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contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
avril 2024
12° - 19° // le vent est de retour à ib..
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.


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 side to side × ft Ollie Marks

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MessageSujet: side to side × ft Ollie Marks (#)   side to side  ×  ft Ollie Marks EmptyMar 13 Déc - 0:55

 

   
ft. Ollie & Scott

   
Side to side

   
   

   

    

Le fameux esprit de Noël, si chère aux yeux de tous les enfants du monde entier de par tous les cadeaux reçus durant cette période ainsi que le nombre incalculable de décorations accrochés un peu partout dans la ville, dans les maisons et dans les chambres. Adulé par les adultes pour la quantité astronomique de calories pouvant être accumulé durant cette période ainsi que le repos qu’elle peut offrir à ces derniers. Pour Scott, l’importance de l’esprit de noël avait évolué au fil des années, entraînant avec lui, des intérêts et habitudes tout autre que celles qu’il pouvait avoir étant petit.  Au départ, comme tout enfant de son âge, il avait été longtemps éduqué avec les réunions familiales, les cadeaux et autres possibilités de faire les quatre cent coups avec son cousin. En grandissant, vers l’adolescence, noël était l’occasion de faire un peu plus la fête, de se séparer un peu de ses repas de famille à répétition et systématique, bien qu’il appréciait toujours autant cela. Mais aujourd’hui, bien que cette période soit toujours encrée dans ses habitudes, Noël était surtout l’occasion de se réunir avec son cousin et son meilleur ami, autour d’un bon vin et d’un bon repas pour terminer la soirée dans une soirée chez des amis communs où l’alcool coulait à flot. Il avait beau aimer plus que tout sa famille, le temps des grands repas interminables où le vieil oncle se met à raconter des histoires après trois verres de rouge plutôt corsé, était révolu dans son esprit. A trente-trois ans passés, il comptait bien profiter de ses dernières fêtes de liberté avant de penser à fondé une famille ou tout autre idées de ce genre, bien loin dans son esprit à l’heure actuelle. C’est donc un neuf décembre, un samedi soir pour être précis, alors que l’esprit de noël voguait dans les rues encore bien chaude d’Island Bay, le coach sportif aurait dû être, comme la majorité de ses voisins, à installer un renne sur le toit, des guirlandes dans le peu d’arbres dispersés dans son jardin ou bien accrocher l’étoile en haut de son sapin, mais non. Remplaçant avec la même ardeur le bruit des enfants chantant dans la rue un soir de noël, d’autres chants, plus tribales, plus artisanales disons… les chants d’une équipe de football, de football universitaire pour être plus précis, claquant leurs bières en chœur contre une table, chantant à tue-tête des chansons de vestiaire et dansant sur des musiques un peu moins festives. L’esprit de Noël quoi !



A la suite de leurs matchs de la soirée, Scott avait donc invité son équipe à fêter la victoire chez lui. Une manière de fédérer un groupe tout nouveau, mais aussi de ne pas passer son samedi soir tout seul, devant la télé avec Vahalla et un pack de bière. Bien qu’il aimait ce genre de samedi soir, les faire trop souvent était le meilleur moyen pour tomber dans une routine synonyme pour Scott de chose à bannir. C’est donc ainsi qu’il se retrouva à faire un punch à minuit, pour une vingtaine d’armoire à glace, assoiffé et déterminé à profiter de l’hospitalité de leur coach.  Un mal pour un bien étant donné l’état de son appartement. Derrière son bar, Scott était impressionné par la capacité qu’avait ses jeunes à déranger un espace en si peu de temps. En une heure à peine, son havre de paix s’était transformé en cimetière de gobelet et sapin de bouteilles vides. En soi, c’était un style assez particulier mais loin d’être désagréable. Certains aurait pu même appeler ça de l’art abstrait, mais seul un bourré l’aurait compris, et encore, rien n’était moins sûr. Finalement, après quelques minutes à nettoyer au fur et à mesure que ses joueurs finissaient des gobelets aussi vite qu’ils chantaient, Scott se laissa aller. En à peine une minute, la machine était lancée. Il avait suffi d’une seule et unique remarque du quaterback, petit prétentieux de l’équipe, pour le lancer. Le deal était simple, des shots, une table, une balle de ping-pong. Les équipes ? L’équipe entière contre Scott. Une balle chacun, vingt gobelets, un par personne. La tâche était rude et difficile, mais devant tant d’insolence, il se devait de se faire respecter, encore plus à domicile. Comme pour accentuer l’aspect solennel de la chose, Vahalla était assise sur le canapé, regardant avec une intensité rare la scène. La bataille fut longue, et douloureuse pour certains foies, mais après une heure de dur labeur, et quelques frayeurs, alors qu’il restait un gobelet partout, le silence était désormais roi dans une pièce où régnait désormais chao et alcool. A cet instant précis, les plus attentifs dans la pièce aurait même pu voir une botte de foin passer en plein milieu de la table. Happé par le silence, Scott inspira un dernier coup, il ajusta son geste et déplia son bras avec une agilité digne des plus grands lanceurs de javelot au monde. La balle sembla voler au ralentit, pendant une infime seconde, le temps était suspendu et les regards braqués sur cette petite sphère orange qui, lentement, toucha le rebord du gobelet en face et tomba dans le verre. Scott prit alors son verre et le bu d’un trait, comme s’il lâchait le micro. Le gamin en lui avait parlé et l’a foudre avait frappé. Il leva les bras aux ciels et les crient reprirent de plus belle en synchronisation avec la musique de plus en plus forte. Malgré tout, quelques un des membres de l’équipe avait rendu les armes. Certains gisaient encore sur le sol suite à leurs cuisantes défaites, d’autres, étaient dehors ou aux toilettes, déterminé à rendre leurs âmes au dieu de l’alcool. Aucun d’entre eux, n’entendit donc le bruit de la sonnette retentir dans la maison, sauf Scott, qui, tant bien que mal, tenta d’enjamber deux cadavres pour se rendre à la porte d’entrée. Si c’était les flics, il était définitivement foutu.



