it is the decision. - rayan

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rayan & alastair.

Voilà une semaine que le diagnostic était tomber. La proposition aussi c’est vrai que tu m’as dit que c’était opérable. La discussion avec ma femme a été longue, très longue le soir ou je suis rentré chez moi. Quand je lui ai annoncer la nouvelle en lui donner tous les documents qui le prouve elle a été achever. Je l’avais prise dans mes bras pour la rassurée, malheureusement l’un de mes enfants étaient là, le plus grand alors j’étais obliger de lui expliquer a lui aussi. Même si dans la famille on est pas très tactile ce moment-là j’ai cru que ouais, j’allais en pleurer. Ce n’est pas une nouvelle facile mais je suis resté fort devant eux et que je les ai rassurés, je les ai rassurés en le disant que j’avais le meilleur neurologue du pays et que je peux lui confier avec sans crainte mon corps, mon cerveau pour qu’il puisse me retirer tout ça et que je sois vraiment mieux après. Même si après l’opération ça ne sera pas simple et qu’il me faudra beaucoup de repos, mais au moins je serai tranquille et que, et bien qu’on espère que ça ne reviendra pas après ça. Mon fils a voulu emmener jusqu’au l’hôpital ou le rendez-vous se passer. Il voulait même venir puis après il sait rétracter et ma dit de l’appeler quand j’avais finis. Je hoche la tête et le laisse repartir. Je m’avance jusqu’à l’accueil en me présentant. Je pense que je vais réellement détester les hôpitaux mais c’est comme ça. L’hôtesse m’indique l’étage que je connais bien sûr mais c’est mieux que je me présente. La remerciant je monte à l’étage prévu. Une fois fais je m’assois à nouveau sur une chaise. Comme si tout se répète comme il y a une semaine. Ouais c’était pareil, la même infirmière qui m’appelle pour que j’entre dans le bureau, mais aussi en saluant comme la première en souriant je fais de même. Une fois à l’intérieur, je viens te tendre ma main. « Bonjour Doc’ » Je dis en venant m’asseoir sachant que tu allais me le proposer. Je viens alors retirer ma veste, les mêmes gestes qu’il y a une semaine. Puis je passe mes mains dans mes cheveux pour les remettre en place. Je prends la parole avant toi. « J’ai parlé à ma femme et mes enfants et ont à prit une décision. » je dis en te regardant, mais je pince un peu mes lèvres être elle. « Mais avant j’ai une question Doc’, est-ce que ce que j’ai peut-être héréditaire ? » j’avais pas envie que mes enfants soient surveiller h24 pour ça et que ça leur arrivent la même chose…

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Salutation faite ouais comme des personnes normales, car personnellement je peux en voir qui ne dise pas bonjour et ça ne m’étonnerais pas que toi aussi en réalité, mais bon c’est comme ça. Je viens alors prendre les devants en te disant que j’ai parlé à ma famille, après même si certains de mes enfants n’auraient pas été d’accord, j’avais pris ma décision est c’est comme ça. "Ah. Et bien, j'ai hâte de connaître votre décision." Je hoche la tête mais avant de te dire ma réponse je préfère te poser une question, question qui m’inquiète un peu par rapport a mes enfants, s’ils peuvent avoir la même chose. "Nous avons tous dans le corps des cellules cancéreuses. Il est difficile de savoir si elles vont se manifester ou bien si elles vont rester dormantes." je te regarde en pinçant mes lèvres. "Néanmoins, ce genre de tumeur n'est pas héréditaire." puis je réfléchis un instant. « Ca serait un coup de mal chance pour ma part en fait ? Parce que, je vous avais dit que ma mère avait eu une tumeur au cerveau… Après c’est aussi pour ça que je préfère vous demander, que je les prépare un peu plus à la situation si ça peut leur arriver, ce que je n’ai pas envie. » je dis quand un petit soupire en enfonçant mon dos dans le siège que j’occupe, ouais j’ai pas envie de savoir que l’un de mes enfants peut subir la même chose que moi, même s’ils peuvent le comprendre, certaines ne le supporteraient pas et ne serait pas assez fort pour surmonté ça. Enfin je secoue doucement ma tête en me redressant un peut, frottant mes deux mains sur mon jean, celles sont un peu moite malheureusement. Je prends une petite respiration puis en te regardant droit dans les yeux. « J’accepte, j’accepte l’opération. Je veux, je veux que vous m’enlevez ce truc s’il vous plait... » je n’aurais pas su que tu étais le meilleur neurologue de la ville, ouais je n’aurais pas accepter, bien au contraire j’aurais vécu jusqu’à la fin de mes jours avec, même si ça aurait compter mes jours malheureusement. « Part contre, vous me parler, d’opération, de tumeur mais… » je soupire doucement. « Si c’est une tumeur, faut bien que je fasse de la prévention avec de la chimiothérapie ? » je dis en soupirant, mais ouais, je pense que ça, je ne vais pas accepter, je n’ai pas envie de passer par là surtout si tu peux me retirer mon truc.

