vous ne souhaitez pas arriver sans liens ? peut-être que la famille maguire pourrait vous convenir !
l'idée de rejoindre une grande famille, vous intéresse ? alors venez voir la famille stewart.
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| | (M/LIBRE) › AU CHOIX | |
| Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: (M/LIBRE) › AU CHOIX (#) Jeu 29 Déc - 19:27 | |
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Avery Kaplan Je suis tombé amoureux de toi. Je ne sais pas comment. Je ne sais pas quand. Je ne sais pas où. Mais, je sais, que, je l'ai fait. nom › Kaplan. prénoms › Avery ; Lancelot. âge › 28/33 ans. lieu de naissance › Il a vécu, toute sa vie, à Salem. Du moins... Jusqu'à, ces dernières années, où il a suivi, sa meilleure amie d'enfance, Snow. statut civil › Célibataire, mais il est épris de Snow. orientation sexuelle › Totalement. Irrévocablement, Snowsexuel. métier/études › Je le verrais, peut-être, photographe et publier des livres ou des magazines, pour leur chaîne. Ou bien, vendeur. Ou encore, créateur de robes de mariées et de cérémonies. Je te laisse un peu de marge, de ce côté-là. Tout ce que tu dois savoir, c'est qu'il contribue et s'investit, à fond, dans l'entreprise. Pour ainsi dire, qu'il peut rester, parfois, jusqu'à la fermeture, en compagnie de Snow. Mais, il reste, avant tout, co. gérant, de la boutique. groupe › Au choix. avatar choisi › Au choix. L'histoire d'Avery, te reste libre, dans l'ensemble... Cependant, je peux te donner, un aperçu de l'image, que je me fais de lui. Après libre à toi, d'aimer ou non. Après tout, je veux que, tu sois à l'aise, avec ce personnage. Veille, simplement, à ce que cela colle avec l'histoire de Snow. ;)
❖ Avery est né, et à toujours vécu à Salem. ❖ Il était le seul enfant, de la famille Kaplan. ❖ Ses parents sont décédés, depuis qu'il est tout petit. Il a, dont, vécu à quelques pâtés, de son ancienne demeure, chez son oncle et sa tante. ❖ Il est très protecteur, envers ses proches et son entourage. En particulier, avec Snow. ❖ Ce dernier à toujours était très tactile et à l'aise, avec tout le monde. Du genre, qu'il est prêt à enlacer n'importe qui. Même s'il le connaît à peine. ❖ Le beau brun à toujours aimer la photographie, ainsi que le dessin. Il est même très doué, en la matière! ❖ Malgré tout, c'est un bon vivant, et est toujours prêt à redonner le sourire, à n'importe quelle personne. ❖ Il avait l'habitude de se promener au parc. C'est d'ailleurs, dans le courant de ses jeunes années, qu'il rencontra Snow. Ou plutôt, qu'il l'a secouru, tel un chevalier servant, alors qu'elle était, légèrement, blessée. C'est d'ailleurs, comme ça, qu'il lui a fait découvrir ses fameux bisous magiques, et qu'il la surnomma « mon petit flocon. » ❖ Elle devint, très rapidement, sa meilleure amie d'enfance, par la suite. ❖ Ne se doutant, dans le fond, que Snow a toujours nourrit des sentiments, bien plus fort, à son égard, et qu'elle ne lui a, dont, jamais avouée, par la même occasion, ce dernier s'est casé avec une jeune fille, du nom d'Aileen. Mais, leur amourette ne fut, que passagère. Si ce n'est le fait, qu'il dura un an, à peine. ❖ Durant leurs préfaces d'adolescences, Snow perdit sa grande-sœur, dont il se sentait, tout particulièrement, proche, également. Mais, n'étant au courant de la nouvelle, Avery commença à s'inquiéter, pour son petit flocon, lorsqu'il s'aperçut qu'il ne l'a croisée plus guère, nulle part, et ne donner plus, non plus, la peine de répondre à ses moindres coups de fil. ❖ C'est un peu plus tard, que le bel apollon se décidait, de venir la rejoindre, directement, chez elle. Et qui, par conséquent, appris la terrible nouvelle. Sachant, alors, ce que, la jeune blondinette, pouvait ressentir, il resta auprès d'elle, tout le temps. Nuits et jours, durant. S'occupant d'elle, comme si sa vie en dépendait. Parce qu'il tenait à elle. Parce qu'il l'aimait, autant qu'elle pouvait l'aimer, lui. ❖ Quand, Avery sût la vérité. Comme quoi, c'était un dénommé Graham, qui avait voulu sauver la vie de la grande sœur de Snow, et aussi étrangement, que cela puisse paraître, ce dernier, ne le porta, point, spécialement dans son cœur. Comme s'il sentait. Pressentait, qu'il avait de mauvaises intentions. Comme si, il était convaincu, qu'il n'allait rien apporter de bon, à sa meilleure amie d'enfance, si elle prenait le risque de rester, auprès de Graham. ❖ Il dût faire de nombreux efforts, pour garder