where are you now. - eleonor.

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eleonor

Personne. Non, il n'y a personne aujourd'hui à la boutique. Pour être franc on est vendredi alors que voulez vous qu'il y ai du monde ? Je ne sais pas moi, mais je m'emmerde clairement. Je m'avance vers ma collègue doucement. « Est-ce que tu peux faire la fermeture toute seule s'il te plait ? » elle hausse les épaules. « Je ne sais pas pourquoi ? » Je me pince doucement mes lèvres. « J'ai quelques soucis à la maison et faut que je rentre plutôt pour régler tout ça. » j'espère qu'elle va me croire. Elle soupire puis un client nous interrompe. Je le salue comme lui puis il demande juste sa route, je laisse ma collègue faire et je la regarde quand il part. « S'il te plait... » je la regarde en la suppliant. « C'est bon dégage Ed, tu me revaudra ça de toute façon ! » je fais un oui de la tête en la remerciant, je passe rapidement derrière le comptoir puis je vais au plus vite dans les vestiaires pour me changer. En réalité, je venais de t'envoyer un message pour te dire de ne pas prendre le bus. Tu allais voir pourquoi. Une petite journée entre nous deux ne va pas nous faire de mal en réalité. Je viens alors prendre les transports en commun pour rejoindre ton lycée qui est a l'autre bout malheureusement. J'ai mis ma musique sur mes oreilles, mettant un rap français. Je ne comprends pas tout mais le rythme qu'ils ont m'entraîne et me donne envie de dessiner. Je sors mon cahier puis je viens griffonner quelques trucs sur ma feuille. Les personnes qui vont et viennent a mes coter arrêter d'observer se que je fais mais je m'en fou. Je griffonne quelques trucs pour ma bd que j'ai mis en pause pour le moment du au manque d'inspiration. Je relève alors la tête puis je vais arriver devant ton lycée. J'appuie sur le bouton stop et range rapidement se que j'ai sortie. Je me lève puis j'attends que le bus s'arrête. Je sors, marche tranquillement jusqu'à devant ton lycée. Nous n'avons pas été au même lycée mais a force je connais très bien le chemin pour venir. Combien de fois je t'es sortie de là, heureusement qu'on a le même de famille par moment et que je pouvais te signer t'es mots de sortie. Enfin bon, alors que je t'attends devant l'établissement je sors mon paquet de cigarette pour venir m'en griller une. Pourquoi pas, ça fais un moment que j'ai pas fumer... quelques secondes avant de prendre mon bus. Mais bon c'est comme ça, une gros consommateur de clope ? C'est moi. Je dis présent. Je lève la main en effet. Mais bon c'est comme ça. Je bouger un peu ma tête de gauche a droite au rythme de la musique. Puis je m'arrête tout à coup en commençant a voir des personnes sortir de l’établissement. Je suis un peu éloigner, je retire mes écouteurs puis je les range. Quand je te vois sortir, je pense bien que tu ne m'a pas remarquer, je t'observe au loin puis je remarque quelques mecs, les plus populaires on dirait, s'approcher de toi comme s'ils t'emmerde ou je ne sais trop quoi. Sur le coup je laisse faire mais mon coter protecteur revient rapidement. « Ele ! Je suis là. » je m'approche lentement de toi, main dans les poches, surveillant malgré moi les mecs qui sont autours de toi. Je peux en voir quelqu'un soupire et partir assez rapidement, puis d'autre m'observer avec instance jusqu'à se que je vois à ta hauteur. Je les regarde les uns après les autres. « Vous voulez peut-être pas non plus ma photo ? Si ? » tu savais que j'étais assez directe et que même si c'est tes amis tu allais m'engueuler, mais que ça allait passer assez rapidement. Une fois qui son partir, je ne t'embrasse pas, je sais que tu vas m'engueuler au reste. Puis j'étais à ta place, sa craint d'avoir son frère qui embrasse ta joue devant ton établissement. « On y va ? » je te dis en souriant.