Main sur la poignée, le grand brun se demanda alors pourquoi il n’avait pas investi dans une porte comportant un judas. Tout aurait été plus simple… Mais non, le sort semblait s’acharner contre sa maison en cette soirée. Alors, foutu pour foutu, il ouvrit la porte. A vrai dire, il ne comprit pas vraiment ce qui se passa par la suite, car il n’eut pas le temps de comprendre. En un clignement de paupière, il se retrouva plaqué contre la porte d’entrée, les lèvres sauvagement attaqué par la bouche encore douce et passionné d’un petit corps, visiblement sur la pointe des pieds, qui le tenait fermement par la chemise. Il n’eut même pas le temps de distinguer qui était l’auteur de cet violence appréciable mais surprenante, il en était la victime mais en même temps le spectateur. De toute ses forces, il essaya d’ouvrir les yeux, mais à chaque fois qu’il essayait de se débattre, cette petite force qui lui semblait insignifiante le retenait par la seule force de ses lèvres, prenant les siennes avec une ardeur impressionnante. Scott oscillait désormais entre sobriété alcoolique et ivresse charnelle, bercé entre une ligne si étroite qu’il s’amusait à franchir d’un côté à un autre, sans vraiment savoir pourquoi, ni comment… 


   
- Adrenalean 2016 pour Bazzart.
   
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MessageSujet: Re: side to side × ft Ollie Marks (#)   side to side  ×  ft Ollie Marks EmptyMar 13 Déc - 22:30

Side to side
Scott & Ollie
Le regard dans le vide, je m'image partout sauf ici. J'ai essayé de mettre un terme à ce dîner navrant de bien des manières mais, rien n'y a fait. Mon père, si prompt à me quitter à l'accoutumé, a décidé cette fois de se comporter à la manière des parasites. Il ne part plus, restant désespérément dans mes pattes, me vidant de toute mon énergie. Je n'en tire aucun mérite, non, il n'est pas là pour moi mais pour Saad, mon brillant, riche et ambitieux petit-ami (faut petit-ami ; faut préciser). Après nous avoir quasiment forcé à partir en voyage ensemble, il se demande maintenant à quand le mariage. Je crois mourir quand j'entends sa question, j'en fais tomber ma fourchette. "Papa, je crois qu'il est un peu tôt pour parler de ça." Ce à quoi il trouve une réponse des plus délicates, insinuant habilement que je ne suis plus si fraiche qu'à une époque. C'est comme si j'avais une date de péremption et qu'il fallait absolument me consommer avant celle-ci. Autant vous dire que je trouve plus que vexant. Je pensais avoir touché le fond pourtant, quelque chose de pire se produit. Il parle bébé maintenant... Bébé !!!!! Oui ces petits trucs qui chialent sans arrêt et qui puent tellement. Bien évidemment, une nouvelle remarque sur mon âge s'en suit. Je me racle la gorge, technique infructueuse visant à essayer de rester calme. Quand il en rajoute une couche, je ne me contient plus : "On baise énormément tu sais mais, on met des capotes. La lignée Marks attendra, pour le moment nous, on veut prendre notre pied comme jamais." Je sais que ce n'est pas très juste de mettre Saad dans une position pareil, pourtant, sur l'instant, je m'en contre fiche. Voir la mine complètement outrée de mon père me procure un plaisir si intense que j'en mourais presque. Je ne plaisante pas, il faudrait prendre une photo et l'encadrer, sa moue est tout bonnement magique. Satisfaite de mon effet, il se dessine sur mon visage un très léger, mais néanmoins triomphant, sourire en coin. Mes propos avaient pour seul but, bien sûr, de le choquer. Bien que je parle tout de même de façon très directe, j'emploie normalement un langage plus neutre. De plus, l'information est totalement fausse puisque nous ne sortons pas réellement ensemble. Pire que tout, nous n'avons même jamais fait l'amour. Mon père est arrivé pile au moment où nous étions dans une situation compromettante et a ainsi, tout compris de travers. Voir sa mine réjouie m'avait déboussolé et Saad avait cru bien faire d'acquiescer quand mon père s'est imaginé que nous entretenions une relation. J'en viens à parler de ma soeur, qui a récemment toqué à ma porte, demandant à mon père s'il compte la rencontre. Question qu'il évite avec une habilité remarquable, rien d'étonnant pour un avocat de sa trempe. La conversation se réoriente bien vite à nos projets, à notre vie de couple. Nous sommes là depuis déjà deux heures, je commence à envisager le suicide. Je rigole mais, je regarde tout de même mon couteau comme s'il était le Messi. C'est pour dire à quel point je me sens mal en ce moment. Comme si ce n'était pas assez, un homme arrive vers notre table, proposant à Saad de m'offrir une rose. Mon père, tout content le pousse à le faire. Moi ? Et bien, je suis en train de jeter le regard le plus mauvais du monde au vendeur ambulant.  En effet, je déteste les fleurs et tout les gestes romantiques mielleux de ce genre. Consternée, j'attends que le refus de Saad soit accepté par le vendeur, ceci-dit le monsieur ne semble pas de cet avis. Excédée, je prends les choses en main : "Non c'est non, vous ne comprenez pas le français ? Je n'aime pas les fleurs alors il ne m'en offrira pas, vous allez devoir vous trouvez un autre couple de pigeon, merci. Oh et puis, parlons franchement, vos fleurs sont dégueulasses, elles sont déjà à moitié flétri !" Mon très cher père me réprimande d'un "Ollie enfin" bien mal placé et le dîner infernal continue. Arrivée au moment de payer l'addition, je me rue sur mon porte monnaie, littéralement. Chacun paie sa part, ce qui étonne mon père, je sors une connerie sur l'émancipation de ma femme pour me justifier et m'éclipse le plus vite possible, prétextant une énorme fatigue dû au travail. Marchant dans la rue d'un pas rapide, l'air me fouettant agréablement le visage, je cherche à me calmer en vain. Toute cette histoire me stresse au plus haut point et je ne sais pas vraiment comment y faire face. J'ai réellement besoin de me détendre et rapidement si possible. La salle de sport étant fermée à cette heure, il me vient alors une idée d'activité physique moins orthodoxe mais tout aussi efficace. Le sexe. Une bonne partie de jambe en l'air devrait réussir à calmer mes nerfs. Je sors alors mon téléphone, faisant défiler la liste de mes contacts à la recherche d'un candidat potentiel lorsque je prends conscience d'être à peine à deux pas de la résidence de Scott. J'ai marché plus que je ne l'aurais cru. C'est décidée, Scott ce sera. Ce qui est un plutôt bon choix puisqu'il est assez doué de ses doigts pour être honnête.

