Ambrosia ♡ Serre moi fort que j'oublie que c'est le chaos.

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Ambrosia Lyudmyla Milkovich

And heaven's out of sight

nom ○ Milkovich, un héritage qui semble être une fierté dans ta famille, comme beaucoup, mais il parait que dans le passé tes ancêtres était des personnes respectables dont leur charisme imposé déjà. Rien de très grand fou mais, assez pour que ta famille se proclame comme l'élite de l'Ukraine. Ce que tu n'as jamais cautionné. prénoms ○ Ambrosia, qui est l'un des dérivés de l'ambroisie qui dans la mythologie grecque symbolise le nectar des dieux. Oui, tes parents sont des passionnés et ils étaient évidents pour eux que leur fille chérie porte un nom à sa hauteur. Ton deuxième prénom est Lyudmyla, cadeau pur de tes origines, c'est généralement comme ça que ta famille et les ukrainiens que tu croises t'appelle. Ton premier fait trop occidental à leurs yeux, comme si tu crachais sur ton sang. Étrangement c'est également ce prénom que tu as choisi comme nom de scène, ne dit-on pas chasser le naturel il revient au naturel. Lieu de naissance ○ Kiev en Ukraine, au sein des terres de ta famille, comme le veux la tradition et berceau où tu finiras ta vie comme c'est écrit. statut civil ○ Divorcée, tu y as cru au prince charmant, à son cheval blanc qui viendrais te sauver de tes névroses et du fameux ils vécurent heureux jusqu'à la fin des temps, avec plein d'héritier sous les bras. Mais, il n'a rien eu de tout ça pour toi mise à part un mariage d'intérêt, un semblant d'amour et la perte de ta fille. Tu as arrêté de courir après ton happy ending, il n'a pas sa place dans la vraie vie. orientation sexuelle ○ Indéfini, parce que tu n'y as jamais fait vraiment attention, tu es contre les étiquettes qu'on impose, toi tu es pour la beauté du cœur et l'alchimie. Enfin, ça c'est si on daigne attirer ton attention. métier/études ○ Ancienne infirmière à l'hôpital de Londres, lorsque tu as recommencé ta vie tu as mis cette voie de côté aussi, lasse de voir des personnes souffrir et se sentir si impuissante. Tu t'es promis de suivre de tes rêves et aussi follement que ça puisse paraître tu es à présent Chanteuse dans un cabaret de la ville, à défaut d'avoir réussi à être une sauveuse tu avais découvert que ta voix n'était pas à négliger. Il parait que c'est l'aura que tu dégages et cette façon que tu as de te trémousser qui charme ton public. Et secrètement tu travailles dans un bar nommé Le Black Dog, on t'appelle le Toubib, toi ton travail consiste à récupérer les gueules cassés de ses chiens enragés qui se battent, de faire en sorte de pouvoir les remettre sur pattes pour le prochain combat. On s'demanderait comment une fille comme toi ne correspondais pas aux critères pouvait se retrouver là mais, la réalité est bien plus simple. L'avantage d'avoir des parents immoraux c'est qu'ils ont leur propre carnet d'adresse. Alors, forcément lorsqu'une de leur connaissance a besoin d'un médecin, ils proposent directement l’infirmière dévouée que fût un jour leur fille. Histoire de la renouer avec ce milieu qu'elle haït tant. groupe ○ Lost, il y a beaucoup trop de choses que tu as perdu, ta tête avec et le contrôle que tu avais sur ta vie. Depuis le décès de ta fille, tu sens ce vide immense en toi, inconsolable. avatar choisi ○ Lana Del Rey.

les informations en vrac

la partie anecdotes ○

Malicieuse ♡ Attentionnée ♡ Fière ♡ Loyale ♡ Obstinée ♡ Indépendante ♡ Matriarcal ♡ Stratège ♡ Observatrice ♡ Manipulatrice ♡ Vénale ♡ Cynique ♡ Sarcastique ♡ Méglomane ♡ Maniérée ♡ Délicate ♡ Passive-agressive ♡ Intuitive ♡ Joueuse ♡ Excessive ♡ Pointilleuse ♡

