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Emeline Strickland

" Pour chaque éclat de rire, il faut une larme. "

les informations en vrac

la partie anecdotes ○ n°1. « Alors qu'Emeline a quatorze / quinze ans, le corps médical a apprit à sa mère l'existence d'une tumeur cérébrale inopérable. » + n°2. « Alors qu'Emeline a dix huit ans, sa mère meurt quelques jours après l'obtention de son diplôme de secondaire. » + n°3. « Emeline se rend au cimetière sur la tombe de sa mère plusieurs fois chaque semaine afin d'y déposer des fleurs. » + n°4. « Elle peut regarder les étoiles de longues heures. » + n°5. « Emeline a fait la connaissance de Camilla au moment de son stage dans l'entreprise d'événementiel. » + n°6. « Emeline est organisatrice d'événements dans l'entreprise où exerce aussi Camilla depuis ses vingt et un ans. » + n°7. « Emeline a réussit à obtenir son diplôme grâce à l'aide de Camilla qui l'a prit sous son aile pendant son cursus. » +n°8. « Emeline a fait la connaissance de Edwy à l'adolescence lorsqu'ils avaient quatorze / quinze ans. » + n°9. « Emeline et Edwy habitaient dans la même rue jusqu'à ce que la jeune femme démènage à vingt et un ans après l'obtention de son diplôme dans l'événementiel. » + n°10. « A l'époque, Emeline trouvait que Edwy était prétentieux à aider les autres lorsqu'ils ne suivaient pas en cours. Quant à Edwy, il trouvait qu'Emeline ne révisait pas assez pour le diplôme. » +n°11. « Emeline a revu Edwy sur son lieu de travail alors qu'il venait réparer des logiciels. » + n°12. « Après avoir apprit le décès de la mère de Edwy, Emeline a fait un pas vers lui brandissant le drapeau blanc de la paix. » + n°13. « Emeline et Edwy sont devenus amis après une conversation lors d'une soirée où le jeune homme avait beaucoup bu. » + n°14. « Il y a ' x ' temps, Emeline a fait part de ses sentiments plus qu'amicaux à Edwy. Mais, ils ne semblent pas réciproques. » + n°15. « Emeline a un bouledogue français noir avec une tâche blanche dans le cou, Nell. » + n°16. « Emeline se rend au cimetière plusieurs fois dans la semaine afin de changer les anciennes et d'y déposer des fleurs fraîches. » + n°17. « Emeline peut passer des heures à regarder les étoiles dans le ciel. » +n°18. « Emeline est digne de confiance, franche, sociable, créative, indépendante, sensible, intuitive, polie, réaliste, ouverte d'esprit, naturelle, romantique. » + n°19. « Emeline est, anxieuse, mauvais sens de l'orientation, suscpetible, têtue, rancunière, bavarde, peu gourmande, maladroite, tête en l'air. » + n°20. « Il y a ' x ' temps, Edwy a rejoint l'équipe de l'entreprise. » + n°21. « Il y a quelques temps, Emeline a fait la connaissance de Lyra dans son Coffee Shop. » + n°22. « Emeline organise les soirées étudiantes et les soirées pour les jeunes dans l'établissement de Lyra. » + n°23. « Emeline a une boîte de somnifères dans le tiroir de sa table de chevet mais, n'ose pas en prendre. » + n°24. « Dès que Emeline doit se rendre au domicile familial pour des visites fortuites à son paternel, un weekend / mois environ, la jeune femme réduit inconsciemment son alimentation, les cauchemars et les vomissements dû à l'angoisse, reviennent.  » + n°25. « Personne n'est au courant pour la mort de sa mère et les sévices (physiques, sexuels, psychologiques) endurées à cause de son père de ses dix ans à vingt et un ans. » + n°26. « Emeline est droitière. » + n°27. « Emeline a le vertige. » + n°28. «  Emeline ne regarde pas tous les programmes télévisuels en lien de près ou de loin à des enquêtes policières parce que ça fait résonance avec son vécu. » + n°29. « Emeline n'a pas un grand appétit. » + n°30. « Emeline a toujours des appels manqués de son paternel qui apparaissent sur son téléphone portable. » + n°31. « Emeline aime le chocolat blanc, la chantilly et la framboise par dessus tout. » + n°32. « Sans permis de conduire, Emeline se déplace en transports en communs ou en vélo. » + n°33. « Emeline est assez pudique. » + n°34. « Emeline a encore des vieux journaux intimes dans lequel s'y trouve tout le récit des six années cauchemardesques vécu au domicile familial. » + n°35. « Emeline a un style vestimentaire / maquillage plus que naturel.  »

les indiscrétions sur le joueur

 

Code:

<pris>○ maia mitchell</pris>emeline strickland

l'histoire de ma vie

" Un rêve est un voeu que notre coeur fait. "

