love the way you lie (rebinn)

love the way you lie.
Rebecca&Finn

Finn est souvent le premier à se réveiller. Il a une sorte de sonnette en tête, qui lui indique qu'il est l'heure se lever et parce qu'il n'arrive pas à se lever à midi. Il est du genre à profiter de la vie, pas à manqué chaque moment qu'elle peut offrir. Il repousse délicatement les couvertures, il enfile le premier sous-vêtement qui lui tombe sous la main et court à la cuisine. Il n'est pas cuisiné, mais il essaie au moins. Alors, il fait le petit déjeuner, des rôtis à moitié brûlés, un œuf coulant, des patates à moitié cuites. Un café brûlant. Apparemment, on dit que c'est l'intention qui compte. Il a le sourire aux lèvres puis il entre dans sa chambre. Finn avait laissé la porte ouverte ou presque, en tout cas, assez pour qu'il puisse y rentrer à nouveau. Il pousse le portable de Rebecca et il y dépose le plateau. Il ne manque pas de temps pour sauter dans le lit afin de la réveiller. « C'est l'apocalypse, on se lève ! » Toujours avec une phrase débile pour la réveiller. Il n'est jamais à court de paroles. Il a pris l'habitude de se réveiller à ses côtés, de sentir son parfum, de l'admirer dormir. Il bondit du lit pour ouvrir les rideaux et il saute à nouveau sur le matelas. « Je t'ai préparé à manger. Tu ferais mieux d'y goûter avant que ça ne se refroidisse. » Ou de tout balancer à la poubelle et d'aller manger dans un restaurant où on ne risque pas de l'empoisonner. Il risque de manger sa propre cuisine, il oblige même ses amis à le faire. Ce n'est jamais garantie que tout ça va bien se terminer. L'une de ses mains se glisser sous le drap pour venir lui caresser la cuisse. Il sourit en la regardant, il la fait remonter jusqu'à effleurer sa poitrine puis pour la narguer, il la retire, coude sur l'oreiller et la fixe comme un idiot.  

love the way you lie.
Rebecca&Finn

[il y a 3 mois]

Les draps sont doux, délicats, au touché de ma peau presque entièrement dénudée. Je me suis levé vers minuit, une heure du matin, afin d'enfiler un des tee-shirt de Finn. J'ai finalement opté pour le premier sortant, un tee-shirt bleu foncé avec le logo marvel un peu usé au lavage. J’enfouis mon nez dans l'oreiller, cherchant une nouvelle pose pour encore m'endormir un peu. Je ne travaille pas et je suis chez mon copain, alors, je mérite bien une bonne grasse-matinée. Je ne rêve pas, juste du noir béant mais une agréable sensation pour mon corps qui semble voler au dessus du lit. Alors que je bave légèrement sur l'oreiller, je sens une force pousser le matelas à faire un creux. Cela ne me réveille pas mais la voix de Finn, en revanche, si. Je grommelle en essuyant ma bouche avant de choper l'autre bout de l'oreiller et me le foutre sur l'oreille solitaire. Je fronce les sourcils en appuyant sur le coté de l'oreiller afin de me cacher le visage. « Va tuer des zombies ou je sais pas quoi. Make me proud mais laisse-moi dormir encore un peu, mon héro. » Puis je me retourne de l'autre coté, lui offrant mon dos en guise d'accueil. Mais il bondit hors du lit, me faisant légèrement bougé avec le matelas. J'en ai des hauts le coeur. Finn ouvre les rideaux sans aucune souplesse, me donnant un champ de vision direct sur le premier rayon de soleil. Je rumine. Je grogne comme un ours sortant de sa tanière. Je soupire, exaspérée, encore endormie en retirant le coussin de mon oreille. J'ouvre les yeux, petit à petit, s'habituant à la lumière vive. Finn se rapproche, je le regarde, un peu flouté. Il revient à la charge sur le lit, m'annonçant un petit-déjeuner au lit. Que c'est adorable. Je regarde le plateau, me mettant un peu près assise dans le lit, les jambes étendues. Je met le plateau vers le haut de mes cuisses en regardant le plat. « T'as pas mis de substances chimiques à la place du beurre ? Non parce qu'avec toi, permets-moi de m'inquiéter. » Je le regarde en souriant. Sa main vient se glisser sur ma cuisse dénudée, son coude effleurant ma pointe sous le tee-shirt. Je frissonne en le regardant, je me mordille la lèvre en souriant à son intention. Je ramène une de mes mains sur sa joue, caressant cette dernière délicatement. Mon regard dans le sien, je lui murmure un délicat : « Merci, chat. » Puis je lui dépose un baiser chaste, délicat mais audible sur ses lèvres fines. Je me concentre sur le plateau, attrapant la fourchette et tapotant du bout de cette dernière l'oeuf mai à peine je touche le jaune qu'il dégouline. Je soulève un des rôtis, remarquant qu'il les a clairement un peu loupé. Je grimace légèrement. il n'y a donc que le café qui en vaut la peine. Je prend la tasse fumante entre mes main pour la sentir. « T'as changé la dosette ? » Je le regarde, un peu inquiète. Finalement je dépose tout sur le plateau, le mettant sur la table de chevet. Je soulève légèrement les draps pour pouvoir venir me mettre à califourchon sur lui. Mes mains sur ses épaules je le regarde dans les yeux. « Moi je veux autre chose au petit-déjeuner. Un truc plus... fais maison. » J'arque un sourcil alors qu'une de mes main descend petit à petit vers son torse. Je me languis sur un de ses petit téton masculin en le regardant, mordillant ma lèvre. Mon intimité frotte son sous vêtement, me mettant à bouger légèrement les hanches. Puis je plaque mes mains sur ses épaules, y laissant sûrement une jolie marque rougeâtre. Je commence à ricaner. « On va manger dans le café plus bas, ils font les tartes faites maison. » Je dépose un baiser sur la commissures de ses lèvres. Bonne petite joueuse que je suis et je me retire du lit, marchant, fessier nu, vers la salle de bain de l'appartement. Je prend soin de déhancher ma croupe sous son regard avant de finir dans le couloir et la salle de bain. Je laisse couler un peu d'eau de la douche, attendant qu'elle se réchauffe et retire le vieux tee-shirt de Finn. J'entre dans la douche-baignoire un peu vieillotte me laissant goûter au plaisir des goûtes chaudes.