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edwy

Eleonor était encore en cours lorsqu’elle avait reçu un sms de son frère, Edwy, l’avertissant qu’il passerait la chercher au lycée et qu’ils passeraient le reste de la journée ensemble. Le portable planqué sous sa table, la jeune fille s’était empressée de lui répondre par la positive. Un moment seule avec son frère ne lui ferait pas de mal. Même s’ils habitaient tous sous le même toit, ils n’avaient pas toujours l’occasion de profiter des uns et des autres, chacun ayant un emploi du temps différent. La journée de cours se termina donc tranquillement. C’était bientôt la fin pour Leo ; le lycée, les potes, tout ça… Ce serait bientôt terminé. L’année touchait à sa fin, et elle n’avait toujours aucune idée de ce qu’elle allait faire à la rentrée prochaine. Ça ne l’angoissait pas trop, ou du moins elle préférait éviter d’y penser. La journée de cours se passa donc tranquillement, jusqu’à ce que la sonnerie retentisse, annonçant la libération des élèves. Leo sortit du lycée, accompagnée de quelques amis. Elle avait fini par complètement oublier que son frère devait passer la chercher, ce ne fut qu’en entendant sa voix qu’elle s’en souvint. « Ele ! Je suis là. » Elle releva la tête vers son frère, et esquissa un sourire. « C’est mon frère, j’dois y aller » glissa-t-elle aux amis qui l’accompagnaient. Edwy s’approcha d’elle et les dévisagea, mettant Eleonor assez mal à l’aise. « Vous voulez peut-être pas non plus ma photo ? Si ? » Leo lui mit une tape sur l’épaule et se cacha le visage, voulant éviter les regards de ses amis. « Arrête Ed’, tu me tapes la honte là ! » Elle n’était pas fâchée du tout contre lui, mais disons que c’était assez gênant comme situation même si ce n’était pas bien méchant. « On y va ? » Leo s’esclaffa et commença à avancer rapidement pour s’éloigner du lycée. « Ouais il vaudrait mieux ! Tu m’emmènes où alors ? On reprend le bus ? » demanda-t-elle en se tournant vers lui, un sourire aux lèvres. Elle n'avait à vrai dire aucune idée de l'endroit où il comptait l'emmener, sans doute allaient-ils se poser pour boire un café ou autre pensa-t-elle.

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eleonor

J'avais envie de passer une bonne journée avec toi, tu es l'une des petites sœurs qui ne virent pas mal en ce moment et je vais avouer que je me sens bien avec toi on est un peu pareil et je sais que bien depuis la mort de notre mère je me suis éloigné de toi et je le regrette totalement. J'étais bête, bête de faire ça, bête de ne pas avoir été le grand frère qu'il fallait. Mais surtout j'avais besoin de me retrouver moi-même. Je pense que j'aurais pu le faire en votre présence mais j'avais besoin de souffler. De toute façon tout le monde avait remarquer qu'entre Laszlo et moi-même ce n'était pas ça du tout, ce n'était pas l'amour fou et malheureusement, ça va être difficile que tout change pour le moment, ils nous faudra tout simplement du tout. C'est pour ça que je t'ai envoyer un message pour te prévenir. Une fois que je suis face à toi, et que je sens ta tape sur l'épaule je me pince doucement les lèvres en souriant un peu amusé malgré moi. « Arrête Ed’, tu me tapes la honte là ! » Je te regarde un peu désolée avec une petite moue pour me faire pardonner. Puis je te demande si on y va à ta réponse je me mets doucement à rire. « Ouais il vaudrait mieux ! Tu m’emmènes où alors ? On reprend le bus ? » je marche doucement puis en m'arrêtant devant l'arrêt de bus. « Alors tu as le choix, où on va boire un verre, se manger un petit truc à l'endroit ou tu veux. Où, on prend des boissons et à manger et la on va se poser tranquillement au parc ? Où... Je ne sais pas on va où tu veux. » Je souris en te regardant. « Puis va falloir que je t'annonce un petit truc. J'ai besoin de te avis en réalité. » je fais une petite moue en te regardant. « Je ne pense pas que tu vas bien le prendre mais bon, tu es la plus honnête alors bon pourquoi pas t'en parler à toi en première. » je hausse doucement des épaules en passant mes mains dans mes poches de jean en te regardant. J'avais besoin de ton avis sur le fait que je veux partir de la maison. Je ne me sens plus du tout à ma place et je ne sais pas... tu es la première a qui j'ai penser. Sûrement parce que tu as eu la chance en quelque sorte de pouvoir voir ton père assez souvent mais surtout que tu as été malgré tout un peu séparer de ses foutus histoires de famille, histoires ou beaucoup ne devait pas être mêlé, comme moi ou j'étais toujours au courant de tout simplement parce que maman avait besoin de parler. Puis je ne sais pas, je t'ai toujours envier sur le fait que tu es ton père toi. Enfin c'est quelque chose d'appart par contre et j'évite d'en parler a quiconque de toute façon. Mais si l'on me demande je dis juste : je ne sais pas qui c'est. Qu'en réalité si mais j'ai pas envie de me souvenir de ce jour d'anniversaire gâche. C'est pour ça que je ne supporte plus qu'on me le souhaite...