Toi tu es l’incarnation même du mot drama queen, une diva avide de pouvoir voilà ce que tu es et ce que tu resteras. Le luxe te fait vibrer, avoir du pouvoir te fais chavirer et tu es persuadé d’avoir face à toi un destin fabuleux. Tu ne vis que pour la gloire et la reconnaissance, tu portes un masque permanent. Jonglant entre ce qu’on t’a appris et ce que tu as appris de la vie. ♡ Tu as deux faces, ton excentrisme et la femme mélancolique qui seule noie son chagrin comme elle le peut. Tu estimes avoir besoin de personnes et tu t’es renfermée dans une bulle qui a présent t’oppresse. Tu as été diagnostiqué après des séances chez un psy de maniaco-depressive à tendance suicidaire. Tu prends un traitement pour lutter contre toi-même. Clairement, tu es une boule de stress ambulante qui se cache derrière ses artifices. ♡ Malgré toutes ses années à vivre loin de ta ville natale, tu as toujours gardé ton accent qui te grille à des kilomètres tu as toujours trouvé l’anglais compliqué, l’ukrainien est bien plus simple. Tu as toujours tendance à avoir l’impression d’être ridicule quand tu parles anglais, c’est comme pour le russe qu’on t’a forcé à apprendre. Pour cette langue tu as tendance à inverser les mots avec ceux de ta langue natale et bien que dans le passé tu as été amené à le parler à présent il est un souvenir lointain. ♡ Tu as fait tes études supérieures en Amérique du Nord, dans l’une de ses facs prisées qui était à la hauteur de ta réussite disaient-ils. Tes parents voulaient que tu fasses médecine absolument, tu n’as jamais été fan des grands parcours alors tu as décidé de t’orienter vers l’infirmerie. Après ta remise de diplôme à tes vingt-deux ans, tu as quitté les USA pour t’installer en Angleterre avec ton ex-mari avec qui te mariera quelques mois plus tard avant d’accoucher de ta fille. Tu as donc travaillé pendant sept ans à l’hôpital de Londres avant de revenir en Ukraine. ♡ Malgré que tu as choisi un chemin classique comparé à tes parents, tu as toujours été étrangement attiré par tout ce qui était dangereux. Des bad boy au bad girl en tout genre, c’est l’attrait du risque disait ta mère et elle avait raison. Comme si tu avais toujours eu cette manie de vouloir t’auto-détruire et le choix de tes partenaires en est la preuve. ♡ Tu sais jouer du piano à un certain niveau, c’est l’un des instruments qui t’a toujours passionné et dont on t’a poussé à en jouer. En parallèle alors très jeune a cette époque tu te passionnas pour le chant, ça t’aura value une place dans la chorale de l’église que tes parents fréquentés. Aussi loin que tu te souviennes tu avais donc toujours voulu vivre de la musique, ce qu’on t’a refusé. Après, tout un autre chemin était tracé pour toi. ♡ Ta famille a toujours dicté ta vie, ils estiment avoir le meilleur pour toi, naïvement tu as toujours suivi la ligne qu’il t’avait tracé. Depuis ton adolescence tu savais déjà avec qui tu allais te marier et fonder une famille « heureuse », un jeune héritier d’une autre famille de mafia Ukrainienne qui finalement se soldera en divorce. Celui-ci a été prononcé seulement il y a un an, en arrivant à Island Bay il y a trois ans tu portais encore le nom de ton mari. Petrova. ♡ Tu as donnés toutes les affaires de ta fille décédée, Sanja, tu n’as gardé que deux petites choses, sa gourmette que tu portes à présent à ton poignet et son doudou que tu laisses dans ton lit. Quand les nuits sont trop lourdes, il accueille tes sanglots. Tu n’as jamais réussi à faire ton deuil et tu voues une haine immense contre ton ex-mari à qui tu as coupé un doigt par vengeance. La prochaine fois ça ne seras plus qu’un doigt qu’il perdra. ♡ Tu es passionnée par les films d’action, dans le genre : le parrain, fight club et pulp fiction. Tu en apprécies bien d’autre mais ceux-là sont tes préférés, tu passes clairement tout ton temps libre au cinéma. Les séries c’est moins ta tasse de thé, tu n’as pas assez de patience. ♡ Tu es allergique aux fruits à coques et au pollen depuis ta naissance. ♡ Tu es végétarienne depuis tes vingt-trois ans, étant déjà intéressée à la cause animale depuis un moment tu as pris ton temps et finalement tu as réussi à changer ton régime alimentaire petit à petit. ♡ Activiste tu luttes bec et ongles pour la liberté des femmes, les droits lgbtqi et l’écologie. Tu n’as jamais compris ceux qui se plaignaient mais, resté visé dans leur canapé. Si on veut que le monde change il faut l’aider. ♡ Tu as des connaissances en matière de poisson, lors de tes études d’infirmière tu as dû faire un exposé dessus, en commençant à t’y intéresser tu as découvert une véritable passion. Des rumeurs disent que tu as empoisonné ton ex-mari porté disparu depuis ta dernière interaction avec lui. ♡ Tu adores jouer au billard, fléchette et au poker. Si l’on te croise dans un bar ça seras sûrement à l’un de ses spots là ou bien derrière un micro à jouer de tes vocalises. ♡ Tu ne tiens pas l’alcool et tu en consommes très rarement mais, bizarrement tu gères bien certaines drogues. ♡ Fan des vidéos et reportage sur les chasseurs de fantôme secrètement tu épluches tout ce qui traître de ce sujet-là. Tu as déjà participé à des séances de divinations et tu as appris à tirer les cartes. ♡ Depuis ton accident de voiture, tu n’as jamais réussi à remonter dans l’une d’entre elle et tu t’arranges toujours pour contourner ce véhicule de l’enfer. ♡ Tu as déjà fait de la chirurgie esthétique pour tes lèvres et ton nez, tu n’as pas honte et tu l’assumes pleinement. Tu es même la première à encourager tes amies lorsqu’elles veulent passer sur le billard, toi tu es pour la liberté absolue des femmes et de leurs envies qu’elles veulent se sentir mieux ou rester comme elles sont. ♡

