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contexte › island bay ressemble à n’importe quelle petite ville côtière de nouvelle-zélande, mais il n’en est rien. en bordure de wellington, à une trentaine de minutes en voiture, se trouve un parfait petit endroit où se mélangent étroites maisons en location et grandes villas de propriétaires fortunés. c’est un endroit où il fait bon vivre, du moins d’apparence, puisque comme on sait, l’herbe semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture. tous les habitants d'island bay se sentent ici comme à la maison, en quelque sorte. mais n’en est-il pas autrement de leurs voisins ?
mai 2024
6° - 16° // un peu de soleil pour faire plaisir !
initiales interdites. › personnages inventés de 25 ans minimum. › 3 ans de différence entre l'avatar et l'âge du personnage. › 15 lignes minimum par rp › un rp par mois.


depuis un an il essaye de la séduire, mais en vain !
Quand finira-t-elle par craquer et le laisser entrer dans sa vie ?

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 can we date again ? [luker #19]

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MessageSujet: Re: can we date again ? [luker #19] (#)   can we date again ? [luker #19] - Page 2 EmptyMar 17 Oct - 16:32

❝ Can we date again… ? ❞
Parker & Lukas


Oser lui dire je t’aime. Qui l’aurait cru ? Je n’aurais jamais pensé pouvoir être capable de faire le premier pas, me jeter à l’eau comme ça. Je ressens encore tout ça, le sentiment de ne pas être assez pour elle, de ne pas en faire assez, de ne pas lui offrir ce que je devrais. J’ai mal au cœur de savoir que je ne la comblais pas comme je l’aurais dû. Je me suis pourtant donné corps et âme, surtout corps pour être honnête, mais ce n’était pas mon corps qu’elle voulait, c’était plutôt mon âme. Et elle a raison quand elle dit que je n’étais pas à nous deux. Le plaisir de la chair reste futile sans ce sentiment de devoir se donner pleinement, de donner tout ce que l’on est, et possède, juste pour une personne, pour apercevoir dans son regard, l’éclat qui a fait la différence avec tous les autres.
Je trouve le courage de la retourner face à moi après lui avoir révélé tout ce que je pouvais ressentir, mon regard croisant le sien dans un miroir, et Dieu sait si je déteste ne pas regarder quelqu’un dans les yeux. Parker s’est toujours étonné de ça, mais je ne lui ai jamais vraiment répondu quand elle me parlait au travers du miroir. Je la sens m’étreindre, plus fortement, plus tendrement encore qu’elle n’a su le faire ces derniers temps, me collant à elle pour ressentir son corps tout près du mien, sa chaleur, son odeur, tout ce que je peux aimer chez elle, jusqu’à l’odeur de son shampooing. « Je veux plus jamais me passer de ça... » Elle peut remarquer mon expression de surprise, je ne pensais pas qu’elle reviendrait vers moi si vite, si facilement, et sans même un reproche. Je sais lire entre les lignes de son regard, tout ce que je peux y lire est très utile pour moi, mais moins pour elle. Je suis capable de savoir ce qu’elle pense quand je la regarde, je la connais par cœur, peut-être même mieux qu’elle ne se connait elle-même et je sais que ça lui fait peur. Je suis comme un garde-fou, parfois, quand ce n’est pas moi qui lui donne de raison de sombrer. « Je t’aime, je veux plus jamais me passer de toi. » « Jamais, je te le promets. » Murmurant à son oreille en passant mes bras autour d’elle. La sentir contre moi est comme une drogue, comparable à un shoot de la drogue la plus extrême qui soit, capable de détruire autant que de construire, qui finit toujours par faire mal. « Et si on sautait le repas et qu’on rentrait ? » Significatif de lui proposer de sauter un repas, moi qui me bat corps et âme pour qu’elle avale ne serait-ce qu’une portion décente depuis des mois. Elle ne s’alimente que très peu, très mal, pas assez pour ce que son corps lui réclame. A son sourire complice je sens qu’elle n’attend que ça. Alors je sors la première, rompant l’étreinte de nos mains à regret, règle l’addition, récupère nos affaires et lui fait signe de me suivre, balançant le tout dans sa voiture, bien plus spacieuse que la mienne. Je rêve d’en changer, mais pour être honnête, les priorités des derniers temps étaient toutes autres. « Je peux conduire ? » Sans surprise, elle me laisse les clés, et je démarre son bolide, non sans lui avoir volé un baiser auparavant. Je mets la musique, du rock, je suis surprise que ce soit ce qu’elle écoute… mais lui adresse un sourire complice et va même jusqu’à taper sur le volant en rythme au feu rouge…
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MessageSujet: Re: can we date again ? [luker #19] (#)   can we date again ? [luker #19] - Page 2 EmptyVen 20 Oct - 9:30

