Stéphanie - Une langue sert à parler mais aussi pour exprimer plusieurs dialectes!

Stéphanie Gendron

Bonjour, Hello, Sayonara,
Guten Tag

les informations en vrac

la partie anecdotes ○ 1. J'ai une soeur cadette qui aussi aimé et cajolée que moi, elle travaille comme anesthésiste avec Médecins sans frontière et elle participe à plusieurs missions humanitaires. 2. J'ai une passion pour les langues, j'ai appris l'anglais dans une école internationale et j'ai habité dans un quartier où il y a des hispanophones et j'ai mon diplôme en allemand. 3. J'ai eu des troubles alimentaires quand j'avais eu 17 ans et  c'est dû au fait que je n'arrivais pas à m'adapter à min nouvel environnement. 4. À 19 ans, je suis tombée amoureuse d'un gars charmant mais il a la mauvaise réputation de rendre ses conquêtes enceintes. Je l'ai su à mes dépens lorsque je suis tombée enceinte! 5. J'ai été tentée de prendre un joint durant mon secondaire mais la famille maternelle est très stricte envers la drogue, ils seraient honteux s'il apprenait que j'ai touché à un sac de cocaïne. 6. J'ai visité l'Italie à 15 ans, été à Londres avec une cousine à 23 ans et visité Paris durant mon stage en ophtalmologie. 7. J'ai toujours été sportive sauf quand j'ai été prise avec des crises de fièvre et de grippe. Pour me rendre en forme, je fais du jogging au lever du soleil et je cours plus de 10 kilomètres aller-retour. 8. Je mange au restaurant une ou deux fois par semaine 9. Je suis une femme adorable, ordonnée, têtue, attachante et sensible. Malheureusement, je déteste me faire donner des ordres. 10. Je vais chez le coiffeur une fois ou deux par mois.

Ajout: J'ai un chien labrador nommé Sonny - Je suis abonnée à Facebook, Youtube et Twitter - Je suis nostalgique à mes racines québécoise car je fête la Saint-Jean-Baptiste - Je tombe malade lorsque j'ai trop bu. - J'ai appris le violon et je joue de la musique folklorique à l'harmonica - J'aime les fraises, les bleuets, les framboises - je déteste quand on me ment, les hypocrites, le tonnerre, les sinistres et les frelons - je cuisine très mal sur le barbecue, c'est quand je fais des pâtes que je suis la meilleure et je réussis une excellente sauce à spaghetti - J'ai un faible pour les voitures sportives, je conduis une Mazda - Je suis une excellente pâtissière -  Tout comme mon amie Avery, j'aime les lys qui représente mes origines. - J'aime la musique celtique et écossaise, j'ai la larme à l'oeil quand j'entends la flûte et la cornemuse.

les indiscrétions sur le joueur

 

Code:

<pris>○ Anne Hathaway</pris> stéphanie gendron

l'histoire de ma vie

petite citation pour faire joli

24 février 1982

La journée fut très sombre et enneigée à Saint-Jérôme car l'usine de la compagnie Tricofil fut fermée pour la vie. Marc Gendron travaille pour cette entreprise depuis 1974 tout comme sa mère et sa grand-mère. L'usine, qui s'appelait Regent Knitting, existait depuis des années lorsque les propriétaires de l'entreprise allait mettre la clef dans la serrure. À ce moment, celui qui veille à l'Industrie en 1975 représente un des comtés de la région de la Montérégie. En plus, ma famille, qui cultivait des terres à Saint-Jérôme depuis sa fondation, est outrée par la réaction dudit ministre, qui croit que la fermeture de l'usine textile serait une bonne chose en raison de la qualité de l'équipement et que l'industrie textile ne fait plus l'économie industrielle du Québec. Les employés de l'entreprise décident qu'ils votent massivement pour le candidat du Parti Québécois afin de lancer un message clair au gouvernement sortant. Le député qui représente le territoire de Saint-Jérôme est un libéral tout comme son collègue du gouvernement. Avec l'idée de faire fonctionner l'usine par ses propres employés, le nouveau gouvernement accorda un subside et ça fonctionne pendant encore sept ans.

Au même moment, Violaine Lebeau, employée pour la bibliothèque municipale, est en processus de grossesse et avait perdu ses eaux en mars 1979 avec la naissance de Patricia. À 17h30, ce fut la reprise du travail d'accouchement car les eaux sont écoulées et je vis le jour à 21h. Ma naissance jeta un baume au coeur écorché de mon père, qui trouva un emploi au cégep comme employé à la manutention à 24 ans.

28 mai 1986

Ma vie à Saint-Jérôme n'est pas de longue durée puisque nous passons des Laurentides à la grande ville de Montréal, Habitant dans le quartier Petite-Patrie à Montréal, ma mère m'a inscrite dans une école située à l'ouest où nous résidons et durant ma période du primaire, mon comportement se varie selon la température. Je fréquente l'école de la rue de Gaspé. qui existe depuis plus de 40 ans et à l'été 1993, je termine ma sixième année avec un bulletin plus que respectable. Promue au secondaire, je fais mon entrée à l'Académie de Roberval, une école très côté dans une institution reconnue depuis plus de 50 ans.

