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contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
mai 2024
6° - 16° // un peu de soleil pour faire plaisir !
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.


elles étaient meilleures amies, mais le temps les a éloignées..
qu'est-ce qu'il en sera quand elles se recroiseront ?

elles ont partagé une relation amoureuse il y a quelques années
et aujourd'hui elles sont toujours en contact et sont mêmes devenues confidentes
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 family by obligation, fuck you. (nolwige)

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MessageSujet: family by obligation, fuck you. (nolwige) (#)   family by obligation, fuck you. (nolwige) EmptyLun 5 Juin - 18:48



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Connard. C'est le seul mot qui passe la barrière de tes lèvres alors que tu regardes la conversation sous tes yeux. Non, il ne te connaît pas, il ne sait pas à quel point t'es amoureux de sa soeur. C'est vrai que tu déconnes, tu déconnes à un point qui fait peur parce que t'es en train de tout gâcher. Mais comment l'avouer, hein ? Tu ne peux rien dire, parce que c'est délicat, parce que tu n'oses même pas t'avouer toi-même que tu es infidèle. Et là, ce soir, après une grosse dispute avec ton père à travers le téléphone, tu as besoin de voir ta copine. Tu sens que tu as envie de pleurer, tu es à bout, mais t'es un garçon fort, un garçon qui s'en fout de tout alors il faut bien que tu gardes cette image de toi. Tu te lèves de ton lit. T'es pas un petit merdeux, t'es un garçon qui est entièrement brisé. Il n'y a que Murphy qui compte, c'est différent. Tu es habitué, à être seul chez-toi le soir, à avoir des mauvaises notes parce que tu n'es pas fichu de comprendre la leçon, d'essayer des exercices pour résoudre un exercice de merde. Et tu es un incompris de la vie, bien-entendu, parce que tu cherches encore à comprendre ce qu'une équation avec x va apporter à ta vie professionnel. Tu lui as menti, à Edwige, tu fais rien ce week-end, mais ce soir, tu as une boule dans la gorge et tu as besoin de juste être pris dans les bras, juste d'elle en fait. Vous êtes jeunes, tu sais que son frère ne te porte pas dans son coeur et toi non-plus, mais il est trop protecteur, trop de choses. L'eau de la douche s'effondre sur ton corps nu, tu lâches un léger soupir parce qu'il faut pas déconner non plus. Tu lui as dit que tu arrivais, mais il faut que tu prépares un sac avec tes affaires pour la nuit, mais également pour tes cours du lendemain. Pourtant, t'es pas tendu, tu es d'un calme profond alors qu'il va sûrement te casser les couilles pendant un bon, grand, long moment. Tu vas te défendre, parce que tu sais à quel point il te juge alors qu'il n'a jamais cherché à véritablement te connaître. Tout comme tu sais que tu ne vas jamais te confier à quelqu'un comme lui. Tu prends ton skateboard, parce que tu as une petite demie-heure en skate pour arriver jusqu'à la maison de ta copine. Casque sur les oreilles, clope à la bouche, tu fumes le long du chemin. Tu ne fais pas vraiment attention aux personnes qui se trouvent sur le trottoir, alors heureusement qu'il n'y a personne sur le chemin parce que tu risquerais de tomber, de te faire mal, ou même de blesser quelqu'un et tu n'as pas besoin de ça sur tes épaules. Tu enlèves ton casque, parce que tu vois la maison face à toi, alors tu jettes le mégot dans un jardin voisin, et tes pieds retrouvent la surface de la terre quand toi, tu fouilles dans tes poches pour chopper une énième cigarette. Tu frappes, et il n'a pas déconné, il est vraiment là ce con. « C'bon, tu peux fouiller dans mon sac, j'ai pas pris de capotes, j'ai rien pris, j'suis pas v'nu ici pour coucher avec ta soeur. » Tu prononces bien le mot, pour faire référence à ses anciens messages. Tu ne lui lances pas un regard que tu entres dans la demeure. Elle est différente de la tienne, et pourtant, si tu voulais suivre le débat, tu marcherais directement jusqu'à la chambre de Murphy. Tu constates que la maison semble vide, alors, tu te retournes avec un léger sourire à la con sur tes lèvres. « Mais j'en ai sûrement dans ma poche, t'sais, ça fait un moment qu'on est ensemble, je l'aime comme un dingue, on est grand maintenant, on est plus des gosses. »