Si au départ j’espérais qu’elle ne me rejoigne pas pour me laisser le temps de souffler, de respirer, de calmer mon coeur qui est parti dans une course folle, je suis finalement heureuse de la savoir là contre moi, ses mains sur mon ventre et ses lèvres dans mon cou. Je ferme les yeux et soupire de cette étreinte, de ce bonheur de la sentir enfin contre moi. Enfin nos lèvres se retrouvent pour mon plu grand plaisir, et j’en avais presque oublié à quel point c’était agréable, à quel point c’était vital pour mon équilibre. Je ne veux plus me passer de ça, jamais, et je lui dis ouvertement. « Jamais, je te le promets. » J’ai presque envie de pleurer tellement ses paroles me font du bien, j’aimerai y croire, je veux y croire. Elle et moi contre le monde entier, comme avant. Cette famille que nous avions su construire contre vents et marées. Elle et moi. Pour toujours. Rien ne sera plus jamais pareil sans elle, et j’ai besoin qu’elle soit là, à mes côtés. « Et si on sautait le repas et qu’on rentrait ? » Je la regarde, surprise, mais dans le bon sens du terme. Elle me propose de sauter le repas alors que je sais qu’elle veut que je fasse attention à mon alimentation, serait-ce une proposition indécente ? Mon regard se remet à briller d’une étincelle auparavant éteinte. Je ne m’attendais pas à ça, mais comment refuser ? Je me mords la lèvre inférieure en souriant. « Oui, rentrons chez nous. » Chez nous. Cette maison que j’ai habitée si longtemps seule avec mes deux enfants, et qui est devenue la sienne à l’instant où elle y a déposé ses premières affaires.

Nous sortons des toilettes pour récupérer nos affaires dans la salle, Lukas choisit de payer le repas non sans me battre un peu, parce qu’à la base, c’est moi qui l’invitait. Nous retrouvons ma voiture sur le parking et sans grande surprise, Lukas me demande si elle peut conduire. Je ris un peu et sors les clés de mon sac à main pour lui donner et je m’installe sur la place du passager. Elle a toujours eu cet amour des voitures, alors que moi je ne travaille dans cette boîte que parce que ça a été un concours de circonstances. Je récupère le baiser qu’elle me vole avec un grand plaisir et nous prenons le chemin de la maison. En allumant le poste, c’est la musique de Noa qui pulse déjà dans les enceintes et je vois le sourire complice de Lukas. « Pour ma défense, c’est Noa qui a choisi cet album la dernière fois qu’on a pris la voiture ensemble. Et je l’ai laissé. » Parce qu’il me faisait penser à Lukas, bien évidemment. Le chemin est agréable, j’ai vraiment l’impression de retrouver ma femme, l’amour de ma vie, et je remercie le ciel de ce moment de répit dans notre histoire qui s’est voulue récemment compliquée. Nous arrivons à la maison et je claque la porte de la voiture après en être sortie, attendant Lukas pour faire ensemble le chemin qui nous mène jusqu’à la porte de la maison. Il me semble que les enfants sont sortis, mais je n’en suis pas certaine. Une fois la porte refermée, je viens embrasser tendrement Lukas,  glissant ma main dans son cou. « Tu me laisses une seconde ? Je vais vérifier que les enfants sont bien sortis. Tu peux nous servir quelque chose à boire si tu veux ! » Je lui souris et file à l’étage pour vérifier qu’il n’y a personne, sait-on jamais. Mon coeur palpite dans ma poitrine. Lukas est là, je ne rêve pas. Je redescends avec le sourire. « On est seules.. » le ton de ma voix s’est fait plus chaud, plus sensuel aussi.
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MessageSujet: Re: can we date again ? [luker #19] (#)   can we date again ? [luker #19] - Page 2 EmptyVen 20 Oct - 15:42

