Game on ◊ Ollie

Ollie Marks

Choisissez un travail que vous aimez et vous n'aurez pas à travailler un seul jour de votre vie.

Les informations en vrac

Ollie est : intelligente, en réalité, elle possède un QI de 139, pourtant, elle ne s'en vante pas, elle préfère au contraire le garder pour elle ∞ passionnée par son travail ∞ réfléchie dans son métier ∞ cartésienne ∞ comme une analyste, elle cherche à tout comprendre ∞ très curieuse ∞ une forte-tête ∞ têtue ∞ ironique à tendance sarcastique ∞ une inconditionnelle de l'honnêteté plus que de la gentillesse ∞ quelqu'un qui met toujours le pied dans le plat ∞ confiante et sûre d'elle ∞ ambitieuse ∞ féministe ∞ indépendante ∞ absolument tout sauf romantique ∞ une femme qui ne croit pas en l'amour, elle se contente de papillonner ∞ pas très à l'aise avec l'intimité à proprement parler ∞ plutôt méfiante du fait de son histoire familiale ∞ un bon vivant et aime la vie ∞ pétillante ∞ drôle ∞ capable de partir dans des crises de fou rire hallucinante ∞ bavarde ∞ théâtrale ∞ une personne qui se retrouve toujours dans des situations rocambolesques ∞ fortunée ∞ une fana de shopping ∞ quelqu'un de très passionnée, soit elle t'aime et c'est un amour soit elle ne t'apprécie pas et là c'est la guerre

Résumé de son histoire : Ollie c'est la fille qui n'a jamais eu la vie facile : sa mère l'a abandonné elle et son père quand elle avait à peine cinq mois. Avec son père, ça n'a pas été beaucoup mieux, il s'est occupé d'elle jusqu'à ce qu'il se lasse et refile la responsabilité à sa mère, une grand-mère bien trop acariâtre pour élever une enfant. Bien qu'elle n'ait jamais vraiment voulue l'admettre, Ollie s'est toujours sentie rejetée, ça lui a faisait énormément de mal, mais forte-tête comme elle est, elle fait comme si ne rien était. Ainsi, cela a fait développer chez elle, une grande méfiante, elle ne se lie que peu, elle cherche à tout analyser pour avoir le contrôle et est tout de même très cynique. Elle a passé son enfance à travailler pour réaliser son rêve, devenir chirurgien. Dès qu'elle l'a pu, à ses dix huit ans, elle a quitté la maison pour partir faire ses études de médecine au loin loin, à Harvard, où elle avait été accepté, au prix de nombreux efforts. Sa vie se résumait à son boulot, elle était persuadée que ça lui convenait, elle se sentait bien dans sa peau. Seulement sa grand mère est tombée malade il y a cinq ans. Ainsi, elle est repartit vivre dans sa ville natale, Wellington, temporairement, du moins c'est ce qu'elle pensait. Même si sa grand mère lui en avait fait baver, elle ne pouvait pas se résoudre à ne pas l'aider, elle ne voulait pas devenir égoïste comme elle. Sans parler du fait qu'elle est médecin, c'est sa vocation d'aider les autres. Elle a rencontré son meilleur ami peu après son retour, petit à petit il s'est fait une place dans sa vie, elle lui fait confiance, ce qui est très rare venant d'elle. Il l'a pousse à s'ouvrir plus au monde et surtout aux autres. C'est lui qui l'a convaincu de ne pas repartir à New-York et d'essayer de se construire une vie, ici, à Wellington. Peu à peu, elle s'est fait à sa vie : elle sort plus, elle tente de nouvelles expériences, elle s'est même fait quelques amis proches. Elle est maintenant titulaire à l'hôpital de Wellington bien qu'elle ait pour projet d'ouvrir son cabinet privé. Sa vie est satisfaisante pourtant, l'arrivée d'une soeur dont elle ne connaît rien va tout chambouler. Sans compter le fait que son père est actuellement en déplacement non loin d'Island Bay.

Les indiscrétions sur le joueur

Code:

<pris> rachel bilson ›</pris>  ollie marks

   

L'histoire de ma vie

Le travail est le meilleur remède à la tristesse.

Si je devais faire un compte-rendu de ce qu'est ma vie jusqu'à maintenant, ce serait assez simple. Travail est le maître-mot. Du plus loin que je me souvienne, j'ai toujours voulu être médecin, la chirurgie me passionne, j'adore ressentir ce frisson, cette adrénaline quand j'opère quelqu'un. Aider les gens est un bonus sympathique.

