contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.
votre personnage a déjà été sur un champ de bataille ? est-ce qu'il veut partager son expérience ? au sein de l'association des anciens combattants il sera à sa place pour le faire !
la famille hallenstein attend encore les parents, ainsi que plusieurs enfants
nom ○ l’accent latin qui vous tord la langue quand tu le prononce, il s’appelle Corberó. prénoms ○ il lui fallait un patronyme incisif qui lui colle à la peau, la mère a proposé Anibal. Le deuxième, Rafael, pour la religion. âge ○ quarante et un ans (25/07). lieu de naissance ○ une maison miteuse quelque part autour de La Havane, en plein cœur du territoire cubain. statut civil ○ marié au divorce. orientation sexuelle ○ bourreau des culs de ces dames. métier ○ ancien sergent au sein de l’armée de terre néo-zélandaise, il lui a été accordé une permission, contre son gré. Un an qu’il trimballe une rouquine qui se prend pour la reine d’Angleterre. groupe ○ have fun. avatar choisi ○ jon bernthal.
les informations en vrac
la partie anecdotes ○ anibal, il fait peur à voir avec sa gueule de con et sa démarche de caïd mais si tu lui déballe un sourire, il te le rendra ═ c'est un mec brut, un type nature. son cerveau a été livré sans filtre et son humour graveleux peut parfois le faire passer pour plus gland qu'il ne l'est ═ les bonnes manières, il connaît pas. si une couille le démange, ton prunelles ébahies ne le froisseront pas ═ il est bon public. rien de plus facile que de lui arracher un rire ═ si tu fais tomber ton sac à la sortie de la supérette du coin, il sera le premier à se pencher sur la boîte de chocolat que tu comptais t'enfiler devant la télé. dévoué, pas la tronche d'un ange mais un bon fond ═ on dirait pas comme ça mais il est le baby-sitter de tes rêves. son point faible, c'est les gamins. surtout depuis qu'il a perdu le sien, ou plutôt la sienne ═ cette perte, il tient son ex-femme pour responsable ═ c'est lui qui a demandé le divorce, elle n'était pas d'accord mais il en avait rien à foutre. depuis, toutes les paires de seins et de fesses de nouvelle-zélande l'obsèdent ═ il insulte en espagnol. il fait l'amour en espagnol. c'est sa langue maternelle et ça s'entend, surtout quand il s'énerve ═ l'adrénaline pour drogue, les soirées finissent souvent mal. frapper, c'est plus facile que de négocier. le nez cassé à maintes reprises, souvent, il l'avait bien cherché ═ c'est le genre de pote qui te tend sans cesse des embuscades. et tu t'en aperçois quand t'es accoudé au bar, ton neuvième mojito dans la main, les yeux posés sur le cubain qui a le même déhanché que beyoncé ═ picoler, il adore ça. un peu trop. un traumatisme noyé dans un alcoolisme installé, c'est plus facile que de se l'avouer ═ il fume comme un pompier. matin, midi et soir ═ pourtant il aime le sport, énormément. il court chaque jour après sa sobriété dans les rues de wellington et tu peux facilement le croiser à la salle de sport du coin ═ passionné d'armes à feu, il en a toute une collection dans son petit appartement. le métal froid entre ses paumes, ça l'excite ═ ce qui le sauverait selon lui ? retourner sur le terrain gueuler des ordres à ses frères d'armes. les supérieurs sont catégoriques : faut se soigner avant, sergent.
les indiscrétions sur le joueur
pseudo/prénom ○ buck, encore âge ○ 24 depuis peu pays/région ○ bretagne, toujours présence ○ je passe tous les jours comment as-tu connu island bay ○ j'sais plus scénario/pré-lien/inventé ○ scénario du latino @Nathan Peñaliraison de ton inscription ○ oula, y'en a tellement ! dernier mot d'amour ○ vous êtes chiants à devenir comme la drogue et puis, je sais qu'y'a deux "n" à cannibale hein, mais c'était moche dans le titre
Code:
<pris>○ jon bernthal</pris> anibal corberó
Dernière édition par Anibal Corberó le Mar 9 Oct - 23:09, édité 1 fois
Cuba, mère violente et égoïste. Anibal y a vu le jour dans une vieille baraque insalubre, tristement banale au sein d’une favela dont le monde a oublié le nom et l’existence. Elle a hurlé, la mère, à s’en arracher les poumons, broyant les doigts boueux du géniteur. Malgré la sueur et le sang, ce sont des sourires qui accueillirent le garçon. Il était le bienvenu en terre hostile. Une goutte de bonheur dans un océan de cauchemar, les Corberó n’aspiraient pas à offrir cette vie à qui que ce soit. L’humanitaire fut leur phare en cette nuit noire et interminable. Des étrangers, une association, un billet d’avion. L’aller, pas le retour. Un couple d’immigrés qui posent leurs chaussures poussiéreuses sur le sol néo-zélandais, le gamin dans les bras. Il devint concierge de l’immeuble et elle, nourrice. Pas de quoi s’acheter une maison mais ils seraient heureux dans cet appartement au toit solide, à l’eau courante et au chauffage électrique. Les années ont passées, les bambins se sont multipliés : ils ont été quatre à courir pieds nus dans le salon.