❝ Can we date again… ? ❞
Parker & Lukas


Rentrer chez nous. Cet endroit où je ne me suis jamais plus sentie que chez moi depuis mon divorce. Gamine, j’ai été habituée à changer de foyer comme de chemise, parcourant les quatre coins du monde pour le besoin des affaires de mon père, même si nous possédions un pied à terre à New-York, nous n’avons jamais eu le sentiment d’avoir une vraie maison, là où toute la famille pourrait se retrouver. Mais soyons honnêtes, une famille, ça se résumait à quoi ? Mon père ce fantôme et mon frère en pension ? Tu parles. J’ai eu mon premier foyer quand j’ai rencontré Shay, quand nous avons emménagé ensemble. Ce n’est pas le tout de posséder de multiples propriétés, c’est aussi de s’y sentir chez soi. Et c’est exactement ce que je ressens chez Parker, entre elle et les enfants.
Quand je prends possession de la voiture, la musique chante à mes oreilles, pas du tout le genre de ma moitié, pourtant. J’ai toujours besoin que ça bouge, qu’il y ait du bruit ou de l’agitation, m’endormir dans une maison où tout est calme me stresse, et c’est très souvent que je trouve un peu de repos quand nous nous installons Parker et moi devant un film, un film qui bouge, avec assez d’action pour faire un bruit de fond, rassurant. C’est étrange de constater que Lenny ne peut s’endormir que quand quelqu’un ou quelque-chose fait du bruit autour. « Pour ma défense, c’est Noa qui a choisi cet album la dernière fois qu’on a pris la voiture ensemble. Et je l’ai laissé. » « Ne cherche pas d’excuse, tu commences à aimer ça. » Les vieux classiques du rock, de la pop, de cette ambiance un peu étrange, un peu stone, parfois carrément provoc que j’aime tant.

Nous arrivons à la maison, non sans avoir outrepasser quelques limitations de vitesse, mais Parker sait que tenter de m’en dissuader ne sert à rien, je n’ai jamais rien respecté qui ne soit pas à ma portée de faire sauter, comme les PV ! Je suis flic, il faut bien que ça serve à quelque-chose, non ? Si vous saviez comme mon supérieur peut soupirer quand je lui ramène une prune pour excès de vitesse ou mauvais stationnement ! Je prends la main de ma moitié pour remonter l’allée, comme avant, comme un besoin de ne pas rompre le contact, parce que trop précieux. « Tu me laisses une seconde ? Je vais vérifier que les enfants sont bien sortis. Tu peux nous servir quelque chose à boire si tu veux ! » Je tourne dans le salon, cherchant à repérer ce qui a pu être déplacé ou pas, changé, même si je sais que Parker a plutôt besoin de garder les choses en l’état pour retrouver une certaine stabilité, un endroit rassurant, une routine qui la guide et lui sert de garde-fou. « On est seules.. » Elle vient de redescendre et me mange du regard, mon dieu que j’aime ça. « On est seules… » Je souris et glisse une main sur son visage en la poussant contre le mur, dévorant ses lèvres. Je ne suis plus capable de me tenir, il me faut une partie d’elle-même, là, maintenant. « Je crois que le verre on va laisser tomber, tu crois pas ? » Je l’entraine dans la chambre, pour plus d’intimité. Je referme la porte derrière moi et la pousse délicatement sur le lit, m’asseyant à califourchon sur elle. Entre deux baisers, je me redresse et déboutonne ma veste, sous laquelle je ne porte pour ainsi dire, pas grand-chose…
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MessageSujet: Re: can we date again ? [luker #19] (#)   can we date again ? [luker #19] - Page 2 EmptyJeu 2 Nov - 17:07

