i'm here for you, i'm here to help you. / Dewy.

Je venais de rentré du boulot, ouais les journées n’étaient pas des plus simple en ce moment, surtout que, je ne sais pas, je ne me sens plus dans ce que je fais, je ne me vois plus faire ce que je fais. Non pas que je ne sois pas bien à Magic Event, c’est que… Et bien que j’arrive plus. Je réfléchis de plus en plus à continuer et finir ma bd pour enfin la publier. Ouais c’est comme un rêve de gosse, ce rêve que j’ai toujours voulu faire. En arrivant je laisse tomber mon sac au pied du canapé et je viens m’affaler dans celui-ci, je n’ai pas retiré ma veste ou mes chaussures parce que je compte aller fumer. Je suis seule à la maison pour le moment, mais je ne fumerais pas à l’intérieur, j’ai promis à Nina de ne pas le faire alors je ne le ferais pas. Bon ce n’est pas pour autant que je ne lui ai pas promis de ne pas rouler mes cigarettes à l’intérieur, c’est ce que je viens faire. Sortant dehors et l’allume en refermant ma veste sur moi car le froid comment à me prendre les tripes. J’avais pris mon téléphone avec moi pour répondre aux messages que l’on m’a envoyé. Une fois que c’est fait je le range dans ma poche, continuant de fumer tranquillement jusqu’au moment où je sens mon portable vibré à nouveau. Surement une réponse de mon frère. Quand je le prends entre mes mains et que je vois ton prénom d’écrit je fronce doucement des sourcils, j’ouvre le message et le lit. Choqué, je coince ma cigarette entre mes lèvres et te réponds rapidement. « Bouge pas j’arrive. » je ne sais pas si c’est la meilleure des solutions après cette fameuse soirée, mais, si tu m’as envoyé un message en me disant que t’es frères sont à l’hôpital c’est que, et bien que tu me fasses toujours confiance. Je tire deux fois sur ma cigarette pour la finir, l’écrase dans le cendrier, puis je repars rapidement. J’avais ma voiture, heureusement pour moi, je ne me voyais pas être en vélo par ce temps glacial. Une fois arrivé sur le parking de l’hôpital, je me gare rapidement, sortant de la voiture et je marche vite à la limite de courir. Pourquoi ? Pour ne pas te laisser seule. Ouais. Si tu m’as envoyé un message c’est que tu avais besoin de soutient autre que ta famille, ce que je peux totalement comprendre. Une fois dans le hall de l’entré, je commence à te chercher du regard. Quand je te reconnais, ouais simplement ta chevelure blonde, je pourrais la reconnaitre parmi tant d’autre. Je m’avance vers toi, puis doucement je dépose ma main sur ton épaule en disant : « Hey… » mais instinctivement je viens te prendre dans mes bras, je savais à quel point c’était douloureux cette situation, qu’on a pas envie de la vivre seule. Quelques mois en arrière c’était moi qui était ici avec les petits à attendre les résultats de notre mère mais surtout à attendre notre grand frère qui vienne. Alors que je passe délicatement mes bras autour de t’es épaules, je laisse une main se glisser dans ta chevelure et l’autre se déposer entre t’es deux omoplates pour laisser mes doigts frotter doucement cet endroit. Te montré que je suis là, et que ça va bien se passer. Des fois il ne faut juste un câlin pour réconforter une personne. Je viens doucement prendre ton visage entre mes mains pour te regarder dans les yeux. « Tu veux me dire ce qui c’est passer ou attendre un peu ? »

C'est vrai que j'ai pas chercher, je n'ai pas chercher une seule seconde de si tu m'avais fais du mal ou non. Non, je sais que c'est la plus terrible épreuve que d'être a l'hôpital a attendre, attendre de savoir se qu'il va se passer, attendre de savoir si les examens sont bon ou non, apprendre si on va devoir penser au pire ou non. Alors oui j'avais pris ma voiture pour te rejoindre le plus rapidement possible. Une fois dans l'hôpital, je te retrouve, voyant que je t'es fais peur, mais je te prends rapidement contre moi. Je ne réfléchis pas à ce moment précis, je veux juste t'offrir du réconfort et c'est tout. - Merci. Tout en frottant ton dos je viens te regarder doucement. « C'est normal. » je dis simplement, puis je viens alors te demander si tu veux m'en parler. - Est-ce qu'on pourrait sortir pour en parler ? je hoche positivement la tête de haut en bas puis je me détache doucement de ta personne, difficilement je pense mais je le fais quand même. Je laisse doucement ma main dans le haut de ton dos puis je t'accompagne jusqu'à la sortie. Je te laisse le temps, le temps de souffler, de respiré mais aussi de prendre une grande bouffer d'air frais. Combien ça fait du bien de sortir de cette endroit pour quelque minute alors que ça fait des heures qu'on peut être enfermé à attendre. J'avais l'impression d'ouvrir a nouveau une vilaine cicatrice qui n'était pas encore fermé, mais je dois pas penser à moi mais a toi à se moment présent. Je pouvais voir que tu n'avais pas de veste sur le dos mais surtout que dehors il ne fait pas chaud. Je viens doucement retiré la mienne