congratulations, i'm proud of you (loysli)

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Aloysia and Sulli

Mon travail, c’est une partie très importante de ma vie. Je m’y donne corps et âme, contrairement a ce que certains pensent. Je veux le meilleur pour mon entreprise et je ne lésine pas sur les moyens pour ça. Je choisis les nouveaux talents de notre monde et les fais évoluer. Je suis pour la modernité. Malgré mes habitudes de droguée, au travail, je suis très performante.  Mes collègues parlent beaucoup derrière, disant que je passe plus de temps une paille dans le nez que dans mes manuscrits ou affaires administratives mais on voit ou en est l’entreprise et prouve que mon travail n’est pas si mal exécuté. J’aime faire savoir quand je suis fière de mon travail ou de celui des autres, mais je sais aussi être justes avec ceux qui le sont avec moi. Je suis passionnée par ce que je fais. J’aime lire et relire des manuscrits et le mieux, c’est quand je tombe sur un petit bijou. Ça m’est arrivé quelques fois et j’ai toujours réussi à faire de ce livre un succès planétaire. Je ne suis pas peu fière de dire que la Random House est la maison d’édition la plus coté du pays et ce, grâce à mon travail et celui de mes collaborateurs.

Il y a quelques mois mon directeur artistique a fait des choses qui ne m’ont pas plus alors je lui ai clairement fait comprendre que je n’aurai plus besoin de lui. Je me suis alors activement mise à la recherche d’un ou d’une remplaçante et en feuilletant les CV, je suis tombée sur une certaine Aloysia Rhodes. Très prometteuse, j’ai décidé de lui laisser sa chance, sans prendre en compte son visage merveilleux et ses courbes magnifiques. Elle fait partie de la grande famille littéraire de la Random House depuis maintenant trois semaines et je dois dire que son travail est irréprochable. Ce soir, j’étais encore au bureau très tard et le building commençait à se vider. J’avais eu l’idée de demander à ma nouvelle directrice artistique de venir à mon bureau dans la soirée, histoire de revoir quelques trucs ensemble, ainsi que de regarder son travail de plus près. J’avais totalement confiance en ce qu’elle faisait, surtout que je n’avais que des retours positifs. Fière d’avoir quelqu’un de performant dans nos rangs, je tenais à lui dire, histoire qu’elle continue sur le bon chemin, et puis peut-être même d’en apprendre plus sur la jeune femme. Avant qu’elle n’arrive, j’étale devant moi un peu de ma drogue préférée et en fait un trait net avec de l’aspirer par le nez avec un billet roulé. Fatiguée de ma journée, je ne préférai pas m’endormir devant mon employée. Quelqu’un tape à la porte de mon grand bureau. « Entrez. » criais-je, reprenant mon air sérieux et effaçant toutes traces de mon activité précédente.

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sulli & aloysia

Depuis trois semaines, je sortais un peu la tête de l'eau grâce à mon nouveau boulot. Il était très difficile de rester positive avec les questionnements fréquents de Soren sur l'absence de son père. Il n'avait que trois ans passés, et déjà il comprenait que tout ça n'était pas normal. Et sa façon à lui de déverser cette incompréhension et cette rage, c'était d'entrer fréquemment en opposition avec ce que je lui demandais de faire. Tout était sujet à discorde, et il suffisait de peu pour que cela parte en cris, en pleurs puis en câlins de consolation. Soren était perturbé, et cela me pesait d'autant plus sur le moral que je me sentais sûrement aussi seule que lui. Ensemble, nous pourrions surmonter tout cela, mais pour l'instant, j'étais au creux de la vague. Je n'avais plus la force de me battre au quotidien pour combler le vide qu'avait instauré mon époux. C'était d'ailleurs la raison qui m'avait poussé à reprendre un travail. Cela faisait trois semaines que j'étais la nouvelle directrice artistique de la Random House, maison d'édition connue et reconnue dans le pays. Un gros challenge pour une femme désespérée qui n'a pas travaillé depuis des années, mais c'est ce qu'il me fallait. Je n'aurais jamais suffisamment remercié ma nouvelle boss, Sulli Shepherd, de m'avoir donné ma chance. Cette jeune femme, contrairement aux idées reçues, était très compétente dans son domaine. C'était d'ailleurs, en plus du reste, ce qui me poussait à me surpasser. Elle m'avait donné ma chance et je devais lui prouver qu'elle avait fait le bon choix. Je m'étais donnée corps et âme dans ce nouveau métier, même si enchainer les journées de boulot, l'école, Soren et le reste était un exercice périlleux. J'osais croire que je m'en sortais plutôt bien, jusqu'à ce que je sois convoquée dans le bureau de Mme Shepherd. Merde, j'avais besoin de ce boulot. C'est ce qui me tenait debout aujourd'hui. Alors que l'immeuble était presque vide, je m'assurai que la babysitter avait bien récupéré Soren à l'école et finis par toquer à la porte. « Entrez. » Je poussai discrètement la porte. « Mme Shepherd, vous avez demandé à me voir ? » J'étais particulièrement stressée, et cela devait se lire à dix kilomètres. J'opinai du chef lorsqu'elle me demanda d'entrer et de m'installer. Je refermai la porte de son bureau avant de m'asseoir en face d'elle. « Merci. » finis-je difficilement par prononcer, par politesse. S'il fallait que je l'implore de me laisser une seconde chance, je le ferai. Mais pitié, ne m'enlevez pas ce boulot.