Arrivée devant chez lui, je frappe à plusieurs reprises avant qu'on ne daigne m'ouvrir. Sans plus de cérémonie, quand j'aperçois le brun à l'embrasure de la porte, j'écrase mes lèvres sur les siennes, désespérée à l'idée de faire disparaître ma mauvaise humeur. Bien vite, il se retrouve plaqué contre la porte d'entrée, l'assaut de mes lèvres est fougueux, en constante demande. J'ai besoin qu'il éteigne le feu qui brûle en moi, besoin qu'il me calme de ses caresses. Preuve de l'état second dans lequel je me trouve actuellement, je ne remarque pas tout de suite l'agitation environnante allant de paire avec la musique jouant bien trop fort et les exclamations incessantes de jeunes gens alcoolisés. Je me recule de quelques pas pour apercevoir, de loin,  un certains nombres d'hommes en train de s'amuser. J'incline légèrement la tête. "Tu organises une fête ?" Je ne lui laisse pas le temps d'argumenter puisqu'après avoir hausser les épaules, je conclus :  "Pas grave, je suis un bien meilleure distraction." Impétueuse voir impérieuse, je m'empare de nouveau de ses lèvres comme si c'était la chose la plus naturelle du monde. Normalement, je n'aurais pas réagit ainsi, j'aurais sans doute reprogrammer un rendez-vous mais, ce soir, j'ai besoin de ça. J'ai besoin de le sentir sur moi, en moi. Je me fiche bien de paraître égocentrique prestement : quand je veux quelque chose, je le prends et c'est ce que je fais en ce moment. Mes baisers n'ont rien de doux, ils sont intenses, sauvages... Mes mains se calent tout naturellement sur son torse, relevant au passage un brin son tee-shirt, alors que mes baisers, eux, dévient vers son cou. Plus le temps passe, plus je deviens insatiable :  j'en veux plus et maintenant. Comme pour prouver mon intention qui est déjà bien assez évidente, je pose une main sur sa fermeture éclair alors que ma bouche toujours son cou, le mordillant même légèrement.


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MessageSujet: Re: side to side × ft Ollie Marks (#)   side to side  ×  ft Ollie Marks EmptyLun 16 Jan - 23:05

 

   
ft. Ollie & Scott

   
Side to side

   
   

   

    
Scott était perdu. Non pas cette fois au sens propre du terme, mais plus au sens figuré et dans une idée plutôt singulière et positive de la chose. Toujours enivré par l’alcool qu’il avait ingurgité et l’agitation chez lui, il était désormais assailli par ce petit bout de femme qui s’était jeté sur lui et ses lèvres, l’incitant par ses contacts avec son corps a lâché totalement prise. Elle s’y prenait bien, même beaucoup trop bien pour qu’il puisse ne dire quoi que ce soit. A vrai dire, malgré la surprise de cette visite impromptue, il se surprenait à aimer cela.  En même temps il était difficile pour lui de résister au charme d’Ollie, la femme qu’il avait rencontré quelques mois plus tôt et avec qui il jouait désormais un jeu assez prenant et divertissant pour lui. Elle avait tout ce qu’il pouvait rechercher chez une femme, mais il ne voulait pas franchir le pas, et elle, ce n’était même pas la peine d’y penser non plus. Alors, sans même avoir eu besoin d’en parler, la première nuit arriva bien rapidement, puis la seconde et ainsi de suite, au point de rentrer dans un cercle, ni vertueux, ni vicieux, mais un cercle qu’ils s’amusaient tous deux à défier chaque jour un peu plus. Obligé de se croiser régulièrement de par leurs boulots respectifs, ce cercle était bien entendu agrémenté de passage gênant voir même parfois de moments drôles ou cocasses. Scott, sachant très bien jouer de ces situations tout particulièrement, avait finalement pris un malin plaisir à toujours faire en sorte d’embarrassé Ollie et vice-versa. Ce qui rendait les choses d’autant plus drôles, du moins dans son cas. Aujourd’hui, il était tout bonnement incapable de poser le moindre adjectif sur leur relation. Ils étaient un peu tout à la fois. Amant, meilleur amis, ennemis, confident, tous les adjectifs aurait pu les qualifier, mais pourtant, impossible de savoir à quoi s’en tenir et Scott aimait ça par-dessus tout. Cette sensation de pouvoir être libre dans ses choix, dans ses actions, dans ses paroles, être, en soi, totalement lui-même, c’est tout ça qu’il le faisait se sentir vivant et ce pourquoi il aimait tant courir après cette fille dans un jeu du chat et de la souris qui ne cessait jamais. Encore aujourd’hui, elle venait de lui prouver en arrivant par surprise, le surprenant dans un moment où il était plus démuni qu’autre chose et surtout entouré d’autre personnes plus jeunes que lui et c’est à l’instant où cette pensée lui vint à l’esprit qu’il revint à lui.
 
