Julia ou la renaissance du Phénix

Julia O'Reilley

Ce que j'adore dans le strip-poker, c'est que même quand vous perdez vous gagnez !

les informations en vrac

Depuis que celui qui s'avérait être l'homme de ma vie a été assassiné, je ne vis que pour mon travail, afin de découvrir ce qui s'est vraiment passé, et de pouvoir lui rendre justice › Depuis qu'il n'est plus là, quelque chose en moi s'est brisé et je me suis promis de ne plus jamais m'attacher › Sérieuse au boulot, donc, mais j'aime également sortir et relâcher la pression de temps en temps bien entendu ! › D'apparence réservée, je peux pourtant m'avérer être tout l'inverse avec les gens à qui j'accorde ma confiance, mes amis ou ma famille quoi ! › Je suis compréhensive et patiente, cependant, il ne faut pas trop m'enquiquiner non plus, auquel cas je pourrai devenir votre pire cauchemar, et vous montrer mon côté un peu -beaucoup- plus impulsif. J'aime quand tout marche selon mes plans, et mieux vaut qu'il en soit ainsi si vous ne voulez pas vous attirer mes foudres ! › Lorsque je ne suis pas au travail, j'ai tendance à laisser mon calme de côté, j'aime quand ça bouge, quand il y a de l'action. Bien sûr, ça ne veut pas dire que je ne reste pas pragmatique pour autant, mais je suis bien plus extravertie dans la vie de tous les jours que sur une scène de crime -en même temps... je ne pense pas que ce soit le genre d'endroit pour danser la macarena, si ? anyway...- › Avant de devenir flic, je me destinais, à devenir comme papa et maman, une artiste. J'ai d'ailleurs essayé beaucoup de choses: danse, théâtre, peinture, dessin, j'étais, et suis encore aujourd'hui quelqu'un de touche à tout, et suis curieuse de découvrir plein de différentes choses ! › Je suis aussi gourmande: ne me tentez pas avec une tartiflette, des bonbons, ou des muffins, parce que tout y passera avant même que vous ne puissiez vous en rendre compte. Je suis le Houdini de la bouffe: apparizione, disparizione ! › Malgré tout ce que je veux montrer, je suis capable de rester des jours et des jours devant les disney, et n'en râte jamais un, prenant ma petite cousine comme alibi pour aller les voir au cinéma ! › J'adorerais avoir un chien. Un gros berger allemand que je pourrais caliner, et qui me suivrait sur mes enquêtes. Un peu comme... "Rex, chien de flic", voyez le genre ? › Mon père m'a appris à tirer à la carabine lorsque j'avais sept ans, et depuis, je ne rate jamais ma cible › C'est tout naturellement qu'après le tir à la carabine, j'aie voulu m'attaquer au tir à l'arc. J'ai remporté plusieurs compétitions, me faisant ainsi surnommer Robine des bois.  › Après une grosse journée de travail, j'aime me prélasser dans mon bain, verre de vin sur le rebord de ma baignoire, et polar de mon auteur préféré en main. Détente garantie ! › Lorsque je suis toute seule, j'adore fredonner des chansons pourries (coucou les 2 be 3 !) personne ne le sait, et moi, ça me fait rire et ça me rappelle ma jeunesse ! (comme si j'étais vieille, tiens !) › Je prends des cours de self-défense deux à trois fois par semaines, ça m'aide dans mon travail, et ça m'aide à sortir tout mon stress et toute la colère que j'ai accumulée en moi depuis bien trop longtemps ! › Pour en savoir plus, venez me voir mes petits chats, je ne mords pas !    

les indiscrétions sur le joueur

Code:

<pris>Stana Katic ›</pris> julia o'reilley

   

l'histoire de ma vie

Ne laisse partir personne : la douceur qui rayonne,un écrin de chaleur dans le froid. Ne laisse partir personne,vois la lune qui nous garde seuls au monde à l’abri des regards...