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Aloysia and Sulli

Je ne voulais surtout pas qu’on pense que j’étais le dragon de la boite, celle qui décidait de vous garder ou nom. Bien sur, j’avais ce rôle mais quand je devais le prendre de façon négative, c’était pour une très bonne raison. Ce que je voulais aussi, c’est encourager mais employés, surtout quand ils dont du très bon travail. C’est que je voulais faire ce soir avec ma nouvelle directrice artistique. J’ai été très impressionnée par son travail et je comptais bien lui dire, histoire qu’elle ne baisse pas les bras. Je lui avais demandé de passer à mon bureau après sa journée de travail, ne lui expliquant aucunement la raison pour laquelle je voulais le voir. Je ne veux pas qu’elle s’imagine que je vais la virer, et elle le sera très prochainement. Je l’entend frapper à la porte de mon bureau et lui demande d’entrer. Son visage apparaît dernière celle-ci. « Mme Shepherd, vous avez demandé à me voir ? » Me demande-t-elle en entrant dans la grande pièce. Je dois d’ailleurs avouer qu’elle a un très joli visage et un corps de rêve. J’y prêtais attention bien qu’elle soit mon employé et que rien ne pouvait se passer entre elle et moi. Quoi que, ce n’est pas comme si j’étais une femme conventionnelle. « Oui, venez vous asseoir, je vais vous expliquer. » lui dis-je, l’incitant à venir en face de moi. Elle ferme la porte et vient me rejoindre. « Merci. » finit-elle par me répondre par politesse, d’un ton anxieux. Mon visage restait neutre, gardant mon rôle de chef d’entreprise. « J’ai demandé à vous voir pour parler de votre travail. Ça fait maintenant trois semaines que vous êtes ici, j’aimerai faire le point. » Lui dis-je doucement, gardant encore le suspens sur mon avis à propos de son travail. Je prends un dossier ou tout ce qu’elle a fait y est noté, où tout son travail y est décrit. Je feuillète une dernière fois, pinçant ma lèvre. « En fait, je suis très impressionnée par ce que vous avez réalisé pendant ces quelques semaines et je tenais à vous le dire. » Lui dis-je, regardant de nouveau les pages. J’imaginais combien mon employée devait être soulagée d’entendre ses quelques mots de ma part. Je sais combien s’est motivée d’entendre son patron te complimenter et c’est mon but ultime. Je lui souris, fermant ce bouquin ou tout était écrit. L’atmosphère peut se détendre. « Vous avez fais un meilleur travail en quelques semaines que notre ancien directeur artistique. J’ai fais un très bon choix un vous prenant parmi tout ceux qui ont postulé et malgré le fait que nous n’ayez pas travailler dans ce domaine depuis longtemps. Continuez comme ça. » Ajoutais-je une nouvelle fois, toujours un grand sourire aux lèvres, me présentant sous un nouveau jour à ma directrice artistique.