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edwy

Comme à son habitude, malgré tous les problèmes que sa famille rencontrait en ce moment, Leo restait fidèle à celle qu’elle tentait d’être depuis la mort de sa mère : la sœur « parfaite » que rien ne pourrait jamais perturber. Elle gardait tout pour elle, quitte à ce que ça explose tôt ou tard, par peur de briser un peu plus ce qui restait d’harmonie dans la famille, par peur de créer un plus grand fossé entre elle et ses frères et sœurs. Ils avaient déjà assez de soucis comme ça, elle ne souhaitait pas rajouter les siens à la pile de problèmes. Peut-être était-ce parce qu’elle était plus âgée que ses sœurs, peut-être avait-elle acquis davantage de maturité, sans doute était-ce la raison pour laquelle elle se sentait plus proche de ses grands frères que de ses sœurs. « Alors tu as le choix, où on va boire un verre, se manger un petit truc à l'endroit ou tu veux. Où, on prend des boissons et à manger et la on va se poser tranquillement au parc ? Où... Je ne sais pas on va où tu veux. » Leo continua de marcher, réfléchissant quelques instants aux propositions d’Edwy avant de lui répondre. «  Hmm, il fait beau, on peut aller prendre de quoi manger et s’installer au parc ? J’ai envie de prendre l’air, je suis restée dans une classe toute la journée c’est bon comme ça ! » s’exclama-t-elle en riant. « Puis va falloir que je t'annonce un petit truc. J'ai besoin de ton avis en réalité. » Leo fronça légèrement les sourcils et observa son frère pendant qu’il parlait. Elle n’avait pas vraiment l’habitude que ce soit elle qu’on consulte pour les décisions. Souvent, c’était plutôt ses frères qui décidaient entre eux, ou on demandait aux plus jeunes ce qu’ils préféraient pour leur faire plaisir. « Je ne pense pas que tu vas bien le prendre mais bon, tu es la plus honnête alors bon pourquoi pas t'en parler à toi en première. »  Là, il commençait à lui faire peur. Elle ne comprenait pas où il voulait en venir, qu’avait-il à lui annoncer qu’elle pourrait prendre mal ? « C’est si terrible que ça ?  Arrête de faire durer le suspense, dis-moi ce qu’il y a. Je vais être marraine ? Non, attends, je sais ! Tu veux devenir escort-boy ? » Elle rit à sa propre plaisanterie, avant de lever les yeux au ciel et de rependre un air sérieux. « Tu sais que tu peux tout me dire, non ? Promis, je serai pas fâchée. »

