ceci est un titre vraiment inutile.

catalina wonderland

la pensée est l'esclave de la vie et la vie est le fou du temps

les informations en vrac

la partie anecdotes ○ 01. tu n'as pas ta langue dans ta poche. 02. tu es quelqu'un de spontané, de sincères et de fidèle. 03. tu es aussi très jalouse, ce qui est à toi est à toi et point barre. 04. tu adores les animaux, tu ne supportes pas l'idée qu'on puisse les maltraiter ou les abandonnés. 05. tu ne lâches jamais ton téléphone, il t'accompagne partout. 06. tu ne sors jamais mal vêtu sauf si tu as des petites courses. 07. tu es une maniaque née, le moindre désordre te paraît invivable. 08. tu as deux tatouages : un au-dessus de ta poitrine avec le prénom de ton grand frère et un autre derrière ton oreille qui signifie un oiseau qui vole. 09. tu parles beaucoup trop, tu es surtout très maladroite. 10. quand tu es embêté, gênée, tu fais tourner une mèche de tes cheveux autour de ton doigt. 11. tu es végétarienne, tu te nourris exclusivement de légumes, de noix, de lait et de fruits. 12. tout ce que tu achètes, c'est du bio. 13. tu adores trouver des nouvelles coiffures à faire à ta chevelure blonde. 14. tu adores regarder des séries et des films, tous les vendredis soir, ces soirée films ou série. 15. tu fais un menu de la semaine et tu achètes tout ce dont tu as besoin, sans avoir besoin d'acheter des choses que tu ne mangeras pas et que tu devras jeter. 16. tu as adopté un petit chaton que tu surnommes patapouf alors qu'il s'appelle Snow, car il est tout blanc sauf les pattes et la queue qui est grise, et tu as adopté un golden retriever de quatre ans qui s'appelle Lucky, tu l'as sauvé de deux maîtres méchants avec lui, il a d'ailleurs, du mal à te faire confiance. 17. tu ferais tout ce qui est possible pour tes amis et ton frère. 18. ton frère, c'est toute ta vie, sans lui, tu n'es rien et vous êtes très fusionnels.

les indiscrétions sur le joueur

 

Code:

<pris>○ blake lively</pris> catalina wonderland

l'histoire de ma vie

nous savons ce que nous sommes, mais nous ignorons ce que nous pourrions être

« Ferme là, j'ai dit ». Tu étais en haut des escaliers, sur les deux dernières et tu regardais en pleurant dans les bras de ton frère qui restait impuissant, ton père frappait ta mère, c'était devenu une habitude surtout quand il rentrait bourré et que ta mère ne lui avait pas apporté son plat quand monsieur l'exigeait ou quand elle le contrariait sans le vouloir. Pourtant, quand il était sobre, c'était le père le plus adorable du monde, surtout quand il ne travaillait pas, il a bien essayé de changer, allant chez le médecin prendre des cachets, il avait même accepté de faire une cure, mais le médecin n'était pas d'accord, car il ne buvait qu'au travail, il appelait la maladie de mon père : un alcoolique mondain. Quelqu'un qui boit en société ou par influences des collègues et donc ce n'était pas suffisant pour le mettre dans une cure. Alors, chaque soir, ta mère regardait l'heure défilé, quand l'aiguille dépassée dix-huit heures, tu savais que ça allait mal se terminer et comme d'habitude, tu avais raison. « Papa, je t'en supplie, arrête ». Lâches-tu en sanglot alors que tu n'avais que huit ans et que tu n'étais pas plus haute que trois pommes, ton frère qui est âgé de trois ans de plus a bien essayé de l'arrêter, mais le revers de ton père l'a fait tomber inconscient pendant quelques minutes.

Ton père était commercial, il vendait certaines choses et gagnait bien sa vie, ta mère était hôtesse de caisse, mais a tout arrêté quand tu es venue au monde, elle te surveillait ainsi que ton frère et elle, vous éduquez du mieux qu'elle pouvait. Vous ne manquiez de rien et vous avez toujours eu un cadeau à votre anniversaire ou à Noel, c'est d'ailleurs la fête que tu adores, entre la neige, le sapin et le père noël qui a existait pendant très longtemps dans ta tête et à chacune de tes lettres, tu priais pour que ton père cesse d'être violent, que tu travaillerais très bien à l'école et que tu serais la fierté de tes parents, alors oui les bonnes notes étaient gagnés d'avance vu que tu est quelqu'un qui travaillait dur, mais concernant ton père, ça ne s'arrangeait pas et ce n'était pas prêt de s'arrangeait. Alors que tu fêtais tes quatorze ans avec toute ta famille, ton père fit un arrêt cardiaque, vous aviez vite appelé les pompiers, mais c'était trop tard, c'était perdu d'avance. Depuis, ce jour, tu ne fêtes plus ton anniversaire et tu refuses que quelqu'un te le souhaite, c'était pourtant ton jour préféré, mais depuis cela, c'est devenue le jour le plus horrible de ta vie.