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sulli & aloysia

« Oui, venez vous asseoir, je vais vous expliquer. » Sans dire plus que ce que la politesse l'exigeait, je m'assis docilement sur un siège de l'autre côté de son bureau. J'étais anxieuse comme je ne l'avais pas été depuis longtemps. Enfin, pas de la même manière que je l'étais au quotidien depuis que mon époux avait décidé de se faire la malle. Je me pinçai les lèvres, l'air grave. Que mon sort dépende d'une femme plus jeune aurait pu en agacer plus d'un, mais ce n'était pas mon cas. Au delà de son physique ravageur, Sulli Shepherd en avait dans la tête. Peut-être pas autant qu'elle l'imaginait, d'ailleurs. J'osais croire qu'elle me laisserait une deuxième chance en cas d'urgence, mais c'était sans compter sur les requins que compte le monde de l'édition. Non, pour sauvegarder la compétitivité de son entreprise, je devais faire l'affaire ou elle n'aurait pas d'autre choix que de me remplacer. Qu'elle soit bienveillante ou non. « J’ai demandé à vous voir pour parler de votre travail. Ça fait maintenant trois semaines que vous êtes ici, j’aimerai faire le point. » Mon coeur battait la chamade, et je ne pus produire davantage de son qu'un pitoyable "hm" aigu, semblable à une onomatopée de dessin animé. « En fait, je suis très impressionnée par ce que vous avez réalisé pendant ces quelques semaines et je tenais à vous le dire. » Je restai bouche bée, choquée par ce que je venais d'entendre. Elle était fière de mon travail ? Mince, j'étais finalement bonne à autre chose qu'à rester à la maison comme une mère au foyer désemparée. Mes épaules se relâchèrent soudainement, et je réfrénais l'envie de verser une petite larme de soulagement tandis que ma patronne feuilletait une partie de mon travail. « En fait, je suis très impressionnée par ce que vous avez réalisé pendant ces quelques semaines et je tenais à vous le dire. » J'haussai subitement les sourcils. Je roulai des yeux, clignant les paupières plus vite que l'éclair pour empêcher cette pauvre larme de surgir sur ma joue... en vain. Une seule petite perle vint rouler sur mon visage. Je l'essuyai d'un revers de la main en riant nerveusement. « Excusez-moi, c'est juste que... ça fait plaisir. » L'atmosphère était beaucoup plus détendue, et c'était une larme de joie qui m'avait poussé à sortir de mon mutisme. « Vous avez fait un meilleur travail en quelques semaines que notre ancien directeur artistique. J’ai fait un très bon choix un vous prenant parmi tous ceux qui ont postulé et malgré le fait que nous n’ayez pas travaillé dans ce domaine depuis longtemps. Continuez comme ça. » Le grand sourire de ma patronne contrecarrait clairement les rumeurs selon lesquelles elle était le dragon sans âme et sans coeur d'une boîte renommée (oui, les clichés ont parfois la peau dure). Je ne l'avais jamais imaginé être une terreur, mais sa reconnaissance me faisait vraiment chaud au coeur. « Je vous remercie, vraiment. Vous n'imaginez pas à quel point ça compte pour moi, tout ça... » Je pesais mes mots. « Que vous m'ayez donné ma chance était déjà incroyable, mais que vous soyez satisfaite de mon travail l'est encore plus. » C'était inespéré pour une femme esseulée comme moi, et cela devait certainement se lire sur mon visage. « Je vous promets de continuer à mettre toute mon énergie pour la Random House. » annonçai-je fièrement. Mon appartenance, désormais, à cette boite et la reconnaissance de ma patronne me sortait la tête de l'eau mais plus encore : cela me donnait, pour la première fois depuis des lustres, confiance en l'avenir. Et ça n'avait pas de prix.

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Aloysia and Sulli

Le visage de mon employé traduisant sa surprise face aux mots que je venais de prononcer. Elle n’avait pas l’air de s’attendre à des compliments en se rendant dans mon bureau. Pourtant, je n’appel pas toujours les gens qui travaillent pour moi juste pour leur faire une remontrance. La motivation et le bien-être au travail sont la base pour un travail réussit. Evidement, lui confier la fierté que j’avais pour elle était quitte ou double. Soit elle se reposait maintenant sur les lauriers, soit elle se défonçait encore plus pour qu’à mes yeux, elle devienne vraiment un élément indispensable de la Random House. Je vis une petite perle couler le long de son visage. Je ne souhaitais pas la faire pleurer, bien au contraire. « Excusez-moi, c'est juste que... ça fait plaisir. » Se justifiait-elle, me rassurant sur son état émotionnel. Ce que je souhaitais avant tout était de la motivée pour qu’elle continue à être aussi performante. Je continuais alors a lui exposer les raisons pour lesquelles j’appréciais son travail, insistant sur le fait que son prédécesseur était beaucoup moins qualifié qu’elle alors qu’il avait plus d’expérience et de qualification.  Je vous remercie, vraiment. Vous n'imaginez pas à quel point ça compte pour moi, tout ça... » Je ne connais pas son histoire et son passé, mais j’avais comme l’impression que son travail ici représentait beaucoup. « Que vous m'ayez donné ma chance était déjà incroyable, mais que vous soyez satisfaite de mon travail l'est encore plus. » C’est vrai, parmi toutes les lettres de motivations et CV, c’est elle que j’avais choisie. Elle n’avait pas travaillé depuis des années mais j’avais tout de suite senti qu’elle pouvait convenir, surtout lors de notre entretient d’embauche. J’avais décidé de lui donner sa chance, et maintenant je ne le regrettais vraiment pas. Son visage montrait combien elle était touchée par mon attention, et finalement, ça me faisait plaisir. « Je vous promets de continuer à mettre toute mon énergie pour la Random House. » C’est que je voulais entendre. Je veux qu’elle se donne corps et âme pour mon entreprise et qu’elle fournisse le meilleur travail. Nos auteurs, nos clients doivent être le plus satisfait possible. En tout cas pour l’instant, je n’avais eu que des retours positifs de son travail, et je l’avais aussi vu de mes propres yeux. « C’est ce que je voulais entendre. Je veux que vous fassiez parti intégral de notre entreprise, un élément indispensable. » Lui dis-je, montrant combien je suis prête à la suivre dans son travail. « Assez parlez de travail pour ce soir. » Annonçais-je en me levant, allant chercher dans le petit frigo qui décorait mon bureau une bouteille de champagne et deux flûtes. Je me tournais de nouveau vers mon employée et revint m’asseoir. « Fêtons votre travail, d’accord ? » lui demandais-je, bien que je doute qu’elle refuse mon invitation. J’avais envie de la découvrir un peu plus. En plus d’être une femme incroyablement douée pour son travail, j’appréciais la voir parce qu’elle est sublime. J’ai du mal à cacher mon attirance. Elle est d’une beauté fulgurante, et je l’avais remarqué depuis notre premier rendez-vous professionnel. « Parlez moi un peu de vous, en dehors du travail. » Lui demandais-je, cherchant à en savoir un peu plus sur celle qui travail jour et nuit pour mon entreprise.