La maladie de sa mère ressemblait à un puits sans fond devenant de plus en plus sombre au fur et à mesure des semaines, des mois et des années qui s'écoulaient sans que les professionnels de la médecine ne soient capables de lui lancer une corde qui serait en mesure de l'en faire sortir signifiant ainsi, la guérison. Quant à son paternel, il empruntait un sentier sans issu s'enfonçant dans une forêt dont l'accotement au bord du chemin de goudron l'amenant vers la les lois, les règles morales, ses valeurs et ses principes ainsi que ses devoirs conjugaux et parentaux devenait de plus en plus lointain avec un retour quasiment impossible au fur et à mesure que les jours, les semaines, les mois et les années s'écoulaient au sein du domicile familial des S. qui se situait à Island Bay, en Nouvelle Zélande. En ce qui concerne l'adolescente de quatorze / quinze ans, dès que le l'autobus scolaire la déposait à l'arrêt qui se situait à quelques mètres de la maison blanche à la porte et aux volets verts pâles bordait par d'autres habitations semblables à sa droite et  à sa gauche ainsi qu'en face, Emeline que ses parents surnommaient, Emy' depuis sa naissance, venue au monde le sept août mille neuf cent quatre vingt treize dans la Capitale Néo Zélandaise faisant un temps d'arrêt d'un court instant. Après un mouvement de tête vers la droite et un autre mouvement de tête vers la gauche ne lui donnant qu'une vue sur le paysage du quartier sans l'ombre d'une quelconque portes de sorties de secours comme les sorties entre amis(es), les heures de retenues, l'établissement scolaire, les garçons, les sorties nocturnes avec le tabac et l'alcool qui devenaient au fil des jours, des semaines, des mois et des années qui s'écoulaient son quotidien prenant ainsi le même chemin que ceux de ses parents qu'il ne soit pas volontaire ou qu'il le soit au détriment d'un parcours scolaires sans fautes et sans problèmes de comportement qui pourraient lui permettre d'obtenir la clef lui ouvrant les portes d'un avenir professionnel réussit, l'adolescente parcourut les quelques mètres restant d'un pas lent alors qu'au fur et à mesure que les mètres disparaissaient, des signes physiologiques de stress tels que le nœud à l'estomac, le rythme cardiaque qui s'accélère et les mains moites apparaissaient. En ouvrant la porte de la maison familiale, l'enfant unique du couple S. qui n'en est plus un n'entrait plus dans ce qu'autrefois il était possible de caractériser de lieu intime, familiale et convivial mais, bel et bien dans un lieu froid, humide et individualiste : les volets étaient entrouverts ne laissant plus les rayons de l'étoile jaune la plus chaude du système solaire passait à travers les fenêtres et danser sur les meubles et les objets des pièces de l'habitation. ; les odeurs provenant des plats que cuisinaient sa mère et les odeurs provenant des bougies parfumées qui se consumaient dans toutes les pièces du logement avaient disparu au profit d'odeurs de tabac, d'alcool. Pareil,  en entrant dans chacune des pièces, il n'était plus possible d'apercevoir la mère et l'enfant faire à manger ou des pâtisseries ensemble, les trois S. mangeaient ensemble autour de la table de la salle à manger ou assit ensemble sur le divan du salon entrain de regarder un programme à la télévision ou encore, le couple partageant le même lit et l'enfant jouait avec ses parents dans le jardin ou seule dans sa chambre à des jeux de son âge. Il n'y avait plus qu'une cuisine ne fonctionnant qu'à un bas régime puisqu'entre les plats déjà prêts et la nourriture des multiples entreprise de livraison rapide, l'adolescente tentait de faire un repas avec le peu de connaissances et de maîtrise dans ce domaine là et avec le peu de courses que faisait son père dans la semaine en revenant du travail ; un salon devenu une chambre pour son père de quarante trois ans, mécanicien aux traits tirés par la fatigue du travail et la tristesse liée à l'état physique de sa femme qui s'asseyait dans le divan dès son retour au domicile familial devant un programme sportif avec un pack de bières qu'il enchaînait jusqu'à ce que ses yeux se ferment dans la nuit jusqu'au lendemain matin ; une chambre conjugal devenue une chambre médicalisée dans lequel se trouvait un imposant lit médical contenant la mère d'Emeline de quarante ans et anciennement institutrice dans une école élémentaire d'Island Bay dont les traits de la la femme épanouie dans son travail, la mère de famille exemplaire et la femme aimante avaient disparu au profit de traits de fatigue liés à la maladie et à la tristesse d'un avenir avec une mort prochaine, sept jours sur sept et vingt quatre heures sur vingt quatre. ; la chambre de l'adolescente autrefois reflétant la jeunesse l'occupant paraissait à présent à l'abandon puisque dès son retour du lycée, la jeune passait le reste du temps au chevet de la femme qui la mise au monde, la nourrissant et s'occupant de son hygiène à chaque fois que nécessaire. + Quelques jours après l'obtention de son diplôme, sa mère rejoignit les étoiles lumineuses dans