la tête froide, à l'égard du jeune homme. En particulier, quand celui-ci appris, de la part, de la demoiselle, qu'ils sortaient ensemble. ❖ Trois années plus tard, quand Avery découvrit, que sa chère Snow, n'arriver plus à vivre paisiblement, dans leur ville natale. Qu'elle allait déménager, avec son petit ami, à Island Bay, il tenta, dont, de la convaincre. De tout faire, pour les suivre, dans cette aventure. Peut-être avait-il peur, que cela finisse, par mal se terminer, entre le jeune couple, qui, malgré tout, était très heureux... ❖ C'est, sans nul doute, à cet instant précis, que, ses sentiments, changèrent. Evoluèrent, à l'égard de son petit flocon. Cependant, il se décidait, à se réduire au silence, le plus total. Le plus complet. Préférant, alors, se concentrer, sur le projet qu'ils avaient. Qu'ils voulaient voir aboutir. Bien, qu'il commença à espérer, secrètement, que sa meilleure amie quitte Graham. Tombant, ainsi, dans ses bras. Réalisant, la nature profonde, de leurs sentiments inavoués... ❖ Tout semblait parfait, malgré ces quelques détails... Les deux meilleurs amis avaient réussi à ouvrir leur boutique, spécialisé sur le mariage. Ils connaissaient, même, un franc succès, à leurs plus grandes surprises. Mais, c'est lorsque, Avery, découvrit, un soir, une Snow en pleure, qu'il fut, davantage, stupéfait... ❖ Se confiant, dont, auprès de lui, son petit prince, appris, que Graham et elle, avait rompu, à cause d'un fameux sujet, sur une demande en mariage. Comme quoi, celui-ci, n'était, tout simplement, point prêt, à s'engager, auprès de la blondinette. Avery fit, tout, alors, pour lui insuffler, un quelconque réconfort. Se soulageant. Se délestant de ce poids. ❖ Après quoi, le beau brun, tenta, maintes fois, de lui faire comprendre, qu'il était follement amoureux de cette dernière, mais en vain... La petite blondinette ne pensait, ne voyait que, par son ex. Souffrant, constamment, de son absence. Bien, qu'elle fut, tout aussi, reconnaissante, envers son petit prince. ❖ C'est, quelques mois, plus tard. Aussi insoutenables, soient-ils, qu'Avery appris, que ces deux-là, s'étaient remis ensemble, à son plus grand désespoir... ❖ Plus les années passées. Défilaient, plus le bel apollon se rendait malade, à l'idée de voir, qu'ils filaient le parfait amour. Alors, qu'Avery restait, totalement, impuissant - restait, inconditionnellement, dans leurs ombres. ❖ Ne pouvant supporter, davantage, cette idée-là. De ne, point pouvoir révéler la supercherie de ses sentiments, à l'égard de Snow, il se décida, lors d'une fameuse soirée, à lui voler un doux et langoureux baiser. Se sentant, dont, stupéfaite. Totalement sonnée, c'est après quelques longues minutes durant - quelques minutes, seulement, pour faire croire à Avery, que celle-ci, partageait, réciproquement. Tout autant, ses sentiments. Hélas, elle se recula, après murs réflexions. Avant même de fuir, sur-le-champ. Laissant, ainsi, son ex meilleur ami d'enfance, en plan... ❖ Voyant, dont, que la blondinette l'évitait, durant ces quelques semaines, qui lui parurent interminables, lui, se jurait de tout faire, pour la faire craquer. La faire tomber dans ses bras. Restant, avant tout, persuadé, que cela, soit, réciproque, entre eux. D'où le fait, qu'il accepta, chaleureusement, l'invitation de Graham, qui l'avait convier chez eux, lors du fameux réveillon de Noël. ❖ Lorsque Snow, le rejoignait, discrètement, dans le jardin, Avery profita de cette occasion, dans le fol espoir, qu'elle lui cède. Pourtant, cette dernière, tenta de lui faire comprendre, vainement, qu'elle aimait Graham. Qu'elle était bien, avec lui. Allant jusqu'à perdre son sang froid, envers son petit prince, qui lui proposa, alors, de l'épouser. Elle n'eut le temps d'y répondre, cependant, qu'ils furent couper, dans leurs élans, par l'ex petite amie, du beau brun, que Snow, avait cordialement, invité. ❖ Il est, tout à fait, sérieux, concernant cette demande en mariage. Il est, même, sur le point, d'acheter une bague. Si ce n'est déjà fait. Pensant, certainement, que la demoiselle, va finir par faire le bon choix. Le choisir, lui, plutôt, que son imbécile, de petit ami. Alors, que, dans le fond, il n'est au courant, de la dernière nouvelle, en date. Que, Graham, vient de lui demander, également, sa main... Kayleigh-Snow Rosebury ft Dianna Agron. CHAPTER IX - LA PROPOSITION.