Stefano Angelis tueur la nuit dragueur le jour et pas forcément toujours dans ce sens là...

Stefano Angelis

Un Italien qui aime pas les Pizzas oui ça existe !

les informations en vrac

la partie anecdotes ○ Que dire de moi ? Je suis Italien, j'aime la vie en général, la musique plus précisément le hard Rock ou le métal Symphonique, l'art de la rue,Me promener sur la plage, manger des pâtes à toutes les sauces surtout celles que fait ma Mama, les femmes, les hommes et jouer à des jeux de hasards. Contrairement à ce qu'il pourrait paraître à cause de ma première profession, je ne suis pas un homme violent. Mais je sais utiliser mes poings quand j'en ai besoin ! J'adore cuisiner et surtout aider ma Mama dans le restaurant Italien qu'elle tient depuis que nous sommes arrivés à Island Bay. J'ai aussi des tatouages, un dans le dos qui représente une tête de mort entourée de deux beretta et une croix sur l'avant bras droit.

les indiscrétions sur le joueur

 

Code:

<pris>○ dominic cooper</pris> stefano anglis

l'histoire de ma vie

petite citation pour faire joli

Je me nomme Stefano Angelis et comme vous pouvez vous en doutez vue la tonalité chantante de mon prénom et mon nom, je suis Italien d'origine puisque je suis né il y a 36 ans de cela à Naples troisième ville la peuplait d'Italie après Rome et Milan. Ne vous attendez pas à lire entre ces lignes la Dolce Vita Italienne, car il n'en est rien ! J'ai grandis dans la pauvreté dans un des quartiers le plus malfamé de Naples avec ma mère cuisinière dans un petit restau de quartier et mon père poivrot à plein temps au bar du quartier ! Mais malgré les coups de sangs du paternel et le manque cuisant de bien matériel, j'arrivais néanmoins à être heureux. Ma mère, mon pilier ma vie, c'est elle qui me donnait mon équilibre, elle se tuait chaque jours à la tâche pour que je ne manque de rien, alors que moi petit vaurien que j'étais, je passais mon temps à voler et casser dans les rues étroites et pavés de la cité Napolitaine. Garçon enjoué et débrouillard, je me débrouillais toujours pour me sortir indemne de toutes les galères dans lesquelles mes amis et moi on se foutait. Mais de retour à la maison, cela était différent, éviter la ceinture du Padre et les larmes de la Mama était pour moi chose impossible. Avec le temps, de garçon chamailleur et voleur, je suis passé à violent et menteur ! Je mentais tout le temps, à mes amis d'abord sur les bleus qui recouvraient mon corps, à ma mère sur la provenance de l'argent et des provisions que je lui rapportais et aux flics ensuite quand je me faisais chopper.

Tout cela a fini par m'endurcir et c'est sans surprise que mes premiers dérapages judiciaires violent me conduisirent devant le juge ou seul mon jeune âges avait pu m'épargner la taule. Mais une fois dehors, je reprenais mes travers, vol, raquette, arnaques et petites magouilles en tout genre qui attirèrent bien vite sur moi le regard de la mafia locale en quête de chair fraîche pour agrandir leur rangs. C'est ainsi qu'à seulement 13 ans, je commençais à bosser pour eux. Lorenzo Piazzi parrain tout puissant de la mafia de Naples me prit sous ailes et m'apprit les ficelles du métier. Je commençais petit, prises de paries, vol à la tire, puis plus je grandissais, plus les missions devenaient compliquées. Jusqu'au jour ou tout bascula. J'avais 16 ans et Lorenzo me pris avec lui pour mener une affaire ! Il était temps selon lui que j'entre dans la cour des grands. Ma mission était simple, je devais assister le boss dans un interrogatoire musclé où un homme attaché à une table était torturé ! Un seau était attaché sur son ventre et à l'intérieur bouger un rat vivant ! Le parrain posait les questions, et moi avec le chalumeau je chauffais le seau qui devenait si brûlant que le rat à l'intérieur grattait frénétiquement le ventre du supplicié pour trouver la sortie ! La scène était horrible, l'odeur, les cris, tout me répugnait, mais malgré cela je continuais ma sale besogne car je le savais, si je ne passais pas ce test, je finirais à la place de l'homme sur la table et ça non jamais je ne permettrai que ça arrive !  