les indiscrétions sur le joueur

pseudo/prénom ○ Karmageddon / Aurore. âge ○ 23 ans. pays/région ○ Haut-de-France. présence ○ 7/7j et mise à jour minimum une fois par semaines. comment as-tu connu island bay ○ Grâce au top. scénario/pré-lien/inventé ○ Inventé / pré-lien de jake bailor. raison de ton inscription ○ J'aime le contexte du forum, l'ambiance à l'air chouette et les membres sympa. dernier mot d'amour ○ STAN LANA.

Code:: <pris>○ lana del rey</pris> ambrosia milkovich

Code:: Ambrosia

Code:: Milkovich

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l'histoire de ma vie

All the good girls go to hell

Regarde les étoiles
Nous ont condamné
Pour l'éternité, je nous imaginerai ensemble

Inspire.
Expire.
Ils t’ont détruite.

Ça tourne dans ta caboche comme une vieille cassette qui passerait en boucle, tu ne pouvais penser à rien d’autre que cette constatation qui t’obséder et cette rage qui bouillonnait dans tes veines comme une nouvelle puissance. Tu la sentais juste ici caché derrière le tambourinement de ton cœur, tu griffonnais rapidement sur ce papier encore jadis blanc alors tes dents triturais tes lèvres innocentes. Ils l’abîmaient comme tu voudrais le faire avec leurs os. Tout ceci était leur faute, ils t’avaient tout pris jusqu’à Sonja. Il ne restait rien mise à part ta rancœur et ta conscience accablante. Mais, ce soir, tout ceci va se terminer. Cette fois-ci ça ne seras pas une lettre d’adieu comme tu avais pu leur écrire dans le passé lorsque même l’espoir d’un jour meilleur t’avait quitté. Ce foutu torchon que tu rédigeais n’était que le commencement de ta vendetta.