« C'EST LA COMBUSTION DE MON AME, QUE TU AS CAUSE. AME QUI SE LIE A LA TIENNE, SANS QUE JE N'EUSSE SIGNER UN PACTE D'APPARTENANCE, SUR LEQUEL NOS SANG SE SONT MELES. TU HANTES MES PENSEES, VOILE CARMIN, OU SE DESSINENT TES IRIS CARAMELISEES. ET, JE NE CESSE DE PRIER - PRIER, POUR QUE TU ME REVIENNES, INCONSCIEMMENT, TANDIS QUE MA RAISON ME POUSSE A TE TOURNER LE DOS, EBAHIT DE LA VIOLENCE, DE SENTIMENTS INAVOUES. »Tu saisis, nerveusement, la poignée de porte, et l'ouvrais, finalement. Tu inspirais une grande goulée d'air frais, qui te libérée, aussitôt, de cette douce ambiance chaleureuse, que tu trouvais, un tant soit peu, animée, étouffante. Trop agitée, oppressante. Festive, écrasante, et dont le chauffage te monter aux tempes. L'excuse de trouver ton meilleur ami, qui s'était perdu, soudainement, t'avais parût séduisante, alléchante. Quand bien même, tu avais cherché à l'éviter, depuis quelques jours. Quelques semaines durant, tu n'avais put t'empêcher de voir la porte de sortie. De te jeter à corps perdu, cependant. Tu avais voulu te démêler, de cette foule insensée. De cette fête, pleine de cotillons, de chandeliers et de décoration colorée et luxuriante, sur la table posée, dont tu ne te sentais à ta place constante. Tu avais fait en sorte de faire plaisir à Graham, en invitant toute sa grande famille. Tu avais cuisiné durant des heures entières, tout préparer avec amour, avec passion. Tu avais tout fait, dans les règles de l'art, tout en chanson. Tu avais tout fait, pour eux, soigneusement. Tu les aimais tous, qui plus est, mais tu te sentais un peu trop à l'étroite. Encombrante. Un peu trop effacée, banale. Bancale, dans cet environnement. Dans ce monde de chimère, de misère, que tu voulais oublier et purger de ta peine. Du lourd far d'eau, que tu portais. Mais, rien n'y faisait... Tu luttais avec toi-même, avec la supercherie de tes sentiments inavoués. Tu souffrais en silence, de ce vide immense. Intense, et déambuler. Errait, telle une âme égarée et attristée. Tu tentais, néanmoins, de chasser, ce trop plein de pensées embrouillées, de ton esprit esseulé, torturé. Faisant l'effort incommensurable, de mettre toutes ces histoires. Ces mésaventures. Tes peurs de côté, et de trouver, absolument. L'air bien décider, à rencontrer. Confronter cet homme, que tu avais toujours considéré comme ton meilleur ami d'enfance. Tu fermais, délicatement, la porte d'entrée. Ne voulant laisser entrer l'air glacé, à l'intérieur, qui tirerait, dès lors, quelques railleries. Brailleries de tes convives, et t'engouffrais, dans cette vaste contrée verdoyante. Cet espace, qui donnait sur un grand et majestueux jardin, dont tout le monde jalouserait, sans précédent. Tu t'emmitouflais dans ta grande veste grisâtre, bien que la température, ne te gêner guère plus que cela, et te dirigeais, tranquillement, sur le chemin de gravier, qui t'accueillait à bras ouvert. Te menant vers un escalier de bois, d'un blanc immaculé. Tu découvrais, alors, le jeune garçon, que tu recherchais, activement. S'accoudant, se tenant sur la rampe, de ce gazebo, où tu avais pris pour habitude de prendre le thé, en compagnie de ta moitié, durant les beaux jours. Les douces lumières, qu'avait installé l'élu de ton cœur, autour de ce petit bâtiment découvert, donner un air épuré, bien qu'élégant. Rappelant à quiconque, qui s'aventurait ici, au demeurant, que la période de Noël pouvait se trouver magique, émouvante... Tu fermais, dont, les paupières sur tes orbes ténébreuses, prenant, une fois de plus, une grande bouffée d'air frais. Une respiration lente et régulière, que tu voulais contrôler. Absolument maitrisée, et te décidais, finalement, à les rouvrir, avant même, de monter les quelques marches, de ta démarche gracieusement dansante, alors, que dans le fond, tu semblais indécise. Alors, que tu te savais parfaitement, que te retrouver à ses côtés, était à tes risques et périls. Tu fus tellement discrète, que le beau brun n'eut l'air de remarquer ta présence... Tu avalais ta salive, avec une certaine difficulté. Alors, qu'elle peinait à descendre, dans le fin fond de ta trachée, à mesure que, tu redoutais l'instant présent. Mieux aurait fallu que tu fasse demi-tour. Que tu rebrousse chemin. Néanmoins, tu te surpris à vouloir jouer l'indifférente, face à la déférence qui t'incombe, et, te raclais la gorge, pour qu'Avery cesse de te tourner le dos, et croise, enfin, ton doux visage. « Snow... Ca fait longtemps que tu es là ? » Te questionna-t'il, cependant qu'un sourire idiot tirait les coins de sa