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contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
mai 2024
6° - 16° // un peu de soleil pour faire plaisir !
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.


depuis un an il essaye de la séduire, mais en vain !
Quand finira-t-elle par craquer et le laisser entrer dans sa vie ?

vous recherchez une famille ? les wilson attendent encore le reste de leurs membres
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 si l'on ne se connaissait pas... ft. raven

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MessageSujet: si l'on ne se connaissait pas... ft. raven (#)   si l'on ne se connaissait pas... ft. raven  EmptyJeu 25 Juil - 21:42

Une journée de plus à la boutique, totalement seule. Murphy voulait faire des heures en plus, elle n'avait que ça à faire pour le moment pour passer le temps, alors autant mettre de l'argent de côté, non ? Sa patronne profitait de la présence de l'étudiante ici même pour profiter de son été, Murphy la jalousait, elle aurait aimé en faire autant. Mais après tout, elle avait eu le droit à ses petites vacances elle aussi, deux jours à Auckland avec... lui. Qu'aurait-elle pu espérer de mieux ? Un sourire vint se dessiner sur ses lèvres, alors qu'elle était affalée sur le comptoir de la boutique. Depuis son retour, Murphy avait fait l'inventaire de tous les objets présents en boutique ainsi qu'en réserve, elle passait son temps à renouveler le site internet de la boutique, à éplucher les sites spécialisées de ventes aux enchères, les expositions également et puis à faire du ménage. Sauf que là, elle n'avait vraiment plus rien à faire et il n'était que quatorze heures. La journée allait être longue jusqu'à la fermeture. Mais depuis peu, la jeune étudiante avait un téléphone portable. Un truc dernier cri que son père lui avait acheté. Elle apprenait à l'utiliser, et pour le moment, il ne lui servait qu'à envoyer des messages à son père, à Priam et surtout à Jake. Et c'est fou comme elle s'y habituait vite à ce petit truc. Enfin petit... il était quand même assez énorme, avec son écran tactile. Mais bref, c'était pratique, surtout par rapport à Jake et à leur relation qui devait rester secrète. La jolie blonde pianotait sur son smarthphone, souriant alors bêtement. L'ordinateur était allumé, sur les pages qu'elle actualisait de temps à autre, afin de checker la boite mail de la boutique et les divers sites sur lesquels elle était connectée. Il n'y avait pas vraiment de visiteurs durant l'été, la plupart du chiffre d'affaire se faisait en ligne, par l'acquisition d'objets et aussi leur vente et leur expédition. Et puis, il fallait se préparer à la rentrée, parce que c'était le début pour eux d'une grande saison. Murphy profitait donc de cette accalmie mais en même temps, elle ne pouvait s'empêcher de penser qu'elle aimerait être partout sauf ici. Le bruit de la petite clochette au dessus de la porte la sortit de ses rêveries. Elle leva la tête, se redressa spontanément et souriante, salua la jeune cliente qui venait d'entrer d'un « bonjour ». Murphy l'observa une seconde, et en profita pour ranger son portable sous le comptoir de la boutique. Elle n'aimait pas vraiment sauter sur les clients qui entraient, la plupart du temps juste par curiosité et pour jeter un coup d'oeil divertissant, alors elle laissa la jeune fille faire son tour sans rien dire. Lorsque Murphy se rendit compte que malgré son tour, elle restait quand même dans la boutique, elle quitta son comptoir pour se présenter davantage vers elle « vous cherchez quelque chose ? » sourit-elle à nouveau, prête à l'aider dans sa recherche. Ici, Murphy connaissait tous les objets par cœur, elle avait été formée comme il se le doit par sa patronne pour répondre à toutes les attentes des clients, elle adorait ça même. C'était sans doute la partie préférée de son travail pour elle.