« мама, папа,

Je vais répondre à cette question que vous vous posez sûrement : je vais bien. C’est faux, vous le savez, je le sais mais, je pensais pouvoir faire comme si tout était normal. Continuer à vous écrire gentiment tout en gardant des œillères telle la gentille fille que je suis. Mais, surprise ça ne marche plus, plus maintenant sinon je ne serais pas là à vous écrire pour éviter d’avoir cette conversation avec vous. Vous qui me diriez probablement que j’ai passé l’âge des enfantillages. Mais en réalité c’est bien loin d’être des histoires de gosses frustrés, ou peut-être un peu, mais d’un être humain que vos manigances dans l’échiquier du pouvoir avait fait sacrifier. Il est plus facile de faire des enfants fort que de réparer des adultes brisés dit-ont. C’est sans mascarade que je vous avoue que je suis tombé de haut lorsque j’ai réalisé qu’en réalité vous êtes mon cerbère de mon enfer personnel. Je n’étais qu’un pantin, moi, votre fille. L’unique et la tant attendue. Je n’étais que votre agneau blanc. Graal d’un pouvoir que maintenant vous jouissez de sa splendeur. Moi, qui vous ai tant admirés, après tout de quoi ai-je pour me plaindre ? Vous me diriez. Je le croyais aussi jusqu’à ce qu’en vieillissant je comprenne qu’il n’y a pas de bons parents justes des personnes faisant de leur mieux. Et à présent lorsque je me plonge dans mes songes nostalgiques je comprends que vous n’en étiez pas.

Pourtant mon histoire commence bien avant que je naisse lorsque Monsieur et Madame Milkovich contrôlais déjà leurs mondes, il ne manquait qu’une chose pour vous épanouir totalement : Un successeur. Inscrire votre nom dans l’histoire et prospéré votre dynastie que vous avez difficilement bâtis. Vous avez réfléchi longuement avant de finalement sauter le pas après tout ça rajoutera une carte de choix dans votre main. Et je suis arrivée le jour le plus froid d’Ukraine, on dit que j’ai le cœur gelé, la nuit-là ou seule la lune pouvait entendre mes pleurs. C’est bien loin de mes croyances où on m’avait conté que vous désiriez tellement avoir un enfant mais, que mère avait des difficultés. Je n’étais pas voulu comme d’autres mères voudraient d’un enfant. Seule j’ai grandi dans cette belle maison au sein de Kiev, dans l’un de ses quartiers modestes ou la pelouse est toujours verte. J’aurais voulu avoir une fratrie et partagé des moments inoubliables avec ma famille mais, vous ne vouliez pas d’autre enfant. Tant pis. Je me souviens que vous étiez très occupé avec vos affaires et qu’il était sûrement plus facile de céder à mes caprices ainsi que me mettre dans les bras de ma nourrice plutôt que de faire attention à moi. J’ai manqué de rien je l’avoue, j’ai été gâté à bien plus que raison. Mais, ça n’a jamais combler ce vide que je ne ressentais ni l’espoir d’attirer votre attention plus de dix minutes. Et top chrono.