le ciel que l'adolescente de dix huit ans pouvait observer de longues heures toutes les nuits dès que la naine jaune avait fait place au croissant blanc dans le ciel tandis que son corps meurtri par la maladie reposait en paix dans une de ses nombreuses boîtes en bois sous terre alors qu'à la surface de nombreuses fleurs décoraient sans interruption la pierre tombale puisque Emeline se rendait au cimetière au début tous les jours jusqu'à plusieurs fois par semaine avec les semaines, les mois et les années qui s'écoulèrent après l'enterrement. Quant à son paternel, il n'était devenu que l'ombre de ce qu'il était lors des trois dernières années de vie de sa femme plongeant à corps perdu dans l'alcool et le tabac entraînant au passage des actes violents et incestueux envers la seule personne encore en vie qui pouvait lui rappeler les souvenirs et les promesses d'autrefois ainsi que la seule personne à qui il aurait pu se raccrocher afin de sortir la tête de l'eau avec la perte de l'amour de sa vie. En la jeune femme qui avait réussi à entrer dans un cursus d’événementiel auquel elle se raccrochait autant que possible, il ne voyait plus qu'une femme de ménage à qui il ne manquait plus que l'uniforme noir et le tablier blanche et la dentelle blanche sur la tête comme dans les oeuvres cinématographiques mettant en scène des grands maisons employant des domestiques, qui devait entretenir le domicile familial de haut en bas et de long en large, faire la cuisine lorsqu'il rentrait du travail, les courses et gérer l'aspect financier des S. sans une contestations ni un retard afin qu'il n'entre pas dans une colère entraînant des mots blessants et un ou plusieurs coups. Bien que ça n'empêchait pas à ce fantôme paternel se déplaçant en titubant dans les pièces de l'habitation, une bouteille en verre contenant sa marque de bière favorite d'avoir des gestes d'une toute autre ampleur envers cet enfant sur lequel ses yeux s'étaient remplis de larmes la première fois qu'il l'avait vu après sa naissance. Mais, dès que l'étudiante sortait de la demeure du chef S. aucuns signes ne laissaient transparaître de la douleur physique et psychologique que son corps et son esprit ressentait à chaque seconde et à chaque minutes tous les jours pendant trois ans. Pourtant, ses yeux réclamaient le rattrapage de toutes ces heures de sommeil impossibles au sein de sa chambre qu'Emy' occupait à nouveau après le décès de sa mère à cause des cauchemars et de l'angoisse d'entendre les pas lourds de son père s'approcher de la porte avant de la rejoindre le temps de quelques minutes lors desquelles il devenait certainement le pire cauchemars de tous les pères et compagnons aimants leurs enfants et la femme ou l'homme partageant leur vie ; son corps réclamait plus de calories, de nutriments et tous les autres composants indispensables à notre fonctionnement à travers une alimentation plus riche et plus importante que ce qu'elle avait là. En plus, la distance de quelques mètres entre l'arrêt de bus que la jeune femme empruntait toujours pour ses déplacements et la maison n'était plus assez importante pour se préparer mentalement à ce qui pourrait l'attendre une fois les pieds dans la maison puisque d'autres signes physiologiques marquant son angoisse s'ajoutaient à ceux déjà existants lors des trois dernières années comme, les mains éprises de tremblements ou de légers vertiges voires des vomissements. + Heureusement, à l'âge de vingt et un ans, Emeline obtenu un diplôme dans l'événementiel et rapidement après un travail dans son ancien lieu de stage lui permettant ainsi de pouvoir trouver les jours suivants un appartement au loyer pas trop important dans l'un des quartiers d'Island Bay les plus loin de son quartier actuel afin de pouvoir s'échapper des griffes de son paternel en quittant enfin le domicile familial sans laisser aucunes coordonnées géographiques qui lui permettrait de la retrouver. Néanmoins, bien que l'air qui commençait à lui manquer commence à revenir Emeline n'avait pas encore réussit malgré ses deux dernières années de reconstruction loin de l'enfer familial dans lequel elle se trouvait à panser toutes ses séquelles physiques et psychologiques à cause de ce foutu sentiment incompréhensible de culpabilité d'avoir abandonné son père à son triste sort qui faisait à nouveau surface de temps en temps entraînant dès lors quelques jours de reviviscence de cauchemars, de vomissements et d'un appétit beaucoup moins important qu'à l'habituel et le passage ensuite de la jeune femme à son ancien domicile familial. + Peut être que ce secret concernant la mort de sa mère suivit des sévices affligées par son paternel durant trois ans non stop risqueraient d'être mit à mal avec l'aveu de ses sentiments plus qu'amicaux à l'égard de Edwy s'ils sont partageaient. Peut être que ce jeune homme dont leurs chemins se sont séparés après l'obtention de leur diplôme sur une mauvaise note pour se retrouver sur son lieu de travail pourrait lui permettre de tirer un trait définitif sur ce passé douloureux et encore d'actualité ..