« Injectez-lui 2 cc de morphine, on est en train de la perdre ! »
Je me souviens avoir vu ma propre mort.Une femme en noir a tiré, je la connaissais.Une jeune fille un peu niaise et triste, mais je ne comprenais pas pourquoi. Elle pleurait, me serrant dans ses bras, se reprochant l'état actuel dans lequel j'étais. La troisième ne comprenait pas ce qui se passait. Tout devint flou, et, peu à peu, une impression de chute vertigineuse s'empara de moi et ce mal aise ne me quitta pas depuis le moment où j'atterris dans les bras de cette gamine. Qui étaient tous ces gens autour de moi ?! Que me voulaient-ils ? Pourquoi ne me laissaient-ils pas mourir ? J'aurais juste aimé avoir la paix. Dormir jusqu'à l'année prochaine.Mais à peine avais-je décidé d'hiberner,qu'une douleur lancinante se fit ressentir dans ma poitrine, et m'empêcha de respirer.Les sons qui m'entouraient se firent de plus en plus rares,de plus en plus stridents, pour ensuite laisser place à un silence complet, et la seule chose que je puisse voir, fut une sorte de lumière blanche. Du blanc à perte de vue. « alors c'est ça la mort ? Mouais … franchement, je suis déçue. Je m'attendais à vraiment mieux !» Je soufflais et fronçais les sourcils, avant de pousser un léger râle de douleur. « Non Julia. Ne te laisse pas sombrer. Tu n'as pas le droit d'abandonner comme ça !» Non mais ... J'hallucine ! d'où elle sortait cette voix ? laissez moi tranquille ! Quoique ... qui qu'elle soit, elle avait raison. Je n'avais pas le droit de baisser les bras maintenant. Je n'avais pas été élevée comme ça, ma mère m'a toujours interdit de renoncer. Et moi aussi par la suite. J'ai toujours voulu être une battante. Mais ... commençons par le commencement.

Je suis née dans un quartier plûtot aisé de New York, où j'ai vécu les meilleures années de ma vie avec mes parents,  tous les deux dans le monde du spectacle, ce qui me donna très tôt le goût pour la danse, le théâtre, la musique ... et un peu tout ce que l'on peut ranger dans la case "arts". Pourtant, ce n'est pas dans cette voie que j'ai voulu ancrer mes pas. J'ai choisi de devenir la meilleure flic que je pouvais être. Et il y avait une raison à tout cela. Le meurtre de mon petit ami . J'avais 17 ans, il en avait 20... On avait un avenir magnifique devant nous, et pourtant, il avait fallu qu'une enflure lui hôte la vie pour une raison qui m'échappe encore. La police de l'époque avait cru bon de classer l'affaire sans suites, prétextant que c'était un règlement de comptes, et que Glenn s'était trouvé là ''au mauvais endroit, au mauvais moment". Ce que je n'ai pas cru bien entendu. Et comme on est jamais mieux servi que par soi-même, c'est MOI qui résoudrai l'affaire . Je le ferais en son honneur, et parce que je sais que, sans cela, je ne pourrais pas vivre la conscience tranquille. Il m'avait tellement apporté, il était impensable que je laisse le mystère de sa mort non élucidé.

Je me souviens que lorsque nous nous étions rencontrés, j'étais ce genre de gamine mal dans ses bottes et un peu coincée. Je compte cette période comme l'une des pires que j'aie pu affronter. Mais soudain, il est arrivé dans ma vie , comme envoyé de Dieu ... et m'a donné une nouvelle chance. Il m'a apprit ce qu'était de vivre, et j'ai su remonter la pente, réapprendre à m'amuser grâce a lui. Je lui en serais éternellement reconnaissante car il a fait de moi celle que je suis aujourd'hui, une fille bien dans ses pompes et qui croque la vie à pleines dents !

"Tu n'as pas le droit de laisser tomber" Tiens, la revoila, elle ? en prêtant un peu plus d'attention à cette voix , je pouvais dire avec certitude qu'elle était masculine. Je lui demandais d'un ton agressif et determiné :"Qui es-tu, et qu'est ce que tu me veux à la fin ?!" pourtant, au fond de moi, j'avais peur . Je ne savais pas encore ce qui m'attendait. Et c'est là que je l'ai vu. C'était Glenn, qui me regardait avec son air bienveillant. Il caressa ma joue du bout de ses doigts. Et il expliqua que ma mission ici n'était pas terminée.

A bout de souffle, je repris enfin une inspiration. Comme si c'était la première, comme si j'avais manqué d'air depuis plusieurs minutes, plusieurs heures. Comme lorsqu'on remonte à la surface après avoir touché le fond de la piscine, et qu'on remonte victorieux grâce à un fameux coup de talon, puissant et nous permettant de ne pas mourir noyé. C'est là que j'ai pris conscience de l'endroit où je me trouvais. Une chambre d'hôpital, blanche, et sentant le désinfectant, voir même la mort, à plein nez. Qui étaient ces jeunes filles autour de moi lorsque je me suis fait tirer dessus ? je n'en savais rien, et d'ailleurs, y'avait-il eu seulement quelqu'un pour veiller sur moi durant ce moment de latence ? je n'en étais pas aussi sûre. Peut-être étaient elles ces petites voix que l'on entend et que l'on garde près de notre coeur, notre port d'attache, notre étoile du berger. Des amies de Glenn, en quelque sorte. Et c'est grâce à elle, qu'après quelques mois de rééducation, je décidais de reprendre du service, et de continuer à me battre, pour enfin connaître la vérité !

bravo, tu es validé(e)

› "Je suis le Houdini de la bouffe: apparizione, disparizione !"
ton personnage est très intéressant et son attachement à cette enquête est touchante .

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