Ma réussite était la plus importante après tout, j’allais dans les meilleures écoles et j’avais les profs particuliers les plus performants de la ville. En plus de ça j’étais studieuse, toujours fourrer le nez dans les livres vous avez développé en moi un esprit de compétition et une rage de gagner. Vous m’avez forgé à votre image. L’héritière Milkovich, délicate épine. Le calme avant la tempête, je parlais peu mais lorsque je le faisais il parait que je crachais mon venin. Les mots étaient la plus belle de mes armes. Toujours perché sur mes talons j’épiés le monde de mon regard d’acier, je ne m’intéresser pas à tout ce que les jeunes de mon âge pouvaient s’intéresser. Casanière je sortais très peu et j’avais une aversion pour tout ce qui sembler être amusant. Je n’avais pas le temps pour ça, je devais conquérir le monde. Vous étiez si fier de moi, du moins ce que vous disiez, j’étais votre parfaite petite fille. Je ne disais jamais rien, même lorsque vous m’avez conté l’histoire de notre famille et de ses règles. Je savais tout de votre statut de trafiquant d’armes et de médicament, vous aviez monté un business qui m’était à porter de main. Offert sur un plateau, si seulement j’étais prête à vous ventre mon âme. Ça ressemblait à une de ses scènes au cinéma tant j’étais effrayée de la situation et dont j’ai fini par choisir une vie normale. Bien loin de tout ceci, dans les codes qu’à la fois paradoxalement je voulais briser. Vous m’aviez donné l’impression d’avoir gagné mais, vous m’imposiez le choix de mon mariage. Dans la famille on se maries exclusivement entre membres de la mafia, afin de garder le fil de la destinée, c’était vraiment comme dans un film. J’ai accepté croyant alors m’être débarrassé de vous et enfin être libre en m’envolant faire mes études à l’étranger. Le rêve américain avait bercé ma jeunesse que les auteurs me faisaient fantasmer.

C’est à mes dix-neuve ans lorsque j’ai atterri sur le sol de la Louisiane que j’ai enfin eu l’impression d’exister enfin. Je n’étais plus « la fille de » mais, Ambrosia.

Vous vouliez à tout prix que je fasse médecine pour qu’à l’avenir si je change d’avis concernant l’entreprise familiale je puisse servir à quelque chose, encore une fois je n’ai rien pu dire, j’avais eu beau protester voulant suivre mon rêve de chanteuse, vous n’aviez rien voulu entendre. Alors, je me suis tourné vers le but d’être infirmière, en faisant mes stages j’ai étrangement fini par être comblée dans ce que je faisais. Ou bien est-ce en étant loin de vous que je me suis découvert vraiment. Evidemment vous ne m’aviez pas laissé partir seule, j’avais embarqué avec moi celui qui deviendra par la suite mon mari. Je ne l’ai jamais vraiment apprécié vous saviez. J’ai essayé de l’aimer de tout mon cœur mais à chaque fois que je faisais un pas vers lui il en reculait de trois. Il me faisait penser à vous et ne renforçait que mes traumatismes. À sa manière il faisait de son mieux mais, ce n’était pas assez je me sentais si seule. Pourtant, lorsque j’ai été diplômé avec mention et que je suis revenue au bercail comme convenu j’ai fini par tomber enceinte de lui. Si nous ne vivions pas d’un amour passionnel comme je l’avais imaginé nous savions nos retrouvés dans notre chambre, Sonja était la récole de tes pulsions animales. Et même si j’avais été terriblement effrayer à l’idée d’enfanter, je ne pus que me résigner, quelle honte si Mademoiselle Milkovich viendra à se rapprocher du malin. Ironie du sort.

Et comme ce fut écrit pour combler vos désirs j’ai fini par épouser le fils Petrova, notre fille est venue au monde quelques mois après, ma douce et tendre Sonja. Je l’ai aimé si fort à l’instant même ou j’ai posé ses yeux sur sa frimousse d’ange. Je retrouvais enfin un peu de bonheur véritable dans l’amour qu’elle me portait. Elle était ma bouée de sauvetage dans la tempête qu’est ma vie. En vieillissant elle est tombée malade, une petite maladie chronique qui n’était pas mortel mais qui nous avez poussé à déménager en Angleterre pour suivre un traitement pour elle. Là-bas je commence alors enfin ma carrière d’infirmière, même si votre ombre planée toujours sur moi à travers le biais de ce Petrova qui gérait vos affaires tel le toutou qui vous a toujours été. J’ai passé de si belles années là-bas, je m’éloignais petit à petit de mon mari, il se réfugiait dans les jeux et l’alcool sûrement pour oublier cette vie qu’il n’avait pas choisi non plus. Il jouait avec l’argent, le vôtre, le nôtre, le mien. Il voulait avoir tellement de pouvoir, il s’est frotté aux mauvais types de la capitale Londonienne et ce jour tragique arriva.