Au moment où la bouche de la belle brune s’aventura au niveau de son cou, laissant ses dents s’adonnait à un croc sensuel et en même temps sauvage, un frisson lui parcouru l’échine. Sentant alors sa bouche quitter sa peau marquée par l’assaut de ses lèvres, il en profita pour reprendre le dessus, ainsi, délicatement, il prit Ollie dans ses bras, l’a porta pour qu’elle lui arrive à hauteur de tête et l’a plaqua doucement contre la porte, l’embrassant fougueusement à nouveau. Il s’enleva lentement de sa bouche, profitant de cet instant de répit pour enfin pouvoir essayer de l’a regardé. Elle était splendide et sortait sûrement d’un rendez-vous professionnel ou d’un rendez-vous un peu moins conventionnel, tandis que lui, était habillé comme un plouc en soirée. Malgré l’enivrement dont il était victime, il arrivait à distinguer tout ce qu’il aimait bien chez elle, son petit nez, ses beau yeux noirs et ses lèvres pulpeuse pour ne citer que ça. Il profita donc d’avoir calmer les ardeurs de son agresseur d’un soir pour enfin reprendre ses esprits et en placer une.
 
« Que me vaut l’honneur de votre visite docteur Marks ? Une envie soudaine de me voir, ce que je ne pense pas ? Une envie soudaine de me faire une consultation à domicile, ce qui m’étonnerait aussi ou bien simplement l’envie d’aller draguer du petit jeune dans une soirée d’étudiants… »
 
Les mots « soirée » et « étudiants » firent l’effet d’un petit choc électrique et l’agitation venant de la pièce d’à côté eu quant à elle, l’effet surprenant de le faire réagir. Profitant du brouhaha des jeunes dans le salon, en un instant, il attrapa la main d’Ollie et l’emmena dans la cuisine, ni vu, ni connu. Autant, il aimait cette surprise impromptue, autant pour rien au monde, il aurait révélé sa vie privée à des jeunes l’estimant de plus en plus. Et puis, il n’avait pas envie de recevoir de remarque de quiconque sur ses relations ou quoi que ce soit d’autre. Bien que l’avis des autres lui passait bien au-dessus, il ne souhaitait pas voir sa vie étalé dans les couloirs d’une université. Encore moins dans les vestiaires d’une équipe, bien qu’il était le premier à prôner la cohésion, elle avait des limites. Alors, toujours dans une discrétion peu commune et une délicatesse étonnante au vue de son état, il attrapa Ollie et approcha ses lèvres lentement dans son cou, laissant échapper un petit souffle afin de lui laisser le même souvenir qu’elle. Un frisson, symbole éphémère de ce qu’il était en train de vivre, un jeu de dupe et de perversité. Laissant glisser ses mains le long de ses hanches, il l’a rapprocha un peu plus de lui, afin d’être plus proche d’elle, sentant maintenant tout le plaisir qu’elle pouvait avoir dans ce petit jeu qu’ils aimaient tant. Continuant ses assauts lent et sensuelle dans son petit cou frissonnant, il remonta lentement vers le lob de son oreille, le mordillant un peu, essayant de garder intacte, toute la passion avec laquelle la jeune femme était venue. Peu importe quel jeu ils étaient en train de jouer, le plaisir était toujours présent. Intense. 


   
- Adrenalean 2016 pour Bazzart.
   
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MessageSujet: Re: side to side × ft Ollie Marks (#)   side to side  ×  ft Ollie Marks EmptySam 21 Jan - 18:57

Side to side
Scott & Ollie
"Que me vaut l’honneur de votre visite docteur Marks ? Une envie soudaine de me voir, ce que je ne pense pas ? Une envie soudaine de me faire une consultation à domicile, ce qui m’étonnerait aussi ou bien simplement l’envie d’aller draguer du petit jeune dans une soirée d’étudiants…" Un léger sourire en coin habille mon visage. Amusée, je me mets sur la pointe des pieds pour lui susurrer à l'oreille ma réponse d'un ton délicieusement lascif. "Toi, je te veux toi. J'ai envie de ça." Ma main se pose sur son sexe alors que je m'humecte les lèvres. Quelques secondes après, Scoot prend ma main dans la sienne pour m'entraîner avec lui jusqu'à sa cuisine. À peine arrivés, ses lèvres s'empare de mon cou dans une lenteur infernale. Le léger souffle que je sens sur cette zone si sensible m'extirpe un frisson. Quand il fait courir ses mains sur mes mains hanches, me rapprochant ainsi de lui, tout en continuant de sucer irrésistiblement mon cou, je gémis presque. Plus il remonte, plus je me sens perdre le contrôle. Lorsqu'il titille le lobe de mon oreille je ne peux plus empêcher un léger gémissement sensuel de sortir de ma bouche. "Tu me rends folle." Je ne suis même pas sûre d'être complètement consciente d'avoir prononcé cette phrase dans un souffle. Je l'embrasse avant que l'un de nous ne puisse dire quoi que ce soit d'autre. Et c'est le genre baiser qui va de zéro à cent en une seconde torride. Ma langue glisse avidement entre ses lèvres entrouvertes. Sa langue danse avec la mienne pendant quelques secondes où mon cerveau se liquéfie, avant que je ne me fraye à mon tour un chemin vers son cou. J'oublie tout, mon père, cette horrible soirée, mon boulot : tout. Mes lèvres courent sur tout son corps alors que mes seins se gonflent instinctivement. Elles passent sur les tendons de son cou, elles frôlent sa clavicule, elles chatouillent son menton. Je glisse alors une main entre nous et le caresse à travers son pantalon. Je n'ouvre pas la fermeture éclair, je n'entre pas à l'intérieur. Je me la joue taquine et j'adore ça. J'aime le sentir au bord du supplice, j'aime le titiller sans jamais lui donner ce qu'il veut. Je détache alors mes lèvres de son cou sans pour autant enlever ma main de là où elle bien qu'elle n'applique plus aucun mouvement. "Alors, tu préfères retourner à ta soirée ou rester avec moi ?" Pour le motiver quelque peu ma main reprend ses va-et-vient d'une lenteur calculée. "Tu n'imagines même pas tout ce que je pourrais te faire..." Je capture ma lèvre inférieur entre mes dents, signe de mon impatiente envie de faire de lui tout un tas de choses pas très catholiques.