bouche. Visiblement heureux de te voir, néanmoins que tu remarquais, qu'il tenait, du bout de ses doigts calleux, un mégot de cigarette - remarque qui signifiait, en général, que le bel apollon se trouver nerveux ou stressé, dans ces moments précis. Il constatait, d'ailleurs, que tu l'avais aperçu. N'aimant point l'odeur ou même le goût de ce poison mortel et néfaste, ton petit prince avait toujours eu la délicate attention de les jeter à terre. De les écraser, à même le sol. Quand bien même, tu n'avais pu l'empêcher d'en tirer quelques bouffées. De lui faire arrêter, celui-ci avait pris grand soin, de ne jamais te froisser, sur ce sujet sensible. De ne point te repousser, alors que vous partagiez, à vous seuls. Goûter. Toucher du revers de vos mains, ce bonheur éphémère. Un geste qui t'avais toujours touchée, à bien des égards. « Non, juste depuis quelques instants. Je voulais simplement t'informer, que le dessert va bientôt être servi, et qu'on attends plus que toi. » Lui avouais-tu, d'une voix calme, sereine. Haussant, dont, les épaules, à mesure que tu voyais le jeune homme piétiner le restant de sa cigarette, comme de coutume. Faisant attention, de ne point laisser de drainée de poudre noir, sur le parquet, de couleur chair, claire. « C'est gentil. Et, dans ce cas, je te suis. » Tu acquiesçais, dont, d'un léger signe de tête, pour approuver. Lui faire savoir, que tu venais de saisir son message, à l'instar, que tu tournais les talons. Te préparant à redescendre du gazebo. A retourner à l'intérieur, dans l'atmosphère lourde, chaude et pesante, suivi de ton ex meilleur ami, qui, pourtant, ne t'emboîter, guère le pas. Restant aussi droit qu'un piquet. Aussi raide qu'une simple planche de bois. « Au fait, je voulais te remercier... De m'avoir invité. » Te retourna-t'il, gentiment. Vraisemblablement, sincère et toucher de l'intention, à mesure que tu laissais échapper un soupir las, aussi léger qu'une brise. N'étant d'humeur à vouloir t'éterniser, de sa présence. A échanger quelques politesses futiles et délicates. Tu te retournais, dont, et lui adresser un petit rictus, sans joie. Prête à dégainée, à lui montrer le fin fond de ta pensée. « C'est plutôt envers Graham, que tu devrais exprimer ta gratitude. » A ces mots, qui se vouait acerbes, amers, le beau brun fronçais les sourcils, au-dessus de ses grands yeux opaques. Ne comprenant guère, quelle mouche te piquer, soudainement. Pourtant, tu n'avais nul doute, concernant ta médisance, à son grand étonnement. Tu ne savais plus ignorer la connivence, que tu avais, désormais, à son égard. Il avait rompu, brisé le lien que vous aviez. Votre belle et longue relation. Votre amitié, avait cessée de grandir, de briller, dans le firmament. Il l'avait fissuré, dans une fine poudre de diamant, pour s'être décidé, à te voler un doux baiser, qui avait toujours été chaste, jusqu'à présent. Mais, qui avait été de trop, pour toi... Tu le détestais, pour cela. D'avoir tout détruit, tout envoyer valser, d'un simple geste. D'un simple revers de main, d'un simple regard. Tu le détestais, parce qu'il y a plusieurs années de cela, tu avais eu des sentiments bien plus fort, pour lui, et que, quand tu t'étais décider à lui en faire part. A bouger ton petit popotin, lui, c'était déjà casé avec quelqu'un. Et ce, à ton plus grand désespoir. Tu t'étais, alors, réduit, au silence. Tu avais pris tes distances, même, durant un certain temps, pour contrôler tes émotions, ton chagrin douloureux et passager. Pour éviter de voir cette Aileen, dans ses bras, cependant que tu avais toujours rêvé d'être à sa place. Lui tenir la main, rire aux éclats... Tu t'étais détourné du droit chemin. Tu avais enchaîné les aventures d'un soir, les aventures sans lendemains. Tu avais voulu soigner le mal par le mal. Et voilà qu'aujourd'hui, le ciel te tomber sur la tête. Voilà que les rôles s'inverser, alors que tu avais passé. Dépassé le palier du bonheur, pour atterrir sur un doux nuage duveteux. Et, sa présence te contrarier, désormais, car tu doutais de la force, à l'amadouer - tu doutais de la force de tes émotions, tes sentiments inavoués. De ne pas réussir à lui résister. Voilà pourquoi, tu avais tant redouté ce moment. De le confronter. Rentrer, dans ce débat. Ce lourd et dur combat. Il t'avait mise dans une situation étroite. Déroutante, délicate, et ce dernier ne semblait le constater, le voir. Ou, peut-être, s'amusait-il, finalement, à tes dépends, qui