

Là, mixant aux platines une brune aussi talentueuse que chaude anima cette flamme qui avait été si longtemps absente de mes iris. Échange de numéro, plusieurs sorties, des mois d'amitié et enfin la fameuse nuit qui vous fait dire que vous ne pourrez plus jamais être la même. A 28 ans, je tombais pour la première fois follement amoureuse... Les quatre années qui suivirent ne furent pas de tout repos, il fallut avouer à ma mère qui était réellement sa petite princesse brisant ainsi ses illusions. Quand à mon père, si ma sexualité et ma vraie personnalité le surprirent sans pour autant le choquer plus que outre mesure "tu es bien la fille de ton père" résumant le tout; Il fut beaucoup moins clément quand à mon projet d'abandonner l'affaire familiale pour monter ma boite de protection rapprochée et me lancer dans le monde de la nuit.  Enfin me lancer non... plutôt offrir à kelly ce qu'elle désirait depuis longtemps à savoir un bar clubbing avec l'argent que mon père m'avait donné pour m'offrir un luxueux appartement. Disputes, silences, éloignements, retrouvailles, telles furent les diverses étapes qui marquèrent ma vie.

2011 à 2015 ---> (28 à 32 ans) Au final, je restais quand meme sa fille chérie et mon père m'aida financièrement dans mon projet de protection rapproché... Il avait préféré cela à mon choix de repli à savoir, policière.   Ma boite fonctionnait bien sans pour autant engranger les sommes faramineuses des grands fournisseurs de gardes du corps. Par contre kelly avait réussi à faire de son établissement, le lieu de rencontre des VIP de L.A. J'avais d’ailleurs contribué dans un premier temps à son succès en associant mon nom à l'établissement, et ouvrant le carnet d'adresses de mon père. Durant ces quatre années, ma relation bien que mouvementée était plus que solide. Tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes, à tel point qu'un mariage était en route entre kelly et moi. Son désir répété de voir notre relation évoluer en quelque chose de plus "familiale" et "stable", ainsi que son envie de se rapprocher de sa famille en nouvelle zelande plus précisément Wellington, firent que je fléchissais de plus en plus à cette possibilité de vie jusqu'à y céder.... Au final six mois avant notre mariage, sans rien lui dire je signais pour une très belle villa à 200m de la mer dans le quartier de South bay à island bay... Non pas que je n'aurai pas pu acheter un bien à Wellington mais l'idée de vivre près de ma belle famille que je ne connaissais que très peu ne m'enchantait guère. Cadeau de mariage de mon père, je rachetais un local que je transformais en clubbing pour ma future femme afin qu'elle ne finisse pas femme au foyer, ce qui l'aurait rendu folle et moi avec...  Un mois avant notre mariage, tout était finalisé, y compris le clubbing. Il ne manquait qu'un "oui je le veux" et le baiser qui ferait de moi une femme mariée...

Juillet 2015  ---> L'avant veille de notre mariage, attendant avec mes parents l'arrivée de kelly au restaurant, mon monde s'écroula par un simple coup de fil. Je ne me souviens pas exactement de tout, cette période de ma vie étant quelque peu floue. Mais je me souviens parfaitement du "je suis désolé, nous n'avons rien pu faire", et du cri de douleur que je poussais au moment de la reconnaissance du corps. Comment était elle morte? Un chauffard ivre grillant un feu rouge, et elle sur sa moto s'envolant telle une feuille d'automne prise au vent... L'enterrement, les cris, les pleures, le vide, le silence, la dépression, la révolte, le renoncement, l'attente de la mort, l'hospitalisation et de nouveau le vide; Pendant six mois je ne fus même pas l'ombre de moi même, jusqu'au jour ou je me réveillais vidé mais stable. Je repris une hygiène de vie normale, le chemin du travail, mais le tout sans saveur... puis vint le moment ou tout à L.A m’insupportais des bruits, aux odeurs, à la foule toujours plus nombreuse. Je me décidais à partir pour island bay sous les conseils de mon père qui craignait que je ne fasse une rechute. Un mois avant que je ne déménage, mon père s'occupa de tout, se chargeant de me trouver un local à Wellington pour y implanter ma boite de protection rapprochée, ainsi que trois gardes du corps pour débuter. Il se chargea de la pub, et joua de ses relations pour me dégoter trois contrats sur lesquels il place mes trois employés. Je n'avais qu'à faire mes bagages et "m'envoler" ce que je fis au grand dam de me frère.

Voila deux semaines que je suis à island bay, j’essaie de renaitre à la vie petit à petit, reprendre gout aux choses simples. Un nouvel air, un nouveau défi, et qui sait peut être un nouveau départ...



   

bravo, tu es validé(e)

› pas grand chose à dire, ce perso est très bien construit et il donne envie de s'y intéresser de plus près Bienvenue officiellement ! .

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