love the way you lie.
Rebecca&Finn

Si Finn ne dort plus, personne ne dort. Son père avait tendance à lui dire régulièrement. Il faisait du vacarme pour simple bol de céréales. Le bol vide au sol, suivi de la boîte de céréales, parce qu'il avait ouvert la porte des armoires et que ça l'avait littéralement accroché. Rien n'a changé, c'est tout le même type qui fait tomber ses ustensiles et les assiettes. C'est un danger pour la cuisine. La preuve, il venait de cramer un repas du matin. Il fit à peu près tout pour que sa douce se réveille de son sommeil. Il la fait exprès et il assume parfaitement. « Donc, je te laisse te faire dévorer ? » Grogne-t-il à sa phrase. Si seulement c'était l'apocalypse. Il ne se plaint pas que ça soit le chaos dans sa vie, mais il n'arrive pas à savoir où il va dans sa vie professionnelle. Enfin. On ne peut même pas appeler ça ainsi, car il n'en a aucune. Il a fini par s'étendre à ses côtés en la regardant déguster. Il hausse les épaules. Elle a du courage. Il va peut-être finir par engager une cuisinière, même si personne ne pourra remplacer sa mère. « J'ai peut-être mis de l'huile de massage à la place. » Heureusement, il plaisante. Déjà, ça ne traîne pas dans la cuisine ce genre de truc et il n'est pas si stupide, enfin, pas vraiment. Finn s'allonge mieux sur les draps en croisant ses bras. « Non, pourquoi ? Je savais que j'aurai dû mettre plus de sucre. » Il sourit en regardant le superbe plafond au-dessus de leurs têtes. Il pense à sa journée, à la proposition de ses amis. Il n'a pas le temps d'y réfléchir plus longtemps que Rebecca se retrouva sur lui à califourchon. Il décroisa rapidement ses bras. Ses mains se faufilent sur ses cuisses qu'il caresse avec tendresse tout en frissonnant à ses gestes. Il ne peut nier qu'il préfère ce genre de réveil, qu'il apprécie sa façon d'être avec lui. Finn serre ses doigts sur sa peau en se mordillant la lèvre. Mais il ne put s'empêcher de rire à sa phrase. « C'est un nouveau slogan ça ? » Néanmoins, il reste excité, ses parties commencent à s'éveiller tout comme son désir pour elle. Non. Elle n'a pas le droit. Il fronce les sourcils, il déteste ça, comme tout homme en début d'érection. « Si tu ne reviens pas, je te promets que je commence sans toi et que je vais probablement finir sans toi ! » Hurle-t-il en la voyant s'éloigner. Il secoue la tête avant de soulever son sous-vêtement pour regarder. « Eh ouais, elle t'a abandonné. » Il fait claquer l'élastique sur tissu en soupirant. Finn attend quelques secondes avant de bondir du lit et de quitter la chambre. Il prend le temps de nourrir son chien Nana et il se dirige vers la salle de bain. Il préfère la surprendre, attendre qu'elle soit dans son confort sans savoir s'il va la rejoindre ou pas. Il l'observe à travers la fente entre la porte et le cadre de porte. Finn retire ce qui lui reste de vêtement sur le dos, le seul tissu qui couvrait son intimité et se glisse aussi silencieusement qu'il le peut dans la salle de bain. Il arrive à pas de souris et tire le rideau pour venir s'y installer. « Tu pensais pouvoir nous abandonner ? » Le nous, inclut évidemment son membre en bas de son ventre.Il l'enlace par en arrière, le torse contre son dos, les bras alentour d'elle, collant son intimité contre ses fesses, ses lèvres viennent se perdre dans le creux de son cou.  