Le jour où je suis morte. Encore aujourd’hui il me hante, la nuit lorsque j’essaye de rejoindre Morphée, je me souviens comme si s’était hier. J’entends encore sa voix. J’entends encore ses pleurs. Je sens encore sa main gelée dans la mienne. Je conduisais comme à mon habitude dans les quartiers luxueux de la ville, je venais de récupérer Sonja qui déjà venait d’avoir ses huit ans, elle sortait de la danse. Elle voulait être danseuse. Il faisait beau pour une fois le soleil baignait la ville de ses rayons chauds, on chantonnait si joyeusement l’air de la musique qui passait à la radio. Je roulais normalement à la limite indiquer arrivant à une intersection où c’était à mon tour de passer, mon téléphone poser sur le siège passager à vibrer, par réflexe je l’aie regardé, juste deux petites secondes. Assez pour que tu ne vois pas l’accident arrivé et que tu prennes le choc de plein fouet. Une voiture arrivant à une allure inquiétant me percuta soudainement par l’arrière de mon véhicule qui suivit la trajectoire de l’impact. Tout se passa si vite que je ne me souviens juste de la douleur, de ma vision floue et de mes mains qui tenter en vain de garder le contrôle. Ça n’a pas marché et j’ai fini par m’encastrer dans un abris-bus. Ce fut le trou noir pour moi, juste quelques flash, quelques sanglots, la petite voix de ma fille que je n’entendais presque pas au loin, je voulais bouger mais, je ne pouvais pas.

Je me suis réveillé à l’hôpital j’avais juste eu le temps de reprendre correctement mes esprits que déjà je m’attendais au pire. Au fond, je le savais. L’annonce du décès de Sonja a était comme une claque que l’univers me foutait en pleine gueule. Ce n’était pas juste. Ce n’est pas comme ça que ça doit se passer, c’est l’inverse, elle était trop jeune. Le choc avait été trop grand pour elle qui était de plus à l’arrière, elle n’avait pas réussi à survivre à ses blessures. J’ai eu de la chance disaient-ils, j’avais été blessé, mais j’avais survécu. Je n’avais eu que des blessures superficielles dans le genre de quelques os cassés, une commotion cérébrale et le bassin abîmé. L’enterrement a était gérer par mon mari je n’en avais pas la force, son départ m’ayant plongé dans une profonde dépression nerveuse et là encore au lieu de me soutenir vous m’avez enfoncé. Tu n’as qu’a en faire un autre. Vous me disiez. Moi qui avais fait des pieds et des mains pour ramener son corps sur nos terres-là ou son repos pourras être doux, j’avais suivi la tradition encore une fois. Et pour avoir quoi en retour ? Cette froideur. Elle qui vit dans mon cœur.

Ça s’est empiré, je me suis rendue encore plus malade, me blâmant de sa mort j’avais développé un côté suicidaire. Deux fois j’ai essayé de mettre fin à mes jours hantés de cette vie que j’avais enlevée, ce que je croyais, le coup de grâce fût la révélation de mon cher époux. Moi qui croyais être responsable de la mort de ma fille, j’appris qu’en réalité le coupable que la police n’avait jamais retrouvé n’était d’autre que l’homme qui partageais ma couche. Indirectement. Il ne l’a pas fait mais, c’est sa faute. Je vous l’ai dit monsieur aimait les jeux d’argent et monsieur à finir par s’endetter, d’un zèle de confiance il s’est frotté à des caïds. Ils ont voulu lui donner un avertissement, qui ne devait pas aller aussi loin. Ça a « dégénéré ». L’existence de Sonja valait alors quelques millions de Livres. Pas pour moi. Putain. Vraiment pas pour moi. Je n’avais jamais ressenti une telle fureur en moi, une telle douleur, je tremblais et j’étais devenue hystérique. Mon monde s’écroulait une deuxième fois et je me sentais si étrange, comme cette sensation d’être là et à la fois pas du tout. Et derrière tout ça vous tiriez encore les ficelles, Petrova ne faisait que vous obéir. Regardez ou ça vous a mené.