Nouvelle-Zélande, dix huit ans et le paquetage sur le dos, il s’engage dans l’armée. Deux latinos aux poitrines gonflées d’orgueil, ils voulaient qu’on se souvienne d’eux. C’était pas son fort l’école, à Anibal. Gamin turbulent et fauteur de trouble, tout le monde était d’accord sur le fait que la discipline et l’autorité miliaires, ça lui ferait du bien. Les mois sont passés, les rangers pleines de boue aussi. Le chillien a fini par mettre les voiles vers la mère patrie. Le cubain, lui, est resté dans les rangs. Une passion pour les treillis troués et qui sentent le chacal, l’armée de terre c’était son truc et ça le restera. Il s’est alors engagé à long terme et entre les lits faits au carrés et les missions extérieures, il est devenu sergent. C’était sa fierté, sa seule réelle fierté. Et ça lui allait plutôt bien finalement, de conduire ses troupes dans la poussière et la boue.
Costa Rica, le cul posé sur un muret de pierre et la clope entre les dents. Il attendait les recrues au bout du parcours, jubilant déjà de voir leurs gueules enfarinées de petits puceaux. Ca devait être purement professionnel, à la base. Puis elle a débarqué, le maillot encore trempé, la crinière détachée et le paréo qui épouse ses reins avec insolence. Elle roulait des hanches comme une lionne dans l'atmosphère humide de la jungle. Vision idyllique. Ils n'ont jamais été généreux en futilités, elle n'a pas eut besoin de lui donner son prénom pour attirer le sergent dans ses draps. C'était trop facile. Il n'a jamais su si c'était le treillis ou le grade qui avait fait mouche. Quelques mois plus tard, elle pointait son joli minois à Wellington, sans crier gare, et quelques mois plus tard encore, elle s'appelait Corberó. Mariage précipité mais passionné, ils venaient de passer la trentaine. Quinze ans qu'ils étaient amants. Cinq ans qu'ils étaient parents. La gamine aurait eut six ans cette année.
Afghanistan, y'a environ deux ans. La dernière mission en date : un fiasco. Il y avait ce gamin qui courait dans la poussière en hurlant, droit sur les hommes du cubain qui avait le fusil à l'épaule. Sous le tissu, impossible de discerner la peau ou la bombe. Qu'est-ce qu'on fait sergent, ça résonnait dans sa tête comme l'écho d'une erreur. Trois morts hier, onzes potentiels dans les minutes qui viennent. Le choix fut fait et la balle fut tirée. Le gamin s'écroule sur le sol imbibé de sang et lorsqu'il s'approche, Anibal pose ses doigts sales sur la peau vierge d'un enfant. Pas de plastique. Pas de fils. Pas de bombe. Et la mort d'un chérubin innocent sur la conscience. Les mots des frères ne furent pas suffisants, les caresses d'une femme non plus et surtout pas les inepties d'une psychiatre. Un traumatisme dans le paquetage, il est rentré avec des images qu'il noie dans l'alcool sans chercher à respirer. La demande de divorce est faite, il peut plus se regarder dans la glace.
Nouvelle-Zélande, neuf mois qu'il a reçu l'appel, celui du médecin qui lui a retiré sa paternité en une fraction de seconde. Elle est morte par noyade, dans la piscine alors que la mère était au téléphone dans la maison. Il a pas su que répondre. Il a pas su quand pleurer. Une raison de la haïr, elle, celle qui avait fermé les yeux sur la vie de leur fille, celle qui n'a toujours pas signé ces foutus papiers. L'odeur de l'éthanol qui se fait un peu plus alléchante chaque jour qui passe, le cubain est renvoyé chez lui le temps de la rémission, de la rédemption.
