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contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
sept. 2024
6° - 17° // pluie, soleil.. on ne sait pas trop !
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.


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 pain like distress, #rosemonde

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MessageSujet: pain like distress, #rosemonde (#)   pain like distress, #rosemonde EmptyJeu 1 Avr - 12:37

Incendie dévastateur sur South Bay, tous les habitants en avaient entendu parlé. Quelques articles établis dans les journaux, annonçant même l'état de santé d'un membre de la caserne. Jude, pompière depuis de nombreuses années maintenant, en avait malencontreusement fait les frais. Hospitalisée d'urgence, le diagnostique avait été posé : asphyxie, traumatisme crânien, fracture déplacée de la clavicule gauche et de multiples contusions de l'articulation de son épaule gauche. Une semaine d'hospitalisation, de surveillance rapprochée au niveau neurologique. A sa sortie, la jeune femme n'avait que très peu de séquelles, elle s'en était bien sortie. Seulement quelques maux de tête envahissaient régulièrement sa boite crânienne. Quelques jours maintenant qu'elle avait débuté sa rééducation au cabinet de kinésithérapie dans le centre d'Island Bay. Un cabinet prometteur et complémentaire car sa kiné Jody s'était associé depuis quelques mois avec un ostéopathe, Derek. Les séances s'enchainaient, trois par semaines pour un meilleur résultat. Et à part faire des abdos dans son salon, la jeune femme semblait quelque peu enthousiaste à l'idée de sortir de chez elle pour maintenir ses efforts. Chaque séance était un supplice pour elle. Certaines douleurs se réveillaient alors que d'autres disparaissaient. La rage s'emparait d'elle à chaque fois que la douleur se montrait insoutenable, mais elle ne lâchait rien. Comme à son habitude, elle tentait de faire abstraction pour n'avoir comme seul but : exercer à nouveau son métier. Mais elle en avait pour un bon moment, malheureusement. Pas franchement du genre à squatter son canapé toute la journée, son moral en prenait forcément un coup quand t-elle se rendait compte qu'elle était encore incapable de soulever son bras..

Séance achevée, la jeune femme sort du cabinet, les larmes aux yeux. Parce qu'elle est comme ça, dure avec elle même et ce depuis toujours. Elle ne voyait aucune évolution et encore moins favorable suite à ses séances. Mais Jody elle, semblait l'être. Incompréhension au vu d'aucune amélioration. Laminée par ce moral fragile, elle s'isole sur un banc inoccupé. Au vu de l'heure matinale, il n'y avait pas encore de nombreux passages. Chance pour elle de se retrouver seule, sous cet arbre dont le feuillage bruisse paisiblement sous l'effet du vent. A l'ombre du soleil levant, elle desserre légèrement son coude-au-corps, sensation d'oppression qui commence à l'envahir. Larmes qui ne daignent pas encore à rouler le long de ses joues, visage qu'elle cache dans le creux de sa main valide, elle échappe quelques mots, voix émotive et tremblante. « Fais chier.. »

pain like distress, @Rosemonde Mcstorm

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MessageSujet: Re: pain like distress, #rosemonde (#)   pain like distress, #rosemonde EmptySam 3 Avr - 12:01



Le système de secrétariat que cela soit en écosse ou en Nouvelle-Zélande cela reste de toute manière un système merdique, ce n'est pas nouveau, mais à chaque fois Rosemonde est surprise de toute la paperasse qu'il faut faire pour juste prendre un rendez-vous chez le kiné.
Le pire dans toute cette merde ce sont les secrétaires imbues et condescendante qui se permettent de te parler comme si tu n'étais qu'un retardé mentale.

D'où ?? D'où ??? Une ordonnance d'un docteur militaire n'est pas valable??, un docteur militaire reste un docteur, il lui semble en tout cas. à moins que depuis qu'elle soit partie au milieu de nul pars les étiquettes ont changées. Elle retire sa veste de costume bleu pour la mettre sous le coude, la main gauche tenant ses papiers tremble de nervosité.