Il ne m’en fallait pas plus pour alors tirer un trait sur tout ça, je ne respirais plus à être ici avec tout ses gens qui avait contribué à ma chute et qui m’avais détruit. Je vous ai quitté, j’ai pris mes clics et mes claques et je suis partie. À jamais. J’ai demandé le divorce et celui-ci a était déclaré il y a un an. J’ai accepté ce poste que vous m’avez chaudement recommandé uniquement parce que je vous préviens que c’est la dernière fois que je ferais ce que vous me demandez. Je vous avais prévenu, je ne veux plus aucun de vous dans ma vie. Aujourd’hui je me suis ouverte en suivant les conseils de mon psychothérapeute qui considère que parlais de mes traumatismes me feras avancer. Partager alors avec vous une partie de mon histoire m’aide à avancer. Je dois me concentrer sur moi-même et suivre ma lignée spirituelle. J’ai besoin de repos et mon havre de paix doit se faire loin de vous. Je vous mets en garde, oubliez-moi comme l’enfant que vous n’aviez jamais voulu. Effacer mon existence et continuez de vivre la vôtre. Je ne vous souhaite pas de malheur, juste un peu d’humanité. Il est temps pour moi de vivre MON destin.

PS : Ce n’est pas une déclaration de guerre mais, un drapeau blanc.

Adieu.

Avec tout mon respect,
Votre « fille »

C’était suffisant tu ne voulais pas en dire trop, juste assez pour qu’ils comprennent les grandes lignes, peut-être que ça suffira à ce qu’ils te laissent en paix. Lorsque tu as quitté ton pays natale quelques temps après l’annonce de la vérité sur les circonstances de ton accident, tu ne pouvais plus rester là-bas à vivre encore dans le passé. Tu voulais partir si loin, recommencer tout depuis le début et face à toi s’est alors dresser l’envie de déménager. Tu n’avais pas d’endroit précis au début, jusqu’à ce que des recherches sur ta famille éloigné de mène jusqu’à Island Bay, comme un signe de l’univers là-bas se trouvait également des amis à toi que tu n’avais pas vu depuis bien trop d’années. D’une raison à une autre tu finis par t’envoler pour la Nouvelle-Zélande, une amie de longue date t’hébergea quelques mois avant que tu trouves un travail. Un cabaret populaire de la ville avait flashé sur ton cv et toi, tu n’attendais que ça pour te lancer dans le monde du spectacle. Forcément tu acceptas, te produisant aussi souvent que possible, ça te faisait oublier quelque peu tes névroses. Tu respirais enfin, son fantôme était toujours présent mais, moins souvent. Ton succès grandissant en même temps que ton salaire, tu achetas par la suite un pavillon au Bay Sud, à cette place tu pouvais observer l’horizon. Tu t’étais si bien caché que pendant deux ans tu n’avais pas eu de nouvelles d’eux, jusqu’au jour où ils avaient eu besoin d’un service. En échange de ta rédemption pour l’humiliation que tu leur as fait subir lors de ton départ, ce jour où tu avais fait un scandale publiquement et couper les ponts avec ta famille. Soit tu accepté soit ils te feraient rembourser les frais d’enterrement de ta petite. Ils étaient prêts à tout et se servaient de ta faiblesse pour te faire flancher. Et tu l’avais fait. Tu avais accepté un poste dans un bar qui cachais une partie illicite, des combats illégaux ou les parieurs étaient en feu, toi tu es censé t’occuper des combattants. À l’image de tes anciennes années d’infirmière, tu devais faire en sorte qu’il finisse toujours par combattre. C’était dans tes cordes si en échange ils te foutaient la paix.

