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contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
avril 2024
12° - 19° // le vent est de retour à ib..
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.


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 Late Night 'It's Okay'

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MessageSujet: Late Night 'It's Okay' (#)   Late Night 'It's Okay' EmptyJeu 2 Mar - 22:12

❝Late Night 'It's Okay' ❞
Newton & Aoline

Danser avec le diable. Voilà ce que tu penses. Cette chanson qui passe en fond, t'as l'impression qu'elle reflète bien ta situation. Tu danses avec le diable et pas qu'un peu. Dans quoi tu t'es aventuré en revenant ici ? Pire encore : en la retrouvant. Tu aurais pu te faire oublier, ne pas mentionner le fait que tu étais de retour. Juste passer cette info sous silence. Elle n'aurait rien vu ou alors.. ça aurait pu être pire. Bien pire. Elle aurait pu te confronter et la sentence aurait été fatale. Tu l'sais bien. Comme un con, tu as pris les devant et le résultat ? Peu concluant, t'es encore plus perdu qu'avant. Tu joues une comédie qui va bientôt prendre fin. Tu crains le moment où le rideau va tomber. La claque que ça va faire, la douleur qui va s'abattre. Tu redoutes ce moment, tu l'évites. C'est mieux ainsi. Parce que la douleur tu la ressens moins. Elle te brûle plus de l'intérieur. Cette comédie dans laquelle tu t'es fourrée, te convient. Elle t'apaise. Tu sais parfaitement que ce n'est pas l'idéal, que ce n'est qu'une mascarade … mais tu ne saurais faire autrement. T'as besoin de ça. Jusqu'à quand ? Tel est la question. Tes doigts enlève le tube bloque contre tes lèvres. Tu ne t'es même pas rendu compte qu'elle est finie. Tu l'as pratiquement pas savouré. Bien trop occupé par tes pensées. Tes pas t'ont conduit ici. Soufflant à nouveau et l'écrasant. Tu dois trouver un cadeau. Un cadeau pour ta mère. T'as aucune idée de ce que tu vas lui prendre. Son état empire et tu n'arrives pas à mettre les mots sur ton état. Tu es revenu pour elle. Pour eux. Pour les aider, ton père a besoin de toi. Tu as besoin d'eux et c'est en revenant ici que tu t'en rendu compte. L'absence qu'ils ont creusé dans ta vie et que tu as fait dans la sienne. Ils ont compris et acceptés ton choix. En même temps, tu leur avais pas laisser le choix. Tu avais besoin de partir, de voler de tes propres ailes. Ici tu étouffais et puis tu n'avais plus ta place. Elle te l'a bien fait comprendre. Écrasant ton cœur au passage. Le pulvérisant en mille morceau. Tu préfères songer à autre chose que ce jour. Le jour où ta vie ou plutôt ton coeur a volé en éclat. T'es pas prêt à revivre ça. Parce qu'à chaque fois que t'y songe, ton être ne fait qu'un tour. Tu as l'impression que c'était hier.. et pourtant ça fait cinq ans. Cinq ans que tu songes à autre chose. Cinq ans où tu pensais avoir tourné la page. Cinq ans et .. te voilà de retour à la case départ. Cette fois-ci, tu ne peux pas fuir. Tu ne peux pas prendre le premier avion qui vient. Tu dois assumer. Tu dois grandir. Mot qui te fait frisonner. Tu peux sentir tes poils se lever sur tes bras. T'engouffrant dans le centre commercial. Te persuadant que c'est l'effet de la clim qui fait ça… sauf qu'au fond tu sais que c'est la peur de grandir qui te rend ainsi. Ouais, t'as peur. C'est stupide, mais c'est comme ça. Grandir, devenir responsable, assumer ses actes, trop de chose qui ne vont pas lorsqu'on te connaît. Et là… tu dois te les implanter dans ton système. Pour lui. Pour celui qui t'a maintes fois aider. Pour celui qui a fait de toi cet homme. Pour celui qui a fait de ton enfance un rêve éveillé…

Soufflant en voyant la foule. Pensant que tu n'es pas sorti de l'auberge. Surtout que tu n'as aucune idée de quoi lui prendre. De ce qu'elle aimerait. Tu te doutes « tout », surtout si ça vient de tout. Tu sais qu'elle accepterait même un dessin, comme lorsque tu avais cinq ans. Sauf que tu as grandi et que tu n'es plus en âge de lui faire un simple coquelicot. Ton regard passe de boutique en boutique. Rien ne t'appelle. Rien ne t'attire. Tu hésites un instant entre l'escalier et l'ascenseur. Finalement tu optes pour l'option deux. Flemme de lever tes jambes. T'as envie de te reposer un instant. « Retenez-le » Une voix te sort de tes pensées. Aussitôt tu plaques ta main sur les portes, l'empêchant de repartir. Une petite silhouette s'engouffre à l'intérieur. Tu entends un merci et reprends ta place dans le fond.  Réfléchissant à ce que tu pourrais lui prendre. Tu sais à qui tu pourrais le demander mais .. l'idée même te plaît comme te déplaît. Tes doigts frôlent l'appareil se trouvant dans ta poche. L'objet old school comme certains diront, mais il te sert juste à appeler. T'en as rien à faire qu'il prenne pas de photo ou qu'il ne soit pas connecté au monde. Ça t'importe peu toutes ces fonctions. Toute façon t'as jamais été fan de tout ça. C'est juste pour être joignable. Tu hésites à le sortir et lui envoyer un message, lui demander son avis… est-ce une bonne idée ? Jusqu'ici tu enchaînes les mauvaises idées et t'y vas la tête la première, le couteau dans les mains. Sans réfléchir aux conséquences. Une de plus ou une de moins. Au moment où tu sors ton cellulaire, une secousse se fait sentir. Les lumières clignotent et puis.. noir complet. Fronçant tes sourcils. Intrigué par ce qu'il passe. Tu lèves les yeux, pensant que la lumière va revenir. Et toujours rien. Une lumière apparaît devant toi, la petite silhouette s'agite, tu ne comprends pas bien ce qui se passe, ce qu'elle trafique. Tu soupires. Priant pour que ça ne soit que passager …
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