Life is a game ♠ Alexander

Alexander Waterloo

“How dreadful...to be caught up in a game and have no idea of the rules.” ― Caroline Stevermer

les informations en vrac

Ma mère est d'origine suédoise et mon père est australien. › Mon père était un producteur de film et ma mère était une actrice. › J'ai une soeur jumelle, une petite soeur et un frère. › Je suis près de mes soeurs et mon frère, mais pas de mon père. › J'ai « mom » de tatouer sur le côté de mon pied gauche. › Je suis allergique aux kiwis et aux champignons. › Je déteste le café. J'en ai fait une overdose à l'université. › Je bois un jus d'agrumes le matin. › Je n'ai jamais appris à faire du vélo. C'est assez étrange quand on y pense. › Je parle français, anglais, suédois, espagnol et allemand. › Je ne suis jamais tombé amoureux de personne. › Cela ne m'a pas empêché d'avoir eu des petites amies qui ne durait pas plus que deux-trois mois ou des relations d'un soir. › J'adore jouer à des jeux vidéos. Si ma carrière de cinéaste n'avait pas fonctionné, j'aurais voulu être créateur de jeux. › Je me suis cassé plus de deux fois le bras droit en grimpant dans un grand arbre, plus jeune. › Je suis ambidextre. › Je fais de l’escalade. J'adore cette sensation que la hauteur nous apporte. › Je déteste les films avec des animaux qui parlent depuis que je suis tout petit. › Mon film d'animation favori est My Neightbor Totoro. › J'adore les Chaplin. Il n'y a rien de mieux pour se remonter le moral. › Mon personnage favoris est Sherlock Homes. › Je ne suis aucun sport. Ne me demander pas de regarder un match de soccer ou autre sport. › Je me renseigne au maximum sur tout ce dont j'ai besoin pour faire un film. › J'ai toujours des nerds (bonbon) sur moi.  › J'ai beaucoup voyagé. › Je suis quelqu'un d'ouvert.

les indiscrétions sur le joueur

Code:

<pris>Julian Morris ›</pris> alexander waterloo

   

l'histoire de ma vie

Je n'ai jamais aimé d'amour

Un grand figuier se tenant fièrement. Le vent faisant virevolté les cheveux de Mikayla. « Allez ! On grimpe » prononçais-je. « Tu vas tomber encore une fois et maman ne sera pas contente. » « T'es qu'une poule mouillée ! » Puis, je m'avançai vers ce géant et y déposai mes petites mains. Après une petite pause de silence, je commençai à grimper. Une main-là et un pied de ce côté. J'arrivai sur la plus haute solide branche et m'assis dessus. « Tu ne sais pas ce que tu manques Mika ! » La vue de cette hauteur était à couper le souffle et en même temps donnait cette sensation de puissance, de vie. Perché comme cela, tout me semblait possible.

« Alexander, troisième du nom, Waterloo ! » Il n'y avait rien de mieux que la voix de maman pour me faire redescendre sur terre. Elle était furieuse d'inquiétude comme à son habitude. Elle me chicana et me serra dans ses bras. « Tu veux te casser à nouveau un membre ou me faire faire une crise cardiaque ? » Je ne pus que lui répondre avec mon sourire. Oui, je lui faisais du charme et ça fonctionnait à chaque fois, car elle ne m'en voulait plus. Ce qui avait le don d'exaspérer ma sœur jumelle qui se trouvait à côté de nous.  

Nous avons joué toute la journée avec mes sœurs et mon frère. Notre chalet dans le Mount Victoria était l'habitat dans lequel on riait le plus. C'était un endroit heureux et mon endroit préféré. Je le contemplais toujours avec un grand sourire. Comme il était grand pour un petit bonhomme comme moi. Ce soir-là, je me couchai dans le grand lit avec mes sœurs et mon frère. Maman l'avait permis. Nous étions tous très heureux et nous nous endormîmes rapidement.

Un réveil un peu brusque causé par une quinte de toux. Je n'arrivais pas à respirer. J'ouvris les yeux. La boucane se trouvait partout autour de nous. Je réveillai mon frère qui dormait toujours. Nous sortîmes de la chambre. Maman était devant nous et autour de nous tout était en feu. Maman réussit à nous trouver un chemin par lequel passer. J'étais le dernier à fermer la marche. Mika était devant moi. Quelque chose craqua au-dessus de nos têtes. Une poudre allait tomber sur ma jumelle. Je la poussai. Je fus donc coincé sous des débris. Ma mère mit les autres en sécurité dehors et revint pour moi. Elle me libéra et elle me demanda de courir vers la sortie. À peine étais-je sortie que la maison s'écroula sur elle. « Maman » criais-je avant de m'élancer vers les décombres. Quelqu'un me rattrapa et me tint fort. Je me débattis du mieux que je pouvais en appelant ma mère. C'est alors que la voix de mon père me demanda d'arrêter, car il était trop tard. Je me retournai vers lui et pleurai toutes les larmes de mon corps.

Je me réveillai en sursaut, les larmes aux yeux, en entendent la sonnerie de mon téléphone. Je répondis et raccrochai après avoir échangé quelque mots avec mon interlocuteur. Puis, je regardai devant moi. Mon ordinateur était, devant moi, sur le dossier du prochain film que j'allais mettre en vie. Je passai mes mains devant mon visage. « Je déteste ça ! Pourquoi dois-je revivre sans cesse cet événement ? » Je n'avais jamais été capable de faire mon deuil. Ma mère me manquait depuis toutes ses années. Grandir sans elle n'était pas facile, car notre père n'était presque jamais là. Nous dûmes prendre soin de nous-même.

J'essayai de chasser ses souvenirs douloureux en secouant la tête. J'étais tout de même rendu où j'étais et je faisais ce que j'aimais. J'avais tout pour être heureux. Du moins, il me semblait que je l'étais. Puis, je me remis au travail. Un sourire s'étampa à mon visage lorsque je vis le personnage de la policière dans le script. Je ne pouvais pas m'empêcher de penser à Adèle. La jolie femme avait été l'une des seules à m'envoyer balader. Mon charme n'avait pas fonctionné sur elle. Par conséquent, j'avais décidé de faire tout ce que je pouvais pour l'avoir.