Lorsque ma soeur Patricia obtient son diplôme collégial en 1999, elle songe à s'inscrire à l'Université du Québec à Montréal pour venir me retrouver mais elle veut travailler en anesthésiologie. Alors, elle s'inscrit à l'Université de Montréal et quitte Saint-Jérôme pour s'installer avec des amis. Je suis heureuse de la retrouver mais au même moment, mes parents ont d'autres projets en tête. Pour mon bien personnel, ils ont décidé que nous quittons Montréal pour m'installer en Nouvelle-Zélande, qui est le pays idéal pour la culture ovine. Après avoir pris des dispositions pour obtenir un visa pour voyager, je suis disposée de faire mes bagages afin de déménager officiellement dans la région de Christchurch. N'étant pas habituée à l'environnement de la Nouvelle-Zélande, je suis retrouvée malade quelques semaines après mon arrivée. Après des examens plus poussées, les médecins ont décidé qu'un changement d'air me ferait le plus grand bien alors je vais passer ma dernière année du lycée dans un pensionnat à Wellington. Terminant avec une moyenne de 80%, il est temps que je pense à mon avenir, la science oculaire m'intéresse énormément et la seule façon de me convaincre de mon choix, c'est d'aller m'inscrire à l'université de Wellington en médecine. C'est en août 2000 que j'ai eu ma réponse officielle et que je dois me rapporter à la faculté de médecine à l'automne.

Septembre 2000

Faisant mon entrée dans le monde de la médecine, je fais la connaissance de Avery Corvin et de Gabe Davis à la rentrée et ils voient que je ne suis pas la genre de fille qui ne laisse pas impressionner par les beaux parleurs. Travaillant d'arrache-pied, je réussis à décrocher une place parmi les internes de l'hôpital général de Wellington et le département d'ophtalmologie est disponible pour la session de maîtrise. Avant d'y accéder, je passe par un autre département, celui de la chirurgie générale et affronter tous les sortes de chirurgies doit être inimaginable quand on y affronte pour la première fois. Puisque je dévore les livres avec excitation, je documente les images sur les types d'interventions et je griffonne quelques esquisses pour voir les possibilités de réussir une intervention d'une qualité exceptionnelle. Au bout de quelques années d'effort et de sacrifices, je deviens le docteur Stéphanie Gendron, chirurgienne en ophtalmologie. Mon amie Avery devient chirurgienne dans le département pédiatrique mais il se peut que ce département demande mes services au cas où les jeunes patients doivent subir une opération à un oeil.

6 juin 2007

Travaillant comme stagiaire dans une clinique d'ophtalmologie depuis quelques mois, je fais souvent des heures supplémentaires pour étudier divers dossiers, certains de ces dossiers ne sont pas mises à jour depuis six à huit mois. Pour garder l'esprit éveillée, je prends des cachets de fer pour me garder la forme. Malheureusement, au moment où je retournais à la maison, je suis prise par une patrouille de routine de la police néozélandaise. Suspectant ma démarche et mon regard, ils me demandent de venir au poste pour avoir un échantillon d'urine et un prélèvement sanguin. Spécifiant qu'un ami me fait procurer des cachets pour combattre la fatigue, je leur remets le flacon mais ces derniers font analyser un cachet. C'est en revenant qu'ils me demandent d’obtempérer pour que je passe un interrogatoire en règle. Nerveuse à l'idée que je consomme de la contrebande, mon système nerveux commence à s'agiter et je suis immédiatement arrêtée pour consommation de produits illicites. Au bout de trois semaines d'enquête, la police est venue à la conclusion que mon flacon a été inversée à mon insu et que je consomme des cachets de drogue sans me rendre compte! Pour avoir collaborée à l'enquête, j'accepte de passer une cure de désintoxication pour éliminer toute trace de stupéfiant dans mon corps. Une fois le département avisé de ce qui s'est passé, je consens de suspendre mon stage pour me concentrer sur mon état de santé. C'est durant ma période de désintoxication que Patricia se marie en novembre 2007 et ma responsable au centre est une femme d'origine maori qui est native du sud du pays, on la reconnaît par son tatouage sur sa joue.

Aujourd'hui, je suis devenu parmi les meilleures chirurgiennes dans le département d'ophtalmologie et on me réclame dans les universités. Pendant mes nombreuses visites, je partage mon savoir-faire avec des étudiants qui viennent m'observer avec assiduité. Avec l'attaque du 11 septembre 2011, j'ai été prise avec une attaque hépatique qui m'a resté clouée au lit pendant un moi. Après avoir travaillé pendant deux années d'affilée entre 2012 et 2014, j'ai pris un congé pour faire une tournée mondiale. Octobre 2015, j'arrive au Canada, plus précisément à Montréal où se déroule la campagne électorale fédéral. Ayant perdu tout confiance au gouvernement précédent, qui a provoqué du cynisme, mon père, qui avait fêté ses 57 ans en mars, vit aujourd'hui dans un bloc appartement de la rue Jarry et voit ses aspirations auprès d'un autre parti politique. Malheureusement, il mourra quelques mois plus tard, le 21 février 2016 d'un accident de ski et ma mère va le suivre en septembre alors qu'une crise du coeur va l'emporter à l'âge de 55 ans. Désormais, je vis à Island Bay depuis mars 2016 et je vis dans un quartier fortement agréable et civilisé.