Après cette expérience, j'étais plus dur et sombre que jamais ! Vivant toujours à la maison avec ma mère et mon père, il n'était plus question pour moi de supporter la cruauté et la violence du paternel !  Un soir, je rentrais chez moi et une fois de plus mon père était sur ma mère, il l'insultait, la molestait, rien de différent à ce qu'il faisait tout les jours en sommes et pourtant tout était différent ! J'étais différent et je n'allais plus permettre que ce sale type pose ses sales pattes crasseuses sur ma mère ou sur moi ! Ce soir là, je m'opposais à lui, attrapant son bras qui s'élevait pour battre ma mère ! Le coup qu'il me lança en plein visage me cloua au sol, mon crâne frappa si violemment celui ci, que mon artère sourcilière éclata répandant sur le sol blanc immaculé de la cuisine une trace de sang rouge carmin. Je me relevais tant bien que mal me tenant à une des chaises pour ne pas flancher. Mon regard croisa alors celui larmoyant de ma mère et je compris que le moment était venu. Il était là entre nous, je me saisie alors du couteau de cuisine sur la table. Mon père éclata alors d'un rire sonore, mon regard était brouillé par le sang qui tombait dans mes yeux, mais malgré cela, je restait droit comme I face à lui ! Cette fois je n'allais pas flancher non ! Il s'approcha pour me prendre la lame des mains je m'élançais alors de toutes mes forces sur lui, mais je perdis l'équilibre à cause de ma perte importante de sang, il me poussa à nouveau, je tombais alors sur la table. Mon père était fou de rage, je n'entendais pas trop ce qu'il disait, mais je vis clairement la poêle entre les mains de ma mère s'éclater sur tête à présent rouge de sang ! Mon père tomba, il bougeait encore sur le sol en jurant d'avoir notre peau ! Je savais qu'il me fallait en finir et ma mère aussi d'ailleurs. Je repris alors le couteau de cuisine et je lui plantais dans le cou ! Son sang s'écoula partout sur le sol blanc qui n'était à présent plus qu'une mer rouge de sang ! Le monstre était mort, mais un autre était né ce soir là... Ma mère et moi reprenions nos esprits, Mama ne savait pas quoi faire avec ce corps, alors j'appelais la seule personne qui je le savais pourrait nous aider, Lorenzo en personne. Celui ci arriva dans les minutes qui suivirent, ces hommes de mains prirent le corps et s'en débarrassèrent je ne sais où tandis que Mama et moi nous nettoyons tout...  

Après cela, je fus pleinement reconnaissant à mon mentor. Lorenzo était maintenant pour moi plus qu'un ami, il était un père ! Je travaillais pour lui, je volais, je tuais, bref je faisais tout ce qu'il fallait pour qu'il soit fier de moi et lui prouver qu'il pouvait avoir confiance en moi. Et lorsqu'un mouchard nous balança aux flics et que je fus enfermé comme une bête dans l'une des pires prisons d'Italie durant 12 ans, jamais je n'ai balancé un seul mot sur le boss et ses affaires ! Lorenzo me trouva le meilleur des avocats et grace ce ténor du barreau, ma peine fut divisé par 2 et je n'en fit que 6. A ma sortie, j'appris la mort de Lorenzo, celui ci fut assassiné par les flics lors d'une descente. J'appris de source sur que le salopard qui avait orchestrait ça était l'ordure qui nous avait balançait aux flics il y a 6 ans en arrière de cela. Je décidais donc d'en finir avec lui ! Je l'ai surveillé durant des jours, des nuits, notant patiemment ses habitudes, ses mais, ses petites manies et enfin, tel le serpent tapie dans l'ombre, un soir je frappais et c'est en le regardant droit dans les yeux que je lui tirais une balle dans la tête !

Après cela, s'en étais fini pour moi de l'Italie. Je pris ma mère avec moi et nous sommes parties pour la Nouvelle-Zélande, plus précisément Island Bay. Là bas, un ami m'apprit qu'un chef mafieux du nom d'Antonio De Vecchio cherchait du personnel. Je lui prouvais ma valeur et je fus engagé très vite sous recommandation auprès de lui. D'abord en tant que chauffeur, puis en tant qu'homme de main. Peu à peu une relation de confiance se noua entre nous deux. Cet homme, tout le monde le craignait, mais moi je l'admirais ! Je ne cherchais pas à le surpasser, ni à lui ressembler, moi je voulais juste une place parmi ses plus proches et ce fut chose faite lorsque je pris une balle pour lui. Je lui ai sauvé la vie et il sauva ensuite la mienne en donnant son sang pour que je ne meurs pas. Aujourd'hui on peut dire que nous sommes comme des frères et d'ailleurs, Mama le considère comme un fils allant même jusqu'à lui offrir une place dans la famille.

Aujourd'hui j'alterne entre mes deux boulots, je suis au service du boss en tant que bras droit et au service de Mama dans notre restaurant Italien Casa Italia (Tarif réduit tout les midi pensez y   ).