Bref, Rosemonde est agacer, voir même frustrer, elle y a passé toute sa matinée ici, pour que dalle finalement, c'est de la perte de temps. Franchement, cette idiote de secrétaire ne peut pas lui donner un rendez-vous comme ça et puis c'est réglé, non maintenant elle doit s'inscrire sur la liste de demande de nouveau des docteurs pour qu'elle puisse avoir une ordonnance spéciale pour obtenir un rendez-vous au kiné, pour rien en plus, elle sait très bien qu'elle en a pas besoin, mais c'est un passage obligatoire pour voir si elle n'a pas de séquelle physique. Tu parles, les seules séquelles qu'elle a ne se voient pas. Cela aurait tellement facile de lui faire ravaler son stylo à cette femme et son hypocrisie.

Rosemonde prend une grande respiration et elle pousse ses mains dans le vide devant elle pour évacuer la colère. Déjà que la journée à débuter comme de la merde, si en plus les autres ne l'aide pas, elle va finir par faire un malheur.
Elle se précipite vers la sortie sans un mot, même pas besoin de dire au revoir, elle n'a pas eu droit à un bonjour, le respect c'est aussi de chaque côté. Elle pousse la porte et le soleil levant vient de ses rayons lumineux frapper son visage. Elle fronce les yeux pour voir où elle avance. La journée s'annonce chaude et lumineuse mais cela n'aide pas son humeur.

Dans ce genre de situation, elle fait du sport de combat, cependant cela fait un petit moment qu'elle en a pas fait. En-fait depuis son retour à la vie civile. « Il faudrait que je m'y remette peut-être»Elle décide avant de rentrer d'aller faire un petit tour dans le coin, cela ne lui fera pas de mal.
Alors qu'elle se promène, tranquillement, avec peu d'âme qui vivent. Au détour d'un saule, le vent lui amène des paroles acerbes. Elle sait reconnaître les sentiments dans les mots qui sont chuchotés.

Elle se rapproche, une jeune femme brune se dessine à quelques pas d'elle, assise sur un banc. Un coude au corps contre son corps, il semblerait qu'elle soit sortie d'une séance de kiné, vu comment elle se tient. On dirait que tout son corps la fait souffrir. Rosemonde passe en mode médecin urgentiste et s'avance avec culot. Elle penche sa tête dans la direction de la jeune femme. Ses cheveux tombant sur le côté de son visage.
« Tout va ? bien mademoiselle ??? Avez-vous besoin d'aide ??? »
pain like distress, @Jude Hurley

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MessageSujet: Re: pain like distress, #rosemonde (#)   pain like distress, #rosemonde EmptyMar 27 Avr - 14:42

pain like distress, #rosemonde R7rb

pain like distress ; @Rosemonde Mcstorm
Assise sur le banc, la jeune femme se ravise à rentrer chez elle. C'est soit encore trop tôt, soit pas l'bon moment. Elle est tout simplement démotivée et le vent qui souffle ne l'aidera pas à se relever, pas pour aujourd'hui. Elle a mal. Ça lui fait mal d'se voir aussi infirme qu'à c'moment même. Y a quelques semaines de cela, elle excellait encore dans ses entrainements intensifs et se hâtait de partir en intervention avec son équipe. Y'a qu'le feu qui la pousse hors de ses limites, qui lui fait du bien. Puis y'a aussi l'adrénaline, dont-elle est éperdument amoureuse, faut l'avouer. Mais là, le corps ne veut plus se battre. Le moral ne suit pas et y'a pas d'espoir qui s'présente à elle. Son épaule se crispe et Jude ne peut pas la contrôler. Elle grimace un instant pour laisser place à l'humidification d'ses pupilles assombries. Le visage caché dans le creux de sa main encore valide, Jude est perdue. Personne n'y peut rien, elle s'en veut juste à elle-même. Quoi penser, quoi faire. Y'a plus rien à faire, elle en est persuadée. Et même si Jody ne semble pas du même avis, Jude à vraiment du mal à la croire et préfère rester seule. Enchainées dans ses pensées néfastes, une voix se fait proche d'elle. Pas d'larmes sur ce visage quelque peu rosé part les efforts que Jude à fournit il y a quelques longues minutes maintenant, elle se redresse afin de voir qui ose s'approcher d'elle. Une femme, surement d'un certain âge même si les rides ne comblent pas entièrement son visage. Instinct naturel, Jude s'empresse de lui répondre. « Non, tout va bien, merci. » Parce qu'en réalité, rien ne va. Et c'est son regard endurcit sous l'effet du découragement qui vient à la trahir devant cette femme inconnue. Jude n'est pas du genre à accepter de l'aide. Elle a toujours réussit à s'en sortir seule. Et c'est même pas son nouveau colocataire, Noah, qui peut également l'aider. Ou du moins pas aussi explicitement. Noah vit avec Jude depuis quelques jours et même si la jeune femme ne se l'avoue pas encore pleinement, ça lui fait du bien. Un bien intérieur. Elle pense à lui soudainement et vient alors à compléter ces quelques mots. « Mais si vous avez une solution pour mon bras, j'suis preneuse.. » Soupire indécis alors qu'elle tente au mieux de désigner son bras immobilisé avec son unique main encore valide. La jeune femme n'a besoin de personne, mais c'est pas pour autant qu'elle ferme toutes les portes. Son regard découragé scrute la femme qui prend alors place à ses côtés. Le visage de l'ancienne pompière s'adoucit quelque peu alors que ses narines s'empreignent de l'odeur fleurie qu'émane cette nouvelle présence maternelle. Une odeur pas si familière que ça mais qui vient tout de même à soulever en elle certains souvenirs du passé. Mais lesquels, elle n'arrive pas encore à s'en rappeler. Mais de ce qu'elle sait, c'est que cette odeur est plaisante alors Jude lui prête toute son attention. Les deux têtes blondes commencent à se côtoyer sur ce banc. Surement l'endroit idéal pour elles, allez savoir..

