hazel ○ i'm a bad liar

hazel simmons

wanted to be someone

les informations en vrac

la partie anecdotes ○ 1. J’aime la musique, c’est indéniable, j’ai appris la guitare lorsque j’avais sept ou huit ans, j’avais bassiné mes parents pour en faire pendant plusieurs mois, du coup ils m’ont laissé prendre des cours et après j’ai voulu, en plus des leçons de guitare prendre des cours de chants. 2. Je ne suis pas très fan du café noir, j’ai tenté d’en boire quand j’ai commencé mes études de médecine mais je n’y parviens pas, je préfère tout ce qui est thé ou bien café mais avec beaucoup de lait, du caramel, de la vanille ou autre, tout ce qui cache un peu le goût du café, celui qui peut être amer. 3. Je suis allergique aux poils de chevaux mais aussi à la poussière, lorsque mes parents m’ont amené voir les cheveux alors que je n’avais que six ans, j’ai eu de l’eczéma sur les bras et j’ai passé un bon moment à me gratter, et puis je n’arrêtais pas d’éternuer sans arrêt, avant d’aller chez le médecin et qu’il comprenne qu’il s’agissait là d’une allergie. 4. Quand j’étais ado j’ai voulu embêter mes parents en disant que j’étais végétarienne, et le lendemain je pouvais juste manger du sucré, le surlendemain juste du salé. J’étais un petit démon, j’aimais bien attirer l’attention surtout. 5. Je n’ai jamais touché à la drogue, même pas le moindre joint, j’aime juste faire la fête, et boire un peu, quelques verres, sans détruire mon foie. La cigarette ? J’ai testé étant ado, mais depuis j’ai laissé tomber, c’est dégoûtant après tout. 6. Comme la musique était ma passion, j’ai même voulu, lorsque j’étais petite, de faire mes débuts à Broadway. Je sais que maintenant, mes rêves sont loin mais ils ne sont pas inatteignables. Je sais qu’un jour je poursuivrais mes rêves peu importe ce qu’on peut me dire. Maintenant je suis majeur alors je sais que je pourrais mais je préfère terminer mes études pour le moment avant de choisir une nouvelle voie. 7. Je n’ai jamais eu d’animaux, mes parents n’en ont jamais voulu alors maintenant que j’ai mon appartement, j’espère pouvoir me rattraper et en adopter un. Chien ou chat, peu importe tant que je puisse lui donner de l’amour. 8. J’aime, comme tout le monde, le chocolat, le chocolat au lait plus que les autres. Je tente toujours de me retenir de manger une tablette en un jour. En ce moment, j’y arrive parce que je pratique un sport qui me permet de résister. 9. Je fais du yoga et je fais aussi du kick-boxing, un sport qui me détend et qui permet de contrôler certains ressentis, et surtout de la colère. Et puis, ça me permet de me défendre, au cas où, on n’est jamais trop prudente. 10. Je n’ai jamais rien compris aux jeux vidéos mais mon copain a tenté de m’y faire jouer et à la surprise générale, j’y ai pris goût. J’y passe moins de temps avec les études, mais je peux passer deux heures voire plus sur un jeu, quand j’apprécie ce genre de jeux.

les indiscrétions sur le joueur

 

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<pris>○ halston sage</pris> hazel simmons

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l'histoire de ma vie

it's happily ever after or not.

Je m’appelle Hazel, un prénom original que mes parents m’ont donné à ma naissance, le 3 février 1994, enfin dans la nuit du 2 au 3 février. Je suis une néo-zélandaise pure souche, et j’ai toujours vécu à Island Bay. C’est un peu mon cocon, mais j’ai aussi des envies d’évasion par moment. Je vis depuis vingt-cinq ans dans une famille aimante, mais un peu trop étouffante à mon goût. Ils sont tous les deux médecins, c’est d’ailleurs pour cela qu’ils ont fait en sorte que je ne poursuive pas mes rêves. En effet, depuis toute petite, j’ai cette passion, la musique. Elle rythme toute ma journée, mes nuits. Je passe mon temps à chanter, à me laisser porter par la musique, elle est très importante pour moi et dans ma vie. Seulement mes parents ont toujours pensé que ce ne serait qu’une phase, et que ça ne continuerait pas. Cependant, ça ne s’est pas passé comme ils l’auraient voulu.

Mis à part la musique qui est ma réelle passion donc, il y a aussi le fait que je m’en sortais assez bien dans les études, c’est peut-être aussi pour cela que je me suis dirigée, bien malgré moi, dans des études de médecine après avoir obtenu mon diplôme. Et, à part les études, j’avais une petite bande d’amis d’enfance qui m’ont suivi jusqu’au lycée. J’étais la fille populaire qu’on voyait être capitaine des cheerleaders et pourtant, ça ne m’a jamais attiré. Mes amis étaient fous, gentils, ils étaient tous pour moi. C’est d’ailleurs d’un ami dont je suis tombée amoureuse, lorsqu’on s’est mis ensemble, tout le monde avait l’air ravi, surtout que ça faisait des années que, pour eux, on se tournait autour. Les premières années avec lui furent les meilleures que je n’avais jamais connu avec aucun garçon, ou aucune aventure, car je n’avais jamais eu de relations sérieuses avant lui. Et puis deux ans après avoir commencé mes études de médecine, j’ai commencé à me lasser. Il était adorable, mais notre relation n’était plus aussi belle et folle qu’elle n’avait été. Cependant, je restais avec lui parce que les sentiments étaient encore là, du moins, c’est ce que je m’évertuais à penser. Heureusement que je pouvais compter sur cette bande de joyeux lurons qu’étaient mes collègues internes. Nous étions désormais en troisième année et nous nous étions spécialisés en chirurgie. Grâce à eux, j’oubliais un peu tout ce qu’il se passait avec mon copain et le fait que je n’étais plus aussi heureuse qu’avant.

Si tout allait plus ou moins bien dans ma vie, j’ai assisté au divorce de mes parents, il y a deux ans, et même si j’avais déjà quitté le foyer familial cela me fit beaucoup de mal. Ma mère se retrouva un autre homme quelques mois plus tard. Il avait déjà une fille. J’ai eu du mal à m’entendre avec elle au début, mais peut-être que cela est mieux maintenant, je l’espère du moins. Je n’ai jamais eu la chance d’avoir une sœur et j’espère que nos rapports s’arrangeront par la suite.

J’étais déterminée, je voulais mettre un terme à notre histoire qui n’avait sûrement plus lieu d’être et puis, c’est un soir que je l’ai rencontré, un jeune homme d’une trentaine d’années, il m’avait vu seul dans un café, s’était installé et m’avait proposé une autre boisson et puis, comme le courant passait bien, nous avons déjeuné ensemble. Je ne savais rien de lui mis à part son prénom « Liam » et puis nos chemins se sont séparés jusqu’à ce que je lise un article dans un magazine people et que je tombe sur mon bel inconnu et découvre qu’il n’est autre qu’un prince.