@Raven Jenkins
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MessageSujet: Re: si l'on ne se connaissait pas... ft. raven (#)   si l'on ne se connaissait pas... ft. raven  EmptyMar 30 Juil - 13:18


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un soupir désabusé passe les lèvres de raven et elle se laisse retomber sur le canapé. la motivation lui a glissée entre les doigts, elle ne peut plus écrire ne serait-ce qu'une ligne sur la dynamique de la mode des années vingt, c'est tout simplement au dessus de ses forces. résignée, elle dépose son ordinateur et le porte-document de cuir noir qui contient ses recherches sur la table basse. il faut qu'elle prenne l'air, qu'elle s'aère l'esprit absolument. tout en marchant vers la chambre de sa colocataire, raven s'étire, allongeant les bras au dessus de sa tête, tendant au maximum ses abdominaux. les muscles engourdis par la position qui a été sienne une bonne partie de l'après-midi, elle ne peut retenir la légère grimace qui vient déformer ses traits délicats. "memphis je sors. appelles-moi pour me dire ce qu'on fait ce soir." pour attirer l'attention de son amie, un expéditif coup à la porte résonne et elle rebrousse chemin sans attendre. elle ne s'attarde pas pour qu'elle ait le loisir de répondre memphis, ou même qu'elle lui ouvre ; parce qu'elle est comme ça, la sirène ne laisse personne la freiner. elle file déjà au coté du soleil qui brille timidement, et elle se sent mieux - la musique aux oreilles. celle-ci l'accompagne jusqu'à une boutique d'antiquité de wellington. l'arrêt n'a rien de planifié mais une babiole attire son regard et elle ne se refuse jamais rien raven. jamais. elle tire sur ses écouteurs en passant la porte, les range dans son sac de luxe et se dirige directement vers l'objet de son désir - déterminée. elle ne concède pas un regard à celle qui garde l'échoppe, encore moins un bonjour. petite princesse est de celles qui n'accordent qu'une dérisoire importance à ce qui ne la concerne pas directement. l'égocentrisme comme armure inébranlable, elle ne laisse rien ni personne briser sa carapace de glace. alors oui, elle se fiche bien de sa présence ou de celle de quiconque ; pour autant, elle, ne passe pas inaperçue - en aucun cas. habitée par cette aura de mystère qui envoûte tout ceux qui l'approchent, la mystique brille. le sourire empli d'assurance, le pas élégant, elle en devient même incandescente. et ce genre de lueur, on ne peut l'ignorer : à son passage, on jette toujours vers elle des regards intrigués. situation banale qu'elle ignore raven - trop habituée pour s'en soucier. l'intendante n'est nulle exception, elle fixe son regard sur elle quelques instants. la tête penchée sur le côté, la beauté venimeuse ne le remarque pas, bien trop concentrée sur l'objet qui l'a poussé à passer la porte. elle reste là un moment, à se demander ce qui peut tant l'attirer. "vous cherchez quelque chose ?" un peu brusquement, raven se retourne. une petite blonde lui sourit. qui t'es toi ? l'employée il faut supposer. qu'est-ce que tu veux ? lui vendre quelque chose de toute évidence. prise de court et pourtant pas un seul instant perturbée, la ténébreuse vient désigner du regard ce qu'elle convoite. "qu'est-ce que c'est que ce bidule ? c'est magnifique mais je ne suis pas sûre de comprendre ce à quoi il peut bien servir ?" la prestance transparait dans chacun ses mots, elle viendrait presque pardonner sa mythique condescendance. "je le veux." et elle est ferme raven, inébranlable. ses opales d'un brun profond le reflète à la perfection alors qu'elle ne quitte pas la babiole des yeux. il n'y a pas non plus une once d'hésitation dans sa voix, il n'y en a jamais. sa superbe, elle la conserve en toute occasion.


Dernière édition par Raven Jenkins le Mar 13 Aoû - 11:55, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: si l'on ne se connaissait pas... ft. raven (#)   si l'on ne se connaissait pas... ft. raven  EmptyLun 5 Aoû - 15:30