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MessageSujet: Re: pain like distress, #rosemonde (#)   pain like distress, #rosemonde EmptyVen 28 Mai - 9:54

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pain like distress ; @Jude Hurley
Rosemonde s'assoit finalement et regarde le paysage devant elle. Elle ne sait pas vraiment pourquoi elle fait cela, mais une chose est sur c'est que c'est plus fort qu'elle, elle ne supporte pas la détresse des autres, elle n'a jamais pu la supporter, cela la rend triste à son tours sans savoir pour quelle raison.
- Quoi qu'il arrive, la douleur physique finis toujours par s'effacer, le plus dur c'est le souvenir de la douleur qui nous hante. Je sais de quoi je parle. Et encore ça c'est le plus facile à gérer.
Rosemonde fixe toujours devant elle, le soleil s'élevant tout doucement à l'horizon en cette journée de printemps. Elle expulse un souffle et laisse tomber son sac et son dossier médicale gros comme un livre à ses pieds. aucunes chances que quelqu'un décide de venir lui voler.
- Je sais que cela parait impossible pour l'instant mais quand tout cela sera fini, tu t'apercevras que ce n'était pas si terrible finalement, le pire est passer, de toute manière le plus important c'est d'être vivant.
Elle se doute asse que ces mots doivent être prétentieux et arrogant, venant d'une inconnue, mais si il  y a bien une chose que Rosemonde connait c'est bien le milieu médicale et la douleur, elle même elle a subit à diffèrent degré.
- Aller, dis moi ce qui c'est passé exactement ??? Combien de temps tu vas devoir garder cette écharpe. ???
Rosemonde se rapproche d'elle en glissant tout doucement sur le banc. Elle laisse le silence s'éterniser, la balle est dans le camp de de la jeune femme.



par zaja
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MessageSujet: Re: pain like distress, #rosemonde (#)   pain like distress, #rosemonde EmptySam 29 Mai - 23:35