sait... Dans tous les cas, tu voulais lui faire comprendre l'affront, qu'il avait causé. Lui faire payer son détournement, sa fourberie. La trahison du serpent. Le faire tombait avec toi, alors que tu avais, dors et déjà, précéder à ta chute déferlante. Que tu avais glissé, dans ce trou noir et béant, sous ton regard médusé, impuissant. Alors que le sol s'écrouler, derrière ton tracé, sous tes pas. Bien au devant, de ton trépas. Alors que tu te questionnais, que tu demandais pourquoi ? Pourquoi t'avait-il lâché, abandonné ? « Il pensait me faire plaisir. » - « Et... J'imagine, que ce n'est pas le cas ? » A cette question, que tu trouvais futile. Stupide, tu t'étonnais, à laisser échapper de tes lèvres rouges écarlates, cramoisies, un léger rire sarcastique. Badin, moqueur, de surcroît. Tu trouvais fort déplacer qu'il est répondu à l'invitation, alors, que dans le fond, tu n'avais voulu le revoir. En particulier, en cette période de fête. Mais, tu avais omis de divulguer ce qui s'était passé, envers ton bien aimé. Tu avais, malgré tout, garder le secret. Quand bien même, cela te pesait sur la conscience... Tu devais faire preuve, malgré tout, de bien aisance, et tu étais bien décidé, à ne point le laisser tout chambouler, tout éclater. Tout démonter, dans ton joli conte de fées. « Oh, si... Bien sûr, que je suis ravie, que tu sois là! Mais, je ne pouvais me montrer égoïste, tu vois ? T'avoir à moi, toute seule... Alors, j'ai décidé d'inviter ton ex. Depuis le temps qu'elle voulait te revoir... » Lui révéla-tu, sans le moindre état d'âme. Avec une certaine vivacité. Levant les bras en l'air. Pointant, de ton petit doigt délicat, la demeure dans laquelle tu y logeais, pour désigner la jeune demoiselle, tant appréciée, qui se trouvait gentiment, dedans. Imitant, hardiment. Montrant de ta belle prestation. Adoptant la posture d'un certain personnage de contes pour enfant : Rumpelstiltskin, que tu trouvais amusant et envoûtant. Tu croyais, sans nul doute, que le bel apollon, à la carrure magnifiquement dessinée, sculptée, allait se sentir vexer à son tour. Froisser, qui plus est. Hélas... Il n'en fut rien... Avery restait de marbre, oui. Mais, semblait se moquer de cela. Une ébauche de sourire vint peindre ses douces lèvres, pulpeuses à souhaits, à mesure, que tu restais ébahis, étonnée de sa réaction. « Oh, c'est très généreux de ta part, dis-moi. Mais... Tu sais très bien, que la seule personne, avec qui je veux être, c'est toi. » Te révéla-t'il, d'un timbre, qui se voulait plus doux. Plus mélodieux. D'autant plus charmeur, alors qu'il s'approchait, dangereusement, de toi. Alors, que tu sentais, soudainement, ton cœur tambouriner, inlassablement, dans ta poitrine... Ton souffle haché, saccadé, lui laisser croire, que tu étais intimidé. Cependant, que tu reculais de quelques pas, t'accoudant, dont, à la rambarde en bois. Tu avais peur que le beau brun ne commette une autre bourde. L'irréparable. Qu'il entoure de ses bras, ta frêle silhouette, et te vole dans la foulée. Ce qui semblait l'amuser. Pensant, certainement, que tu allais craquer. Un regard de triomphe, le changer. Pourtant, tu devais à tout prix y résister. « Pas moi. Je suis avec Graham. Je suis parfaitement heureuse, et je l'aime. C'est très bien, comme ça... » Tentais-tu, de lui faire savoir, d'une voix ferme. Implacable, alors que dans le fond, tu tremblais comme une feuille. N'aimant point l'idée de causer une quelconque peine, un grand désarroi, envers tes proches. En particulier, envers ton ex meilleur ami. Même s'il était la cause. Le symbole même, de la duperie. De cet épineux problème, qui ne semblait sombrer dans l'oubli. Néanmoins, ce dernier ne semblait guère convaincu par tes propos. Il voyait, bel et bien, que tu n'étais indifférente à ses charmes. A sa personnalité troublante, déconcertante. Enivrante, envoûtante. Et, tu voyais, sous tes iris chocolatées, éberluées, que son doux visage pénétrant, n'était plus qu'à quelques centimètres du tiens. Et, tu avais beau tout faire, tu ne pouvais réchapper à ses griffes qui te lacéraient, bien longtemps. T'emprisonnant davantage. Sachant que, tu ne pourrais, éternellement, résister. Tôt ou tard, tu perdrais tous tes moyens... « Tu préfères donc choisir la facilité. Le choisir, lui, cet abruti, alors que nous savons, tous les deux, que tu as, également, des sentiments pour moi ? » Tu perdais, désormais, ton sang froid. Tu sentais tes poings se resserraient. Tu serrais