love the way you lie.
Rebecca&Finn

Je rumine dans l'oreiller. Laisse-moi me faire manger, c'est cela, du moment que je dors, moi, tout me va. Mais finalement, je décide de me réveille tout de même. Le soleil ne me laissant pas le choix en fait. Je m'assied sur le lit, déposant le plateau sur le haut de mes cuisses. Comment dire avec tact que la présentation me fait vraiment peur, du genre vraiment. Je lui demande s'il a décidé de m’empoisonner à la fin. Bien que j'espère que ce n'est pas trop le cas et que ce ne sera pas dans ses prochains projets. J'arque un sourcil à sa plaisante. De l'huile de massage, je préfère en mettre ailleurs que dans la nourriture, très honnêtement. Je soupire. Je devrais peut-être faire à manger quand je suis là, je cuisine déjà bien mieux les bases que Finn. Lorsque je lui parle de la dosette de café, il me parle de sucre. Dois-je comprendre que t'as vraiment pas changé la dosette de la cafetière ? Je le regarde croiser ses bras. Je soupire finalement, abandonnant de goûter à ce délicat mélange, que je suis certaine a mit une bonne heure au petit Llewellyn. Je viens me glisser d'un mouvement fluide sur ses cuisse, me mettant à califourchon sur son sous-vêtement. Je lui lance un petit pique pour éveiller ses sens, le touchant du bout de mes doigts. Un slogan dit-il ? Je ricane en mettant fin à cela. J'avais senti son membre trembler sous mon intimité mais je décide de laisser cela en suspens. Je saute hors du lit, seulement vêtue de son vieux t-shirt.  « Si tu ne reviens pas, je te promets que je commence sans toi et que je vais probablement finir sans toi ! » Je rigole en me claquant une fesse puis me tapis dans le couloir et dans la salle de bain. Alors que je me suis mise sous les goutes d'eau chaude, j'ouvre la paume de ma main vers les jets, laissant ses derniers couler dessus. Ma tête en arrière, je laisse l'eau couler. Je me délecte de ce moment chaud et doux même si ma mise en scène était mise en place pour attirer le loup dans ma cage. Je caresse ma nuque d'une main, laissant mon visage se faire mouiller. Le rideau s'ouvre, je regarde ce dernier un peu surprise sur le coup. Finn est là, s'invite derrière moi. Je souris tandis qu'il m'enlace s'entend son membre se frotter à ma peau nue. Je frissonne. Oh non, je ne ferais pas ça. J'arque un sourcil, prenant le gel douche en main. Je laisse couler un filet de ce dernier dans la paume de ma main puis, me retournant, je mousse le torse de Finn. Je m'attarde sur sa poitrine d'homme, puis je laisse mes doigts descendre le long du milieu de son torse pour atteindre le nombril. Mes mains partent de part et d'autre de ses hanches, venant griffer au retour. J'effectue des petits cercle sur son torse, me concentrant uniquement sur ça. Je descend mes mains vers son membre vif, le prenant dans une de mes mains tandis que l'autre s'empare des ravissants bijoux qui accompagnent. Ma main glisse de bas en haut, tandis que l'autre masse. Je relève mon regard vers lui, un sourire en coin. Puis je le quitte de mes mains, venant rapprocher mon bassin du sien. Son membre se faisant automatiquement presser entre nos deux reins.  L'eau coule entre nous, sur mon dos, mes épaules. J'occupe mes main sur ses joues, venant embrasser ses lèvres des miennes. Mon baiser s'intensifie sous une danse entre nos langues, sous un suçon de sa lèvre inférieure que je viens titiller par moment.

love the way you lie.
Rebecca&Finn

Il sentait que la journée allait être magnifique. Le soleil s'y était mis, venant illuminé tout l'appartement ainsi que réchauffer les esprits. Rebecca s'est occupé d'allumer le feu, de l'allumer lui tout court. Il faisait parfois pareil avec elle, il commençait quelque chose avant de jouer. Un petit jeu entre eux, un jeu de séduction. Chaque fois, il y avait de la frustration, de façon physique, mais qui atteignait quand même le conscient. Ceci dit, avoir une érection et devoir rester ainsi pendant de longues minutes sans qu'il se passe de quoi rien, il n'a rien d'amusant dans cette situation. Faire le désintéresser était ce qu'il allait faire, la laisser moisir dans la salle de bain jusqu'à sa sortie, faisant croire qu'il avait terminé. Résultat, il a échoué à son propre défi, alors qu'il a toujours l'habitude de les relever, ouais enfin, la plupart quoi. Fuck le reste, il y va. Finn s'était donc introduit dans la douche, le temps commence doucement à s'arrêter pour faire place à eux, à leur petite bulle où il n'y a que ses deux-là qui puissent y entrer. Cette sensation est agréable, vraiment apaisante. Mais rien n'est éternel. Il fit une petite mou à ses paroles. Rebecca se retourne vers lui, avec du gel dans sa paume de main venant lui mousser le corps, mais d'une façon plus sensuelle que ça ne devrait être. Son sourire s'élargit, son corps commence à avoir de plus en plus chaud, son membre y répond également, surtout lorsqu'elle y dépose ses mains. Il pousse quelques soupirs de plaisir. Ses mains lui attrapent doucement les mamelons afin de la caresser, de jouer avec eux. Il bouge légèrement son bassin, s'il est déçu que ses mains quittent son membre durci, il ne perd pas de temps plus longtemps. Le baiser qu'ils s'offrent devient de plus en plus langoureux, jouant avec sa langue, il en profite pour agripper ses fesses pour la soulever, posant son dos contre le mur plutôt froid et humide. Il rompt ce baiser en lui souriant, la coinçant entre son corps et le mur. Il descend une main pour venir placer son sexe contre son intimité, la taquinant avec le bout de sa chair afin de lui donner envie, qu'elle s'ouvre à lui davantage. Finn se glisse en elle en la regardant dans les yeux, il se glisse jusqu'au fond avant de revenir puis de recommencer. Il se fait lent au début, mais son excitation le pousse à aller plus rapide, plus profond. Il s'occupe de sa poitrine, passant le bout de sa langue sur ses tétons tout en accentuant l'acte entre eux.