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MessageSujet: Re: side to side × ft Ollie Marks (#)   side to side  ×  ft Ollie Marks EmptyLun 23 Jan - 1:25


   
ft. Ollie & Scott

   
Side to side

   
   

   

    
Le diable s’habille en Prada. Entre enfer et paradis. Scott hésitait vraiment. Acculé, contre le frigo. Sans aucune possession de ses moyens, la fille qui à l’heure actuelle était dans tous ses fantasmes le tenait, c’est le cas de le dire, par la ceinture. Comment résister à ce petit bout de femme, si habile de ses mains, et si parfaite physiquement. Il ne pouvait pas, mais d’un autre côté, il le devait. La myriade de jeunes présent dans le salon l’obligeait à respecter ce pourquoi il avait invité tout ce monde. A la base, la soirée leur était destiné après tout, mais avec la tournure que prenait les événements, il était difficile pour lui d’envisager la même fin de soirée. A vrai dire, à l’heure actuelle, la seule fin de soirée possible pour lui était dans sa chambre, sous ses draps avec la personne actuellement collé à lui. Mais la tentation n’était-elle pas trop belle pour être réalisable ? Là était toute la question. A chaque regard, chaque contact avec son corps, il replongeait dans ses yeux, sous son charme et n’avait qu’une seule et unique envie, lui faire plaisir comme jamais personne n’avait pu le faire auparavant, lui consacrer la nuit, voir même toute la matinée s’il le fallait, aussi longtemps qu’elle l’aurait voulu jusqu’à ce qu’elle ne puisse même plus avoir de force pour finalement s’endormir dans ses bras. C’était son seul et unique souhait. Mais cette nuit-là, ces souhaits étaient suspendus à un groupe de jeune, complètement saoul et présent à quelques mètres à peine de lui. Leur bruit constant avait pour l’instant réussi à masquer l’agitation qu’Ollie et lui faisait dans la cuisine, mais s’il continuait, ils allaient forcément finir par se douter de quelque chose. D’autant plus si elle continuait les va et viens autour de son pantalon, le regard insistant, les lèvres assécher depuis quelques secondes seulement mais déjà en manque d’étreinte passionnel. Une goutte de sueur perla doucement le long de sa colonne vertébrale. Il n’en pouvait plus, il avait envie d’elle. Plus que tout, et elle pouvait facilement le voir et le sentir. Mais avant cela, il fallait qu’il reprenne le contrôle de la situation. Alors, fermant les yeux comme pour se donner la force de résister malgré lui, il sourit à Ollie, se trouvant à quelques centimètres de lui et glissa tout doucement, tout en l’a regardant bien dans les yeux, sa main dans son pantalon, en prenant tout son temps avant de finalement s’arrêter avant la partie la plus sensible, laissant le suspens l’a tiraillé un peu plus, augmentant un peu plus toute l’impatience et l’envie qu’elle pouvait avoir pour rééquilibrer le jeu. Ainsi, il pencha sa tête jusqu’à se retrouver à un seul petit centimètre de ses lèvres et de lui susurrer ses mots.


« Je pense que c’est toi qui n’a absolument aucune idée de jusqu’où je pourrai t’emmener s’il n’y avait pas actuellement vingt jeunes dans mon salon. »


Et tout doucement, il s’écarta avec beaucoup de malice, du visage de son médecin traitant, tout en continuant de descendre sa main, toujours plus bas, jouant ainsi avec ses doigts, tout comme elle avait pu le faire auparavant. Mais, soudainement, du coin de l’œil, une tête fit son apparition, se rapprochant dangereusement du pack de bière se trouvant sur le comptoir et donc à quelques centimètres de la tête de Scott. Alors, dans un geste rapide et discret, du moins, c’est ce qu’il crut, il prit Ollie et l’emmena au sol avec lui, se couchant sur elle, en profitant par la même occasion pour enlever sa chemise qui commençait à être sacrément mouillé. Collant son corps contre la belle brune, sans pour autant l’écraser, il l’embrassa à nouveau passionnément, lui mordillant comme il aimait si bien le faire, la lèvre inférieure avant de finalement ajouter.


« Mais, au fait, tu ne devais pas être avec ton père ce soir ? Non parce que je ne voudrais pas provoquer d'éventuelles turbulences entre vous hein ! »


Scott s’amusait à faire monter et redescendre la tension sexuelle entre les deux. Pour autant, toujours avec son petit sourire taquin, il reprit doucement la descente de sa main dans les recoins étroits du pantalon de sa partenaire. Encore une fois sur le fil, il se replongea une nouvelle fois dans ses yeux, déjà impatient de connaître sa réaction.