les dents, d'amertume. Tu aurais bien voulu lui flanquer une bonne raclée, le gifler. Le punir de son impudence. De son intolérance, mais rien n'y faisait... La voix de la sagesse. De la conscience, te poussait à rester sur tes gardes. A ne pas te jeter sur lui, pour le ruer de coups. « Occupe-toi de tes affaires, Kaplan, avant de critiquer! Parce que, tu as bien plus à te faire reprocher, crois-moi! Et, si tu crois, que, c'est parce que, j'ai mis du temps à réagir, l'autre soir, avant de te repousser, ce n'est pas parce que j'ai des sentiments pour toi, comme tu dis. Alors, oui... Je choisis la facilité. Oui, je choisis mon abruti de petit ami, comme tu dis. Mais, au moins, je suis bien avec lui. Il ne me fait pas souffrir, au moins! » Sifflais-tu, entre tes dents, cependant, que tu le mettais en garde. Alors, que tu pensais, que celui-ci allait abandonner la partie. Déclarer forfait. Tu le vis, néanmoins, ouvrir la bouche. Sûrement pour placer quelques mots censés. Te contrecarrer, mais tu lui coupais, déjà, l'herbe sous le pied. « Dans tous les cas, quoi que tu fasses, rien ne marchera. Je ne céderais pas, Avery. » Achevais-tu, finalement. Bien décider à ce que la conversation se termine ici. Pour toi, le sujet était clos, tout était dit. Tu voulais jeter ces cendres, dans les méandres de l'oubli. Tu lui coupais court à ses paroles, désormais évanouis. Le repoussant, une fois encore. Le bousculant, le percutant de tes maigres forces, pour redescendre les quelques marches. Tu étais prête à fuir au demeurant. Ne te souciant guère, alors, si le jeune homme allait te suivre ou non. De toute manière, cela te laissais parfaitement indifférente. Libre à lui, s'il voulait partir de la fête. Fuir, sur-le-champ. « Même si, je te demandais de m'épouser ? » Criais-t'il, légèrement, et aussi distinctement que possible, pour que tu puisse saisir l'essence même, de sa question. De sa proposition, alors que tu avais voulu t'éloigner. Disparaître à sa vue, de son champs de vision. Le temps de quelques instants durant, tu t'arrêtais sur le chemin de gravier et te retourner. Tu contemplais son doux visage pénétrant, qui attendait. Patienter, sagement, ta décision. Guettant ta réaction. Sur le moment, tu t'imaginais, sans nul doute, qu'il se moquait de toi. Jouer à tes dépends. Tu croyais que tout ceci, n'était que le simple fruit, de la plaisanterie. Qu'il s'esclafferait, à gorge déployée, sous ton regard noir, meurtrier. Mais, rien n'y faisait... Ton souffle saccadé, se couper, alors. Les mots te manquaient. Ils restaient coincés, dans le fin fond de ta trachée. « Hey, qu'est-ce que vous faites ? On commence à s'inquiéter, de ne plus vous voir revenir! » Tu fus, dont, sauver par le gong. Sauvée de justesse, par une de tes invités : Aileen. Tu tournais, une fois de plus, les talons, visiblement choquée. Sonnée, à mesure que, cette dernière te toiser, l'air angoissé. « Tout va bien ? » Demandait-t'elle, néanmoins qu'Avery te rejoignais, bien rapidement. Arrivant, en moins de temps qu'il n'en fut, à ta hauteur. Posant, délicatement, de sa main rugueuse, calleuse, sur ton épaule, pour conserver, un tant soit peu, les apparences. « Oui, tout va bien. Je suis navré, c'est de ma faute... Je l'ai retenu un peu trop, en la complimentant sur la soirée. Pour ainsi dire, je n'ai pas vu le temps passé! » Justifia-t'il, en laissant s'échapper un léger rire cristallin et nerveux, alors que la jeune femme lui retournait un petit rictus, rassurant. Mordant, visiblement, à l'hameçon. Ne se doutant, point, de la situation. N'ayant, guère, la moindre suspicion, le moindre petit soupçon. Tu tentais, à ton tour, de te montrer heureuse, joyeuse. De conserver une belle image, de toi-même, voulant à tout prix, mettre ces nouveaux soucis, de côté. Tu les rangeais, soigneusement, dans un tiroir, de ton esprit torturé, esseulé. Te jurant, que tu prendrais du recul. Que tu réfléchirais, à tout cela, un peu plus tard, dans la soirée. Ou dès que tu aurais un moment de liberté. Tu suivais, machinalement, Aileen, tel un robot sans vie, suivi de ton ex meilleur ami, qui avait, alors, enlever sa main, de ton emprise. Vous arriviez, enfin, devant la porte, que la jeune demoiselle, ouvrit, alors que tu tournais la tête, en direction d'Avery, qui te retint la porte. Tu remarquais, un doux et mignon petit rictus, se dessiner sur ses lèvres. Feignant de jouer les bons acteurs. Faire comme si rien ne s'était produit, cependant