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pain like distress ; @Rosemonde Mcstorm
Ancienne pompière. Ce à quoi elle s'identifie dorénavant. Et malgré un rendez-vous réalisé avec son chef - il y a quelques jours de cela - la jeune femme n'arrive pas à s'imaginer reprendre le boulot dans cet état là. Son chef est pourtant bien convaincu qu'elle arrivera à surmonter cette étape - bien qu'elle ait vu pire - et tente toujours de prendre de ses nouvelles pour la soutenir. Mais Jude est bornée. Tant que les résultats ne sont pas réellement remarqués, elle ne peut pas se projeter. C'est même impossible pour elle. Et cette séance désastreuse, aux yeux de la jeune pompière, ne fait qu'accentuer son énervement, sa déception. Alors si cette femme a bien une solution, oui, elle est preneuse. Elle la regarde prendre place auprès d'elle et l'écoute silencieusement.. En y réfléchissant, elle n'a pas tord. La douleur physique finit toujours par disparaître mais elle laisse des séquelles. Et ces séquelles là, Jude les redoute férocement. C'est bien la force mentale qui peut être reine pour tenir bon et arriver à ses fins. Mais comme on dit le plus souvent, c'est facile à dire, pas facile à faire. Alors que le sac tombe aux pieds de son interlocutrice, Jude le regarde un instant, pensive, avant de remonter son regard sur son visage. L'ouïe reste toujours attentive, comme si l'élocution de cette femme lui donnait un semblant de tranquillité, et que le calme qu'elle renvoyait, l'apaisait étrangement. Et pourtant, Jude ignore tout de cette femme là. Mais elle se laisse transporter par ses paroles qui se veulent rassurantes. Le pire est passé. Mais ça, ça reste à méditer.. Ca n'a pas été le plus douloureux pour Jude, de se retrouver encerclées par les flammes pour s'asphyxier et perdre connaissance. Déconnectée de la réalité, elle n'a pas souffert et s'est encore moins rendu compte de ce qu'il lui arrivait. En revanche, c'est l'après qui a été quelque peu traumatisant. Parce que se réveiller sur un lit d'hôpital, avec le bras immobilisé, douloureux, le corps branché via des électrodes à un monitoring alarmant, c'est flippant. Surtout que l'hôpital est un lieu très anxiogène pour la jeune femme, elle qui n'avait cessé de rendre visite à sa mère alors qu'elle sombrait en phase terminale d'un cancer du sein.. Alors son regard s'abaisse..s'inclinant à la seule raison donnée : le plus important c'est d'être vivant. Puis cette compagnie là, vient justement à remuer le couteau dans la plaie. Elle veut savoir, pourquoi aujourd'hui, elle se retrouve dans cet état là.
Un long soupire s'extirpe d'entre ses lèvres, et Jude tente de relever son regard, face à elle, scrutant le tronc d'arbre qui se tient à quelques mètres devant ce banc occupé. " Je suis pompier, enfin je l'étais.. Avec ma caserne, on est intervenu sur un incendie déclaré dans un manoir. Quand j'ai sortie cette gamine, elle m'avait limite supplié d'aller sauver son autre sœur. Donc j'y suis retourné… " Le vent soulève encore quelques mèches de ses cheveux ébouriffés. " A l'étage, j'me suis vite retrouvée encerclée par les flammes.. J'ai paniqué, enfin je crois que j'ai paniqué, je sais plus vraiment..tout est allé très vite. Les flammes ne pardonnent pas. J'avais l'impression d'étouffer sous mon casque, et j'l'ai retiré.. " Erreur de sa part. Le palpitant s'agite, pendant que la prise de conscience est dure à avaler… " Et j'ai perdu connaissance. D'après mes collègues, le plancher c'est effondré, ils m'ont retrouvé un étage en-dessous. " Le regard se détourne mais ne daigne pas se focaliser sur la femme qui se tient encore à ses côtés. " J'me suis fracturé la clavicule et j'ai de multiples contusions au niveau de l'épaule. J'pense que la chute a été violente, oui.. et depuis ma sortie, j'enchaine les séances de kiné. " Elle louche un instant sur ce coude-au-corps qui l'oppresse encore une énième fois. " D'après ma kiné, j'en ai encore pour quelques semaines avec ce coude-au-corps, avant de passer à une simple épaulière. Mais franchement, vu comment je souffre durant les séances, j'ai pas beaucoup d'espoir… " Elle avoue, fait part de son propre ressentit comme si se confier à cette femme était quelque chose de plus ou moins naturel. Et Jude redresse son regard attendrie et toujours humide dans celui de son interlocutrice..

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MessageSujet: Re: pain like distress, #rosemonde (#)   pain like distress, #rosemonde EmptyJeu 24 Juin - 10:15