love the way you lie.
Rebecca&Finn

M'ayant rejointe sous la douche chaude, je commence à le laver, le savonner de façon sensuelle. Je cherche à le faire perdre et à me prendre comme lui le veut. Alors je viens titiller sa peau sous mes doigts, son membre dans ma main. Je viens l'embrasser, venant caresser son membre de mes reins. Un baiser fuguasse et langoureux. Nos langues s'unissent dans des danses exotiques, mes seins pointent au garde à vous contre son torse et mes mains viennent se loger dans sa chevelure. Sans crier garde, il vient me plaquer au mur, froid et mouillé. Je frissonne. J'encercle ses hanches de mes jambes, collant nos deux intimités ensemble. Mes hanches réagissent contre lui mais il vient tout arrêter. Je le regarde, déconcerté, un peu vaseuse comme si j'allais tomber dans les pommes. Il m'en faut peu dites donc. Il borde ce sourire qui me donne plus de fourmis en bas que notre baiser d'avant. Je sens son sexe se jouer du mien, mon regard persan le sien. Je me mordille la lèvres, ondule mes hanches. La souffrance délicate. J't'en pris Finn, je m'excuse pour avant. Hm ? Je le supplie presque de me prendre tout entière. C'est la seule façon de m'arracher une excuse sincère ; me titiller ainsi. Il exhausse mes prières, enfile son métro dans mon tunnel, comme le dirait la fabuleuse image plus poétique de la situation. J'inspire profondément, mon regard toujours dans le sien, tandis qu'il me pénètre lentement. Mes doigts s'enfoncent dans sa chevelure, mes ongles venant à s'enfoncer dans son crâne.  Je le regarde, les yeux humides, embrumés de plaisir. Je soupire, j'inspire, d'une façon lente et désireuse. De légers gémissement sortent parfois de ma bouche tandis que je me tiens à ses hanches par mes cuisses serrées. Puis il va plus vite en moi. Je pousse des gémissement de plus en plus fréquemment. La sensation qui se passe est délicieuse. Je pousse des sons dès qu'il entre, à chaque fois. Il vient jouer avec mes petits soldats rosés. Une main quitte ses cheveux, son crâne, pour venir griffer le mur comme je le pouvais. Je hurle presque en bougeant comme je le pouvais pour accentuer nos plaisirs. Mon intimité se contracte autour de son membre enfouis. Mon bouton sucré gonfle sous l'excitation, il brûle, il tremble. Je me sens voyager vers un autre monde mais pas question d'en finir ainsi. Je force Finn à quitter mes seins, à me regarder dans les yeux. Je retire une jambe, un peu à contre coeur, pour finir les deux pieds à terre. Son membre me quitte mais pas pour longtemps. Je lui offre immédiatement mon dos, cherchant de ma main son sexe afin de le remettre dans le même chemin emprunté. Une fois le manège comprit, je plaque mes deux mains face au mur avec mon front. Les gémissements reprennent, de plus en plus ardents, rapides. Je sens que je vais flancher sous peu.