pour venir la dépose sur t'es épaules doucement, sachant que je ne crains pas trop le froid, mais aussi que je n'ai pas envie que tu tombes malade. « Mets ça sur toi, que tu n'attrapes pas froid entre l'intérieur et l'extérieur. » je dis en venant garder mes mains sur t'es épaules pour que tu ne retires pas la veste et que tu me la redonne. Au pire j'en ai toujours une autre dans ma voiture. Je reste a coter de toi et laisse mon regard poser sur ton visage. « Ca va mieux, enfin, ça fait du bien de sortir un coup ? » je te dis en souriant doucement, ouais c'est pas simple ce genre de situation et je ne sais pas trop comment m'y prendre. Comme un pied ça ses sur, mais après tout, on ne peut pas vivre ça tout les jours ce n'est pas possible, surtout que, et bien que là c'est toi qui est toucher et je ne pourrais que comprendre ton sentiment mais aussi se que tu ressens, t'es doutes et t'es peur. Tu savais pour ma mère mais je n'ai jamais parler de comment ça a commencer, donc ici, dans ce même hôpital. J'étais placer ou tu es quand j'ai appeler mon grand-frère, sauf que j'avais personne d'autre à qui parler, Aaron était en intervention et Nina entrain de bosser. Alors ou je suis venu le plus vite possible pour toi, te soutenir.

Tous les deux ont c'était tromper sur l'un comme sur l'autre, moi qui trouvais que tu ne faisais pas d'effort pour avoir ton diplôme mais au fond, c'était que de préjuger de pauvres adolescents qui pensaient tout savoir sur tout le monde. Car c'était totalement faux. Oui ça m'a fait bizarre de me retrouver dans la même pièce que toi ce jour ou j'étais simplement venu réparer les ordinateurs de l'entreprise où l'on travaille maintenant, mais oui, j'avais aussi fait un effort pour qu'on puisse se parler comme des adultes et c'était beaucoup plus simple, c'était comme si on réapprenait à se connaître. Malgré ce qui s'tait passé quelques jours plus tôt, ouais je suis venu sans même me poser de questions, je n'ai pas réfléchi, j'avais pris ma voiture et déboulé dans l'hôpital assez rapidement. Pourquoi ? Sûrement parce que cet endroit est tout simplement l'horreur mais aussi qu'on connaît bien trop cette sensation, que tout le monde va venir nous annoncer une mauvaise nouvelle, mais aussi cette attente insupportable. Ouais je suis venue aussi rapidement que je pouvais pour venir te soutenir, tout simplement. Je t'avais pris dans mes bras sans même réfléchir encore une fois, mais tout simplement pour te réconforter. Quand tu m'as demandé pour que l'on aille dehors j'ai accepté, je t'ai suivi de près puis-je t'ai laissé le temps de souffler un bon coup. J'avais déposé ma veste sur tu les épaules, quand tu tournes le visage vers moi je viens doucement te sourire mais surtout je t'empêche de la retirer parce que je ne veux pas que tu sois malade. - C'est gentil, mais c'est toi qui risque d'avoir froid maintenant. Je souris doucement de nouveau en ne te lâchant pas du regard. « Et bien on se mettra tous les deux sous la veste, tu sais comme des manchots qui veulent se tenir chaud. » un peu d'humour ne fait pas de mal, ça n'a jamais fait de mal à personne et je pense qu'en ce moment tu en as peu un besoin. C'est alors que je viens te demander si ça te fait du bien d'être dehors, de souffler. Je ne voulais pas te redemander immédiatement ce qui s'tait passé, j'avais le temps, tout le temps pour que tu me le dises et je n'ai pas envie de te bousculer à tout m'avouer directement, non je ne suis pas comme ça. - Oui c'est beaucoup mieux, ça devient oppressant à la longue quand on est à l'intérieur. je hoche la tête de haut en bas, oui, plus qu'oppressant mais ils aiment nous faire tarder, et nous faire poser des questions pour rien par moments, mais, je garde ça pour moi. Quand je sens ta main dans la mienne je viens doucement la serrer puis-je te suis jusqu'au banc. Je m'assois alors à tu es coté et redéposes mon regard sur toi, tu es prête, prête à me parler, alors en silence je t'écoute. - Mes frères Cade et Ryan ont eu un accident, Cade n'a pratiquement rien...mais Ryan est dans le coma...on ne sait pas pour combien de temps. Je fronce les sourcils quand j'entends le mot accident. Ouais ce n'est jamais bon. Mais quand tu m'apprends que le plus grand de tes frères est dans le coma mon premier réflexe et de te prendre de nouveau dans mes bras. Je murmure doucement. « Je suis désolée Devy... » je viens doucement desserrer l'étreinte mais je te regarde encore contre moi, je viens plonger mon regard dans le tien et d'une voix rassurante je viens te dire : « Ryan est fort, très fort, je suis certain qu'il va s'en sortir et que ça ne dura pas loin cette histoire de coma. Il vous aime tellement, alors je suis certain qu'il va tout faire pour arrêter de tout inquiéter. » je passe doucement ma main sur ta joue pour la caresser de mon pouce, ouais je me veux rassurant pour toi, parce que tu en as besoin, et je suis sur de ce que je dis.