   
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MessageSujet: Re: side to side × ft Ollie Marks (#)   side to side  ×  ft Ollie Marks EmptySam 28 Jan - 23:21

Side to side
Scott & Ollie
Je perds de plus en plus patience. J'ai envie qu'il me prenne là, tout de suite. Il n’y a pas une parcelle de son corps dont je ne rêve pas en ce moment même. Je veux être sur lui, sous lui. Je veux qu'il me prenne contre un mur, sur le canapé, dans son lit, dans mon lit, dans tous les endroits possibles et imaginables. Et croyez-moi, j’ai une imagination débordante. Soudain, je sens sa main descendre tout droit vers mon entre-jambe. Elle s'arrête avant cela-dit, juste en dessous de mon nombril. Sa pomme est brûlante. Elle réchauffe instantanément cette zone. En quelque secondes à peine, mon bas-ventre palpite. "Je pense que c’est toi qui n’a absolument aucune idée de jusqu’où je pourrai t’emmener s’il n’y avait pas actuellement vingt jeunes dans mon salon." Je me mords la lèvre. J'ignore s'il a conscience de l'effet que provoque ses paroles sur moi. Le connaissant, je suppose que oui. Je me laisse aller contre sa poitrine, les sensations qu'il me procure sont hallucinantes. "Tu n'auras qu'à faire comme s'il était pas là." Je lui adresse mon sourire le plus ravageur, espérant que ça le motive à faire ce que je lui dis. Sa main redescendit de nouveau, menaçant de me faire perdre pied. Je retiens mon souffle, encrant mon regardant dans le sien. Scott se mit soudain à bouger, m'entrainant avec lui ce qui me fait sursauter et mon pouls s'accélère quand je prends soudain conscience qu'il se trouve sur moi, au sol, torse nu. Dans la pénombre de la pièce, ses yeux semblent lui tels deux bijoux sombres quand ils se posent sur moi. Bien vite, il reprend possession de mes lèvres de façon si sauvage que je ne peux retenir un gémissant et quand il me mord la lèvres, je manque de peu de défaillir. "Mais, au fait, tu ne devais pas être avec ton père ce soir ? Non parce que je ne voudrais pas provoquer d'éventuelles turbulences entre vous hein !" Mon sourire s'efface instantanément. Je n'ai pas absolument aucune envie de parler de ça ce soir et surtout pas maintenant. Si je suis venue chez lui ce soir, c'est pour oublier tout ça, me perdre en lui. "J'étais simplement allé dîner avec mon père et mon..." Petit-ami. Faux petit-ami. Mais ça, je décide de le taire. "Rien d'important, ça s'est finit avant que je passe." Main se met alors en quête d'explorer son torse si délicieusement musclé. "Revenons à des choses plus agréables..." Ma voix est quelque peu entaillé par le désir. Je suis sur le point d'imploser, il ne fait rien pour l'arranger quand il commence à descendre sa main, toujours plus bas, je me contracte alors de la plus délicieuse des manières. Comme par magie, mes tétons se dressent immédiatement contre le fin tissu de mon haut. Il étudie alors mon visage alors que je prends une courte inspiration. "Bordel, tu me tues !"Voyant qu'il n'était visiblement pas décidée à franchir le cap, je me résous à le faire pour lui. Je guide sa main avec la mienne pour faire coulisser son doigt au milieu de ma culotte et tout mon corps tressaille en réaction. Quand je fais décrire à son majeur des allers-retours légers, je gémis sans vergogne. Le désir obscurcit mes pensées et je veux lui faire ressentir la même chose. Retirant ma main, veillant à ce que lui garde la sienne là où elle est, je la place sur son torse, la fait glisser jusqu'à son ventre plat. Enhardie par le désir, je déboutonne son pantalon afin d'en abaisser la braguette. Merde alors. Je halète en découvrant son sexe tendu comme un piquet. À la hâte, je baisse son caleçon pour avoir accès à sa tige de chair rose si appétissante. "Tu sais..." Je commence, aguicheuse alors que ma main se referme sur sa virilité. "J'ai beaucoup pensé à toi hier..." Je fais monter et descendre ma main serrée, lui conférant un rythme assez lent pour le faire languir. "Quand je me caressais." Je lui susurre ces derniers mots à l'oreille avant de d'accélérer quelque peu le mouvement de ma main.
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MessageSujet: Re: side to side × ft Ollie Marks (#)   side to side  ×  ft Ollie Marks EmptyDim 5 Fév - 19:48


   
ft. Ollie & Scott

   
Side to side

   
   

   

    
La tension était de plus en plus intense dans la pièce et bien que Scott pouvait sentir petit à petit son absence se faire remarquer à quelques mètres de lui, il était à présent concentré sur Ollie et tout le plaisir qu’elle pouvait lui procurer. C’est dingue tout ce que ce petit bout de femme pouvait lui apporter à chaque apparition dans sa vie. Un coup elle était désagréable à s’en rendre craquante, un coup elle était joueuse au point d’atteindre parfois des limites que personne n’osait franchir et parfois elle était douce et attentionnée, même si pour cette dernière phase, il fallait quand même bien creuser. Alors, quand elle évita sa question avec une parade digne d’Ollie Marks dans toute sa splendeur, un petit rictus apparut sur son visage. Il commençait à bien l’a connaître et plutôt que de s’attarder sur la question, il revint alors à quelque chose encore plus d’actualité, le corps collé à lui. La part de lui, résistant tant bien que mal à toute cette tension et cette excitation qu’elle pouvait provoquer chez lui, était définitivement en train de prendre le pas sur cette partie de lui, voulant absolument se contenter de rester dans les règles, dans la bienséance et le respect de ses invités. Mais il n’avait qu’une seule vie et après tout, s’il y’avait bien un moment pour en profiter, c’était bel et bien maintenant. Scott était littéralement pendu à ses lèvres. A son corps tout entier. Perché dans cette nacelle si étroite, mais tellement appréciable, menant au plaisir. Charmé par les yeux d’Ollie et excité constamment, par ses va et viens constant autour de son objet du désir, il ne voulait plus bouger. Il l’a voulait elle, et rien qu’elle. Jamais auparavant, il n’avait connu cette sensation. Le fait de vouloir briser les règles, à n’importe quel prix, pour une personne, rien qu’une seule. Se laisser aller, par simple plaisir, parce que l’instant le demande. Laisser les corps danser dans une valse érotique et sensuelle, par plaisir, par pulsion, par attirance voir même par envie. Il avait une envie folle d’elle. Et à cet instant précis, il craqua et se laissa aller. Fermant les yeux, appréciant chaque geste de la jeune femme, il expira légèrement, laissant transparaitre le plaisir qu’il avait. Mais légèrement seulement. Il ne tenait pas à lui laisser le plaisir de croire que c’est lui qui craquait. Et, alors qu’il entendait la phrase d’Ollie se laissant dire qu’elle avait pensé à lui en se caressant hier soir, ce qui d’ailleurs le fit sourire et lança un petit frisson qui parcourut son corps, il ouvrit les yeux et prenant les deux mains de la jeune femme, il la plaqua contre le sol, se penchant vers elle pour lui susurrer ses mots à l’oreille.
 