love the way you lie.
Rebecca&Finn

L'ambiance se réchauffe de plus en plus, l'eau n'a plus cet effet de refroidissement sur lui. Il ne pense qu'à ce qu'ils sont en train de faire. Il ne veut pas perdre son temps avec les préliminaires. Un peu pressé ? Ce n'est pas ce qu'il dirait, en tout cas, seulement pressé d'être en elle, de pouvoir la réchauffer à sa façon, de lui faire vivre des sensations jusqu'au septième ciel, si ce n'est pas plus haut. Finn se prépare à entrer en elle, à la faire sautiller sur son membre bien préparé par ses soins, mais aussi pas l'excitation qu'il l’habite depuis ce matin. « Shhh.. » Répond Finn aussitôt qu'elle ouvre sa bouche. Les seuls mots qu'il va lui autoriser, ce sont ceux qu'elle a tendance à dire lorsqu'ils couchent ensemble ou encore les gémissements. Le reste, pour l'instant, il s'en balance. Il commence l'acte amoureux, pénétrant à l'intérieur de son intimité déjà humide, ça ne peut le rendre qu'encore plus vif. Il se mordille la lèvre en faisant des mouvements de bassin, accélérant la cadence de plus en plus. Il grogne légèrement lorsqu'elle lui agrippe la crinière et à chaque fois qu'elle tire, il donne des coups plus forts, plus profond dans sa chair rosée. Son rythme s'accélère davantage, son souffle se fait plus court, ses poumons se remplissent puis se vident rapidement, sa bouche s'ouvre pour laisser échapper de petits sons d'extase. Finn ne se pose pas de question, lorsqu'elle descend de ses bras, il l'aide à se retourner aussi vite qu'elle le fait et l'aide à la pénétrer à nouveau. Il la courbe légèrement afin que ses mains attrapent ses hanches et reprend ses mouvements. Il n'a clairement pas envie que cela s'arrête, mais plus il accélère, plus il sent qu'il va jouir, qu'il va s'étendre en elle. Finn ralentit légèrement, une de ses mains monte le long de ses côtes pour venir empoigner un sein, il le serre, s'amuse à titiller ses tétons. Finn ne va pas attarder à en finir. Il retire sa main de sa poitrine, la descend pour venir lui serrer le bassin, ses gestes augmentent, il a atteint l'extase, il se déverse en elle, son liquide se répand dans son intimité, il commence à ralentir, poussant quelques gémissements avant de complètement se retirer. Il lui embrasse les omoplates avant que ses pieds reculent. Le jet d'eau sur sa tête, il décide de baisser l'eau chaude pour se rafraîchir entièrement. Peu à peu, il reprend un souffle normal, son excitation baisse de plus en plus, faisant changer doucement l'ambiance pour de la normalité. Il la retourne doucement pour venir l'embrasser passionnément, venant jouer avec sa langue, lui caressant la joue avec tendresse. Mais il rompt ce baiser, non pas qu'il a envie que tout s'arrête d'un seul coup, mais maintenant que sa vraie conscience est retour, ce n'est pas son sexe qui pense, mais lui-même. Alors, il va sous cette pluie tiède que la pomme de douche lui offre et commence à se laver. « Tu n'as donc rien mangé de ce que je t'ai préparé. » Il se sait mauvais cuisiner, honnêtement, il assume complètement, ceci dit, il finira peut-être pas s'auto empoisonner ou un proche. Il termine de retirer le savon et sort de la douche, prend une serviette qu'il passe alentour de son corps et il se rend à la cuisine pour constater qu'il n'a plus de café. « Super. » Il croise les bras, fesses contre le comptoir et réfléchit sincèrement à engager une servante ou sa mère. Finn passe devant la salle de bain, la porte étant ouverte, il retire sa serviette puis il la balance quelque part sur le plancher avant d'aller se vêtir dans sa chambre. Fuck le ménage, il le fera plus tard, même si c'est ce qu'il dit à chaque fois, un jour, il en aura la motivation.

love the way you lie.
Rebecca&Finn

Malgré son apparence de petit homme, de garçon geek, Finn sait prendre les choses en mains. Lorsqu'il m'aide à me retourner, il sait où je voulais en venir et cela ne semblait pas le gêner pour autant. Me penchant un peu plus, je m'offre à lui. Il reprend ses mouvements, de plus en plus rapides. Tout brûle en moi, je ne vais pas tarder à venir, je le sens. Finn, sans aider à atténuer mon envie d'arriver à la fin, de l'envelopper de tout mon être, vient titiller un de mes seins. Je pousse des gémissements, des soupirs. Mes mains se referment contre le mur humide. La douche encore allumée, le bruits des gouttes qui tombent en torrent tandis que les bruits de nos deux corps qui s'unissent se font entendre aussi. Finn pousse des sons lui aussi, ce qui ne m'échappent pas et attise encore plus mes pincements plus bas. Le désir me tord, me brûle le bouton des désirs. Lorsqu'il retire sa main de ma poitrine, je pousse un soupir, comme un manque mais quand il se déverse en moi... je soupire comme pour me lâcher à mon tour. Je ne peux attendre plus longtemps comme lui. Ses lèvres sur une de mes omoplates, je me redressent, un peu vaseuse. Les jambes flasques, je me tient encore au mur, soupirant plusieurs fois, comme pour reprendre mon souffle, ou mon esprit. Je le regarde reprendre son calme, son membre également par ailleurs. Je reste à ma place, le regardant, encore un peu étourdie et sur le quai vive de l'action passée. M'en veux pas, chat. Je le mangerais, le café a l'air... bon. Je souris, je ne veux pas m'engueuler tout de suite. J'ai besoin d'un peu de froid moi aussi. Finn quitte la douche et j'occupe sa place en le regardant se vêtir d'une serviette autour des hanches. Je glisse ma tête sous l'eau froide, soupirant dans cette dernière. Je sors à mon tour, après avoir essoré mes cheveux, alors que Finn était déjà parti. Je viens enrouler une serviette autour de ma poitrine, descendant jusqu'au milieu de mes cuisses. J'enfile mes pantoufles en forme de lapin avant de rejoindre la cuisine. Je découvre Finn, bras croisés dans cette dernière, totalement dépité, fatigué ou exaspéré. Je n'ai pas le temps de lui demande ce qu'il a qu'il sort déjà de la cuisine en laissant traîner sa serviette. Je lève les yeux au ciel, moi qui voulait juste un verre de lait, j'abandonne l'idée et je prend sa serviette au sol en le suivant dans la chambre. Qu'est-ce qui a ? T'es vexé parce que je ne veux pas de ta bouffe ? Je ricane, il sait très bien ce que l'on pense tous de sa façon de tenir une cuisine pourtant. Je viens mettre sa serviette dans une corbeille à linge sale que je lui ai acheté, sinon, elle n'existerait même pas. J'attrape mes sous-vêtements rouges en dentelles et les enfile. Je regarde Finn du coin de l'oeil en agrafant mes agrafes. J'attrape mon t-shirt rouge et mon jeans délavé. J'enfile le tour en regardant Finn. Tu veux aller manger une tarte plus bas et acheter du café par la même occasion ? Ou faire les courses et en rentrant je te fais à manger ? Enfin, je nous fais à manger. Je ferme le bouton du jeans puis pose mes mains sur mes hanches en attendant sa décision.

