home sweet home (sean.)

   

sean sawyers

❝ Les hommes n'ont pas de cellulite. Rien que pour ça, on sait que Dieu est un homme. ❞

   

les informations en vrac

un. Il est né à New York, dans l’arrondissement de Brooklyn précisément. Il n’y est pas resté longtemps, quelques mois, avant que ses parents prennent leurs bagages pour venir s'installer Island Bay. Ils rêvaient d’une vie meilleure pour leur petite famille, famille qui s'est agrandie six années après car ses parents lui ont donné une petite sœur. deux. Il se rend au moins une fois par an sur New York pendant la période des fêtes généralement pour rendre visite à ses grands-parents maternels et paternels qui ne sont plus que les seuls à vivre là-bas. trois. Il fut une époque où il émergeait, la plupart de ses matins, de sous des couettes d'inconnues chez qui il avait dormi et avec qui il avait couché. Il prenait son pied à changer de partenaire chaque nuit, découvrant ainsi diverses personnalités allant des plus banales aux plus farfelues. Il est curieux après tout. quatre. Il n’a aucune patience. Il faut aller au plus court avec lui et ne pas trop le faire réfléchir, surtout dans la lecture d’où pourquoi il prenait plaisir à lire une bande dessinée durant son enfance. Pas besoin d’imaginer le paysage, le décor et le visage des personnages. Il n’avait qu’à lire ce qu’il y avait dans les bulles. Il avait une préférence pour les comics. Des héros combattant leurs ennemis pour sauver le monde. Il a toujours détesté l’injustice et à ce quelqu’un s’en prenne à plus faible que lui. cinq. A l’époque où il était petit garçon, il vouait d’ailleurs un culte pour Batman. A chaque parution d’un nouveau comic de Batman, il se ruait chez le libraire du coin avec son argent de poche en petite monnaie pour l’obtenir et en connaitre un peu plus sur son héros. Il lui arrivait souvent de se cacher sous sa couette après l’heure du coucher avec une lampe de poche dans une main et son comic de l’autre, espérant que ses parents ne débarqueraient pas à l’improviste pour lui tirer son comic des mains. Il s’est toujours retrouvé en lui et encore plus aujourd’hui : mystérieux, indépendant et défenseur de la justice. six. Il est très doué au poker et remporte ainsi pas mal de parties pour se faire de l'argent. Il ne repart jamais sans rien dans les poches. Il fait toujours en sorte de gagner puisqu’il est mauvais perdant, d’autant plus à ce jeu. sept. Il n'est pas un modèle à prendre et ça dés son plus jeune âge. Il le sait, mais cela ne l’a jamais arrêté. Petit déjà, il faisait le pitre en classe dans le but de faire rire ses camarades, sans penser aux conséquences derrière. Adolescent, il collectionnait les bêtises avec sa bande de potes comme par exemple, faire des figures avec son vélo avec l’aide d’une rampe fabriquée avec quelques planches de bois et des clous, ce qui a eu pour conséquence de le faire atterrir à l’hôpital et être ressorti avec trois points de suture. Jeune adulte, il ne s’est pas calmé pour autant. Il enchainait les soirées, comme les conquêtes donc, où l’alcool coulait à flot. Aujourd’hui, il a enfin fini par s’assagir, mais il continue de se faire des soirées en bonne compagnie. huit. On lui reproche justement d'être beaucoup trop fêtard et sa franchise, qui parfois vexe, mais il ne se soucie guère de ce que les gens pensent. Toutefois, il a appris à tourner sa langue dans sa bouche avant de parler au travail, au risque de s’attirer les foudres de ses collègues. neuf. Il ne mesure pas les conséquences de certains de ses actes que ce soit dans les paroles ou dans les gestes, mais le plus souvent dans les paroles. dix. Il lui arrive d'être violent quand on le cherche ou qu’on s’attaque à ses proches, amis comme famille. Ils ne sont pas nombreux mais il tient à eux comme à la prunelle de ses yeux. D'ailleurs, il a souvent eu tendance à surprotéger sa petite sœur par le passé, mais il a appris à prendre du recul et à la surveiller du coin de l’œil. onze. Il ne supporte pas qu'on se mêle de sa vie encore moins qu'on prenne des décisions à sa place, il l’a notamment