You can't argue with stupidity ♡ Aubrey

Aubrey Meadow

Stupidity is a talent for misconception.

les informations en vrac

la partie anecdotes ○Archétype de la fille unique né dans une famille à la prospérité financière qui est pourri-gâté, Aubrey n'a cependant pas été riche de l'amour de ses parents. ➺ Stricte de manière exacerbée et rigide, son éducation a fait d'elle une demoiselle propre sur elle, bien élevée avec des valeurs profondément ancrées dont elle ne pourrait pas se défaire. Il ne lui arrive même pas de jurer devant ses amies. ➺ Souriante, on rarement vu Aubrey tirer une tronche de dépressive. Elle sourit sans arrêt, toujours de bonne humeur, heureuse 24 heures sur 24. ➺ Sociale, elle adore se faire de nouveaux amis et les voir souvent. Elle est le genre de femme à organiser des barbecues avec ses nouveaux voisins. Mais laisser brûler les steaks. ➺ Respectable et polie, elle est très agréable. Dommage qu'elle soit gaffeuse, et ne se ravise jamais de dire les choses qu'elle pense. ➺ Ne croyez pas qu'elle s'entoure de gens qu'elle n'aime pas ! Elle les laissera de côté sans en avoir l'air, c'est tout. Sincère, elle ne critique jamais les gens dans leur dos. ➺ Elle possède une collection de montre impressionnante bien que la ponctualité ne soit pas son point fort. ➺ Elle a toujours vécue avec l'optique selon laquelle elle devait se battre pour atteindre ses buts. C'est une battante. Elle est quelqu'un d'extrêmement populaire, et pourtant, elle s'en contre fiche. ➺ C'est une fille qui attend le prince charmant, et qui y croit malgré tout mais qui jamais ne l'avouera. Elle a de l'espoir. ➺ C'est une personne sociable qui n'aime pas la solitude, elle en est effrayée et se débrouille toujours pour avoir de la compagnie. ➺ Elle a toujours rêvée d'être entourée par une famille aimante, ce qui n'a pas toujours été le cas d'une certaine manière, mais elle rêve toujours de cela. Rapidement, elle a pallié ça en s'entourant d'amis. En ce sens, il faut soulever le fait qu'elle est très proche de ceux qu'elle considère comme ses amis. ➺ Son côté idéaliste ne l'aide pas beaucoup, elle a tendance à idéaliser un certain nombre de chose et ensuite considérer le tout comme une certaine vérité.

les indiscrétions sur le joueur

 

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<pris>○ Zoey Deutch</pris> aubrey meadow

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Aubrey Meadow

Life is tough, but it's tougher if you're stupid.

Toute jeune, l'une de ses plus grandes préoccupations était de passer le plus de temps possible à l'extérieur à gambader dans la propriété de la famille. Par tous les temps, toutes les températures, parfois même tard le soir, on pouvait la voir sillonner les grandes pelouses ou inspecter chaque arbre qui croisait son chemin à la recherche d'une découverte inattendue ou d'un quelconque trésor caché. Elle se passionnait aussi pour la multitude d'animaux qui vivaient là, tout près de la maison sans que personne ne s'en souci réellement. Alors que le monde continuait de tourner autour de lui, Aubrey pouvait ainsi rester planter plusieurs heures au pied d'un arbre, épiant un écureuil par-ci, suivant du regard un oiseau par-là… Elle jouait au détective et à la princesse, scrutant le monde qui l'entourait tout en l'explorant. Et même si ces petites habitudes la faisaient à coup sûr passer pour une douce rêveuse aux yeux de ses parents, elle ne se lassait pas de ces passe-temps qu'il considérait bien plus intéressants que toutes les leçons qu'on pouvait bien lui donner à l'école. Le hic dans tout ça, c'est que cela finissait toujours de la manière : elle se blessait. Soit elle trébuchait, tombait d'un arbre, jouait avec les outils du jardinier et on en passera des vertes et des pas mûres. En premier lieu, on la considérait comme insouciante, mais la réalité restait inavouable pour ses parents, la demoiselle était un peu sotte et ne retenait jamais les leçons de ses erreurs.