love the way you lie.
Rebecca&Finn

Finn envisage de se remplir le ventre avant d'aller jouer sa partie de paintball. Pour l'heure, il a besoin d'énergie, de caféine, mais la cafetière est vide et quand Lorena n'est pas là, il part plutôt s'acheter du café au lieu de tenter de le faire ou de tout faire foirer. Il n'est pas doué du tout, la preuve, même sa copine ne semblait pas en vouloir. La cuisine, c'est la section interdite aux enfants, à Finn aussi. Danger public de la cuisson et des petits plats. Il préférait aller s'habiller plutôt que d'ouvrir sa bouche à ce propos, alors, qu'en fait, c'est un peu de sa faute si c'est vide. Le matin, ça lui arrive d'être un peu boudeur, comme à peu près tout le monde, même après avoir fait l'amour. Il termina d'enfiler son t-shirt lorsqu'il entra dans la même pièce que lui. Il était silencieux, il l'observa s'habiller à son tour et lui demander s'il était vexé. « Je suis habitué, je ne vais pas me vexer pour ça, t'inquiète. » Il assume d'être nul en cuisine, on ne peut pas être doué pour tout. Il hausse les épaules avant d'attraper son portable et d'envoyer un message, le faisant sourire en écrivant. Son attention était plus centrée sur le message que sur les paroles de Rebecca. Alors, il s'approcha de la porte en terminant. « Non, ça ira, je me prendrais un fruit en sortant d'ici. Mais si tu veux, on fera ça la prochaine fois. Comme ça, on n'aura pas à s'empoisonner. » Il lui pose une main sur l'épaule avant de sortir de la chambre pour rejoindre le salon. Les nuages semblèrent s'installer dans le ciel, ce qui allait gâcher le reste de la journée si la pluie s'y mettait. Il y a toujours des parcours à l'intérieur, mais c'est moins drôle, mois inspirant que d'être dans la nature, à respirer l'air frais et transpirer sous un soleil brûlant. « Au fait, ça te dit de participer à la journée paintball ? On partirait pour bientôt. » Lui demande-t-il avant de se poser sur une chaise et d'enfiler ses chaussures. C'est vrai que c'est à la dernière minute, hier, il avait complètement oublié de lui en parler. Finn est du genre à faire les choses à la dernière minute, de prévoir sur place, non pas tout à l'avance. Il jette un coup d’œil à l'extérieur en regardant à travers la fenêtre. « J'espère qu'il n'annonce pas de pluie. » Il relève la tête pour la regarder. Il ne sait pas si c'est vraiment son truc le paintball, à vrai dire, il ne l'a jamais questionné à ce sujet. C'est la deuxième fois qu'il va jouer dans cette ville, il continue encore de découvrir la ville malgré ses quelques mois déjà passés.