que te tournais ton attention, sur les cris enjoués de tes convives, qui vous avaient, bel et bien, attendus, au demeurant. Tu fis mine d'être agréablement surprise, alors qu'un sourire idiot tiraient les coins de ta bouche, et reprit place, aux côtés de ta moitié, qui fut, tout autant heureux, de te retrouver. Il te déposait un furtif baiser, sur ta joue nacrée, sous le regard sombre, bien que discret, de ton ex petit prince. Alors, que tu t'assistais sur ta chaise attribuer, à mesure, que tu voyais Graham, se diriger vers la bûche glacée, que tu avais préparée, un peu plus tôt. S'affairant, s'apprêtant, à la découper, soigneusement, de sa lame effilée, aiguisée. Son menaçant couteau. Pour mieux t'imprégnier de leur histoire, voici ma fiche, où Avery apparaît. - Chapitres II, IV, VII, VIII, IX - Je pense qu'ils reflètent plutôt bien la relation, entre les deux jeunes gens, mais... Si tu as besoin de plus de précision, n'hésites pas! ;) |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: (M/LIBRE) › AU CHOIX (#) Jeu 29 Déc - 19:44 | |
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les informations du scénario Ami(e) du jour, bonjour. Ami(e) du soir, bonsoir. Ami(e) du sexe, durex! Tout d'abord, je tiens à te remercier, de parcourir mon scénario. D'avoir pris le temps et l'envie de le dévorer, qui plus est. En espérant, ne pas t'avoir ennuyé(e), au point d'abandonner, en cours de route. Ou, au contraire, de ne pas avoir abusé, de ton temps, si précieux. J'espère, également, ne pas te faire peur, quant aux attentes du personnage. De leur relation, dont je vais t'informer, car après tout, je veux que tu sois à l'aise. Même, parfaitement bien, dans ta jolie peau. ;)
pseudo › J'admets, que je suis très attachée, au premier prénom et nom. Trouvant que, ça convenait parfaitement, avec le nom de famille, je n'ai pu résister, à l'envie de l'ajouter. Donc, pour ma part, les deux, sont non-négociable. En revanche, je te laisse le soin de changer le second : Lancelot, s'il ne te plais pas. ;)
histoire › Comme je te l'ai, gentiment, préciser, en haut, l'histoire d'Avery reste libre, dans l'ensemble. Après tout, je veux que tu sois, un tant soit peu, à l'aise, avec lui. Veille, simplement, à ce que ça coïncide, avec l'histoire de Snow. ;) Mais, tu peux, toujours, laisser libre à ton imagination. Tu peux, même, venir me harceler, si tu as de nouvelles idées, en tête. Ou, quelques hésitations, que ce soit... Ca ne me dérange, absolument, pas! Je te promets de ne pas te mordre!
leur relation & évolution › Malencontreusement, pour toi, je me dois, de t'avertir, que la relation, que les deux personnages, ont en commun, est non-négociable. J'admets, que je vois difficilement, le fait qu'il en soit autrement... XD Je veux dire, que, si Avery a proposé à Snow, de venir, avec eux, à Island Bay, parce qu'elle n'arrivait plus guère, à avancer, à Salem. Ou qu'il l'a embrassé, récemment. Ou, le fait, que, désormais, il lui demande sa main et qu'il semble très sérieux, je te vois mal, le faire partir en vrille. Ca n'aurait plus aucun sens... J'ai créé, façonner Avery, de cette manière, parce que, j'ai pensé, que commencer ainsi, ça partait d'un bon sentiment. Que, j'aime le lien, tout mignon, qu'ils ont, ensemble, tout en ajoutant une petite dose pimentée. Sinon, c'est trop triste et lassant... Tu ne trouves pas ? Quant a l'évolution, je te propose, qu'on voit ça, en se mpottant, mutuellement, pour voir comment la suite, va se dérouler. :pop: Je trouve que, c'est beaucoup plus plaisant, d'agir ensemble. Autant regarder dans la même direction. Quitte à loucher, plutôt, que de tout mélanger, en mode « Bah, finalement, je fais comme ça, parce que, ton truc, là, ça ne me plait pas. » XD Je te rappelle, également, que, je vois mal, Avery abandonner, comme ça, du jour au lendemain, parce qu'il apprend qu'elle a acceptée la demande en mariage, de Graham. XD Au contraire, je vois très bien, le bel apollon persévérer, auprès d'elle, et espérait, du fond du cœur, qu'elle craque. :pop: En revanche, si la base de relation, qu'Avery et Graham, ont, dans l'histoire, je ne t'empêche pas, de modifier, quelques petits détails. De même, pour Aileen, son ex petite amie - j'ai ajouter ce nom, pour l'histoire, mais, tu peux, également, le changer, si tu veux. ;) - Pense, seulement, à m'en tenir informée, histoire que, je ne me sente pas seule et perdue, dans tout ça. Dans tous les cas, je te fouetterai!
