Poison Ivy // Daisy

Daisy Fairlawn

It's good to be Bad!

les informations en vrac

la partie anecdotes ○ ici, tu peux te lâcher, parler de tout ce qui te passe par la tête sur ton personnage. ses passions, ses habitudes, ses coups de coeur, ses coups de gueule. tout ce qui peut être intéressant à développer sur son caractère. tout ce qui impactera, de près ou de loin, sa future évolution en rp. un minimum d'une dizaine de points est demandé. cette partie est non négligeable pour la construction de votre personnage et il est donc recommandé de détailler suffisamment les points évoqués.

les indiscrétions sur le joueur

 

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<pris>○ taylor swift</pris> daisy fairlawn

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Amour, Gloire et Beauté

sans oublier le fric, merci.

Née à Southlane dans un foyer plus que modeste, ses parents enchaînés les boulots de subalternes sans jamais réussir à les garder bien longtemps. Vivant précairement, survivant de l'aide sociale, l'enfance de Daisy se résume à une succession de déception, de frustration et de privation. Plutôt maigre à la limite de la dénutrition, le teint très pâle causé par des carences diverses et variées, une garde-robe usée et rarement à sa taille obtenue par des associations, la pauvre Daisy aurait tout aussi bien pu se dessiner une cible sur le front tant tout cela conduisit les enfants de son âge à en faire leur victime préférée. Même dans les quartiers modestes, on jugera le plus pauvre. Les brimades, le rejet et l'absence de ses parents (accumulant le plus de boulot possible pour entrer désespérément de l'argent) modelèrent peu à peu la demoiselle dans la colère et la jalousie. Au collège sa puberté se faisait attendre, continuant de creuser un fossé entre elle et les autres. Après un cours de sport, elle s'évanouit faute d'avoir suffisamment mangé. Contre toute attente, elle adora ce laps de temps passé à l'infirmerie où elle fut chouchoutée par l'infirmière qui lui prêta l'attention dont elle manquait cruellement. A là brimade suivante, elle se mit à feindre de s'évanouir à nouveau pour retourner à l'abris à l'infirmerie où elle était le centre d'une attention bienveillante pour une fois. Puis deux, trois, quatre jusqu'à dix fois en seulement un mois ce qui éveilla les soupçons dans l'établissement. Bizarrement, Daisy s'engouffra dans une brèche lorsqu'on lui demanda si elle n'avait pas un problème de santé assez grave, allant jusqu'à fournir de faux certificat médicaux et imitant des mots signés par ses parents. Du jours au lendemain, la rumeur s'était répandu dans toutes les bouches et les brimades furent plus violente... Jusqu'au lendemain où tout le monde sans exceptions devient subitement extrêmement gentil, les parents d'élèves ayant eu vent de la triste -mais fausse- histoire de son état de santé déclinant et forcèrent enfin leurs enfants à la laisser tranquille et même être leurs amis. Son physique s'y prêtait assez bien finalement. Tout d'un coup on s'asseyait à côté d'elle en cours ou au déjeuner, on l'invitait aux fêtes, on était sympa, le rêve absolu. Quand l'attention s'essoufflait, elle feignait de nouveau des malaises pour revenir sous le feu des projecteurs. Jusqu'au jour où son père trouva enfin le temps de se libérer pour une réunion parents/professeurs. Le vilain mensonge explosa à la figure de Daisy, qui subit bien plus cruel harcèlement qu'à l'habitude, y compris de certains parents d'élèves. L'établissement décida de la renvoyer. Ses parents désemparés, n'avaient pas vraiment le temps de l'engueuler ou de chercher à comprendre son geste, l'instruction étant obligatoire mais dans l'impossibilité de lui faire cours à la maison ou de lui payer un tuteur, ils décidèrent de déménager dans un autre district. Loin du scandale pour Daisy mais aussi pour eux, ayant du mal à retrouver du travail après ça, inconvénients des petites villes où tout se sait. Pour ce nouveau départ, elle avait appris à coudre pour arranger sa garde-robe et était devenue maîtresse dans l'art du rembourrage de soutien-gorge. Arriver en milieu d'année avait l'avantage de faire de vous le centre d'attention, pas question de laisser passer sa chance. Cette fois, elle prétendue être la fille d'un réalisateur de films venu uniquement pour un tournage dont elle aurait le rôle vedette. Elle eu le succès escompté, et même une cours de suivantes pendant environ trois semaines avant qu'un des élèves découvert que son père était le nouveau gardien de son immeuble. Daisy réussit à convaincre ses parents de déménager à nouveau, menaçant d'attenter à ses jours, un compromis fut trouvé et ils resteraient jusqu'à la fin de l'année scolaire. Un calvaire de quelques mois qui ne la changeait pas vraiment de ses habitudes. À la fin de l'été nouveau district, nouvelle vie et.... Nouveau corps pour Daisy qui franchit enfin la puberté, le vilain petit canard devenu magnifique cygne. Son physique et sa récente arrivée attira de nombreuse attention, y compris le fait qu'elle percuta quelqu'un leur du premier repas au self. Folle de rage, elle explosa et s'en prit physiquement à la pauvre demoiselle qui n'était pourtant nullement fautive. La réputation de Daisy commença à se forger. Bizarrement, sa cote de popularité explosa tant et si bien qu'elle fut accueillie à bras ouvert par l'équipe de cheerleaders. Entre pestes, on se serre les coudes visiblement. Elle passa finalement de l'autre côté de la barrière, se mettant même à malmener les plus faibles à son tour, ruminant la vengeance de son passé. À la fin du lycée, elle pu décrocher une bourse d'étude grâce au cheerleading.

Fermement décidée à réussir et vivre la vie, loin du calvaire de son enfance, Daisy nourri un désir de pouvoir et réussite se dirige machiavéliquement vers des études de psychologie pour mieux maîtriser les cartes de manipulations pour lesquelles elle montre un certain talent.

Elle vient de quitter le district de Mackenzie, dans l'île du Sud de la Nouvelle-Zélande, où elle est peu grillée alors elle change d'île pour continuer sa quête de belle vie en profitant des autres. Elle emporte avec elle une belle somme d'argent qu'elle a accumulé grâce à la naïveté de son ex sauf que vu son train de vie, il lui faut une nouvelle source de revenue.