Commençons par le commencement (remarque très logique hein). Jeune, j'ai tout d'abord vécu chez mon père, mais il travaillait beaucoup, un avocat est toujours occupé, enfin c'est ce qu'il dit. Quand à ma mère, eh bien, je ne l'ai jamais connu, je crois que la petite vie de famille qu'elle menait avec nous n'était pas à son goût, elle a mis les voiles lorsque j'avais 5 mois, tout au plus. Vive l'amour ! J'ai reçue néanmoins des cartes postales jusqu'à l'âge de 3 ans... Je crois que ça se passe de commentaire. Quoiqu'il en soit, mon père a un jour décidé, lorsque je ne suis pas rentré une nuit pour une histoire dont je ne me souviens même plus, de me confier à ma grand-mère, Penny.  Penny, oui, parce qu'il faut l'appeler par nom, oser le nommer grand-mère et vous vous prendrez une poêle sur la tête. Elle est... disons, une véritable psychorigide, castratrice et directrice. Passer son adolescence chez elle s'est avéré être un véritable cauchemar. Je ne faisais pas grand-chose, hormis travailler. Depuis toute petite, j'ai énormément de soucis quand à faire confiance aux gens, je ne préfère pas me lier. Bosser, c'est la seule chose pour laquelle ma grand-mère m'a montré son soutient d'ailleurs, mon rêve de devenir chirurgien. Je me donnais les moyens d'être accepté à la meilleure université de médecine du monde, aux États-Unis, à Harvard. J'y suis arrivé, au prix de nombreux efforts. Pour être honnête, j'avais postulé dans de nombreuses universités de secours je ne pensais pas être acceptée. Il faut croire que le nombre incroyables de stage en milieu médical que j'ai fait les ont finalement impressionnés.

J'ai donc déménagé, changé de continent, c'était, je pense, ce qu'il me fallait pour me défaire une fois pour tous de l'emprise familiale néfaste qui avait toujours régné dans ma vie. Les premières années d'étude ont été comme pour tous, assez intenses. Je travaillais beaucoup et j'étais douée, j'ai réussie à être majeure de ma promotion à Harvard, ex aequo avec une Indienne insupportable dont le nom m'échappe, mais majeure quand même. J'ai décidé de faire mon internat à New-York, j'ai été accepté dans l'un des meilleurs programme. C'était plutôt sympathique. Je me suis fait de bons amis, soyons honnête tous médecins, mais ça ne me dérangeait pas, je faisais parti de l'élite et j'adorais.

Il y a un peu près cinq ans, je suis revenu au pays, parce que ma grand mère est tombé malade. J'ai pris une chambre d'hôtel, payé mensuellement, et me suis en quelque sorte installée. Je me suis donc fait transféré à l'hôpital de Wellington pour commencer ma spécialisation. J'ai longuement hésité avec la cardiologie, mais les os, ligaments, nerfs, tendons ou autres muscles me passionnent. J'aime pouvoir remettre en place ce qui a été cassé. Ma grand-mère a vécu une longue agonie, j'étais là à ses côtés, car même si elle n'était parfaite, elle, au moins, s'est occupée de moi. J'ai rencontré mon meilleur ami pendant cet période, il m'a beaucoup aidé à appréhender les choses. J'ai changé à son contact, il est arrivé, je ne sais comment, à me faire comprendre qu'il n'y a pas que le travail dans la vie. Ainsi j'ai décidé de rester à Wellington, de ne pas repartie à New-York. Mon grand projet : me construire une vie en dehors du boulot, m'ouvrir aux autres. Ce sont les mots de mon meilleur de ami, je précise.

Peu à peu, je me suis construit une petite vie bien sympathique. Un travail de rêve, un ami sur qui je peux compter. Je sors un peu plus, je m'amuse, j'essaie de me plus me lier. J'ai même comme projet d'ouvrir mon cabinet privée ! Bon... je sais ce que vous allez dire, c'est encore du boulot. Oui, c'est vrai, mais on ne peut pas changer du tout au tout. Je suis une passionnée, voilà tout. En somme, tout est presque parfait, sauf que je rien ne l'est jamais vraiment... Chose surprenante (que je ne sais pas encore d'ailleurs), j'ai une soeur du nom de Siobhan. Quand ma mère s'est barrée, il s'avère qu'elle était enceinte, génial non ?

Je pense que c'est un peu près tout ce qu'il y à dire sur moi. Du moins, je ne vois rien de plus. Ma vie est assez simple en somme. Et elle me convient, je suis bien dans mes basquettes et c'est déjà bien. Je sais que j'ai encore des progrès à faire, que je dois être moins méfiante, me laisser plus aller.... Avançons étapes par étapes.