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MessageSujet: Re: family by obligation, fuck you. (nolwige) (#)   family by obligation, fuck you. (nolwige) EmptyLun 5 Juin - 20:07

you're a bad thing.
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Morveux, je dis alors que je suis entrain de finir de rouler mon joint. Ouais juste recevoir un message de toi m'as largement énerver, même totalement. Que tu te comporte comme un gamin qui a toujours tout, comme un gamin a qui on doit toujours cédé non. Désolé ce n'est pas du tout pour moi, je ne céderais surtout pas a t'es volonté, j'ai encore le droit de décidé pour ma sœur si elle doit ou ne doit pas sortir, surtout en pleine semaine. C'est quoi cette nouveauté ? Je sortais à son âge en pleine semaine je m'en prenais une moi mais surtout j'étais punis pour un long moment. En jogging et débardeur je descends dans le jardin pour aller fumer. Bien sûr tu continues a me répondre mais surtout à insisté. Je t'impose des règles au cas où que j'accepte que Murphy viennent dormir chez toi mais bien sûr ça ne te plait pas et je m'en fous, complètement. Dos coller à la chaise, les pieds contre l'autre chaise j'allume tranquillement mon joint. J'ai le temps de le fumer en attendant que tu viennes. Je t'accueille ça c'est sur et certain et je n'ai pas eu de réponse. De toute façon je suis seul à la maison. Las' je ne sais pas où il est, et les autres sont chez des amis ou petit ami. Ouais il y a qu'à toi que je refuse juste pour bien t'emmerder. Je place mon joint entre mes lèvres puis je viens tiré une longue taffe contre celui-ci, j'en profite pour essayer de me détendre. Ce n'est pas l'amour fou entre nous deux et ça ne le sera jamais. Je t'ai à l'oeil et je ne te lâcherais pas d'une seule semelle de toute façon. Tu te dis sûrement fidèle en vers ma sœur mais je te crois pas. J'ai l'impression de voir mon ex-copine en toi. Des belles paroles, des actes qui trompe le tout mais en faite, on sait toujours la vérité à un moment ou un autre. Je déteste ça, l'honnêter n'est pas là et j'ai envie de claquer les gens qui ne le sont pas pour leur faire comprendre que c'est mieux. Mais c'est comme ça, t'es qu'un gamin de 17 ans et pour le moment je ne préfère pas te toucher. T'es mineur. Mais si je peux tout faire pour t'emmerder, je le fais avec plaisir. Grand plaisir même. Je pouvais voir que tu veux toujours avoir le dernier mot mais là, tu ne l'aura pas, surtout pas avoir moi. C'est dommage parce que je suis assez fort pour t'emmerder jusqu'au bout. Surtout que ce soir je dois bosser sur mon projet sur le quel je suis depuis plus de deux semaines. Je suis bien a cran et toi du débarque a la maison. C'est mignon. C'est beau. C'est magique. Ca va faire des feux d'artifices ce soir. Surtout que Murphy ne va pas rentré maintenant vue qu'elle est chez son père. Mais elle, elle sait que quand elle sera présente je ne vais pas les emmerdé. Même si je le fais elle va m'en vouloir mais ça lui passera. De toute façon je suis entrain de très bien réfléchir pour ne pas rester dans la maison. Tout, tout ne me ressemble pas, depuis la mort de notre mère plus rien ne va et je préfère partir de toute façon. Alors que j'écrase mon joint puis je rentre à l'intérieur. Je regarde l'horloge et secoue doucement la tête de gauche à droite. J'ai le temps de prendre un grand verre de coca avant d'entendre frapper. Ni une ni deux je viens t'ouvrir. « C'bon, tu peux fouiller dans mon sac, j'ai pas pris de capotes, j'ai rien pris, j'suis pas v'nu ici pour coucher avec ta soeur. » les bras croisés sur mon torse et te laisse entré. « Déjà dire bonsoir ça t'écorchera la bouche morveux ? » je secoue doucement la tête de gauche à droite, fermant la porte derrière toi et je te regarde. « Tu fais aussi rapidement demi-tour, parce qu'on n'fume pas dans la maison là. Donc tu dégages dans l'jardin finir ta clope après tu pourras aller dans la chambre de Murph' » je dis sans rire, je ne fume pas à l'intérieur, Las' ne fume pas a l'intérieur alors je vois pas pourquoi un gamin de dix ans le fera. « Mais j'en ai sûrement dans ma poche, t'sais, ça fait un moment qu'on est ensemble, je l'aime comme un dingue, on est grand maintenant, on est plus des gosses. » Je hausse doucement des épaules. « T'as intérêt de l'aimer comme un dingue, parce que si j'apprends que tu as fais un faux pas, t'en fais pas, la je suis encore très gentil. Et après quand vous êtes en weekend dans ta petite maison tranquille a l'abri de tous, vous faites se que vous voulez. Là il y a du respect. On vit en famille je te rappelle. » je me foutais que pour ta part c'était pas le cas, mais ici il y a des règles, règles que tu vas devoir respecter. Ce n'est pas parce que tu es chez nous, que tu ne dois pas le respecter.
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MessageSujet: Re: family by obligation, fuck you. (nolwige) (#)   family by obligation, fuck you. (nolwige) EmptyLun 5 Juin - 20:45