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Rare était que je parles de ma mère, mais bon, si c’était pour parler de sa maladie c’était pas non le meilleur truc, mais je suis stresser, j’ai peur, ouais j’ai peur pour mes enfants. "Je me souviens. Oui. Vous m'en avez parlé." Comment ne pas s’en souvenir, j’ai du me répété plusieurs fois, mais quand j’ai peur, comme dans cette situation je parle, beaucoup, et me répète même… "Après, vous savez ce qu'on dit. Malheureusement, les tumeurs touchent souvent les personnes gentilles." je ne peux pas m’empêcher de laisser un petit soupire m’échapper. « Vous avez raison, elle était plus que gentille… » je passe une main sur mon bouc en repensant à elle. « Comparé à moi. » je dis en haussant des sourcils et grimace un peut même. Ouais je ne me considère pas dans la catégorie gentille. "A croire que la gentillesse serait une tare. Même si je ne crois pas vraiment à cette explication. Rassurez-vous. Ce n'est pas parce que votre mère et vous-même avaient développé ce genre de tumeur que ça sera la même chose pour vos enfants. Ca serait même étonnant." je te regarde dans les yeux quand tu m’expliques ça pour me rassurée, ouais quand même un peu un part de moi est rassurée mais l’autre pas vraiment. Mais je hoche doucement la tête de haut en bas pour te dire que : ouais, d’accord j’ai compris. Je vais rassurer mon entourage après tout ça je pense, enfin, ça sera obligatoire. Puis je viens alors te poser une autre question pour la chimio. Comme j’en parle ça peut se voir que je n’en veux pas du tout. "Non. Pour ce genre de tumeur, ce n'est pas utile." je garde ma main sur mon bouc, puis un peut devant ma bouche en t’écoutant et hoche doucement la tête. "Le but est de retirer la tumeur entièrement. Elle est très bien placée. Elle sera facile à enlever. Elle serait dans une zone compliquée, je ne pourrais pas l'enlever entièrement. Et j'aurais dû favoriser une opération avec de la chimio." je baisse un instant le regard en t’écoutant. "Ce qui n'est pas le cas ici. Pas de chimio. Juste une opération." je puis je le relève, je viens me réinstaller sur mon siège doucement. « D’accord Docteur. Et… Quels sont les risques, parce qu’il y a quand même des risques non ? » je ne sais pas d’où me vient toute ses questions, surement parce que, j’ai vue, j’ai lu l’inquiétude sur le visage de ma femme et mes enfants. Alors si je peux les rassuré au maximum. Si ma femme aurait été là, elle aurait limite sortie une liste de question pour te les posés.