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eleonor

Quand on s'éloigne de ton lycée je viens de proposer plusieurs solutions aux quels nos options sont très ouverte, c'est aussi pour ça que je préfère te laisser choisir. La seule personne que je n'ai pas laisser choisir de toute la famille c'était Dakota parce qu'il fallait vraiment que je lui parle et c'est quand même partie un peut en... cacahuète cette discutions mais il fallait bien. Puis j'étais bien contente d'être là avec toi aujourd'hui, tu es peut-être ma petite sœur et que si tu as besoin de parler tu sais très bien que je serais là pour t'écouter, de tout et n'importe quoi. Ce n'est pas parce qu'on a tous nos problèmes que l'on ne peut écouter les tiens et d'aider quand tu en as besoin. Tu es la plus âgées des sœurs, mais on aussi là pour toi et t'aider quand tu en as le besoin on a aussi vécu, enfin on a aussi appris a vivre malgré tout, surtout moi, j'avais personne sur qui compter quand Laszlo est partie de la maison mais c'est plus compliquer, c'est peut-être pour ça que j'essaye de rester assez proche de toute le monde et de ne laisser tomber personne. Enfin bon, à ta réponse je ne suis pas du tout étonné. «  Hmm, il fait beau, on peut aller prendre de quoi manger et s’installer au parc ? J’ai envie de prendre l’air, je suis restée dans une classe toute la journée c’est bon comme ça ! » Bien au contraire je souris et ça ne m'étonne pas du tout. « D'accord, au pire il y a le petit coffee shop au bout de la rue là, et on prendre le bus pour aller au parc. C'est moi qui offre pour la peine. » je dis en souriant, je sais très bien que même si tu travaille pour te faire plaisir, je sais à quel point on voudrait le garder pour des choses plus importante, puis je travail tout les jours pour ma part et je peux faire ça, je n'ai jamais été radin sur ce point là. C'est alors que je viens te dire que j'ai un truc à te demander, te parler carrément. Je préfère t'en parler à toi en premier sûrement parce que tu la plus âgée des sœurs, mais je ne sais pas, ça pourrait aussi t'arranger quand tu voudras être un peut seule et te retiré de la maison. « C’est si terrible que ça ?  Arrête de faire durer le suspense, dis-moi ce qu’il y a. Je vais être marraine ? Non, attends, je sais ! Tu veux devenir escort-boy ? » Quand tu viens me dire que je veux devenir escort-boy, je ne peux pas m'empêcher de rire avec toi. Je ne m'attendais pas du tout à se que tu me sortes ça, mais vraiment pas. Je te regarde en souriant amusé. «  Tu ne vas pas être marraine même si je sais que ça ferait plaisir a tout le monde et je veux encore moins devenir escort-boy non mais... j'ai même pas le physique pour ça je serais recaler directement ! » je dis en riant doucement, je suis un peu ta bêtise, pourquoi pas ça ne fait pas de mal. « Tu sais que tu peux tout me dire, non ? Promis, je serai pas fâchée. » je hoche doucement la tête quand tu me promets de ne pas te fâché. «  D'accord, on commande et je te dis tout ça d'accord ? » je dis en souriant puis je viens ouvrir la porte, je souris et d'un signe de la main je te laisse entré. Je te suis en laissant la porte se refermé. Je me stop pour regarder se que je peux prendre et fait une moue. «  Trop de choix... Trop de choix ! Tu sais déjà se que tu veux miss ? » je dis en te regardant et souriant.

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« D'accord, au pire il y a le petit coffee shop au bout de la rue là, et on prendre le bus pour aller au parc. C'est moi qui offre pour la peine. » Leo acquiesça en haussant les épaules, elle n’était pas très difficile, le coffee shop lui convenait très bien. « Cool ! Je ne vais pas me priver alors ! » répondit-elle d’un air taquin. C’est alors qu’Edwy lui expliqua qu’il avait quelque chose d’important à lui dire, quelque chose dont elle serait la première au courant. Même si au fond cette annonce lui faisait un peu peur, Leo préféra ne rien montrer et continuer à profiter de ces moments d’insouciance avec son frère. Depuis le cancer et le décès de sa mère, il est vrai que chaque annonce importante devenait une véritable angoisse pour elle, et sans doute aussi pour le reste de sa famille. «  Tu ne vas pas être marraine même si je sais que ça ferait plaisir a tout le monde et je veux encore moins devenir escort-boy non mais... j'ai même pas le physique pour ça je serais recaler directement ! » Eleonor fit mine d’être déçue quand il lui annonça qu’elle n’allait pas devenir marraine ; il y avait déjà trop de marmots dans cette famille, même si elle adorait les enfants elle n’avait aucune envie de passer ses journées à changer des couches et essuyer du vomi. «  Ouais, t’as peut-être pas tort finalement » répondit-elle en le regardant de haut en bas, comme pour l’examiner avant de lever les yeux au ciel. La patience n’était pas une de ses plus grandes vertus, elle préférait qu’on lui dise ce qu’il y avait à dire directement plutôt que d’attendre et tourner autour du pot. «  D'accord, on commande et je te dis tout ça d'accord ? » finit-il par lui dire, après qu’elle ait insisté pour qu’il lui révèle son grand secret. Elle soupira et hocha la tête positivement, avant d’entrer avec lui dans le coffee shop. «  Trop de choix... Trop de choix ! Tu sais déjà se que tu veux miss ? » Eleonor leva les yeux vers le menu, lisant les différents choix qui s’offraient à elle. « Mmm, non, prends ce que tu veux et je prendrai le même ! » répondit-elle en souriant. « Plus vite on commande, plus vite je saurai ce que tu as à me dire! »