C’était il y a maintenant un an que tu as envoyé cette lettre à ta famille, à en croire leur non-réponse tu sembles enfin atteint ton illumination. Tu commences à remonter petit à petit la pente, suivant les conseils d’expert qui ne veulent que ta guérison. Toujours en spectacle au cabaret tu offres à tes spectateurs un show inoubliable, tu vis de ta passion comme tu l’as toujours espéré. Comme quoi la destinée existe vraiment. À contre cœur tu continues de bosser au Black Dog ou à la fois paradoxalement tu prends goût à ta position et à cette rage qui éclate lors des combats. Ça t’est arrivé de parier une fois ou deux. Ou peut-être trois. Qu’importe toute façon ça n’a pas d’importance. Tu ne t’es jamais sentie autant libérée et heureuse. Ton deuil cette épée de Damoclès que tu endosses toujours mais, tu as appris à rejeter lors de tes moments d'intimité, tu n’as besoin de personne. Tu es une femme forte et indépendante. Si seulement tu savais qu’une sombre figure de ton passé allez revenir gâcher ton bonheur, tu ne sourirais plus à cette heure-ci mon ange.

Je t'ai brûlé le cœur, tu t'es habituée
Promets-moi que jamais quelqu'un te le remet en cendre
Ce n'est qu'un au revoir

**○ inscrit le** : 06/08/2019

Bienvenue parmi nous Ambrosia ♡ Serre moi fort que j'oublie que c'est le chaos. 902541242

J’aime beaucoup le prénom Ambrosia ♡ Serre moi fort que j'oublie que c'est le chaos. 2913072852

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Ambrosia ♡ Serre moi fort que j'oublie que c'est le chaos. Q0G5fmFX_o

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Wow, Lana, elle est pourtant si peu jouée d'habitude ... Ambrosia ♡ Serre moi fort que j'oublie que c'est le chaos. 2159828525

Bienvenue parmi nous en tous cas & bon courage pour la fin de ta fiche Ambrosia ♡ Serre moi fort que j'oublie que c'est le chaos. 843031823

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Bienvenue par ici Ambrosia ♡ Serre moi fort que j'oublie que c'est le chaos. 843031823

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Bienvenuuuue Ambrosia ♡ Serre moi fort que j'oublie que c'est le chaos. 838751658

**○ inscrit le** : 07/09/2016

Bienv'nue à toi ^^

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• Even if life is not good with you, you have to smile •

(c) Miss Pie

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bienvenue parmi nous

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Bienvenue parmi nous Ambrosia ♡ Serre moi fort que j'oublie que c'est le chaos. 3551187679

Choix d'avatar original Ambrosia ♡ Serre moi fort que j'oublie que c'est le chaos. 902541242

bon courage pour ta fiche !

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Bienvenue sur IB ! Ambrosia ♡ Serre moi fort que j'oublie que c'est le chaos. 838751658

Merci d'avoir choisi un poste au Black Dog. Ambrosia ♡ Serre moi fort que j'oublie que c'est le chaos. 4006438364

Si tu as des questions ma boîte mp est grande ouverte. Ambrosia ♡ Serre moi fort que j'oublie que c'est le chaos. 843031823

Hâte de voir ce que tu vas faire de ton perso. Ambrosia ♡ Serre moi fort que j'oublie que c'est le chaos. 2139827335

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Oh mais quelle beauté !! Bienvenue ici Ambrosia ♡ Serre moi fort que j'oublie que c'est le chaos. 2913072852

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Merci à tous pour voir accueil, vous êtes adorable plein de bisous à vous Ambrosia ♡ Serre moi fort que j'oublie que c'est le chaos. 2238883318

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Bienvenue, bon courage pour ta fiche et bon choix d'avatar. Ambrosia ♡ Serre moi fort que j'oublie que c'est le chaos. 843031823

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Bienvenue sur le forum et bon courage pour ta fiche ! Ambrosia ♡ Serre moi fort que j'oublie que c'est le chaos. 838751658

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**○ inscrit le** : 21/06/2019

Bienvenue :D

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