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Tu es chez ta petite-amie, et t'es fraîchement bien accueilli par son frère. Il a raison sur une chose, tu n'es pas entièrement honnête, mais il a tort s'il remet en doute les sentiments que tu portes à Murphy. C'est ça, le pire, c'est que tu es tellement amoureux d'elle et que juste parce qu'elle n'est pas prête, toi, tu foires. Juste parce que t'es pas capable d'attendre, tu vides tes couilles. Juste parce que t'es un con. Mais tu l'aimes, et tu ne sais pas comment lui faire comprendre. Et le fait qu'il te rabaisse, ça te rend encore plus mal. T'en peux plus, de n'avoir que Murphy pour te comprendre, la seule qui est capable de trouver les bons mots pour chasser ta tristesse. Du coup, la boule dans ta gorge s'agrandit, t'es épuisé de devoir te battre sens cesse avec un garçon bien plus âgé que toi. Vous avez sept ans de différences, il croit qu'il s'y connaît plus que toi mais il est loin d'avoir raison. « Déjà dire bonsoir ça t'écorchera la bouche morveux ? » Morveux. Parce que c'est comme ça qu'il te voit, comme un gosse paumé. Si t'avais eu une bonne éducation, est-ce qu'il te traiterait comme ça ? Automatiquement, tes doigts touchent ton front, plus précisément une cicatrice qui te hante depuis que t'es gosse. C'est à cause de ça, que tu n'as pas eu d'éducation, c'est à cause de ton père qui ne regarde pas bien assez les panneaux d'indication qu'une voiture à percuter ton côté. C'est à cause d'une peur bleue qu'ils ont abandonné le rôle d'être parents, et que du coup, Edwige a mis une étiquette sur ton front. Tu baisses le regard, soupires discrètement. « B'jour. » Tu l'as dit, t'es poli, t'es quelqu'un de bien, malgré tout et ouais, tu as envie d'y croire. Le problème, c'est que quand tu n'es pas avec Murphy, tu foires. Malheureusement, vous n'êtes que des gosses, que des pauvres adolescents et comme Edwy a pris la peine de préciser, vous n'avez pas la chance d'être des adultes, vous n'avez pas la chance de prendre votre envol, d'emménager ensemble et de faire votre vie comme bon vous semble. « Tu fais aussi rapidement demi-tour, parce qu'on n'fume pas dans la maison-là. Donc tu dégages dans l'jardin finir ta clope après tu pourras aller dans la chambre de Murph' » Le pire, c'est que tu n'es pas capable de te contrôler, tu inspires la fumée et tu recraches devant lui, avec un sourire à la con aux lèvres. Mais cependant, juste après, tu fais demi-tour et tu te diriges vers la porte extérieure. Tu ne t'enfonces pas dans le jardin, histoire de pouvoir communiquer avec ton grand ami, mais il fait froid alors tu te dépêches de finir ta clope. Tu regardes ton téléphone, aucune nouvelle de ta copine alors tu jures silencieusement. « T'as intérêt de l'aimer comme un dingue, parce que si j'apprends que tu as fais un faux pas, t'en fais pas, la je suis encore très gentil. Et après quand vous êtes en weekend dans ta petite maison tranquille a l'abri de tous, vous faites se que vous voulez. Là il y a du respect. On vit en famille, je te rappelle. » Va savoir pourquoi, le début de sa phrase te met en colère. Tu jettes le mégot dans le cendrier avant de rappliquer en face de lui. Tu es tellement épuisé, tu as des cernes sous les yeux, mais c'est parce que tu ne supportes plus de dormir tout seul, parce que tu ne supportes plus de vivre seul dans une putain de villa de merde. Tu ne supportes plus la solitude, c'est sûrement pour ça que tu as forcé pour dormir chez eux, ce soir, tu as juste besoin de t'endormir dans ses bras à elle, d'avoir son parfum naturel en guise de somnifère. Bien sûr que vous n'allez rien faire, tu es légèrement respectueux, mais il ne comprend pas, il comprend rien, et ça te fait péter les plombs. Tu trembles, tu as les larmes au bord des yeux. « Mais pourquoi tu me fais pas confiance, hein ? Putain mais ça fait deux ans qu'on est ensemble ! Deux Edwige ! Tu crois vraiment que si je me moquais d'elle depuis le début, je resterais autant de temps ensemble ? Mais il te faut quoi pour que tu me foutes la paix ? Tu veux que je demande en mariage Murphy ? Putain, mais j'l'aime à en crever espèce de débile ! » Tu hurles, mais la maison semble vide et les autres personnes de cette famille doivent avoir le privilège qu'il ne t'autorise pas à avoir. Tu trembles de plus en plus, et tu lèves les yeux au ciel pour t'empêcher de chialer devant lui ; parce que t'es pas un faible.