love the way you lie.
Rebecca&Finn

Entrant dans la chambre, je lui demande ce qu'il y a. Si c'est à cause du fait que je ne soutienne pas ses avancés culinaires ou non. Il me dit que non mais ça m'énerve quand même comment il le dit. Je sais pas, j'ai l'impression qu'un fossé se creuse entre nous. Ce n'est pas la première fois. Finn pianote sur le téléphone, ne faisant pas trop attention à moi en fait. Encore avec ses amis. Va-t-il m'abandonner pour eux, à nouveau ? Mais c'est bien ce que je craignais. En s'avançant vers la porte, près de laquelle je me trouve, il m'affirme qu'il va partir. On vient de coucher ensemble hier soir puis y a pas cinq minutes et il veut partir ? Moi qui pensais avoir une journée en amoureux avec lui, c'est râpé. Ouais une prochaine fois. Je te signale juste que je ne suis pas une si mauvaise cuisinière que ça. Je le regarde du coin de l'oeil en séchant mes cheveux après avoir branché le sèche cheveux sur la prise pas loin de la porte. Je le laisse partir hors de la chambre, me séchant bien les cheveux et passant un coup de brosse dedans. D'où m'a-t-il juste posé la main sur l'épaule ? C'est pas un truc que tu fais à ta copine. Enfin, je sais pas mais c'est pas... Ouais, c'est Finn, c'est pas non plus le mec des livres érotiques qui nous font baver. Je remercie ma mère de ne pas m'avoir donné naissance avec les cheveux qui frises. Je débranche l'appareil et le fourre dans un des tiroir de Finn, j'ai quelques affaires chez lui. C'est plus pratique et j'avoue m'être un peu éparpillé au fil du temps. Je rejoins Finn au salon, mettant une paire de boucles d'oreilles en chemin. Il me demande si je veux venir à un stupide jeu avec lui et ses potes. Si je voulais une journée avec lui ; oui. Mais pas avec les autres. Il regarde l'extérieur, espère le beau temps et porte une intention sur moi. La conversation est aussi morose que le temps. Je me mordille méchamment les lèvres avant de sourire, déversant ma colère dans mes poings fermés. Nan, va t'amuser avec tes copains. Tu le mérites. Je vais rester ici, faire le ménage, manger un peu et puis après j'aviserais. Seule. Je soupire mais garde le sourire tout de suite après. De toute manière j'ai l'habitude, avec Finn, c'est les copains d'abord, la copine après. Comme si j'étais là pour le cul, la rigolade, les engueulades, le ménage... les trucs de couples quoi. Je réfléchis un instant et la question me sort des lèvres. Lorena y sera ? Et là, vu le ton que j'emprunte, je ne savais pas encore que j'allais déclencher la troisième guerre mondiale.

love the way you lie.
Rebecca&Finn

Entre eux, c'est rendu si facile de se disputer pour un rien. Alors, certes, il n'est pas fâché contre cette histoire de nourritures mal cuisinés, mais il aurait voulu un effort de sa part. Ceci dit, il ne veut pas se prendre la tête, alors, il l'évite à ce sujet. Il ne dit rien de plus ce qu'elle souhaite peut-être entendre, non, il n'est pas vexé, que ça ne le dérange pas qu'elle n'ait pas mangé, de même que pour le café. Il soupire légèrement à sa réaction. Il le sait, elle est meilleure que lui, il ne va pas le nier, là n'est pas la question. Il n'a plus l'appétit de manger quelque chose qui va lui remplir complètement l'estomac. Parce qu'il a hâte de quitter les lieux, respirer le grand air, mais aussi, éviter les disputes. Sortir de la pièce, la laissant seule, c'est un peu s'isoler pour avoir son espace, afin de ne pas empirer les choses. La main sur l'épaule n'était pas vraiment voulue, c'était à cause de sa distraction au téléphone, la première chose qu'il lui est venu à l'esprit, la main sur l'épaule. Il va terminer de s'habiller en enfilant ses souliers, chose faite. Maintenant, il passe à l'autre chose, celle de l'inviter, parce qu'il sait qu'il est toujours avec ses amis, mais c'est son quotidien, sa façon de vivre. Il les aime. Tout comme il l'aime, mais d'une autre façon. Il fronce les sourcils en la voyant lui répondre. Il n'est pas con, il cerne très bien le ton de sa voix, ce que cela veut dire. « Euh... ok. » Tout ce qu'il dit, par rapport à sa mauvaise humeur, non pas qu'il est mieux, mais ça l'agace aussi. Finn n'avait rien prévu de sa journée, sauf ça, ils n'ont pas parlé de ce qu'ils feraient alors, il s'est permis d'accepter l'invitation. Et voilà. C'est parti pour un tour. Finn roule les yeux, suivi d'un long soupir qui en dit long. « Non, elle n'y sera pas. Quand même qu'elle y serait, ça ne t'empêche pas de sortir avec nous. Oui ? » Elle travaille de toute manière. Il ne va pas la déranger pour ça. Enfin, le problème est plutôt du fait que Becca semble jalouse de sa colocataire. Ce n'est pas un truc qu'il aime aborder, la jalousie, les disputes. Mais c'est un truc qu'ils n'arrivent plus à éviter, les querelles de couple, ça part souvent de rien et pour rien aussi. « Laisse-tomber. Reste ici à faire ce que tu veux, je m'en fous. Pendant que moi, je vais m'amuser. » Dans sa tête, c'était pour conclure la chicane, mais il sait très bien que ce n'est que le commencement, qu'il n'a absolument rien conclut dans tout ça.