La cliente était une jeune femme très féminine et élégante, bien le contraire de Murphy en soi. Elle avait une espèce de grâce qui émanait d'elle, de son allure, de sa posture, de chacun de ses gestes. Même le dédain qu'elle avait pour Murphy avait quelque chose d'assez honnête avec l'aura qu'elle dégageait. Et puis Murphy se considérait de toute façon comme insignifiante alors cela ne la perturba pas vraiment. Les mains dans son dos, les doigts saisi, Murphy s'était présenté à elle, lui proposant son aide, alors que la jeune femme l'ignorait d'abord, avant de s'arrêter devant un objet. Apparemment, cette pièce la fascinait, ou plutôt, elle avait attiré son regard. Murphy sourit légèrement, laissant le temps à la jolie jeune femme d'observer cette pièce. Murphy se souvint très bien du jour où elle était tombé sur cet objet. C'était dans le manoir qu'elle avait visité avec Sven, il y a de nombreux mois de cela, après le décès du propriétaire. Les descendants de ce collectionneur avaient voulu mettre le manoir en vente, avec tous les objets qu'il pouvait renfermer à l'intérieur. La jeune femme, malgré quelques angoisses fantômatiques, avait fini par trouver cet objet soigneusement rangé dans une commode au grenier. Plié dans un tissu se soie épais, rangé dans un petit coffre à l'abri de tous les regards qui se seraient voulu indiscrets. Sven avait fini par éclairer sa lanterne, devant ses interrogations. Oui, elle était novice dans le domaine des antiquités, elle n'avait pas les bagages de connaissances du professeur d'Histoire de l'Art, et c'était bien pour cela qu'elle adorait partir en mission avec lui ou avec sa patronne. Grâce à leurs connaissances, Murphy aiguisait son œil, sa culture, et pouvait désormais reconnaître visuellement certains objets, certaines époques, certains pays, certaines techniques et c'était très gratifiant pour elle. Concernant ce petit objet, la jeune cliente ne tarda pas à demander à Murphy ce que c'était. La petite blonde resta à sa place, ne désirant pas s'approcher trop prêt de sa cliente et puis répondit doucement « c'est une réplique d'un œuf de Fabergé » marquant une première pause. « Le véritable œuf a disparu il y des décennies maintenant, il n'en existe que très peu au monde et c'est un objet rare, même s'il s'agit d'une réplique ». Bien sûr que non, il n'y aurait pas un Fabergé ici, dans une petite boutique d'antiquités à Wellington. Les Fabergé se trouvaient principalement dans des collections privées françaises, européennes, russes ou américaines. Ils étaient très rares et même si l'objet présent ici n'était qu'une réplique du joaillier, il n'en restait pas moins un objet de luxe. « L'histoire voudrait que le Tsar Russe en est commandé au joaillier français sa femme » annonça t-elle à titre anecdotique. Restant en retrait, Murphy restait pourtant au service de la jeune cliente, au cas où elle désirerait en savoir plus, ou si un autre objet attirerait son attention dans cette boutique. Mais la voix de la jeune femme se fit entendre clairement, annonçant qu'elle désirait l'objet. Murphy sourit et écarquilla les yeux. Sa patronne serait ravie d'apprendre cette transaction. « Oh très bien, hum... on va préparer les papiers » annonça alors Murphy. Parce que oui, un objet de cette trempe mérite une facture, un certificat d'authenticité et puis c'est une grosse somme d'argent aussi... peut-être qu'elle ne pourrait pas payer tout de suite, et si ce n'était pas le cas, Murphy devrait mettre l'objet en réserve le temps que la jeune femme vienne régler la transaction.
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MessageSujet: Re: si l'on ne se connaissait pas... ft. raven (#)   si l'on ne se connaissait pas... ft. raven  EmptyDim 18 Aoû - 22:12