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Je m’inquiétais quand même pour mes enfants, c’est tout à fait normal j’ai envie de dire, mais après tout, je m’inquiète peut-être pour rien… Tu me rassures pour que je pense à autre et ça marche en fait, car on parle peut-être de ma mère mais au moins je pense moins à mon inquiétude pour les gosses. Jusqu’au moment où je te demande pour les risques, ouais ce qui est normale, j’ai envie de savoir, de tout savoir ce qu’il peut m’arriver au moment de l’opération. "A chaque opération, il y a toujours des risques." je hoche doucement la tête. « D’accord… » Je dis simplement en t’écoutant. "Certaines personnes ne supportent pas très bien l'anesthésie générale. La pire chose, c'est que la tumeur s'étende et qu'au final, elle ne soit plus opérable. Là, à ce moment là, ça peut être la paralysie des membres inférieurs." je laisse un petit soupire m’échapper quand tu me dis, c’est-à-dire que je dois me faire opéré rapidement si je ne veux pas qu’elle s’étende et qu’elle m’emmerde encore longtemps… Mais je te laisse continuer sur les risques. "C'est pour ça que je vous conseillerais une opération dans les semaines à venir. Afin de tuer dans l'oeuf cette tumeur. Si on la laisse en place, elle va continuer à vous gâcher la vie. Vos migraines risquent de s'intensifier. Et elles vous feront plus de mal que de bien." Quand tu me parles de mes migraines, rien que dis pensés j’en ai encore mal, mais je préfère essayer d’oublier l’idée et ouais j’avais prévu que l’on fasse ça rapidement parce que… et bien parce que j’en ai marre, je ne supporte plus ses mots de tête. "Je n'ai perdu qu'un seul patient au cours de toute ma vie. J'ai eu quelques complications sur certaines opérations mais ils sont tous en vie. Et se portent bien. Très bien même." Ouais je comprends bien que ça puisse être difficile par moment, comme tu m’as dit, les anesthésies il y en a qui ne le supporte pas. Je passe mes mains dans mes cheveux pour les remettre en place. « Donc dans les jours qui suivent vous pouvez me faire ça ? Si j’ai bien compris, car ouais, je n’ai pas trop envie qu’elle s’étende et surtout que mes migraines persistent. » je te dis en te regardant dans les yeux. « Le jour que vous voulez, moi je ferais en sorte avec le boulot de repousser mes rendez-vous ou y laisser a un associé, comme ça je serais serein pour l’opération. » je dis doucement, ouais j’ai aussi a géré ça mais ça sera simple en réalité.

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Ma décision était prise et je n’allais pas revenir en arrière bien sûr que non, je n’avais pas envie de revenir en arrière pour rien au monde, surtout que, et bien que ça va me faciliter la vie ! "Dans les deux semaines qui arrivent. Ca pourrait être bien. J'peux pas vous opérer demain parce que vous devez encore faire des examens. Des prises de sang principalement pour l'anesthésiste afin qu'il soit sûr que ça soit sans risque de vous endormir. Mais la semaine prochaine, dans dix jours, ça serait bien." je hoche la tête de haut en bas. « Oui oui bien sûr je comprends bien. » Je te regarde faire : "Alors, voyons voir ..." Quand je te vois lever le doigts pour prendre ton téléphone, je ne sais pas trop a qui tu appels mais je te laisse faire sans te déranger. "C'est Rayan. Tu serais libre quand pour un patient qui doit se faire opérer assez rapidement ? Non, sur cette journée là, j'suis booké ... Ouais, ça pourrait être bien. Tu peux le voir en rendez-vous quand ? Merci beaucoup." Je t’ai observer faire tout le temps que tu étais au téléphone, sans dire un mot, passant plusieurs fois ma main dans mon bouc pour le replacer. Les jambes croisées devant moi, je reste quand même pensif, jusqu’à ce que tu m’en sortes. "Voilà le programme des réjouissances. On va vous refaire une prise de sang." Je hausse doucement des épaules, ça ne me dérange pas du tout même. "Vous avez rendez-vous avec mon collègue anesthésiste le 21 à 14h." Je hoche positivement la tête. "Et on se revoit nous le 25 pour l'opération. Ca vous va ?" Je souris doucement en hochant à nouveau la tête en te regardant, puis prends les rendez-vous que tu m’as noter. « Ca me va plus que bien docteur. Merci beaucoup. » J’avais ranger soigneusement mes rendez-vous, puis repris ma veste pour que je l’enfile. Je me lève, en te voyant faire de même. Je te tends ma main et sourit doucement. « Merci Docteur et je vois dis au 25 alors. » arrivé la vieille de l’opération, la douche et tout ça, ça ne m’aurais pas été, je suis presser sans l’être. Je n’ai pas voulu savoir combien de temps sa allait te prendre car… J’ai pas envie de le savoir, vraiment pas. J’aurais plus peur qu’autre chose de ça.