fait savoir à partir de sa majorité en laissant tomber ses études. Certes, son père n’était pas d’accord de son choix, mais il s’y attendait connaissant son fils. douze. Il n’accorde pas facilement sa confiance aux gens, ils sont d’ailleurs très peu à qui il fait confiance. treize. Il déteste par dessus tout le mensonge et l'idiotie, bien qu’il peut parfois lui arriver de mentir pour se sauver la mise. quatorze. Il joue très bien la comédie et dans n'importe quelle situation, quand il était petit particulièrement. quinze. Il déteste littéralement les films d'amour et tout ce qui s'y rapproche. Il trouve ça d’un ennui mortel, rien ne vaut un film d’action avec de l’aventure, des effets spéciaux et des confrontations tel que le seigneur des anneaux qu’il aime extrêmement ou un film d’horreur. Il regarde également des thrillers et drames du moment que l’amour est à petite dose. seize. Il adore la nourriture, particulièrement les bonbons et la mal bouffe. Quand l’envie lui prend, il peut préparer de bons petits plats, malgré son impatience, mais il préfère s’engloutir un hamburger au bacon, par exemple, son plat préféré. dix-sept. Il est indépendant, c’est dans son caractère. Il demande rarement de l’aide à ses proches et quand il entreprend quelque chose il aime s’en occuper du début à la fin, seul. dix-huit. Il est passionné de deux choses, à commencer par le sport. Il a touché à tous les sports, mais à une préférence pour les sports à sensations et sur terrain. Quand il peut, il fait en sorte de se rendre au stade pour être dans l’ambiance tout en regardant le match souvent pour aller voir le rugby avec les All Blacks qu’il a toujours supporté avec son père. De plus, dans la famille, le sport n’est pas qu’une simple discipline sportive, c’est tout une éducation. Son père lui a toujours appris à avoir l’esprit d’équipe, être le meilleur, s’amuser et avoir du respect pour les autres dans le sport comme dans la vie. Viennent ensuite les voitures. Il apprécie regarder les belles voitures encore plus les conduire et bichonner la sienne. Il n’hésite pas non plus à mettre les mains dans le cambouis pour en apprendre d’avantage sur la mécanique. dix-neuf. Il a pris l’habitude de débuter la journée en écoutant un vinyle de son groupe de musique préféré. Rien de tel pour se réveiller et bien débuter la journée. Pour vous donner un indice sur ce groupe en question : «Back in black … ♫ » AC/DC, bien sûr. C’est un fan de rock. Il a même appris à jouer de la guitare acoustique durant son adolescence entre copains. vingt. Il a perdu sa mère à l’âge de seize ans suite à un accident de voiture dont son père était le conducteur. Son père, lui, a survécu. Il lui en veut et met cet accident sur son dos, sachant qu’il tenait vraiment à sa mère. Il a été profondément attristé lorsqu’il a compris qu’elle ne serait plus là, d'ailleurs depuis ce triste jour, il n’a plus versé une larme. vingt-un. Suite à ça, il lui en a d’autant plus voulu de ne pas l’avoir consolé ou s’être occupé de lui préférant, lui, passer son temps au travail pour combler sa peine. A seulement seize ans, il dut très vite se débrouiller seul et apprendre à s’occuper des tâches du quotidien. C’est comme ça qu’il a appris à être autonome et à rester fort psychologiquement. Heureusement son oncle était là pour l'aider. vingt-deux. Ne le supportant plus, il décide à ses vingt et un ans de quitter le domicile familial laissant son père et sa belle-famille derrière lui et un mot : « Je m’en vais, je vais faire ma vie. S. » vingt-trois. A ses vingt-cinq ans, il tombe amoureux d’une femme, Avery, qui lui a redonné la joie de vivre et deviendra cinq ans après la femme de sa vie. Il s’est décidé à la demander en mariage, lui qui pourtant aime être libre comme l’air. vingt-quatre. Il vivait une relation idyllique avec elle pendant plusieurs années avant d’y mettre un terme, exaspéré qu'elle fasse passer son travail avant son couple, c’est encore récent. Il est donc en pleine procédure de divorce. Cette décision n’a pas été des plus faciles pour lui et la touche sincèrement.