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sulli & aloysia

Si j'avais su que ce rendez-vous avec ma patronne se passerait ainsi, je n'aurais certainement pas été dans l'état d'anxiété dans lequel je m'étais retrouvée les heures précédentes. Elle ne tarissait pas d'éloges sur mon travail, et cela me touchait au plus haut point. Revenir dans la sphère professionnelle, qui plus est dans le monde de requins qu'est celui de l'édition, était un pari osé. Elle m'avait fait confiance, et je comptais bien lui retourner cette main tendue. Heureusement pour moi, d'après ce que j'entendais, je n'étais pas totalement rouillée. Je faisais même du très bon boulot, à en juger par les critiques de ma supérieure. Cette reconnaissance me surprenait tout autant qu'elle m'emplissait le coeur d'un bonheur sans nom. Pour être à la hauteur, je bossais jour et nuit, pendant que mon fils était à l'école évidemment, mais après qu'il s'endorme le soir, aussi. Je ne comptais pas mes heures supplémentaires, et cela avait payé. J'ignorais si j'étais capable de tenir longtemps sur ce rythme mais pour le moment, j'étais plus déterminée que jamais. Ce que je faisais clairement savoir à ma patronne.  « C’est ce que je voulais entendre. Je veux que vous fassiez partie intégrante de notre entreprise, un élément indispensable. » Je lui adressai un sourire reconnaissant en opinant fièrement du chef, lorsque ce rendez-vous prit une toute autre tournure. « Assez parlé de travail pour ce soir. » Oh, ah bon ? Je n'eus pas le temps de comprendre ce qu'il se passait que déjà ma patronne avait une bouteille de champagne et deux flûtes dans les mains.  « Fêtons votre travail, d’accord ? » Je ne pus cacher ma surprise, mais il était hors de question de refuser. Et puis une petite coupe de champagne n'a jamais tué personne. « Avec plaisir, merci. » dis-je simplement en attrapant l'élixir des rois. Mme Shepherd me semblait particulièrement avenante ce soir, et si cela me surprenait, je n'en étais pas moins satisfaite. Apparemment, elle m'appréciait et je ne pouvais que m'en féliciter. « A la Random House. » lançai-je avec un esprit très "corporate" qui plairait sûrement à ma patronne. « Parlez moi un peu de vous, en dehors du travail. » Mince, une nouvelle question surprenante. Je ne m'attendais vraiment pas à un entretien de la sorte mais, au fond, la tournure que prenaient les choses me plaisait. J'avais l'impression qu'elle essayait d'instaurer un vrai climat de confiance, et qu'elle cherchait simplement à discuter de femme à femme. Etrangement, ça me plaisait vraiment. « Il n'y a pas grand chose à dire. » J'haussai les épaules, consciente néanmoins que cette réponse ne suffirait pas. « J'ai un fils. Soren, il a quatre ans. » Cette information était suffisamment intime pour que je ne donne pas l'impression de me dérober, et suffisamment large pour éviter de passer pour ce que j'étais : une mère (presque) célibataire et désespérée. « Et vous ? » C'était le meilleur moyen d'échapper à d'autres questions sur ma vie privée, qui n'avait rien de flamboyant en ce moment. « Enfin, si je peux me permettre... »