pain like distress, #rosemonde R7rb

pain like distress ; @Rosemonde Mcstorm
Comment lui dire que parfois la douleur qui suit n'est pas la pire, c'est celle qui se réveille quand le froid envahie l'air, il y a des mois plus dure que d'autre, la douleurs ne pars jamais, elle ne fait que s'atténuer.
Comme la souffrance qu'elle peut endurer quand la chaleur est trop forte et l'odeur de la tôle réchauffer.  Le gout du sable sur sa bouche ne lui parait jamais aussi réelle. Entant que médecin militaire, RoseMonde sait ce que c'est la douleur, les plaies, la détresse et la haine de la souffrance. Quand même être en vie ne suffit plus. Malgré le nombre de gens qui on vécue comme elle des traumatismes. Les siens ne semblent jamais vouloir s'éloigner. Parfois elle se sent comme une étrangère dans sa propre vie. On a toujours peur de ce que le futur nous resserve, mais c'est l'idée d'avoir peur qui nous paralyse.
Quand il nous arrive quelque chose, une situation traumatisant il existe trois genre de personnes, celle qui ne cherche pas à comprendre et qui fuit clairement, nous laissant seul face à la douleur et la solitude. Ceux qui pensent tous savoir et qui nous donne pleins de conseils mais qu'ils ne connaissent rien, comment peuvent-ils proposer quelque  chose sans savoir comment on le vit. Et les derniers, ceux qu'y font semblant de rien voir et de faire comme si tout était pareil, mais soyons réaliste, les choses ne sont jamais identique. Rosemonde se souvient très bien ce jour là, comme une mauvais film qui se répète sans cesse.  Même les yeux ouverts, c'est une fantôme qu'elle traine, qu'elle tente de faire disparaitre. Mais comment faire lorsque c'est ce fantôme qui fait de nous se que nous sommes."Je me souviens encore de l'odeur acre qui me prenait par le nez, le bruit de la tôle trop chauffer fumante, puis du gout du sang dans ma bouche. Mes collègues et moi, venons juste de terminer le rapprivoisement  médicale d'un camp militaire dans le désert de Gobi dans la chine continentale, on été tous autour d'une table à boire du café ou quoi que se soit, la chaleur était insoutenable, j'avais l'impression que mon uniforme aller finir par fondre contre ma peau, la moitié d'entre nous n'arrivait plus à supporter cette chaleur constante, surtout que nous venions chacun de notre côté de pays où la température ne dépasser par les 35° en été pour te dire. "Elle reprendre ma respiration, éloignant avec difficulté l'angoisse qui monte à l'intérieure, elle parle rarement de passé, car elle n'arrive toujours pas à s'en détacher, ce qui st compliqué car elle vis avec, c'est comme un fantôme que elle ne peux pas combattre. Elle tire sur son pantalon noir pour évacuer le trop pleins d'émotion. " Quatre camions ont surgit de nul part, aucun d'entre nous ne les ont entendue arriver, je pense...que nous nous sommes sentis coupable jusqu'au bout, mais même sur entrainer, nous restons des hommes n'est ce pas ??? " Rosemonde attrape le coude-au-corps qui se trouve entre elles et le tourne dans tous les sens, pour s'occuper les mains.  "Les balles ont commencées à pleuvoir dans tout le camps, le temps que l'on se défende, six d'entre nous étaient déjà à terre, je suis rester accroupis derrière cette simple table dépliante pendant moins d'une minute, je peux t'assurer que le temps te parait beaucoup plus long dans ces conditions là, avant de partir en courant avec un de mes infirmiers en direction d'une tente médicale. Je me souviens pas très bien de ce qui c'est passer vraiment c'est un peux flou, je sais juste que tout le monde tirer dans tout les sens, qu'il y avait des cris, des ordres donnés et l'odeur de la poudre et du sang dans l'air. Avant que tout s'arrête, les ennemis sont parties aussi vite qu'ils étaient venues."  Rosemonde se tourne complètement vers la jeune femme et lui sourie amicalement tentant de lui donner un soutient. " Il nous aura fallut environs 9heures pour remettre le camps en état et prévenir la base à quelque centaines de kilomètre, on a cru que c'était des insurgés et que le plus dure était passé. On a perdu 4 hommes sur le coup et 7 étaient gravement blesser, on a demander de l'aide mais avant qu'elle n'arrive on en a perdu 3 de plus. Dont deux infirmiers et un force de l'ordre." Cela fait bizarre de se laisser allé de cette manière et de se livrer aussi facilement à une inconnue mais peut importe, elles ont en besoins. Autant pour Rosemonde que pour la jeune femme en face d'elle. " Quel est ton nom ??" demandent-elle prudemment. Elle décide de demander pour permettre à cette jeune fille de se décharger du poids qui semble l'écraser.



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