« Ne cherche pas d’excuse, tu commences à aimer ça. » Je souris, ne cherche pas à trouver d’excuse. La vérité, c’est que cette musique me fait penser à Lukas, et que ça me fait du bien parfois de prendre le volant en l’imaginant à mes côtés, battant le rythme de ses pieds ou de ses mains sur ses cuisses comme elle le fait présentement sur le volant de ma voiture. J’aime sa présence, depuis le premier jour, depuis toujours. Elle m’apaise, m’aide à me sentir mieux, à me sentir moi-même. Personne n’a jamais été aussi bénéfique pour mon quotidien et c’est sans doute ce qu’il me fait le plus peur, d’être dépendante de quelqu’un plus encore qu’on peut être dépendant à une drogue. Une fois à la maison, je lui propose de nous servir quelque chose à boire le temps que je vais vérifier que les enfants sont sortis comme prévu. Une fois redescendue, c’est avec un petit sourire non dissimulé que j’annonce à la femme que j’aime que la maison nous appartient. Mon ton est devenu plus suave et sensuel. « On est seules… » répète-t-elle d’une voix légèrement similaire à la mienne, me faisant frissonner plus que de raison. Elle s’empare de mes lèvres à nouveau et me plaque doucement contre le premier mur venu. Je soupire et me délecte de ce baiser qu’elle m’offre. « Je crois que le verre on va laisser tomber, tu crois pas ? » Je souris amoureusement et me contente de hocher la tête, récupérant la main qu’elle me tend pour que nous montions à l’étage pour retrouver notre chambre. Rien n’a changé, rien n’a bougé, elle est encore dans chaque recoin de cette pièce, ses affaires dans la salle de bain, dans le dressing, et cette photo de nous sur la table de nuit.

Luka me pousse sur le lit et je la laisse faire, mon dos épousant le matelas. Je me redresse sur mes coudes alors qu’elle vient se positionner à califourchon sur moi. Mon coeur implose et je me mords la lèvre inférieure. Je tends une main vers elle pendant qu’elle déboutonne sa veste. Le bout de mes doigts glisse sur sa peau et lorsqu’elle la retire, je pourrai presque gémir de simplement la voir à demi-nue. Dieu qu’elle est belle. Je soupire, me sens frissonner. Je me redresse pour m’asseoir et retrouver ses lèvres, glisser mes mains contre son dos nu, dans ses cheveux tombant en cascade sur ses épaules. Je tremble d’envie et de peur, comme si c’était la première fois. « Je t’aime. » lui dis-je entre deux baisers ardents, avides d’encore. Mes doigts se baladent sur sa peau et finissent par déboutonner son pantalon alors que Lukas fait glisser ses mains sur les boutons de ma veste qu’elle retire avant de s’attarder au boutons de ma chemise. Je ne perds pas de temps et déjà ma main s’immisce dans son pantalon, l’entendre soupirer me rend folle, et je n’ai pas besoin de plus pour comprendre que l’envie qui l’anime est la même que la mienne…
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MessageSujet: Re: can we date again ? [luker #19] (#)   can we date again ? [luker #19] - Page 2 EmptyVen 3 Nov - 13:18

❝ Can we date again… ? ❞
Parker & Lukas


Au fond, nous savions toutes les deux que ce verre n’était qu’un prétexte, et il n’en n’a jamais été que comme ça entre nous. Nous n’avons pas besoin de discuter longtemps pour nous comprendre, ni même parfois de le faire, un regard suffit, une intonation et nous savons pertinemment ce que l’autre a en tête. C’est comme une connexion invisible mais pourtant bien réelle, et depuis notre rencontre. Je crois que Parker a mis du temps à se rendre compte qu’elle et moi c’était possible, et certainement pas tout de suite, elle n’a sans doute pu percuter que quand nous nous sommes retrouvées, alors que j’étais mariée.
Je la soupçonne d’aimer mes défauts, d’aimer ce qui l’horripile pourtant chez les autres. Mon bordel, ma musique, mes sautes d’humeur, ma façon de râler, mes goûts parfois aussi… Au fond, tout ça, a l’air de faire qu’elle me voit autrement. Tout comme ses propres défauts sont aussi pour moi de grands atouts la concernant. J’aime ce côté assuré de femme d’affaires, j’aime qu’elle n’ait pas peur pour moi ou du moins ne le montre pas à chaque fois que je prends mon service, ou encore cette obstination à la perfection, tandis que j’en suis tellement loin que la distante terre lune me sépare de la perfection. C’est environ ça… En vrac, voilà comme je suis née, totalement en vrac.
Alors que nous montons dans la chambre, vide, elle aussi, je remarque avec une pointe d’émotion, que c’est comme si je n’avais jamais quitté cette maison. Tout est à sa place, même quand je jette un œil à la salle de bain. Mon déo, ma brosse à dents, mon gel douche, ma crème contre les coups, toujours à la même place, et même mon jean froissé qui traine dans un coin de la chambre, et pourtant Dieu sait que ce genre de désordre énerve Parker. Même une de mes paires de baskets en vrac, dans un coin du dressing… elle n’a donc touché à rien, comme dans un musée…