"Aubreeeeeeey ! Je jure que si tu ramènes encore une autre bestiole dans la maison, tu vas m'entendre !" C'était son père qui avait dû tomber sur un de ses protégés. Il détestait que sa fille fasse de leur maison une sorte de refuge pour les animaux errants comme des chats, oiseaux blessés, chiens et j'en passe. Sauf que la jeune fille, elle, n'était pas de cet avis mais d'après ses parents, il fallait savoir se comporter bien en société et ça, ce n'était pas bien. À contre cœur, elle avait dû mettre à la porte tous ses compagnons. Et puis d'abord, pourquoi ne peut-on ramener un possum sur le canapé en cuir du salon ou que lui servir le caviar de la boîte dorée provoque une telle fureur ? Sa mère lui avait assigné un majordome pour lui apprendre les bonnes manières, ce qui n'était pas du tout à son goût. Ce n'était pas comme si on lui avait demandé son avis. Ses géniteurs avaient prévu de lui faire faire de grandes études. Ils la voyaient déjà haut placée dans la société. Ils n'arrêtaient pas de lui rabâcher les oreilles avec ça. Au début, elle faisait ce qu'on lui disait, ils n'étaient pas non plus méchants avec elle, juste trop exigeants et trop étroits d'esprit. Ils ne comprenaient pas que leur fille puisse avoir d'autres passions, d'autres envies que les leurs et ils n'imaginaient pas une seule seconde qu'elle ne puisse pas avoir les capacités. Ni même qu'elle ne comprenait pas toujours certaines subtilités ou qu'il lui fallait du temps pour affiler certaines informations. Néanmoins, il fallut qu'ils se rendent à l'évidence qu'ils n'arriveraient pas à obtenir ce qu'ils voulaient. Ses résultats scolaires, plutôt faibles, jetèrent la honte et le déshonneur sur la famille dès l'école primaire. Dès lors, elle eue une armada de percepteurs et de professeurs particuliers. Toute l'aide apportée ne suffisait pas, alors elle fut retirée du système scolaire traditionnel pour cacher ce qui été considéré comme une ombre au tableau de la famille parfaite et puissante.

Quand vint l'heure de l'Université, ce fut une véritable crise voire même une catastrophe familliale. Aucune Université prestigieuse ne voulait d'Aubrey. On l'envoya dans la ville voisine, en échange d'un énorme chèque et la promesse de construire un nouveau bâtiment. Étonnement, elle démontrait un certain talent pour la mode et le graphisme qui ne lui demandait que peu d'effort, venant assez naturellement. C'est ainsi qu'elle entama un cursus d'industries créatives, alliant design graphique, l'art visuel et de la mode dans un cadre interdisciplinaire. Bien évidemment, en comptant toujours sur l'aide de percepteur et des chèques de papa au doyen. Chez elle, elle étouffait un peu. Elle n'avait pas les mêmes idées que ses parents, elle ne pensait pas comme eux et ça résultait à beaucoup de tensions entre eux. Elle s'était alors pris un petit appartement puisqu'elle était assez loin de la maison ce qui ne fut pas de tout repos tant sa maladresse légendaire la desservait. Mais elle était heureuse de pouvoir s'éloigner un peu du cocon familial. Être fille unique, ce n'est pas vraiment évident avec des parents comme les siens, ils attendent toujours plus et ne sont pas forcément tendres avec leur seul enfant. Elle savait depuis longtemps qu'elle serait une source de déception pour eux, mais elle avait fini par l'accepter. Si elle était heureuse alors le reste importait peu. De toute façon, ils finiraient bien par l'accepter à leurs tours et elle ne leur avait pas trop laissé le choix à vrai dire, tout comme ils l'avaient fait avec elle quand elle était plus jeune. Une fois diplômée, elle retourna s'installer à Island Bay où ses parents lui décrochèrent un emploi dans une société spécialisée dans le luxe et la mode. Être une « fille de » avaient ses avantages et comme elle n'en avait nullement conscience, elle était heureuse. Malheureusement, après des mois de gaffes comme passer les mauvaises commandes, attribuer les mauvais budgets et même détruire deux voitures de fonction, Aubrey reçu une offre d'emploi d'une autre société qui tombait à pic. Officieusement, elle était mise à la porte, mais papa et maman veillent au grain. Chassez le naturel et il revient au galop, ça ne se passa guère mieux. Cependant, elle trouva une échappatoire qui pouvait arranger tout le monde : prendre un congé de formation, qu'on lui accorda sans discuter. C'est ainsi qu'elle s'apprête à être la nouvelle stagiaire du zoo au grand dam de ses parents.