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MessageSujet: Re: family by obligation, fuck you. (nolwige) (#)   family by obligation, fuck you. (nolwige) EmptyLun 5 Juin - 21:31

you're a bad thing.
nolwige

On sait tout les deux le dons qu'à Murphy, même pour moi rien que ça présence, rien que le fait qu'elle se mette devant moi quand je m'énerve un peu trop sur l'un de nos frères me calme totalement. Combien de fois je me suis battus avec mon petit frère et qu'elle a débarquer limite en hurlant mais surtout en se mettant devant moi pour me stopper parce que ça allait beaucoup trop loin. Je sais très bien comment elle ait, je le sais peut-être mieux que toi. Mais d'un coter, je suis son grand frère, celui qui se préoccupe peut-être bien plus de sa vie, qui veut sûrement plus la protéger mais a des limites fixe. Mais je ne sais pas pourquoi, avec toi ça ne passe pas, ça n'est jamais passer, ça ne passera sûrement jamais mais même si elle n'est pas là j'arrive à garder mes limites. Je suis l'aîné je dois savoir montré l'exemple par moment sauf quand ça devient un peut trop pour moi. Quand tu entres chez moi et tu te me lance directement c'était phrase en pleine tronche ouais je ne me retient pour te demander s'il on ta apprit à dire bonsoir, la moindre des politesses, ça aurait d'entré de ton propre plein gré, je n'aurais rien. Mais bon malgré tout, je viens tout juste de fumer et non le joint ne fait pas encore effet. « B'jour. » « Bonjour Nolan. » je réplique juste derrière pour te répondre à mon tour. Oui ça ne fait pas de mal malgré tout. Même si, normalement les plus jeunes doivent le respect au plus vieux, c'est pas pour autant que je ne t'aurais pas répondus. Alors que je remarque assez rapidement ta cigarette, je te demande dégage dehors pour la finir. Au début tu me cherches, mais je ne serre juste la mâchoire pour ne pas m'énerver encore plus, se que je pourrais faire. J'en ai foutu ou engueuler plus d'une fois Laszlo qui essayait de fumer à l'intérieur. Ouais maintenant je n'hésite pas a te répondre a ta phrase, stupide, mais tu me cherches et tu vas vite me trouver que ça te plaise ou non de toute façon. J'ai peut-être pas envie que Murphy vive se que j'ai vécu, non je n'ai pas envie. Elle ma vue bien trop mal quand Laura ma quitté comme une grosse merde, ou plutôt quand j'ai appris qu'elle me trompait depuis quelques années que ça faisais un moment qu'on était ensemble. Quand tu entres a nouveau, je peux voir que tu te mets a trembler. T'es limites sont déjà à bout. Peut-être d'autre problème en plus, sûrement oui. Mais au lieu de jouer au con comme ça, t'as qu'à juste à être un minimum sympa et je le serais aussi mais ce n'est pas le cas. Tu t'énerver, tu hurles même. « Mais pourquoi tu me fais pas confiance, hein ? Putain mais ça fait deux ans qu'on est ensemble ! Deux Edwige ! Tu crois vraiment que si je me moquais d'elle depuis le début, je resterais autant de temps ensemble ? Mais il te faut quoi pour que tu me foutes la paix ? Tu veux que je demande en mariage Murphy ? Putain, mais j'l'aime à en crever espèce de débile ! » Je m'approche rapidement de toi pour attraper t'es épaules, je ne les serrer non, je veux juste que tu te calme un peu, mais surtout que tu reprennes t'es esprits. Rien de violent, rien de méchant mais surtout je te tiens a peine en faite. « Nolan ! » je dis franchement te regardant dans les yeux, bien sûr je commence a avoir quelque effet du joint, dont le fait que je m'énerve un peu moins vite. Je te lâche rapidement et je reste devant toi. « Je fais confiance a aucun mec que mes sœurs peuvent avoir. Alors non ce n'est pas que toi, arrête d'être une généralité. T'es pas l'seul que j'ne supporte pas, vraiment. Je sais très bien que ça fait deux ans que vous êtes ensemble je ne suis pas débile. Mais juste, tu vois au lieu de lancer des réflexions merdique comme tu viens de me faire en entrant, peut-être que tu m'aurais juste dit : bonsoir, est-ce que Murphy est là. Là je t'aurais juste dis de l'attendre dans sa chambre car elle est chez son père et qu'elle ne va pas tarder. Non tu m'cherches à la place de sa. » je secoue doucement la tête, passant alors ma main dans mes cheveux en allant tranquillement dans la cuisine qui est ouverte au salon prendre mon verre de coca. « Après tu peux m'insulter de tout les noms il n'y a pas d'soucis vas y ce n'est pas ça qui va m'énerver non. » je prends doucement le temps de boire une gorgée. « Des les débuts, même si je t'es mis en garde que ouais, j'suis très protecteur en vers Murphy, ça t'aurais pas empêcher de me demander de parler avec moi même si c'est pour parler d'elle tu vois ? Jamais, jamais tu la fais. Et vue que tu étais toujours sur les dents, je t'avais proposer une seule fois mais je parie que tu ne t'en souviens même plus, trop obstiné sur moi et m'emmerder. Mais là tu tombes sur plus fort que toi. Après si tu ne comprends pas que, tout se que je peux te dire c'est pour VOTRE bien et bien ce n'est pas de ma faute. » je finis mon verre rapidement. « On a peut-être 7 ans d'écart mais j'ai vécu avant vous et je sais s'que j'dis sur les sujets que j'entame dont votre amour de fleur bleu écoeurant. » Murphy c'est très bien que je déteste tout les couples, amis ou famille. J'ai horreur de ça avec se que j'ai déjà vécu. Elle me la pardonner ça et sait très bien que si elle doit vraiment m'en parler c'est qu'elle en a vraiment besoin sinon elle se retrouve vers l'une de ses sœurs ou frères. Pas moi. On aurait pu très bien s'entendre ou le strict minimum mais non, tu es trop fixer sur le fait de m'emmerder avec Murphy et tu sais que j'ai horreur de ça.
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MessageSujet: Re: family by obligation, fuck you. (nolwige) (#)   family by obligation, fuck you. (nolwige) EmptyLun 5 Juin - 23:18