Je la pousse sur le lit pour venir me mettre à califourchon sur elle, puisque ce soir c’est finalement moi qui mène la danse. Mon esprit est tranquillisé, mon fils est entre de bonnes mains, et je n’ai qu’une chose à penser, ma femme. Le plaisir de ma femme. Ma moitié, que je prends plaisir à retrouver, malgré les rancœurs ayant animé nos relations jusqu’à présent. Bien sûr que je pense encore à cette pouffiasse penchée sur elle, à toucher son corps, la regarder, glisser ses mains sur sa peau, alors que moi seule jusqu’à présent en avait eu le loisir. Mais je dois faire fi de tout ça et quand j’entame un striptease rien que pour elle, ma façon de retirer ma veste, rien que pour elle, n’a rien d’un reproche. Je ne porte rien en dessous et ma poitrine exprime déjà tout le désir que j’ai pour elle. Je me fais du mal rien qu’en la faisant languir parce que la plus impatiente des deux a toujours été moi. Je n’ai jamais su attendre. Parker se redresse, et ses mains sur moi me font frissonner, préparant le terrain pour ce que ce sera la suite, un peu plus au sud. « Je t’aime. » Mon dieu que j’aime l’entendre ! J’entoure son cou de mes bras, et lui glisse moi aussi un je t’aime à l’oreille, tout en embrassant son cou délicatement, tandis que ses épaules cagneuses alertent mes sens, elle est tellement maigre… Elle abuse clairement de sa position quand elle entre par effraction dans mon pantalon, me sentant déjà prête à la suite des opérations. Je suis complètement hors de contrôle pour le moment. « T’arrête pas… » Je la supplie presque, alors que je suis pourtant impatiente de passer à la suite, et ne la laisse pas finir, que je l’allonge sur le lit, reprenant le dessus d’une façon un peu plus douce, remontant mes mains le long de son corps que je dénude petit à petit en déboutonnant sa chemise, puis descendant à nouveau vers son pantalon pour la libérer. Je glisse une main à l’intérieur de sa chemise, et parcours son corps, ses côtes, remontant sur ses épaules, toujours plus maigres…
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MessageSujet: Re: can we date again ? [luker #19] (#)   can we date again ? [luker #19] - Page 2 EmptyDim 5 Nov - 23:06

J’ai l’impression de faire à nouveau partie d’un tout. Il me manquait quelque chose pour être enfin entière. Ce quelque chose était plutôt quelqu’un, elle, Lukas, l’amour de ma vie, la seule femme au monde à avoir une influence sur moi, à pouvoir me faire changer d’avis, devenir meilleure, ou pire d’ailleurs. Mais elle est là, enfin. Je ne veux pas penser à demain, je ne sais pas si cette soirée sera comme un nouveau départ, si elle dormira là et ne repartira plus jamais. Je voudrais y croire mais une part de moi m’empêche de trop espérer, cherchant simplement à vivre cet instant présent qui m’est cher. Ce moment que j’ai tant attendu, nos retrouvailles, pour de bon. Ses lèvres sur moi me rendent folle et c’est sans compter son effeuillage lent et sensuel. Elle est magnifique, j’ai l’impression de la redécouvrir, plus belle encore qu’elle n’a jamais été. Je reviens chercher ses lèvres, mais mains parcourant son buste enfin nu, et je prends plaisir à la faire frissonner avant de déboutonner son pantalon pour m’immiscer à l’intérieur, l’envie se faisant trop grande, et ma patience ayant des limites. Sans chercher à les retenir, trois petits mots se frayent un chemin entre mes lèvres pour lui dire combien je l’aime. Elle y répond et je soupire de simplement l’entendre, le ressentir, presque plus fort encore que ça n’a jamais été le cas. « T’arrête pas… » me dit-elle dans un soupir alors que mes doigts la caressent de manière plus intime. Mon souffle s’accélère, ma tête tourne déjà de sentir cette unité, cette dose de ma came préférée. Elle finit par m’allonger sur le lit, visiblement impatiente et déboutonne ma chemise pendant que mon ventre se soulève au rythme de ma respiration. Je viens chercher ses lèvres et mes mains continuent de caresser son dos, ses côtes, sa poitrine nue. Je glisse à nouveau dans son pantalon pour prendre à pleines mains ses fesses absolument parfaites. Je fais glisser son pantalon pour qu’elle le retire enfin, se retrouvant juste en culotte et je grogne d’impatience, retirant moi-même ma chemise en me redressant pour venir embrasser son cou, descendre sur le haut de son buste, sa poitrine que je m’amuse à titiller du bout de ma langue.