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eleonor

Quand je te propose le coffee shop mais surtout que je dis que je t'invite ta réponse ne m'étonnes pas « Cool ! Je ne vais pas me priver alors ! » elle me fait plutôt rire, une voix taquine, comme tu sais très bien faire mais aussi ça toujours été entre nous deux. Ca faisait du bien d'avoir cette relation entre nous deux, frère et sœur comme ça. A ce taquine mais avec des limites sans que ça aille trop loin aussi. Puis tu es plus grande tu n'est pas si loin que ça de moi en réalité. C'est peut-être aussi pour ça que je me sens plus à l'aise avec toi. Quand je te dis que j'ai quelque chose à te dire, je peux m'étonne a pensé que ouais je peux t'inquiété, mais totalement surtout avec tout ses événements dernier qui n'était pas des plus joyeux. C'est pour ça que je te rassure, en te disant que tu ne vas pas être marraine, non pas que je ne veux pas mais c'est que pour le moment les marmots... j'ai du mal. Puis je te dis aussi que je ne serais jamais escort-boy, je en sais pas où t'es aller le chercher celui là mais, c'était très bien trouver même. «  Ouais, t’as peut-être pas tort finalement » par rapport au fait que tu ne sera jamais marraine, je ris doucement en te regardant tout en marchant jusqu'au coffee shop, puis quand tu me regardes de haut en bas je hausse des épaules en faisant ma moue tellement spécial à moi, comme si je ne savais pas de quoi tu parles mais surtout que je me moque un peut de toi sur le coup. Une fois à l'intérieur je regard le menu moi aussi c'est aussi pour ça que je te demande se que tu veux, j'arrive pas à me choisir.« Mmm, non, prends ce que tu veux et je prendrai le même ! » je fais une moue triste quand tu me dis ça. « Tu sais que tu ne m'aide pas ! » je dis en riant doucement. Puis je pense savoir se que je veux. « Plus vite on commande, plus vite je saurai ce que tu as à me dire! » je te regarde en souriant amusée. « Curieuse va ! Trop même ! » je ris a nouveau. Mais c'est vrai que cette nouvelle peut être... envieuse a avoir. Je serais comme toi si les rôles auraient été inverser. Une fois devant la vendeuse/serveuse je la regarde. « Alors je vais prendre un xxl chocolat au marchmallow, non deux s'il vous plait. Aussi, deux gros cookie aux pépites de chocolat s'il vous plait. » je dis en souriant. Je sais que ce n'est pas l'endroit le moins cher... mais le meilleur. Puis je me souviens encore que tu aimes prendre les boissons xxl, le meilleur. Mais aussi leur cookie son a ravir. La serveuse acquisse en souriant et commence a faire notre commande. Je regarde en souriant voyant le tien s'élargir. « Je vous apporte ça quand c'est prêt. » Me dit-elle en m'encaissant entre deux chocolats. Je hoche la tête et te fais signe d'aller t'asseoir. Je te suis et m'installe a t'es coter. Je passe mes bras sur la table en te regardant. « Ok, ok j'arrête le suspense, tu ne dis plus rien depuis tout à l'heure. » je dis en riant doucement. « Tu dirais quoi, ou ferais quoi si... je partais de la maison ? Mais bien sûr je serais pas loin au cas où que vous auriez besoin de moi bien sûr ! » je te dis en te rassurant et rajoute : « Tu pourras aussi venir quand tu veux, Nina t'aime bien alors elle acceptera j'en suis sur ! » je dis en souriant, mais j'ai quand même un peut peur de ta réponse...

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edwy

« Tu sais que tu ne m'aide pas ! » Elle haussa les épaules, un sourire aux lèvres. Elle avait l’esprit léger, elle était de bonne humeur. « Curieuse va ! Trop même ! » Leo prit un air faussement outré, une main sur son cœur. « Hééé, c’est toi qui fait du suspense comme ça ! J’en peux rien moi » Elle laissa son frère prendre leur commande, choisissant de lui faire confiance. Puis de toute façon elle n’était pas très difficile, tout la contentait. Elle partit ensuite s’asseoir à une table pendant qu’Edwy payait et s’installa du côté de la banquette. Oui, même à dix-huit ans, il était hors de question qu’elle laisse son frère s’asseoir sur la banquette à sa place. Edwy finit par la rejoindre et Leo le regarda sans rien dire, attendant simplement qu’il lui fasse son annonce. Il avait titillé sa curiosité, et maintenant elle mourrait d’envie de savoir. Même si ça pouvait très bien être une mauvaise nouvelle. « Ok, ok j'arrête le suspense, tu ne dis plus rien depuis tout à l'heure. » Elle sourit et aspira à la paille une gorgée de son chocolat, gardant le silence. Elle n’avait plus envie que son frère tourne autour du pot, elle voulait savoir. Tout de suite. Maintenant. « Tu dirais quoi, ou ferais quoi si... je partais de la maison ? Mais bien sûr je serais pas loin au cas où que vous auriez besoin de moi bien sûr ! » Leo fit tournoyer la paille dans son verre immense pendant quelques instants, réfléchissant et digérant ce qu’Edwy venait de lui dire. Elle avait toujours su que ce jour allait arriver, qu’ils n’allaient pas vivre tous ensemble pour le reste de leur vie. Il avait tout de même vingt-quatre ans. Ce serait mentir que de dire que la vie dans la maisonnée familiale était simple et douce, surtout ces derniers mois, mais elle avait espéré que personne ne partirait cette année. « Tu pourras aussi venir quand tu veux, Nina t'aime bien alors elle acceptera j'en suis sur ! » Eleonor esquissa un sourire. Encore heureux qu’elle pourrait venir quand elle le désirait ! Il ne manquait plus qu’il la raille de sa vie ce goujat. « T’en as trop marre de nous ? » demanda-t-elle en riant, même si au fond elle se posait un peu réellement la question. « Non, c’est pas grave. Tu vas me manquer un tout petit rikiki peu, mais je n’te renierai pas, si c’est ça qui t’inquiète »