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ensorcelée par l'étincelante bricole qui orne le vaste comptoir de bois, elle ne pense plus qu'à une chose - la posséder. et elle ne se refuse jamais rien raven, ce n'est pas dans sa nature. pourquoi en serait-il autrement ? tout ce qu'elle désire, elle a les moyens de se l'offrir : il n'y a rien qui soit trop beau, trop grand ou trop cher. c'est aussi simple que ça. "c'est une réplique d'un œuf de fabergé." à vrai dire, elle ne sait pas réellement qu'est-ce qu'est un oeuf de fabergé mais ce n'est pas grave ; tout ce qu'il compte, c'est qu'il lui plaise. et c'est pour cette raison qu'elle s'en saisit : ses fins doigts entourent méticuleusement  l'objet de ses rêves et le font tourner, comme pour mieux l'observer. "le véritable œuf a disparu il y des décennies maintenant, il n'en existe que très peu au monde et c'est un objet rare, même s'il s'agit d'une réplique" une grimace passe ses lèvres ; en un sens, l'idée de ne posséder qu'une réplique la dérange. les jenkins ne se contentent pas de second choix, c'est ce que son père dit toujours. pour autant, elle ne peut ignorer la fascination qui l'a éprise dès qu'elle a passé la porte de la boutique. cet objet est magnifique, elle ne peut le nier. "l'histoire voudrait que le Tsar Russe en est commandé au joaillier français pour sa femme." pour réponse, elle ne marmonne qu'une vague interjection. elle se fiche bien pas mal d'entendre quelques insipides anecdotes sur un objet qui n'est pas même pas celui qu'elle désire obtenir. pour couper court à toute déblatération, elle reprend enfin la parole. témoigne son désir d'acquérir l'oeuf qui l'hypnotise. "oh très bien, hum... on va préparer les papiers." enfin décidée à jeter un oeil à celle qui lui permettrait d'assouvir sa lubie, elle reste perplexe devant la mine surprise qu'elle affiche. qui y'a-t-il de si étonnant ? il ne s'agit là qu'un achat tocade, motivée par une lubie passagère. rien de plus banal. "s'il le faut." une fois devant la caisse enregistreuse, son attention est perturbée par la sonnerie qui retentit. il s'agit de son portable, quelqu'un l'harcèle à l'infini de messages. "une seconde." un soupir exaspéré lui échappe et en guise de justification, elle désigne d'un vague geste du crâne le portable, tout juste sorti du sac. l'oeuf de fabergé alors négligemment posé sur la console, les yeux se plissent lorsqu'elle lit les messages qui lui sont destinés. memphis décommande leur sortie, la faute en incombe à son frère et ses perpétuels problèmes. je vais le tuer. des envies de meurtres plein la tête, la vindicative rédige une réponse douce amer à celle qui partage son appartement. l'énergumène qui lui sert de jumeau en prend pour son grade mais elle reste encore clémente, elle ne vient pas directement lui dire sa façon pensée. le message envoyée, elle sent sa colère dimunuer mais son ennui, lui, persiste. elle tient à sortir absolument raven mais jamais elle ne s'y résoudra sans qu'on ne l'accompagne. elle supporte très mal la solitude et ce depuis toujours. alors, elle réfléchit quelques secondes aux possibilités qui sont siennes. contacter ceux qui constitue sa cour personnelle serait la plus mauvaise des idées, l'humeur est trop fragile pour qu'elle puisse se résigner à supporter leurs flatteries de bas étage. mais alors qui ? tel un signe du distinct, l'oeuf qu'elle convoite vient tinter légèrement lorsque l'intendante la saisit. la tête brusquement relevée dans sa direction, elle daigne enfin l'observer quelques instants. qui t'es toi ? alors que blondie à préparer le nécessaire, sa jeunesse frappe soudainement la mystique. elle ne doit pas être plus vieille qu'elle, elle décèle effectivement dans les fins traits de son visage, un air juvénile. on dirait presque un joli petit poupon, joli mais affadi par le déplorable accoutrement qui l'habille en ce jour. très, très mauvais choix. subitement intriguée, elle lève la main pour ajuster les lunettes de soleil sur son crâne. jusqu'à présent, elle n'avait pas condescendu à les retirer mais maintenant, tout est différent. "dis-moi, pourquoi tu travailles ici ?" elle ne craint pas l'indiscrétion raven, elle ne craint jamais rien. peu importe la réponse qu'elle brûle de connaître, elle trouve toujours le moyen de l'obtenir. "tout y est poussiéreux, y'a quand même plus animé." elle désigne d'un regard étrangement gracieux l'étagère remplie de vieilles babioles sans intérêt, comme pour illustrer son propos. "tu dois avoir quoi... vingt ans ? y'a rien qui te semblait plus attractif comme passe-temps ?" le ton légèrement dédaigneux, elle cherche à comprendre. la délicate a effectivement beaucoup de mal à concevoir que l'on puisse choisir de perdre son temps dans un tel boui-boui. parce qu'elle n'a jamais eu à travailler un seul jour de sa vie, peut-être ne appréhende-t-elle pas les impératifs qui régissent la vie du commun des mortels. ou peut-être exige-t-elle simplement beaucoup mieux pour sa personne.
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MessageSujet: Re: si l'on ne se connaissait pas... ft. raven (#)   si l'on ne se connaissait pas... ft. raven  EmptyLun 26 Aoû - 14:16