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Tu pètes un câble, parce que t'es à bout de nerf et que tu n'arrives pas à te montrer sympathique avec lui. Parce qu'il est toujours là à te faire des réflexions à la con et que tu n'es pas capable de prendre sur toi. Tu devrais être plus intelligent, tu devrais te taire et rien dire de méchant, quitte à hocher la tête et à attendre que le temps passe. Tu devrais monter dans la chambre de Murphy, quitte à t'endormir dans ses draps juste parce que son odeur va te bercer, va t'aider à rattraper un sommeil que tu n'as plus quand tu es seul dans une imposante maison. Et si tu avais eu d'autres parents ? Et si tes parents étaient plus présent ? Si tu devais refaire ta vie, en empruntant un autre chemin du labyrinthe, tu aurais sûrement pu trouver la sortie et reprendre ta vie. Et pourtant, si ta vie était différente, est-ce que tu aurais trouvé Murphy ? Est-ce que tu l'aimerais autant qu'aujourd'hui ou, tout simplement, vous seriez resté ensemble quelques jours, quelques semaines ? Tu ne sais pas, mais c'est vrai que si tu pouvais tout changer dans ta vie, tu changerais tout sauf ta relation avec elle. Il te répète que Murphy est chez son père, il te fout une leçon de moral et t'es en train de devenir tout petit. Parce que tu ne supportes pas qu'on te parle comme un gosse, mais sûrement que ça ne peut te faire que du bien. « Je suis désolé, okay ? » Tu commences, en relevant ton regard pour pointer tes yeux dans les siens. T'es honnête, ouais tu t'excuses d'être un petit con qui, pour se défendre, prend le fait qu'il cherche toujours les merdes. Il parle toujours mal, il parle comme s'il était le meilleur alors qu'il est loin de l'être. Mais le fait qu'il avoue que votre relation l’écœure, ça te blesse. Tu es censé t'en foutre de son avis, parce que ça ne regarde que toi et elle, mais alors même s'il n'apprécie pas votre relation, pourquoi il ne vous laisse pas tranquille malgré tout, hein ? « Mais je sais pas parler, je sais pas dire les choses parce que je trouve que ça sert à rien. Qu'on en parle maintenant, ou qu'on en parle quelques mois plus tôt, ça ne va rien changer du tout. » Tu constates tristement, alors que tes jambes se mettent à trembler - sûrement autant que tes mains, et que tu attrapes une chaise pour t'asseoir, histoire que tes jambes ne lâchent pas. « Mais moi, la seule chose que je veux, c'est d'être avec Murphy et si tu me prives encore, je vais plus rien gérer du tout. Tu veux pas comprendre à quel point je suis mal quand elle est pas là. » Tu soupires, alors que tu poses tes coudes sur tes genoux et que tu caches ta tête dans tes mains. Tu ne vois plus rien, et pourtant, tu décides de terminer ton grand monologue. « Toi, quand tu rentres, t'es pas tout seul tu vois ? Vous avez plus vos parents, mais tu as quand même tes frères, tu as tes soeurs, tu as des personnes à qui parler pour raconter ta journée, tes malheurs, tout ça. Moi, quand je rentre, c'est le silence complet parce que mes parents sont pas foutus d'être à la maison plus de deux heures dans le mois. » Pourquoi tu t'expliques ? Sûrement parce qu'il a touché une corde sensible et que tu es juste à bout. Tu veux pleurer, alors tu avales difficilement la boule dans ta gorge parce qu'il est hors de question que tu chiales devant lui.