« Docteur Marks, je pense que vous allez être en incapacité d’aller travailler demain si ça continue, parce qu’on risque d’y passer… Toute la nuit ! »
 
Alors, doucement, il lui mordit le lob de l’oreille, entamant une descente vertigineuse vers la partie basse de son corps. Tout en passant sur son coup, laissant échappé un soupir plein de désir par la même occasion, il continua sa route vers sa bouche, l’embrassant fougueusement, tout en mordillant sa lèvre inférieure. Ce fut bref, mais intense, pour ne pas laisser s’éteindre tout le désir qu’il pouvait y’avoir en elle. Puis il descendit, laissant glisser son corps, sur le sien, descendant ainsi petit à petit vers ses seins, sur lequel il s’arrêta, les embrassant un par un, sans jamais manquer de passion, ou du plaisir qui l’animait depuis le début de cette joute physique. Jouant légèrement avec, il continua, restant sur chaque zone érogène, simplement le temps de l’à faire grimper un échelon de plus sur l’échelle du plaisir, histoire de l’à faire craquer, pour qu’elle s’abandonne totalement, qu’elle puisse oublier sa journée et s’abandonner complètement à ce qu’ils savaient faire de mieux. Alors il descendit. Hercule montait lui le Mont Olympe, mais Scott lui, préférait descendre vers les enfers. Après tout, Hercule aussi est descendu aux enfers pour pouvoir atteindre l’Olympe. Métaphore du plaisir auquel il pensa, mais resta imperturbable, trop occupé à prendre soin de chaque partie de la beauté qu’il avait face à lui. Et puis, sauvagement, il retira rapidement le jean qu’Ollie portait pour arriver à l’ultime étape de son périple. Lentement, il descendit avec sa langue juste entre ses jambes, s’arrêtant avant de commencer, lui jetant un dernier regard, plein de désir. Alors, malicieusement il fit jouer sa langue entre ses jambes, cherchant à lui faire atteindre ce qu’elle méritait d’atteindre. L’oublie des sens, l’oublie de son corps, le plaisir intense. L’Olympe du plaisir. Autour d’eux ? Il n’y avait rien. 

   
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MessageSujet: Re: side to side × ft Ollie Marks (#)   side to side  ×  ft Ollie Marks EmptySam 11 Fév - 0:23




Side to side
Scott & Ollie
"Docteur Marks, je pense que vous allez être en incapacité d’aller travailler demain si ça continue, parce qu’on risque d’y passer… Toute la nuit !" J'espère bien que ce durera toute la nuit, je me prends à vouloir que ça ne s'arrête jamais. J'aime la façon dont il me touche, j'apprécie plus encore les sensations que je ressens sous son contact. Le sexe, il n'y a rien de mieux. Je pourrais en faire une ode, il n'y a rien qui apporte autant de plaisir je peux vous l'assurer, rien de plus simple, rien de mieux en somme. Quand il me mordille l'oreille, je gémis, je ne peux m'en empêcher c'est une zone si érogène chez moi. Ses baisers descendent peu à peu jusqu'à trouver mes lèvres. Sa bouche capture la mienne sauvagement et je m'abandonne aux sensations qu'il me fair ressentir. Quand ses lèvres quittent les miennes, elles continuent leur route jusqu'à mes seins, gonflés par le désir. Lorsqu'il titille mes mamelons hypersensibles, je me mords la lèvre pour m'empêcher de crier. Mes doigts qui couraient jusqu'alors dans dos, s'enfoncent sur ses flancs. Si je devais concéder quelque chose à Scott, c'est bien l'habilité qu'il a à se servir de sa bouche. Je suis quelque peu déçue quand elle se détache de cette zone si sensible mais ça ne dure pas longtemps. Dès lors que je sens Scott empoigner mon jean pour me l'enlever je sais où il va poser ses lèvres et je ne peux que mourir d'impatience à l'idée de le sentir sur moi. Une vague de soir intense m'emporte, me donnant le tournis, je ne contrôle plus rien. Impatiente, je lui lance un regard suppliant quand ses yeux rencontrent les miens alors, il s'exécute. Le doux contact de sa langue contre mes lèvres me fait frissonner. J'oublie à quel point ça peut être bon... Mon corps se cambre instantanément contre lui, pour rapprocher sa bouche de mon intimité, chaude et humide, comme s'il l'appelait à en prendre possession. Un nouveau gémissement sort de ma bouche, plus fort que tout les autres. Je plonge la main dans ses cheveux et les lui tire un peu, tentant désespérément de ne pas m'abandonner complètement sous ses caresses. La sensation d'être à sa merci ajoutée à l'excitation a raison de moi, je gémis son nom sans vergogne. J'ai l'impression qu'il continuera à me lécher jusqu'à ce que je crie grâce et putain, j'adore ça.
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MessageSujet: Re: side to side × ft Ollie Marks (#)   side to side  ×  ft Ollie Marks EmptyJeu 4 Mai - 0:27