Ta mère n'ayant plus les moyens de rester dans votre maison et comme ils n'étaient pas mariés, elle ne touchait rien alors elle a repris son travail d'hôtesse de caisse et elle trouvait un petit appartement à côté de la sœur de ton père, Carla. C'est elle qui s'est portée garante pour l'appartement, sinon on finissait à la rue. Tu as promis à ta mère de bien travailler, de tout faire pour qu'elle soit fière de toi alors pendant que tes amis faisaient diverses sorties, toi, par faute de finances, tu restais chez toi à réviser, alors tes copines te demandaient pourquoi à chaque fois, tu refusais et toi, tu mentais, disant que tu n'aimais pas traîner dehors pour t'amuser, elles ne t'ont jamais comprise, mais tu ne leurs en veut pas, tu es quelqu'un de très discrète. Âgée de seize ans, tu continuais de travailler dur, de tout faire pour obtenir ce que tu voulais vraiment : devenir soigneuse pour les animaux. Depuis toute petite, tu t'attaches à ces petites bêtes, l'idée qu'on puisse leur faire du mal te répugne et c'est à ce moment que ton caractère s'est formés, quand en pleine rue, tu aperçus un homme frappait son chien d'un coup de pied, là ta colère s'est montrée et tu lui as fait la même chose, appelant directement la SPA pour le chien en question, un petit cocker adorable qui subissait les coups de son maître, tu ne supportes pas la violence, sûrement à cause du traumatisme de ton père frappant ta mère.

Puis ton frère a décidé de partir à Island Bay pour continuer ses études, tu te retrouvais donc seule, lui qui était ton pilier, quand tu n'étais pas bien, il était le seul à te comprendre, à te soutenir, à te dire que tu valais mieux que ça. Les débuts sans ton frère étaient durs, mais tu as fini par t'y faire, quand tu as rencontré celui qui allait te faire tourner la tête. Il était dans ton université, il était pas populaire, mais pas snob non plus. Tu as longuement parlé avec lui à la bibliothèque, ton endroit préféré, discutant des livres qu'il avait lus, des critiques, tu as passé de nombreuses fois dans cet endroit en sa compagnie, tu commençais à tomber amoureuse, mais tu ne lui as jamais parlé jusqu'à cette sortie, première depuis des années que tu acceptais de sortir, mais dans un endroit gratuit : le parc. Tu te sentais bien, tu te sentais différente et plus tu le voyais, plus tu l'aimais, c'était indescriptible et ce qui devait se passer, se réalisa : le baiser. Doux, humide et très agréable, tu te laissais aller, laissant travailler ta langue et ton imagination puis deux mois sont passés, tu te sentais prête, tu voulais qu'il soit le premier et le dernier, mais tu étais naïve, alors oui tu l'as fait, mais ce que tu ne savais pas, c'est qu'il avait filmé vos ébats pour mettre le tout sur internet, honteuse et humiliée, il t'avouait en plus de cela que c'était un pari avec deux de ses fameux potes, tu l'as giflé l'insultant de tas de noms d'oiseaux avant de courir jusqu'à chez-toi, désemparé, tu rêvais de mourir, tu imaginais la mort comme une danse agréable et pour la première fois, tu rêvais de retrouver ton père, mais ta mère t'en dissuadait, elle prenait la place de ton frère, elle passait des nuits à te consoler et ça a mis du temps, mais tu as fini par surmonter cette épreuve, la vidéo a était supprimé, plus aucune trace de ce désastre grâce à la police alors tu recommençais à te plonger dans tes cours jusqu'à obtenir tout tes diplômes avec succés avant de faire plusieurs stages dans des zoos, dans un cabinet vétérinaire avant de savoir que tu voulais travailler dans un zoo et après des mois de recherches, une place à Island Bay se libérait, là où ton frère habitait désormais. Pendant trois mois, il te logeait, te nourrissait et faisait ta lessive jusqu'à ce que tu obtiennes un prêt pour une maison, avec ton salaire, c'était possible. Alors, tu as cherché la maison coup de cœur et quand tu l'avais trouvé, tu t'installais, faisant de cette maison, ton petit cocon à toi et à tes deux amours que tu as adopté peu de temps après avoir emménagé.

Tu étais dans une ville inconnue et bien que ça fasse un an que tu es ici, tu ne trouves pas tes marques, tu n'as aucun repère. D'ailleurs, tu ne sors pas beaucoup et te fais livrer tes courses, sauf cette fois-ci, tu voulais des crêpes, mais manques de pot, tu n'as pas eu le temps de te faire livrer ce qui te manquait, car il te les fallait tout de suite alors, tu es descendu à la recherche d'une petite épicerie, et par chance, à côté de chez-toi, une épicerie t'attendait alors tu pénétrais dans les lieux, saluant le gérant de façon polie et tu faisais tes petites courses. C'est là que tu le voyais. Séduisant, avec un charme fou, tu le fixais un temps, gênée, tu ne cessais de toucher à tes cheveux, baissant de temps à autre ton regard, tu ne sais pas ce qu'il te prend, tu te sens envoûtée, tu te sens belle et tu vois bien qu'il te regarde au coin de l'œil pendant qu'il passe tes articles, tu souris légèrement, tu payes et tu t'en vas bafouillant un merci, même pour dire merci, tu bafouilles, tu perds tes moyens et tu avais même oublié de récupérer tes articles, tu ne sais pas ce qui se passe à cet instant, mais il t'attire irrévocablement, tu te retournes, tu affiches un sourire et tu disparais de sa vue avant de rentrer dans ton appartement, mais tu ne cesses de penser à lui, toi qui avait tant souffert, toi qui t'étais mis une barrière, lui avait réussis à faire baisser ta garde, tu perds la tête, revoyant sans cesse son visage dans tes pensées, ce charme fou qui dégageait ne te laisse pas indifférente, mais tu ne te fais pas d'illusion, un homme de ce genre est forcément prit, heureux, mais c'est plus fort que toi alors tu ne comptes pas laisser passer une chance, tu as hâte de retourner dans ce petit magasin, juste revoir son visage encore et encore.