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MessageSujet: Re: family by obligation, fuck you. (nolwige) (#)   family by obligation, fuck you. (nolwige) EmptyLun 5 Juin - 23:42

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nolwige

Te dire toute ses choses se n'est pas que pour te faire du mal, mais tout simplement pour que tu prennes conscience des choses, que tu vois que oui tu pousses un peu trop par moment et que si je suis méchant avec toi ce n'est pas que pour ton mal mais aussi pour ton bien, mais des fois tu le prends un peu mal. « Je suis désolé, okay ? » alors que tu plantes ton regard dans le mien pour me faire comprendre que tu es sincère je ne rien la dessus et hoche simplement la tête de haut en bas pour te dire que j'ai compris, que oui je vois très bien que tu es sincère je m'appuie juste contre le plan de travaille non loin de toi, une conversation, peut-être un peu normal ce soir ? Sans se hurlé dessus te ferais sûrement pas de mal. Malheureusement pour moi je suis peut-être un peu trop franc par moment, mais surtout quand j'ai fumer aussi, alors je n'hésite pas a te dire que oui, les relations amoureuses comme la votre m'écoeur. Et alors, c'est mon soucis pas le tien de toute façon. « Mais je sais pas parler, je sais pas dire les choses parce que je trouve que ça sert à rien. Qu'on en parle maintenant, ou qu'on en parle quelques mois plus tôt, ça ne va rien changer du tout. » je hausse doucement des épaules en venant croiser mes bras sur mon torse. « Peut-être que si, tu sais, j'suis pas complètement débile. Je sais aussi écouter et aussi savoir faire avec. Je sais me remettre en question quand ça ne va pas et ravaler mes paroles quand c'est pas le moment, alors si ça aurait pu changer quelque truc. » je remarque que tu viens t'asseoir, peut-être par besoin, mais j'en dis rien, je ne vais pas t'interdire de t'asseoir non plus je suis pas débile et on pas dans une caserne militaire ici. « Mais moi, la seule chose que je veux, c'est d'être avec Murphy et si tu me prives encore, je vais plus rien gérer du tout. Tu veux pas comprendre à quel point je suis mal quand elle est pas là. » j'ai envie de rire quand tu me dis que je ne peux pas comprendre à quel point t'es mal quand elle n'est pas là. Bien sûr que si je peux très bien le comprendre, je suis un humain et non un alien quand même. Quand je te vois déposer t'es coudes sur tes jambes mais aussi mettre ta tête dans t'es main, je laisse un petit soupire m'échapper tout en discrétion. Mais quand tu continues à parle de j'écoute comme je t'es dis plus haut. « Toi, quand tu rentres, t'es pas tout seul tu vois ? Vous avez plus vos parents, mais tu as quand même tes frères, tu as tes soeurs, tu as des personnes à qui parler pour raconter ta journée, tes malheurs, tout ça. Moi, quand je rentre, c'est le silence complet parce que mes parents sont pas foutus d'être à la maison plus de deux heures dans le mois. » Alors que tu m'expliques que je ne suis pas seul quand je rentre, que je peux parler comparé à toi. D'un coter tu as raison mais pas tout à fait. Je viens ouvrir le frigo, attraper la bouteille de coca, puis je prends un grand verre pour t'en servir. Je m'approche de toi, puis tapote doucement ton épaule en te tendant le verre. « Boit ça. » Je ne suis pas toujours méchant. « Peut-être oui. Mais sache un truc, être un grand frère n'est pas toujours simple. Tu ne peux pas parler de t'es soucis comme Murphy fait avec moi, tu ne peux parler de t'es journée comme beaucoup d'autre de mes cadets font. La plus part du temps je suis seul aussi, à savoir. C'est peut-être pour ça que je surprotège Murphy et les autres. Je sais que c'est pas simple d'avoir des parents fantômes. » j'en rajoute pas plus, je n'ai pas spécialement envie de te déballer ma vie, si tu veux en savoir plus Murphy t'expliquera où tu as juste à demander. Parce qu'être abandonner par un père et avoir une mère qui est toujours avec d'autres hommes c'est un peut pareil, des parents fantômes en quelques sortes. Puis je recule a nouveau pour me recoller contre le plan de travail face à toi. « Si je t'empêcherais vraiment de la voir est-ce que tu serais ici à l'attendre. Elle arrive dans moins d'une heure et demi de toute façon. Dit pas des choses du genre que je t'empêche de la voir, bien sûr que non. » je secoue doucement la tête à ses paroles.
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MessageSujet: Re: family by obligation, fuck you. (nolwige) (#)   family by obligation, fuck you. (nolwige) EmptyMar 6 Juin - 0:38



