La vaisselle c'est comme tetris, t'empile, t'empile et à un moment, bah... GAME OVER!

Katia Aliev

Imagination is more important than knowledge. Knowledge is limited. Imagination encircles the world.

les informations en vrac

Passionnée de sport › Ne fais plus trop confiance au hommes › Propriétaire d'une boutique de lingerie de luxe › Aimerais fondée une petite famille malgré tout › Née en Russie, à Moscou › Famille de riche avec des goûts de luxe› Peur bleue des insectes › A été victime d'un double viole. › Elle a un lourd secret en commun avec son père. › Elle a ratée trois fois son permis de conduire › Elle est très égoïste.› Souvent très timide › Mannequin ›

les indiscrétions sur le joueur

Code:

<pris>Alice Eve ›</pris>Katia Aliev

   

l'histoire de ma vie

In the end, it's not the years in your life that count. It's the life in your years.

31 décembre 1985. C'est ce jour-là je crois que tout a commencé pour Katia. Née à l'hôpital de Moscou lors d'un rude hiver comme la Russie en a l'habitude. Mes parents avaient de grands projets. Ils comptaient construire un château afin de dépenser un peu leur fortune. Bref, l'argent ne manquait pas dans la famille Aliev. Les années passent à la vitesse grand V. Aucun petit frère ou petite soeur en vue pour Katia, chose qui ne lui déplaisait pas. Durant toute sa scolarité elle restait à Moscou afin d'étudier les sciences et sports, une chose qui lui réussissait avec brio.

18 ans et alors? Enfin, libre, libre comme l'air. J'étais une femme désormais et plus une fillette. Fière de mes atouts et de mon corps. Afin de fêter mes 18 ans comme il se doit je prenais la décision de fêter mon anniversaire dans la plus grande boîte de Moscou. Une soirée inoubliable qui se transforme en cauchemar, en film d'horreur. Il est à peu près 04:30 du matin, lorsque je marchais seule en direction de l'hôtel main dans la main avec mon petit copain, je me faisais entraîner dans un bois après qu'un de ses amis lui nous a rejoint. Ensemble ils m'emmenaient dans ce bois lugubre où je n'avais pas envie d'y aller. Savais, l'enfer commençait. Mon petit copain me poussa contre un arbre et me forçais à me toucher avec son ami.

Cela commençait par des attouchements forcés et se terminait par des actes dont j'en avais pas envie. Je criais au secours, mais personne ne m'entendais. Leurs mains posées sur mes lèvres m'empêchant de crier plus fort. Je frappais dans tous les sens, me secouais afin qu'ils ne puissent avoir ce qu'ils désirent. Lorsque je réussissais a prendre la parole la seule chose qui me passait à travers l'esprit était de dire que lui et moi c'était fini, qu'il ne devait plus essayer de prendre contacte avec moi. Il me poussait à terre, plutôt soulagée je restais au sol jusqu'à ce qu'ils décidaient de partir. Les larmes me coulaient sur les joues, une vraie rivière. Je séchais mes larmes et courais au plus vite dans le sens contraire qu'ils ont empruntés afin de rentrer pour de bon à l'hôtel récupérer mes affaires avant qu'ils y arrivent.



Je savais qu'à partir de ce soir-là il serait difficile de refaire confiance aux hommes. Pendant plusieurs années je gardais le silence en planifiant ma vengeance. Je savais ce que je voulais faire, j'allais leur faire payer de leurs actes. Mes parents m'ont fait passer plusieurs fois devant une psychologue afin de parler de cette nuit et de pouvoir vider mon sac afin d'oublier. Malgré que je me sente soulagée je n'oublie pas ma soif de vengeance.


La vengeance. Mon père était au courant de ma soif de vengeance et ne comptait m’y laisser seule contrairement à ma mère qui faisait tout son possible afin de me faire oublier cette soif. Un soir d’été je me baladais dans Moscou avec mon père afin de me venger. J’apercevais mon ex petit ami accompagné d’une jeune femme. Je demandais à mon père de me donner le flacon d’acide sulfurique que je mettais dans ma poche gauche de ma veste. Je rentrais dans la bar et me dirigeais vers cette pourriture. « Tiens tien.. Qui voilà. Pourriture que tu es » Disais-je en renversant mon vers au-dessus de lui. Il se dirigeait vers les toilettes du bar afin d’aller sécher ses habits. Le champ était libre, je commandais un vers de sa boisson et y mettait de l’acide dedans. Dans le vers dans lequel il buvait j’y mettais un peu de mort au rat afin d’être sûre qu’il meurt ce salopard. Je vidais mon verre et rejoignais mon père qui m’attendais en face du bar sur un banc. « C’est fait. » lui disait-je. Il m’en restait plus qu’un à avoir, sauf que je n’ai plus jamais entendu parler de cette ordure depuis le viole. Nous avons donc pris contacte avec un tueur à gage afin de l’éliminer en toute discrétion.

13 mars 2005. Un coup de fil sur mon portable m'annonçant que Vladimir, le complice de mon ex petit ami avait été abattu. Justice avait été faite, bien que maintenant je dois vivre avec deux meurtres sur ma conscience. Depuis le meurtre de Alexeï, aucune poursuite n'a eu lieu vu que personne ne pouvait prouver mes actes dans ce bar à Moscou. Je prenais la décision de déménager à l'autre bout du globe, en Nouvelle-Zélande sur une petite île côtière afin de recommencer ma vie à zéro et reprendre un court de vie normale.

Et maintenant….? Que vais-je faire? Depuis mon emménagement j'ai ouvert une boutique de lingerie, commencer une carrière de mannequin et est devenue professeur de sport pendant mes heures perdues.