   
ft. Ollie & Scott

   
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La température était à son maximum. Un véritable sonna. D’ailleurs, de la buée commençait même à apparaître sur la vitre, attirant de plus en plus l’attention autour d’eux. Scott ne comprenait pas comment cela était possible que personne ne les ai remarqués. Pourtant, il n’était pas les plus discrets du monde. Certes, ils se débrouillaient plutôt bien, fort de leur expérience respective, mais tout de même. La tension sexuelle était tellement intense que des expressions naturelles dans ce genre de situation était inévitable. Surtout du côté d’Ollie à l’heure actuelle des choses. Scott avait bien vu deux trois regards passés mais tous avaient feint de ne rien voir. Peut-être le trop plein d’alcool dans le sang, allez savoir, quoi qu’il en soit, rien ne pouvait désormais les arrêter. Totalement absorbé par le plaisir qu’il procurait à la belle, il n’était plus très loin du septième ciel, du moins, ils en prenaient le chemin. Pendant ce temps-là, la soirée battait à son plein, même si Scott et Ollie n’en avait aucune notion. Plus rien n’existait. Le temps s’était arrêter. C’était leur instant. Un instant que Scott prenait plaisir à prolonger, passant sur chacune des zones érogènes qu’il décelait avec sa langue, outil de plaisir et de désir. Il ne fallait pas être devin pour voir le plaisir qu’il lui procurait et à cette seule idée, il ne pouvait s’arrêter. Faisant durer le plaisir encore et encore, il ne vit passer le temps et ne se rendit pas compte de tout le bruit qu’ils faisaient. Leur moment était en train de devenir un moment public mais ça il ne pouvait s’en rendre compte. L’enivrante valse de l’alcool combiné au saveur délicieuse de la danse des corps. Un mariage si tentant et à la fois dangereux, à la fois pour ce genre de choses, mais aussi pour le traditionnel regret du lendemain. Mais aujourd’hui, il ne regretterait pas. Il était avec la femme qu’il désirait le plus en cet instant et rien ne pourrait lui enlever ça. Pas même les jeunes tous en train d’épier discrètement leur ébat. Fort heureusement, par-delà leur arrogance et leur insouciance, il leur restait une certaine éducation et après l’appui du capitaine, la fête se termina pour eux et décidèrent de quitter la maison du coach, soucieux de le laisser tranquille dans cet instant. Bien entendu, ils n’oublieraient pas ce moment, et Scott risquait sûrement d’être charrié pendant de longues semaines. Heureusement seul deux trois jeunes avait compris le pourquoi du comment il devait quitter la maison. Mais les effets de vestiaire risqueraient sûrement de propager l’information. C’est le risque des sports collectifs. Encore plus quand le projet du club et de créer non pas un groupe, mais une famille. Tout se sait dans une famille et Scott ne le savait que trop bien. Alors, couper dans son élan, il s’arrêta après un long moment de plaisir. Relevant doucement la tête vers sa partenaire, il entreprit de poser ses lèvres sur chaque partie de son corps à moitié dénudé. Repassant sur ses seins, son ventre, chaque zone érogène avec désir et passion, prenant soin de n’oubliez aucune zone qui pourrait lui faire du bien. Son pèlerinage se termina inévitablement sur ses lèvres. Il s’arrêta un instant et releva la tête pour observer autour de lui. Le calme était revenu. Plus personne n’était présent. Même les cadavres, arrêtés dans leur élan par les effets de l’alcool était retourné dans leurs tombes. Seul les bruit des pas du chien dans la maison venait rendre vivant la pièce. Ils étaient seuls. Se rendant compte de l’occasion, il tourna sa tête vers Ollie et un sourire se dessina sur son visage. Un sourire qui voulait en dire long sur la nuit qu’il s’apprêtait à passer.

Prêt à se donner corps et âme, il s’empressa de porter sa belle qui entoura ses jambes autour de sa taille tout en continuant de l’embrasser. Ainsi, ils montèrent les marches des escaliers, comme s’ils escaladaient l’Olympe. S’arrêtant quasiment à chaque marche, interrompu par une envie folle de s’embrasser, sans arrêt. Leurs lèvres ne se quittaient plus, comme envahit par le désir de l’autre. Un désir presque vital. Libre de leurs actions, la nuit leur appartenait et ils pouvaient enfin laisser s’exprimer leurs émotions. L’a portant jusqu’au lit dans sa chambre, Scott l’a déposa presque sauvagement sur son lit. Sa chemise bien arraché depuis longtemps, il entreprit d’enlever rapidement son pantalon sans l’a quitté des yeux, l’a dévorant du regard, sans cesse, et presque dans le seul moment de répit depuis son entrée dans sa maison, il se détacha d’elle. Devant sa porte, il s’empressa de l’a fermé, les enfermant ainsi dans leur bulle, leur cocon. Ici, il pourrait oublier, s’abandonner, se faire plaisir sans penser aux conséquences de leurs actes, comme ils l’avaient décidé depuis le tout début. Sans penser au lendemain, sans se prendre la tête. C’était eux et seulement eux, sans obligation, sans attache, sans promesse. Simplement l’instant présent. En cet instant, c’était un escalier vers le paradis. Ce qu’il s’est passé derrière cette porte ? Seul eux le savait... Mais dites-vous que la nuit fut agitée.

FIN


   
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