love the way you lie.
Rebecca&Finn

Je n'aime pas comment les choses sont en train de tourner. Peut-être ais-je dis un refus qui n'était pas voulu? J'en sais rien mais je n'ai pas pour habitude de laisser mes pensées sur le cotés. Je les dis, haut et fort, sans trop me demander comment l'autre risque de l'interpréter. C'est bien un défaut chez moi, je le sais, mais comment voulez-vous que je change cela de but en blanc ? Lorsqu'il me répond d'un simple ok, les sourcils froncés, je comprends que j'ai fais une boulette. Je me racle la gorge en posant une question qui me trottinait bien trop dans la tête. Encore une fois, je sens que c'était la goutte de trop qui a fait tout renverser. Son soupir en disant aussi long que ses yeux qui voguaient au ciel. C'est vrai que cela ne m'empêcherait pas de venir. Lorena ou pas, j'aurais pu accepter mais le fait qu'il passe plus de temps avec ses amis qu'avec moi, qui avait prévu une journée cocooning avec lui, ça m'énerve juste un peu. Qui te dis que je ne vais pas m'éclater toute seule, hm ? Je place mes mains sur mes hanches, un sourire narquois sur les lèvres. Tout ce que j'avais prévu de faire avec toi, je peux le faire seule. Donc oui, va t'éclater avec ta bande que tu aimes tellement. J'indique d'un geste court dehors avant de replacer ma main sur ma hanche. Je ne suis pas encore parti au quart de tour et puis avec moi, partir au quart de tour, c'est pas hurler, c'est de dire des choses blessantes, des choses de trop qui vont attiser le feu qui s'allume. Jusqu'ici, nos disputes, querelles d'amoureux, se sont toujours terminées assez bien. Il n'allait jamais chercher trop loin, il partait et quand il revenait, s'en était finit de cette dispute. J'espère que celle-ci sera pareille même si c'est bien une des premières fois où l'on se dispute pour sa bande et que le prénom de Lorena y apparait. En général, avec cette fille, je me tais et je fais la gentille copine avec elle mais au fond, j'en suis jalouse. Je sais que la jalousie, c'est un manque de confiance et c'est pas en Finn que j'ai un manque de confiance... Mais au destin et en Lorena. Imaginez, un jour, panne de courant, ils se retrouvent coincés je ne sais où. Un bisou est vite arrivé ou la découverte des sentiments aussi. J'ai juste peur, au fond, qu'il m'abandonne ou me jette comme une vieille crevasse. Non, Finn ne ferait jamais ça.

@Finn Llewellyn

love the way you lie.
Rebecca&Finn

Finn n'est pas du genre jaloux, il a besoin d'avoir confiance en son entourage, de pouvoir être capable de mettre sa vie entre leurs mains ou en tout cas, compter sur eux, à n'importe quel moment. Il croit en elle, en Rebecca, il n'est pas jaloux. Comme tout le monde, il a ce besoin de savoir, d'être rassuré, mais il n'est pas comme certains petits amis jaloux maladif qui veulent tout contrôler. Il ne souhaite pas que sa copine soit ainsi, à toujours lui rappeler qu'elle est là, parce qu'il le sait, il n'est pas con à ce point. Il est amoureux d'elle, ses amis, c'est une autre sorte d'amour, comme frère et sœur quoi. Lorena fait partie de ce lot, une autre sœur, une meilleure amie, ils partagent le même appartement, elle l'a accueilli quand il cherchait à avoir son indépendance de sa famille, de sa sœur. Finn la dévisage un court instant. Il n'a plus envie de sourire, ni de jouer, ce sourire narquois l'agace plus qu'autre chose. On dirait que les choses changent, que la dispute, elle ne ressemble pas aux autres, c'est juste une impression en tout cas. « Super alors. Tu peux partir t'amuser. » Il hausse les épaules, il est en train de réfléchir à tout ça, est-ce qu'ils doivent continuer à subir tout ça, à se disputer, à se déchirer ou il y a une fin à ce qu'ils sont en train de vivre ? Ça laisse à réfléchir. Il range son téléphone avant de porter son attention sur Rebecca. « Je les aime, ouais, comme une famille. Je suis ce genre d'ami là, qui aime ses amis comme ça, qui a besoin d'eux, de passer du temps avec eux, parce que je peux me changer les idées, m'amuser, rire. » Il ne saurait l'expliquer. Ce n'est pas le genre d'ami qui  voit ses amis une fois ou deux par année, par mois, c'est un besoin. Un drôle d'attachement. Un silence s'installe. Un long et pénible silence. Il ne peut pas rester ainsi, dans le noir, à broyer, à devenir fou, sans lumière, sans espoir. Finn attrape ses clés de maison et il s'avance vers cette dernière. « Je crois que j'en ai marre de tout ça, de ce petit jeu qui dure depuis trop longtemps. J'ai.. j'ai juste besoin de respirer. » Finit-il par lui souffler en la regardant dans les yeux. Il ne sait pas quoi dire de plus, ils ont peut-être besoin de s'éloigner pour mieux se retrouver, s'il y a de l'espoir, une seconde chance.

@Rebecca Ziegler