La jeune femme à la beauté troublante semblait totalement fascinée par l'objet qu'elle avait saisi dans ses mains. Murphy n'avait pas réellement le droit de la laisser toucher cet objet. En réalité, il n'y avait que certains meubles et les bijoux qui avaient bien évidemment le droit d'être touché, pour le reste, il fallait mieux éviter. Si la cliente faisait tomber l'objet, le brisait et que le paiement n'était pas passé... Murphy allait sûrement perdre son travail. Alors oui, c'était une situation périlleuse pour la jolie blonde. Passant derrière le comptoir et la caisse afin de préparer la dîte facture, Murphy ne prêta pas attention à la jolie jeune femme et son portable qui sonnait. Non. Elle était plutôt concentrée afin de ne pas faire d'erreur, trouvant les documents officiels affirmant la rareté de l'objet, l'historiographie aussi de ses propriétaires et son histoire. C'était quelque chose de tout à fait banal pour les objets d'art, bien que certains soient dans des lieux publics comme des Musées ou autres institutions gouvernementales, bien des objets sont dans les mains de riches collections privées, ou même totalement oubliées dans certains greniers. Pour les collections privées, c'est donc tout naturel qu'ils y soient aussi suivi, afin que l'Histoire puisse savoir où se trouvent ces délicieux objets. Il en était donc de même pour cet objet, même s'il s'agissait d'une réplique. Lorsque la brunette posa l'oeuf sur le comptoir, Murphy ne perdit pas une seconde pour le saisir. Elle l'emballa dans du papier bulle, soigneusement. Puis, elle le plaça dans un joli coffret afin de le protéger. Les gestes de la jolie blonde étaient précis et avisés, en attendant de pouvoir avoir les informations de la jeune femme pour remplir ses papiers. Mais avant qu'elle n'ai eu le temps de lui demander quoi que ce soit, la jeune femme lui posa une question. Murphy esquissa un sourire et croisa le regard de la jeune femme, tout en terminant son emballage. Apparemment pour la brune, cet endroit n'était pas l'un de ces lieux qui faisaient vibrer une jeune femme de vingt ans. Murphy aurait pu être mal à l'aise, mais au contraire, elle prenait ça pour un compliment. En fait, si elle paraissait étrange, ou différente, ça lui allait très bien. Parce que ressembler à tout le monde, se confondre dans un moule, partager les mêmes goûts, les mêmes amis, les mêmes fringues, les mêmes loisirs et aspirations que tout le monde... ça ne l'intéressait pas non plus. Et il était vrai que dans sa vie actuelle, il n'y avait rien de semblable. Elle allait se lancer dans le cinéma, elle bossait alors qu'elle n'avait pas besoin d'argent, elle sortait avec un mec qui pouvait être son père, elle s'était fichu dans une histoire incroyable à Auckland avec des gens vraiment flippants... Gardant son sourire aux coins de ses lèvres, posant le paquet vers son clavier d'ordinateur, elle posa son œil sur l'écran bleu de celui-ci. « J'ai besoin de connaître votre nom, votre prénom, votre date de naissance, et votre adresse et votre numéro de téléphone pour la facture » plaçant ses doigts au dessus du clavier, en attendant la réponse. Finalement, elle lança « quand à savoir pourquoi je travaille ici... » elle soupira, observant les lieux et puis répondit « je pourrai vous dire que c'est par un souci d'indépendance, mais au fond... j'aime bien cette ambiance là moi » et c'était la vérité. Il fallait croire que Murphy aimait les « vieux machins » rien qu'à voir son mec. Elle rigolait intérieurement et était presque convaincue que si Jake avait entendu ça, il aurait ri, puis l'aurait probablement soulevé avec une telle facilité pour l'emmerder, ou la jeter dans une fontaine, comme celle juste en face de la boutique par exemple. Son sourire étira davantage ses lèvres. Il lui manquait, c'était certain.

HRP : Je n'ai jamais reçu la notif de ta réponse !! Je suis désolé pour l'attente du coup ! J'ai vu que tu avais répondu quand j'ai été checké la réponse d'un autre rp ><
J'espère que tu m'en voudras pas et que ça ira, je te fais de gros bisous si l'on ne se connaissait pas... ft. raven  2913072852
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MessageSujet: Re: si l'on ne se connaissait pas... ft. raven (#)   si l'on ne se connaissait pas... ft. raven  Empty

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