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eleonor

« Hééé, c’est toi qui fait du suspense comme ça ! J’en peux rien moi » Je ris doucement, ouais tu avais raison c’est de ma faute, mais je n’ai pas envie de te lâcher ça comme ça, comme une bombe, puis, quoi faut bien que je sois posé pour t’en parler. Une fois les commandes prisent et payés, je te vois te précipité sur la banquette. Je lève doucement les yeux au ciel quand je te vois sur la banquette et que tu ne veux pas me la laisser, mais c’est pas grave, je te la laisse quand même parce que… ouais, j’ai tout aussi profité et fait pareil quand j’étais plus jeune, puis quand je viens tout seul je peux la prendre sans aucun souci. Mais aussi que les boissons sont sur la table avec les énormes cookies que j’ai pris. Je t’avoue que j’arrête le suspense, je viens à mon tour trempé ma paille dans mon immense chocolat pour en avaler une petite gorgée puis je lâche la bombe, je te dis que je vais partir de la maison. Je peux voir ton silence, silence qui veut en dire long. Pourquoi, je ne sais pas mais après beaucoup se doutent que je ne supporte plus l’esprit de la maison, l’état que sa provoque sur moi c’est… Oppressant en fait. Je prends mon cookie en main et en casse un bout pour le manger, mais je viens alors te rassurer en te disant que ouais tu pourras venir quand tu le souhaite mais aussi je te dis que je suis avec Nina et qu’elle ne dira pas non mais aussi qu’elle t’apprécie vachement. « T’en as trop marre de nous ? » je ris doucement avec toi, puis je relève doucement le regard sur toi. « Non, c’est pas grave. Tu vas me manquer un tout petit rikiki peu, mais je n’te renierai pas, si c’est ça qui t’inquiète » Je prends un air faussement choqué. « Juste un petit rikiki c’est tout ? Et bien, je devrais partir plus souvent. » je dis avec un air amusé sur le visage. Je sais qu’avec toi et ta sœur vous êtes les deux qui, et bien qui me font sentir mieux à la maison. Comparé à Dakota qui elle… est une vraie peste, ouais c’est sûr que je ne peux plus la supporter, ni elle, ni son comportement parce que sinon je vais vraiment finir par l’étripé et il ne faut pas. Je reprends une nouvelle gorgée. « Après, ce n’est pas que je ne suis pas bien à la maison au contraire, c’est que… » je me stoppe quelques secondes, jouant avec ma paille dans mon chocolat. « C’est que j’ai de plus en plus de mal à supporter Dakota et notre petit frère. Ouais, j’arrive plus, j’ai l’impression qu’ils vont me rendre complètement fou, mais totalement alors au lieu qu’il arrive le moment où je vais vouloir les étripés et bien je préfère partir. » je dis en soupirant doucement. Puis même si ça s’arrange un peut avec Laszlo, ce que je ne parle pas, et bien je pense que c’est vraiment la solution. Je garde le baisser en te disant ça. « Ce n’est pas que je ne vous aimes pas mais… voilà. Et je serais qu’à quelque patté de maison alors ça sera plus simple pour vous de venir quand vous voulez. » je dis en relevant doucement le regard vers toi en souriant doucement aussi. Je n’ai pas envie que tu penses que je t’abandonne ou que j’abandonne tout le monde.