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Sans trop savoir pourquoi, cette sensation que quoi que tu dises, quoi que tu fasses, tu ne vas jamais réussir à t'imposer dans ce combat. C'est idiot, parce que tu as l'impression de te battre pour gagner ta place dans le coeur de son frère, pour qu'il réalise que tu es quelqu'un de bien mais il s'en fiche un peu, il paraît, alors qu'est-ce que tu peux bien dire et faire d'autre ? Des excuses ne vont pas résoudre l'affaire, alors tu soupires et tu fermes ta gueule. Pourquoi tu te livres à lui ? Il n'a rien à connaître de ta vie, et tu n'as pas non plus à te justifier. T'es le copain de Murphy, t'es pas le copain de son frère alors... Tant pis ? Mais le problème, c'est que tu ne veux pas qu'il te prive d'elle, parce que tu as trop besoin d'elle dans ta vie. Tu n'arrives pas à croire en ses mots, tu n'arrives pas à te dire que si tu lui avais parlé, si tu avais lancé un débat du "pourquoi on ne s'entend pas" les choses se seraient améliorés. Tu soupires difficilement, regardant toujours tes mains parce que c'est la seule chose la plus intéressante. Parce qu'un jour, il va en avoir marre de toi et que son poing va vraiment rencontrer ta mâchoire. Tu sursautes quand tu sens sa main sur ton épaule, alors qu'il t'apporte simplement un verre de soda. Tu souffles un léger remerciement, tes lèvres ne mettent pas longtemps avant de goûter la boisson sucrée. Tu sais que ça va te donner envie de pisser cette merde, mais tu n'auras qu'à utiliser les toilettes de la maison, ou tu vas simplement essayer de te retenir jusqu’à ce que ta vessie explose. « Parce que j'ai insisté comme un con, pour que tu me laisses l'avoir contre moi ce soir. Tu sais très bien que j'ferais jamais rien ici, parce que Dakota a pas besoin d'entendre que sa soeur d'un an de plus qu'elle a des rapports sexuels, parce que j'ai même pas envie que vous nous entendiez, ça ne regarde que nous. » Et encore, rapport sexuel, vous n'avez pas fait grand chose. Mais ça, tu ne peux pas lui dire, que ce soit avec toi ou avec quelqu'un d'autre, Murphy va bien finir par franchir le cap. Ce n'est plus un bébé, mais une adolescente, les choses sont bien différentes maintenant. « C'est trop difficile de te demander de me faire confiance ? » Tu demandes, en relevant ton regard pour affronter celui de son frère. C'est vrai que quand tu es comme ça, quand tu es vulnérable, tu te rends compte à quel point il peut faire peur et qu'il est imposant. Quand il veut jouer le frère protecteur, il fait pas les choses à moitié. Tu te relèves, après avoir terminer ton verre de coca-cola. « Laisse tomber, je vais rentrer, tu pourras... Tu peux juste dire à Murphy de m'appeler quand elle rentre ? Elle répond pas à mes messages. » Tu demandes d'un ton suppliant, tu vas pas supporter d'affronter son regard difficile, tu as l'impression d'être la sombre merde et c'est fort inconfortable. Tu lâches un soupir, t'as encore plus envie de chialer parce que tu te rends compte que tu vas encore essayer de chercher le sommeil cette nuit, que l'insomnie va encore te bouffer les entrailles et sûrement que ce soir, tu vas craquer, et tu seras tout seul mais au fond, avec toutes tes conneries, c'est bien ce que tu mérites, non ?