Rien, rien n'était parfait et ça n'avait jamais trop bien commencer tout les deux et on le savait très bien. Tout les deux que c'était très mal commencer vue comment c'était tout les deux en cour mais surtout avec les préjugés que l'on avait l'un pour l'autre. Jamais, jamais j'aurais pu croire que j'allais de nouveau, ou du moins que j'allais réellement apprendre à te connaître jusqu'à ce jour ou je t'es revu, revu dans cette entreprise, entreprise ou je t'es vous que tu étais bien, que tu te sentais tellement bien mais surtout à ta place, c'est à ce moment que je me suis dis que j'étais peut-être le roi des cons mais aussi que j'avais trop vite pire des préjugés sur ta personne que je n'aurais jamais du. Après a voir apprit a réellement bien te connaître on a commencer à refaire des soirées ensembles jusqu'à l'autre soir ou c'était sûrement de trop mais non ce soir je n'ai pas réfléchis en voyant ton message je suis venu, venu ici pour toi, te soutenir mais aussi pour te dire que tu n'es pas toute seule dans cette épreuve, certes je pourrais être le roi des cons, ne pas être venu et t'avoir laisser te débrouiller toute seule dans cette épreuve mais non, je suis là. Je suis venue te prendre dans mes bras pour te montré que tu n'es pas seule, mais aussi je t'es fais sortir de l'établissement pour que tu puisses souffler mais aussi me parler calmement aussi. On c'est très bien que ce n'est pas l'idéal de parler dans les couloirs de l'hôpital surtout qu'un médecin peut venir te donner une mauvaise nouvelle a tout moment et je n'ai pas envie j'ai envie de te faire changer un peut les idées, au début ça marche, le fait que je refuse que tu me redonnes ma veste, ta main qui serre la mienne pour aller s'asseoir tout les deux. Je t'es laisser parler tranquillement mais aussi, je t'es prise dans mes bras pour te réconforter comme je sais le faire. La rencoeur ? Je pourrais en avoir mais non, jamais de la vie, je ne le ferrais pas, pas en vers toi, je n'y arrive pas en réalité. Je viens aussi te rassuré avec des mots et en prenant doucement ton visage entre mes mains pour caresser t'es joues de mes pouces, je te regarde droit dans les yeux mais aussi je laisse un petit sourire s'afficher quand tu prends la parole. - Merci Edwy ! J'espère de tout cœur que tu as raison. Je passe doucement mes doigts sur l'une de t'es mèches de cheveux pour la mettre derrière ton oreille. « C'est normal, et j'en suis sur même Devy. Croit en ton frère, et tout ira mieux. » je viens avec délicatesse déposer un baiser sur ton front pour encore plus te rassurée, je n'ai pas envie que tu penses totalement le contraire que ouais, ouais je suis certaines qu'il va réellement s'en sortir. Alors que j'étais bien contre toi, mais aussi que je voyais que ça te faisais toi aussi du bien, c'est la que je te vois te replacer correctement mais je ne te lâche pas du regard quand tu reprends la parle. - Je suis désolée Edwy...pour l'autre soir...je ne suis pas douée avec tout ce qui est sentiment amoureux. je me pince doucement les lèvres je ne m'attendais pas du tout à se que tu me reparles de l'autre soir. Je passe doucement une main dans mes cheveux comme j'ai l'habitude de faire. Mais je sens, je sens que tu as besoin d'en parler de ça aussi et c'est tout à fait normal, il faut que l'on en parle tout les deux maintenant. « Nous sommes deux la dessus... » je laisse un petit soupire m'échapper appuyant t'es dire sur le fait que nous ne sommes pas douer pour les sentiments amoureux. « Je... Je sais que je ne suis pas l'homme parfait non plus et que j'aurais peut-être du être plus... » j'essaye de trouver mes mots se qui est assez dur, je ne veux pas te faire plus de mal que tu n'as, mais surtout je n'ai pas envie que mes propos soient mal dits mais aussi interprété. « Plus expressif avec toi, plus bavard et te dire se que je pense réellement. Je vais t'avouer que ouais, ça ma blesser, blesser que ce soit avec mon meilleur ami... tu sais, se qui c'est passer... » je soupire doucement, il a lui aussi son charme et je sais que les femmes ne peut pas lui dire, des fois j'en suis limite jaloux. « Mais, maintenant se qui c'est passer reste au passer, je pense que tu as compris que ça ne m'a pas plus mais aussi qu'il y a plus... » je dis doucement en te regardant, puis je glisse une main dans l'une des poches de ma veste pour prendre mon paquet de cigarette. Pourquoi ? Pourquoi fumer maintenant ? Je ne sais pas, je me sens en détresse mais surtout j'ai besoin de souffler et j'ai peur que tout se passe mal ce soir... Encore.