Mais je sens que quelque chose ne va pas, je ne sais si c’est mon intuition, ma peur, je sens jusque qu’en une fraction de seconde, l’attitude de Lukas a changé, et j’ignore pourquoi. Elle passe ses mains dans mes cheveux et j’écarte mon visage de sa peau juste pour la regarder, caressant tendrement sa joue. « Tout va bien mon amour ? » J’aimerai comprendre ce qu’il se passe dans son regard, j’y vois déjà des excuses mais je ne sais pas pourquoi encore. A-t-elle de nouveau quelque chose à m’annoncer ? Y’a-t-il eu d’autres personnes que son ami ? Mes pensées divaguent et j’ai de plus en plus peur…
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MessageSujet: Re: can we date again ? [luker #19] (#)   can we date again ? [luker #19] - Page 2 EmptyLun 6 Nov - 0:49

❝ Can we date again… ? ❞
Parker & Lukas


Je n’ai sans doute pas encore retrouvé la forme que je souhaitais obtenir après la naissance de mon fils. Je dois dire qu’avant tout ça, j’avais un métier physique, je prenais les risques qu’il fallait pour n’avoir aucunement besoin de faire des efforts ensuite pour sculpter mon corps. Si j’étais belle quand j’avais 17 ans, il en est autrement aujourd’hui. En tout cas dans ma tête. Parker m’aime comme je suis, mais je ne peux m’empêcher de complexer quelques peu en me regardant dans le miroir. Je ne suis plus ce que j’étais, il faut bien le reconnaître. Et pour en revenir à Heaven, elle, oui, elle a tout ce qu’il faut là où il faut la salope ! J’ai toujours grandit dans un monde qui privilégiait la condition physique, les apparences et les ont dit. Impossible pour moi de m’empêcher de penser que ça compte aussi et avant tout pour Parker. Pas qu’elle ne m’ait déjà fait quelque réflexion que ce soit, bien au contraire, mais je n’ai pas besoin de ça pour me remettre en question face à elle.
Mais une chose que je ne peux pas lui retirer, c’est le plaisir qu’elle a toujours su me donner. Sans condition, parfois même en un regard, une simple caresse, une parole susurrée à l’oreille. Un souffle… Il lui suffit de claquer des doigts pour me faire décoller, et elle ne l’a jamais ignoré. Mais je préfère partager le plaisir. Et je m’accroche comme un diable au fait de retrouver tout ça ce soir, parce que c’est notre chance...
Non, je refuse que mon attitude ne change, et je m’accroche à l’idée que c’est bien ma moitié que je tiens entre mes bras, ce sont ses gestes délicats qui s’occupent de ma poitrine, avec plus de douceur qu’avec n’importe qui, j’ai toujours eu une sensibilité toute particulière à ce niveau-là, et elle le sait, elle y fait attention, prend soin de ne pas me faire mal, et ça a toujours été le cas. Parker a toujours eu soin de faire ce qu’il me convenait. Le plaisir n’a toujours été qu’à deux, jamais que pour l’une ou l’autre. « Tout va bien mon amour ? » « Oui, ça va, t’arrête pas bébé, t’arrête pas. » L’entourant de mes bras en la conjurant de ne rien stopper de son petit manège, qu’elle m’aide à perdre la tête, que je m’abandonne totalement à ce moment.
Je m’allonge sur le dos en lui laissant l’avantage en espérant que ça changera les choses, je caresse ses bras, remonte à ses épaules, entoure son cou de mes bras pour la pencher sur moi et colle mon bassin contre le sien, un peu brusquement. « Aïe, merde. » Ses os cognent contre les miens, je ne relève pas, mais perd patience, je suis en train de décrocher totalement et ne peut me retirer de la tête cette image squelettique de ma femme… Putain mais il m’arrive quoi ! « Continue Parker, surtout t’arrête pas, je t’en supplie… » Elle ne doit pas lâcher cette course, mais je crois que c’est peine perdue. Mes baisers n’ont plus aucune intensité et je ne parviens plus à garder le même état d’esprit. « Stop, Parker, je peux pas… » Je me redresse, le souffle court, assise sur le lit, glissant une main dans mes cheveux pour les envoyer en arrière et soupirer. « Excuse-moi… je peux pas, j’y arrive pas… » Les larmes aux yeux, je n’ose pas croiser son regard. « Bordel ! » Je m’énerve contre moi-même, il se passe quoi chez moi pour que je sois comme ça ?!
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MessageSujet: Re: can we date again ? [luker #19] (#)   can we date again ? [luker #19] - Page 2 EmptyLun 6 Nov - 21:39