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MessageSujet: Re: family by obligation, fuck you. (nolwige) (#)   family by obligation, fuck you. (nolwige) EmptyDim 18 Juin - 14:47

you're a bad thing.
nolwige

Je t'écoute et te fais une leçon de morale parce que oui, oui tu en as besoin. Après que ça te blesse ou non je m'en fou un peu. T'es peut-être le copain de ma sœur mais je n'ai pas confiance en toi et je pense que ça ne changera pas, même pas du tout vue la tournure que prend mes sœurs en ce moment ce n'est pas maintenant que je changerais d'avis. Je viens alors t'apporter un verre de soda en t'écoutant. Je t'écoute juste et ne rajoute plus rien. « Parce que j'ai insisté comme un con, pour que tu me laisses l'avoir contre moi ce soir. Tu sais très bien que j'ferais jamais rien ici, parce que Dakota a pas besoin d'entendre que sa soeur d'un an de plus qu'elle a des rapports sexuels, parce que j'ai même pas envie que vous nous entendiez, ça ne regarde que nous. » Encore heureux que vous ferais rien si Dakota est juste à coter. Non mais là sinon je pense que tu te recevra plus rapidement mes foudres. Parce que j'ai des limites mais elles commencent à être a bout, et elles vont rapidement finir par exploser sans que tu ne t'attende ni que tu les vois venir. Mais je reste pas loin de toi, bras croiser sur mon torse en t'observant. « C'est trop difficile de te demander de me faire confiance ? » Je viens faire un moue qui réfléchis, juste pour te faire attendre et languir alors que la réponse on la connais déjà tout les deux. « Mh... Ouais. » Je dis tout simplement mais surtout dans le plus naturel du monde. Pourquoi y aller par quatre chemins ce soir ? Pourquoi ? Déjà c'est beau que je t'es accepter à la maison, mais je pense que ça va être la dernière fois mais aussi les dernières minutes car mes limites commencent à être a bout de force. Mon joint redescends de plus en plus donc mon calme va se faire de moins en moins. « Laisse tomber, je vais rentrer, tu pourras... Tu peux juste dire à Murphy de m'appeler quand elle rentre ? Elle répond pas à mes messages. » J'ai envie de sortir un : tant pis pour toi, moi elle me répond. Mais non, pourquoi t'enfoncer plus qu'autre chose alors qu'à ce moment présent je peux voir que tu te sens au plus mal mais aussi que tu fuis, tu fuis la situation. Avant que tu franchisse la porte je reçois un message de Murphy. « Elle est là dans cinq minutes mais elle doit me parler avant. Donc ou tu attends dehors ou, je ne sais pas tu rentre chez toi. A toi de voir. » je te dis directement droit dans les yeux. Mais avant que tu répondes quoique ce soit la blondinette arrive vers la maison avec Eleonor et le plus petit en leur tenant la main. Mais juste derrière Laszlo et Wyatt entrain de rire aux éclats. Tu avais le choix. Appuyer sur l'encadrement de la porte un sourire aux lèvres. « Je savais très bien qu'ils étaient tous en sortie c'est aussi pour ça qu'elle ne te répondait pas Murphy. Donc c'est ou tu fais vraiment profile bas et tu te tait a demander à parler qu'à Murphy mais sache un truc. Laszlo est comme moi il n'acceptera pas que tu partes avec elle ou que tu passes la nuit ici. Tu as le choix maintenant. » Je sors une cigarette pour l'allumer, et je vois alors Eleonor me fait un signe de la main, je lui réponds en souriant. Je murmure. « Décide toi vite. Ils arrivent à grand pas. »
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