Nino Ziegler

Nino Ziegler

petite citation pour faire joli

les informations en vrac

- Nino est l’avant dernier d’une famille comptant huit enfants. Il n’a jamais connu son père, d’origine française, de passage à Wellington. Sa mère a eu une brève histoire avec ce dernier qui, alors qu’elle était enceinte de deux mois, lui a annoncé qu’il retournait en France. Elle ne lui a jamais avoué qu’elle attendait un enfant de lui et Nino, habitué à vivre sans père, n’a jamais vraiment posé de questions à son sujet.
- Il est très débrouillard, et ne demande dès lors jamais la permission lorsqu’il souhaite satisfaire sa gourmandise à sa guise : de peur de se faire répondre par la négative lorsqu’il demande des friandises, il a appris lui-même comment atteindre l’armoire à confiseries et à gâteaux. Et il ne s’en prive jamais. En revanche, lorsqu’il arrive à attraper un paquets de bonbons, par exemple, il n’aime pas trop le partager et serait parfaitement capable de terminer le paquet à lui tout seul si on le laissait faire. - Il aime beaucoup passer du temps devant la télévision. Dernièrement, il a eu l’occasion de voir le premier film d’Harry Potter alors qu’il était parti dormir chez un ami. Et il est totallement tombé amoureux de cet univers, à tel point qu’il rêve d’aller à Poudlard un jour. Lorsqu’il regarde ce film, il est totallement immergé par ce dernier et plus rien autour de lui n’a d’importance. En revanche, Voldemort lui fait tout de même un peu peur et il se cache toujours les yeux lorsqu’il le voit apparaître. - C’est un petit garçon assez curieux qui aime beaucoup poser des questions s’il y a certaines choses qu’il ne comprends pas, ou pour apprendre à connaître mieux certaines personnes. Il est très sociable également et parle très facilement avec n’importe qui, même des adultes qu’il ne connait pas. Il a toujours facilement été vers les autres, et n’aime pas rester tout seul dans son coin, ce qui lui vaut d’avoir beaucoup de camarades de jeux à l’école. - A la maison, Nino a toujours été un enfant très calme qui aime jouer tout seul dans sa chambre ou bien regarder la télévision, jouer au ballon dans le jardin, faire du trampoline sur son lit ou sur celui de ses frères et sœurs… A l’école par contre, il se montrait assez casse-cou et turbulent, mais depuis depuis que sa maman est décédée, il est plutôt bagarreur avec ses camarades, surtout lorsque quelque chose ne va pas comme il veut. Il a, on peut dire, la main légère et s’est dès lors retrouvé quelques fois chez la directrice pour avoir frappé l’un ou l’autre enfant dans la cour de récréation. Une attitude qu’il reproduit de plus en plus à la maison à l’égard des plus grands lorsqu’ils lui interdisent quelque chose qui lui fait envie, par exemple, ou bien sur le dernier enfant de la famille, lorsqu’il juge que ce dernier l’embête. Il sait pourtant bien qu’il ne peut pas frapper, que c’est souvent à ses risques et périls, mais pourtant, c’est plus fort que lui et il n’arrive pas toujours à s’en empêcher. - Il adore s’endormir dans le grand lit désormais vide de sa maman. Il a pris cette habitude depuis qu’elle est décédée. Ca le rassure de dormir là car il a l’impression qu’elle est avec lui. - Nino est somnambule. Pendant la nuit, il n’est pas rare qu’il se lève pour réaliser quelques petites actions de la vie quotidienne, comme se brosser les dents, mettre la table, faire son lit, allumer la télé et s’installer dans le canapé, … Des petites actions dont il n’a aucun souvenir le lendemain matin. - C’est un petit garçon très sensible et très câiin. Il adore venir se blottir tout contre ses grands frères et sœurs pour se faire pardonner d’une bêtise qu’il aurait pu faire, ou bien juste pour avoir leur attention rien que pour lui.  - Il a tendance à mentir un peu, à l’école comme à la maison, et même pris la main dans le sac, il a tendance à vouloir faire croire qu’il n’y est absolument pour rien. Il lui est par exemple arriver de cacher les clés de voiture de son frère dans une des chambres de ses frères et sœurs pour ne pas qu’il parte et pouvoir rester avec lui, et accuser le dernier de la famille de les avoir prises et de les avoir mis là… Et il n’est malheureusement pas à cours d’imagination pour imaginer de nouvelles bêtises du genre…  [/i]

les indiscrétions sur le joueur

Code:

<pris>Jacob Tremblay ›</pris> nino Ziegler

   

l'histoire de ma vie

petite citation pour faire joli

Il n’y a pas longtemps, j’ai eu une nouvelle institutrice à l’école et elle nous a demandé d’écrire tout ce qu’on voulait sur nous pour qu’elle apprenne à nous connaître un peu mieux. Et puisque mon histoire semble vous intéresser, voici une copie de ma rédaction :

Je m’appelle Nino et j’ai sept ans. Je suis né ici, à Wellington, comme mes frères et sœurs. J’en ai beaucoup, sept précisément mais on s’entend tous plus ou moins bien. Parfois, je me dispute avec l’un d’entre eux, mais maman disait toujours que c’est normal dans une grande famille qu’on se chamaille. Heureusement, quand cela arrive, on ne reste pas fâché très longtemps. Je n’ai jamais connu mon papa, je ne sais même pas comment il s’appelle ni à quoi il ressemble. A la maison, il n’y a jamais eu de papa en fait. C’est maman toute seule qui s’est toujours occupée de nous. Je ne sais donc pas ce que c’est que d’avoir un père à la maison, et du coup, ça ne me manque pas vraiment. Avec autant de frères et sœurs, je n’ai jamais vraiment le temps de m’ennuyer et j’aime bien ma famille comme elle est. En revanche, j’aurais bien aimé que maman reste auprès de nous et que sa maladie ne l’ai pas obligée à partir. J’avais quatre ans quand elle a appris qu’elle avait le cancer. Et c’est Laszlo, mon grand frère, qui m’a expliqué qu’elle était malade et que je devais être sage avec elle. Je ne comprenais pas bien ce qu’était le cancer, et je n’aimais pas savoir qu’elle était malade. Je lui ai souvent dit que lorsque je serais plus grand, je serais docteur pour pouvoir la soigner et qu’elle soit guérie. Seulement, elle n’a pas pu attendre que je grandisse et elle est partie au ciel il y a six mois. Elle me manque beaucoup, j’aimerais bien pouvoir lui faire pleins de câlins comme avant. A la maison, depuis que maman n’est plus là, c’est Laszlo qui s’occupe de nous tous et on vit tous ensemble sans personne. Mais Laszlo il se débrouille bien, même si des fois, il veut pas que je fasse certaines choses et que ça m’embête qu’il me dise non. Je sais par contre que je dois l’écouter et que c’est pas moi qui décide, même si j’aimerais bien. J’aime bien quand je peux passer du temps rien qu’avec lui, mais c’est pas tout le temps que je peux le faire parce qu’il a beaucoup de travail avec nous. Je lui parle pas beaucoup de maman parce que ça me rends triste, et aussi parce que je veux pas qu’il le soit. Mais je suis content que ce soit lui qui s’occupe de nous et c’est pour ça que je lui fais souvent des câlins.

A l’école, j’ai beaucoup de copains avec qui jouer et j’aime beaucoup y aller. J’aime aussi beaucoup jouer au ballon dans le jardin et faire du trampoline sur les lits et sur le canapé. Maman a toujours dit que j’avais beaucoup d’énergie, et c’est pour ça que je fais beaucoup d’activités après l’école : de la natation, du football, du théâtre, j’ai même fait du karaté aussi mais maman a plus voulu que j’y aille car je me servais de ce que j’apprenais au cours contre mes camarades quand ils m’embêtaient à l’école et les surveillantes étaient pas contentes.

Quand on me demande ce que je veux faire plus tard, je sais pas trop quoi répondre. J’aimerais bien pouvoir être un sorcier pour aller à Poudlard un jour, ou bien jouer au Quidditch parce que j’adore ce jeu. J’aimerais bien aussi continuer à faire du théâtre longtemps parce que j’adore me déguiser et jouer la comédie. Ou bien pompier pour sauver des gens ou pilote d’avions pour pouvoir voyager. Je sais pas trop encore, il y a beaucoup de choses qui me tentent. Mais j’ai le temps d’y réfléchir et pour tout dire, je ne suis pas vraiment pressé de grandir. Je suis qu’un petit garçon de sept ans encore, et je vis ma vie au jour le jour, comme tous les enfants de mon âge. Le reste de mon histoire est à écrire et en attendant, je veux la vivre pleinement.