Je sens que quelque chose cloche, je connais assez Lukas pour savoir quand quelque chose cloche, et c’est le cas à l’instant. Impossible pourtant de lire en elle puisqu’elle ne m’en laisse pas le droit, m’incitant à ne pas m’arrêter. « Oui ça va, t’arrête pas bébé, t’arrête pas. » Je ne suis pas sûre que ce soit la solution, j’ai envie de savoir, de comprendre ce qu’il peut bien se passer dans sa tête. Pourtant, je prends le parti de faire ce qu’elle me demande, attrapant son visage pour l’embrasser à nouveau, glissant mes mains sur son corps presque nu, et revenant glisser ma main dans son dernier morceau de sous-vêtement. Elle choisit finalement de se positionner sur le dos et je viens par dessus elle, ne lui laissant pas le temps de penser, mes lèvres toujours à l’affût des siennes. Je bouge un peu lorsque je l’entends se plaindre d’une douleur. Il est vrai que mon corps a déjà été plus en chair qu’aujourd’hui, mais elle a déjà vécu mes hauts et mes bas, et je ne crois pas que ce soit la première fois qu’elle me voit aussi maigre. Quoi que. Mais j’en fais fi, l’envie étant plus forte que le reste, ma langue cherche la sienne et mes mains retrouvent le chemin de sa nudité, l’une sur sa poitrine et l’autre qui redescend jusqu’à sa féminité. « Continue Parker, surtout t’arrête pas, je t’en supplie... » Quelque chose ne va pas, elle n’es déjà plus avec moi et j’ai peu d’espoir de la retrouver ce soir. Pourtant, j’essaie, mais je crois que je suis en train de me perdre aussi, dans un tas de pensées un peu trop noires. Mes baisers ont perdu de leur saveur, j’ai peur, peur de la perdre pour de bon. Et finit par arriver le coup dur. « Stop, Parker, je peux pas... » Mon souffle encore court, je n’ose même pas plonger mon regard dans le sien, je me décale juste pour qu’elle puisse se redresser. Je sens mon coeur me brûler la poitrine, mon esprit recommencer à me faire passer des essaies toujours plus noirs. J’imagine déjà la fin, la fin pour de bon. Dois-je continuer d’avoir une once d’espoir ? J’ai bien peur que non... Lukas se relève et s’assied au bout du lit alors que je me recroqueville sur moi-même, genoux contre ma poitrine et mes bras entourant mes jambes comme un enfant qui a peur. « Excuse moi, je peux pas, j’y arrive pas... » L’excuser ? Mais de quoi ? Je ne sais même pas exactement où est le problème. Les pensées se bousculent dans ma tête, les raisons toutes différentes qui me bousillent encore un peu plus. Et si elle avait rencontré quelqu’un entre temps, et si je me reprenais le karma de l’avoir détournée de son ex femme, et que la vie me punissait pour ça. « Bordel ! » Je comprends même pas pourquoi elle s’énerve. Je serre les mâchoires, sentant la boule de mon coeur remonter jusqu’à ma gorge, et les larmes arriver jusqu’à mes yeux. Je me décale, récupère sur le bord du lit ma chemise que j’enfile sans un bruit, me lève et me dirige vers la salle de bain sans lui adresser un regard. « Tu devrais rentrer. Lenny doit t’attendre. Bonne nuit Lukas. » Mon ton est glaçant, il est surtout blessé. Je pénètre dans la salle de bain et m’y enferme à clé, je ne veux pas lui laisser l’occasion de venir me parler ou me rassurer. Tout ça, je l’ai mérité après tout.
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MessageSujet: Re: can we date again ? [luker #19] (#)   can we date again ? [luker #19] - Page 2 Empty

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can we date again ? [luker #19]
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