Tout était magique, tout était comme si de rien n'était. Tu était là dans mes bras et moi a t'observer avec un petit sourire, mais aussi a venir déposer ta mèche de cheveux derrière ton oreille. Ouais j'avais juste envie que tout ce moment reste et que rien, rien ni personne ne le brise. Mais bon, fallait bien que le sujet qui fasse mal arrive sur le tapis. Non on n'avait rien demander a se que ça nous arrive à nous, mais c'est tomber et le destin la choisi sans qu'on le veuille. Ouais je viens alors te dire que moi non plus je ne suis pas le génie de l'amour mais aussi de savoir exprimer ses sentiments pour la personne que j'aime mais j'aurais du le faire en vers toi, surement que cette connerie ne serais jamais arriver si je l'aurais fait plutôt ? Je ne sais pas du tout, on ne sait jamais rien à l'avance, heureusement j'ai envie de dire. Mais je t'avoue que ça ma fait du mal de te voir embrasser une autre personne qui plus ait mon meilleur ami, mon frère. Ouais je lui en ai longtemps voulu mais ça, c'est une autre histoire. C'est alors que je te dis que le passé reste le passé et que maintenant c'est passer. Ouais sinon je ne pense pas que tu m'aurais revu d'aussi tôt. - Personne n'est parfait et probablement que moi aussi j'aurais dû être plus expressive plutôt que de flipper et d'embrasser le premier venu... je me pince doucement les lèvres a t'es parole puis je viens doucement remonter mon regard noisette dans le tien. Je n'ai plus envie de déballer sur ce sujet, mais je t'écoute, ouais je reste à ton écoute malgré tout. - On n'a pas vraiment choisi la facilité en nous attachant à une personne aussi peu doué que nous-même, avec autant de difficultés en matière de sentiments. Magré moi je laisse un petit rire m'échapper. Ouais tu avais totalement raison et tu as totalement trouver les mots juste pour nous décrire. « Je pense que si nous ne seront pas tomber sur des personnes aussi méchante et remplie de rencoeur pour nous faire souffrir on serait beaucoup mieux, enfin... je pense. » Je dis en faisant référence à Laura, cette fameuse Laura qui m'avait totalement briser le cœur en me trompant avec le premier venu. C'était peut-être pour ça aussi que je l'avais plus que mal prit en te voyant embrasser Aaron. Mais aussi que je lui en ai voulu un long moment. Alors que le silence s'installe a cause de cette conversation, je viens doucement glisser mon popotin pour me rapprocher de toi. Je glisse doucement mes bras autour de ta taille sous ma veste puis je viens délicatement déposer mon visage sur ton épaule. Comme un enfant désemparé qui ne sait plus trop où ce mettre ni quoi faire, surtout quoi faire. Puis d'une toute petite voix je viens te dire : « On recommence tout... ? » je prends un petit temps pour continuer. « On oublie la soirée, on oublie tout se qu'on a pu se faire subir avant mais aussi se qu'on a pu penser de méchant l'un sur l'autre ? » je relève doucement mon visage pour venir te regarder. Je te tiens contre moi, je ne peux pas m'empêcher, m'empêcher de te prendre dans mes bras, mais aussi de t'observer. J'aime tellement les traits de ton visage, la douceur qu'il peut avoir mais aussi ton regard, un regard assez mystérieux que j'arrive toujours pas a deviner se qu'il contient à chaque moment de la journée...