Dernière édition par Anibal Corberó le Sam 13 Oct - 13:35, édité 3 fois
Un an qu’il trimballe une rouquine qui se prend pour la reine d’Angleterre.
j'ai sortit la rouquine de son placard et elle t'emmerde j'ai hâte de voir anibal en action et tu sais déjà c'que je pense de ce personnage t'es beau re bienvenue chaton, jotem déjà
Le papou devient schizophrène lui aussi rebienvenue à la maison, j'espère que cette fois c'est la bonne
Nina Baranovski
ONGLET 1
○ âge : 27 ans et toutes ses dents (le 6 février 1997)
○ statut : J'crois qu'elle est foutue : elle est complètement mordue du gars aux yeux vairons. ça se soigne docteur ?
○ métier : Opératrice au centre d'appel des urgences depuis février 2020. Assure tout de même encore quelques gardes de baby-sitting
○ quartier : Au 26 sur North Bay, dans une maison. En recherche de coloc ou d'un nouveau logement parce que ça va commencer à lui devenir trop cher
○ orientation sexuelle : Hétérosexuelle. Plus précisément, Nathasxuelle
○ informations en vrac : A tourné dans une pub pour dentifrice fin 2021 et a trouvé ça génial ► Elle a retrouvé son père en février 2017, Rhett Sawyers ► Elle a découvert qu'elle avait des cousins et une cousine en ville ► Sa mère est morte d'une overdose en septembre 2015 ► Elle a deux tatouages ► Elle vient de reprendre ses études ► Elle a un TDAH ► Elle dort seulement cinq heures par jour ► Avant, elle terminait souvent le mois avec peu d'argent sur le compte, un ou deux dollars. Grâce à l'aide de Carson, elle a soldé les dettes de sa mère et ça va bien mieux maintenant ► Elle est pas très viande ► Allergique au citron et à l'arachide. Elle s'est retrouvée hospitalisée à cause d'un choc anaphylactique et a bien failli y rester ► Elle joue une fois par mois à un jeu de gratte-gratte. Elle gagne, de temps à autre, mais des sommes inférieures à dix dollars la plupart du temps ► Elle aime bien les jolies petites choses. Et tout ce qui est bling-bling ► Elle a déménagé sur East Bay avec son meilleur pote en juillet 2017 ► Elle aime bien écouter de la musique japonaise. Elle a grandi avec les manga One Piece, Bleach et Naruto. Elle adore les OST desdits animés d'ailleurs ► Elle aime bien regarder des séries en streaming. Elle suit de très près deux séries en particulier : Game of Thrones et The Walking Dead. Elle en regarde d'autres également mais ne peut pas non plus toutes les lister. Elle trouve que la série 2 Broke Girls lui correspond plutôt bien d'ailleurs ► Côté films, les deux trilogies de Peter Jackson arrivent en tête, et ensuite les Star Wars. Elle guette les annonces de recherche de figurants et se dit que ça pourrait l'aider si jamais elle arrive à obtenir un rôle
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Sujet: ═ c(anibal)e (
Cuba, mère violente et égoïste. Anibal y a vu le jour dans une vieille baraque insalubre, tristement banale au sein d’une favela dont le monde a oublié le nom et l’existence. Elle a hurlé, la mère, à s’en arracher les poumons, broyant les doigts boueux du géniteur. Malgré la sueur et le sang, ce sont des sourires qui accueillirent le garçon. Il était le bienvenu en terre hostile. Une goutte de bonheur dans un océan de cauchemar, les Corberó n’aspiraient pas à offrir cette vie à qui que ce soit. L’humanitaire fut leur phare en cette nuit noire et interminable. Des étrangers, une association, un billet d’avion. L’aller, pas le retour. Un couple d’immigrés qui posent leurs chaussures poussiéreuses sur le sol néo-zélandais, le gamin dans les bras. Il devint concierge de l’immeuble et elle, nourrice. Pas de quoi s’acheter une maison mais ils seraient heureux dans cet appartement au toit solide, à l’eau courante et au chauffage électrique. Les années ont passées, les bambins se sont multipliés : ils ont été quatre à courir pieds nus dans le salon.
t'es beau 