   

les indiscrétions sur le joueur

   
   

Code:

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l'histoire de ma vie

❝ It's my life It's now or never I ain't gonna live forever
I just want to live while I'm alive ❞

   Je suis qu'un mec parmi tant d'autre, je me nomme Sean Sawyers, j'ai trente-cinq ans, j'ai rien de plus ou de moins que les autres, j'ai les yeux noisette, une tignasse châtain clair sur la tête, je suis grand mais pas géant non plus, je ne suis pas gros, juste musclé. Je suis une personne très protectrice, quand il s'agit de ma moitié et de ma petite sœur, curieux j'aime savoir la vie des gens, parait que je suis intelligent, drôle, sympathique, et d'autre chose dans le genre. Pourtant je suis aussi solitaire et mystérieux, violent quand on touche aux personnes que j'aime. Je suis né à New York, mais j’ai toujours vécu ici. Comme la plupart des enfants du coin, j’ai grandi avec ma petite sœur dans la joie et la bonne humeur et avons reçu une bonne éducation de la part de nos chers parents. Tout le monde nous enviait et disait de nous que nous étions une famille heureuse et unie mais tout a basculé le jour où j'ai su que ma mère ne ferait plus partie des nôtres, suite à un accident de voiture. J'avais seize ans. Mon père est le seul à avoir survécu, et je n'ai pas trouvé d'autres moyens que de mettre cet accident sur son dos. Notre relation n'était alors plus la même qu'auparavant et au fil du temps, cette relation ne s'est pas améliorée. Heureusement, j'ai trouvé quelqu'un, une femme, qui m'a redonné la joie de vivre.
« Je sens comme un air de routine, depuis quelques temps, pas vous ? » lança Collin, un de mes collègues de travail, tandis que j'essayais de faire marcher cette foutue machine à café. Comme tous les matins, nous avions pour habitude de nous rassembler devant les distributeurs avant d'entamer notre journée, mais ce matin-là, mes collègues semblaient envieux de nouvelles aventures et sujets à ragots, pire que des femmes. « T'as qu'à trouver une occupation, c'est toi le clown du groupe, non ? » proposais-je en lui adressant un sourire moqueur. « Ouais mais, je sais pas, il semblerait que tout le monde se marre bien plus quand tu relèves des défis. » « Sans déconner. » ricanais-je tout en levant les yeux au ciel. « Dommage, j'ai déjà relevé tous vos défis lancés. » « T'es pas au courant ? » s'étonna Casey en remuant la cuillère dans son café. « Au courant de...? » « Les inspecteurs ont conclus un pari. Ils ont pariés que tu ne pourrais pas séduire l'infirmière qui fait les visites médicales ces temps-ci. Je crois bien qu'elle s'appelle Avery. Il paraît que c'est loin d'être une affaire facile, si tu vois ce que je veux dire. » me lança Collin, soutenu par les autres.  « Avery... » répétais-je, pensif. « C'est pas un défi, c'est un jeu d'enfant. » « Enfin, par séduire, ils ne voulaient pas dire "la mettre dans ton lit". » précisa tout de même Casey avec un regard amusé. « Mais la faire tomber amoureuse de toi. » « Je ne saisis pas la différence, Casey. » répliqua Collin. « C'est du pareil au même. Facile. De combien de temps je dispose ? » « Il me semble qu'ils ont parlés d'un mois. » « Un mois ? Deux semaines à peine et elle sera à mes pieds » Puis un clin d'œil, une poignée de mains et le pari était conclu. Et le résultat fut une véritable réussite.
Dix mois. Dix mois que nous étions ensemble. Notre relation était idyllique. Nous nous comprenions en un seul regard, nous nous disputions presque jamais et ne cachions rien l'un envers l'autre. Nous étions donc heureux, tout simplement. Cependant, nous n'étions vraiment pas prédestinés à entretenir une telle relation. En effet, c'est sans compter sur le milieu particulièrement aisé d'Avery. Ses parents voulaient donc le meilleur pour leur fille et unique enfant. Malgré ça et mes revenus modestes, j'ai fait mon possible pour qu'Avery ne manque de rien et soit heureuse dans mes bras, car je craignais qu'elle me quitte pour un autre homme beaucoup plus fortuné que moi, bien qu'elle me disait qu'elle ne me quitterait pour rien au monde. Après donc plusieurs mois ensemble, Avery avait décidé de me présenter à ses parents autour d'un repas et j'avais accepté, sans penser avoir fait une erreur. Le pire était à venir, non pas pendant, mais après ce dîner. « Alors ? Qu'est ce que vous pensez de Sean ? » « Ma chérie, écoute. Je ne pense pas que ce garçon est fait pour toi. » « Et je peux connaitre la raison ? » « Nous n'allons pas passer par quatre chemins, il ne te convient pas. Regarde d'où il vient. Tu veux vraiment faire ta vie avec un garçon pauvre comme ça ? » « Papa, je ne parlais pas à toi. » « Avery. Ton père a raison, ce garçon n'est pas celui qu'il te faut. Nous te trouverons un petit copain digne d'entrer dans notre famille et de t'offrir ce que bon te semble. Discussion terminée. » « Arrêtez ! Vous croyez réellement que vous allez réussir à nous séparer en un claquement de doigts et décider de mon avenir ? J'ai le droit de vivre ma vie comme je l'entends. Je l'aime, peu importe sa fortune du moment qu'il me rend heureuse et c'est le cas aujourd'hui. Je refuse de m'en séparer ! » « Avery, j'ai dis que la discussion était terminée. » Malgré ça, nous avons quand même vécus notre amour et cela ne m'a pas empêché de la demander en mariage. A la suite de ce mariage, celle-ci a voulu à tout prix nous trouver un nid pour vivre sous le même toit. Bien que je tenais à mon indépendance, je n'ai pu refuser.


but everything has an end ...