présence/activité & orthographe › Des fautes d'étourderies, on en fait tous. Moi la première! Je ne vais, dont, pas venir t'incendier, si tu en fais quelques-unes. ;) Pense, simplement, à te relire, avant de poster. Ou, encore, à corriger tes fautes, si possible. Je pense, que, c'est plus sage et plaisant, de lire un joli poste, bien rédiger, plutôt que de voir une quinzaine de fautes, en trois lignes, qui me picotent les n'oeils n'oeils. XD D'autant plus, qu'il existe des correcteurs, en ligne, tels que BonPatron, Reverso, Cordial, et j'en passe. ;)
Quant, à la longueur des rp, je t'avouerai que, je ne suis pas difficile, pour ça. Tu peux, tout aussi bien rédiger une vingtaine de lignes, comme plus de cinquante, que, ça me conviendra, parfaitement. ;) Du moment, qu'un minimum de qualité, soit là, c'est l'essentiel. Pour ma part, je suis une vraie pipelette, donc... Si tu désires prendre le personnage, ça sera à tes risques et périls. XD
En ce qui concerne la fréquence de connexion, je tiens, juste, à te demander, d'être présent(e), un minimum. De venir poster, au moins, une à deux fois, dans un délai de trois semaines, au moins. Je pense, que c'est un bon compromis. Sauf, si, naturellement, tu es en période d'examen, ou que tu occupes un poste, très important, dans la société... Je peux, tout à fesse, le comprendre. ^^ Je veux juste, que tu sois un minimum motivé(e) et prêt(e) à continuer l'aventure. A gouverner le monde, en ma charmante compagnie! (oui oui, mes chevilles vont parfaitement bien, je te remercie! :p) Mais, je te rassure, je ne m'attends pas, non plus, à ce que, tu devienne un membre compulsif. Moi-même, j'ai mes limites. :p Je crains juste l'idée, qu'une fois ta validation acceptée, tu disparaisses dans la nature, comme ça, sans donner signe de vie. :noon: D'autant plus, que, ça ne ferait, que donner, du travail en plus, à l'équipe administrative, et de me donner une fausse joie. :noon: Et ça, on n'en veut pas. x) Mais, dans le fond, c'est bien connu : On a tous une vie, en dehors de l'ordi. Moi y compris. ;)
avatar › J'aime beaucoup Paul Wesley, pour ma part. Je le trouve super cute. Et très sexy! Mais, je peux, parfaitement comprendre, que, tu ne l'aimes pas. C'est pourquoi, l'avatar est entièrement négociable. ;) Je peux, même, te conseiller, de prendre Alex Pettyfer (), Garrett Hedlund, Iwan Réhon (), Josh Hutcherson (), Jeff Kasser, Julian Morris, Max Irons ou encore Richard Madden (), du côté des petits d'hommes. Toutefois, si, dans le pire des cas, tu n'arrives, à te glisser dans la peau, d'une personnalité masculine. Que, tu n'aimes aucun des choix proposé, dans ma petite liste. Ou, qu'on ne trouve un terrain d'entente, dans la tienne, sache, que je suis ouverte, à toute incarnation, d'avatars féminins! Il est vrai, que, je n'ai, encore, jamais eu le plaisir de jouer une relation amoureuse, avec une belle demoiselle. ^^ Mais, je dis... Pourquoi pas! Ca pourrait être amusant, enrichissant, et davantage, compliqué les choses, dans le triangle, je pense. ^^ Je pourrais, même, te conseiller de prendre Alicia Vikander (), (bon dieu, elle est magnifique dans The Best of Everything & Danish Girl... :bave: ) Anna Kendrick, Claire Holt (), Emma Stone, Emilia Clarke, Georgina Haig, Jennifer Lawrence, Lily James (), ou encore, Sophie Turner. Du moment qu'il/elle soit dans la tranche d'âge, que j'ai précisé, ça me va. (: Ceci dit, même si tu peux venir, et toujours tenter, de me proposer, tes personnalités favorites. ;) Mais, je pense, que, dans le fond, je me verrai un certain droit de véto, sur certaines têtêtes. Qu'il soit autant féminins, que masculins!
le petit plus pour faire la différence › Voili voilou... J'espère, ne pas t'avoir ennuyé(e), abusé de ton temps. Ou, que tu ne sois pas mort(e), assommé(e), par mon gros discours. Ou encore, effrayée, par tout ceci. (Je t'ai prévenue, pourtant, que je parlote, je parlote! XD)
Merci, pour tout, et sache, que, si tu tentes mon scénario, je te promets, que, je te lécherai les pieds, je te construirai un temple de mashmallows au Nutella, à ton image. Je me laisserai fouetter, violer. Me marierai, avec toi, ferait des bébés, qui domineront le monde. Je serai ton esclave à vie. Je ferai tout, absolument tout ce que tu voudras! :bave:
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