(m/pris) ○ herman tømmeraas

14yo - Tu voulais t'acheter un paquet de bonbon, malheureusement pour toi, t'as oublié ton porte-feuille. Tu reposes avec dégoût ton paquet avant de te diriger vers la sortie. « Au voleur ! » Tu prends la peine de te retourner par curiosité, quand on fini par t'attraper le poignet, t'entraînant dans une folle course poursuite entre toi et un inconnu contre deux hommes de la sécurité. Désespérément tu l'insultes de tous les noms, il l'a bien cherché, tu détestes courir et puis d'ailleurs pourquoi t'avoir pris toi ? « Abruti, lâche-moi où j'appelle la police. » Ton air de princesse et ta voix de bébé on l'air de l'amuser, ça a le don de te vexé. « La police est déjà à nos trousses, idiote. » A cause de qui, du con ? Il fait de toi sa potentielle complice, il a pété un plomb ! Pour semer les deux hommes, il te coince assise contre lui dans une petite ruelle sombre. Une fois semé, tu te lèves, tu comptes lui faire la peau. « Mais t'es un grand malade ! De une, pourquoi moi ? Elles en auraient pensé quoi mes sœurs hein ? Une future délinquante, peut-être ! De deux la dernière chose dont j'avais besoin c'était faire du sport. » Tu as le don de te donner en spectacle devant les passants, tu t'en fous un peu, lui aussi. « Calme-toi, madame parfaite, je voulais juste m'amuser, moi, puis faire connaissance. D'ailleurs, tiens, attrape ça. » Il te lance un paquet de bonbon, celui qui te faisais tant baver dans le magasin. « Si tu voulais m'aborder, un simple 'bonjour, ça va' suffisait, tu sais. » Il se relève et ouvre ton paquet, il pique une poignée. « J'aime pas faire dans la banalité, princesse, au plaisir de te revoir. » Il te lance un dernier salut avant de repartir de son côté, finalement il t'avait pas laissé indifférente.

Par la suite tu traînais de plus en plus vers le magasin, au fond il t'avait marqué le bad boy, mais aucune trace de lui. Tu as alors abandonné l'idée de le revoir un jour, retournant à ta sympathique vie de cavalière. Puis un jour en traînant près d'un terrain de basket avec un groupe d'amies, tu tombes en face du mec de l'autre fois, il jouait au basket avec d'autres amis, il t'aperçoit et laisse le ballon lui filer des mains, tu fais comme si de rien n'était, sauf qu'à trop faire la maline, tu reçois un ballon sur la tête, tu t'écroules au sol et injure, comme à ton habitude, le monde. « Ma parole qu'ils veulent ma peau ses crétins en short. » T'attends qu'une de tes amies t'aides à te relever, mais c'est peine perdu, elles n'ont d'yeux que pour ses basketteurs, il faut bien le dire vraiment bien foutu, bref tu te perds. « Besoin d'aide ? » Il te tend la main, tu t'apprêtes à la prendre quand il se rétracte finalement. « Avant ça, j'aimerais connaître ton prénom, princesse. » tu ne peux t'empêcher de sourire bêtement, c'est sûr, il ne t'aide pas en te fixant. « Joy. » satisfait il te relève. Depuis vous vous tournez autour, vous vous êtes embrassés, mis ensemble, il a fait un tour en prison, il t'as quitté, il est sorti, vous n'êtes qu'amis, pourtant vous vous aimez, il t'a laissé espérer, mais c'est pas un homme bien, tu l'as compris quand tu l'as surpris au cou d'une autre, mais tu ne peux, quand même, t'empêcher de l'aimer ce con.